Winter Soldier a écrit:Je dirais que Disney et MARVEL STUDIOS sont surtout opportunistes par rapport à ces phénomènes de diversité, puisqu’ils apportent une pub positive aux films et aux studios par la même occasion (en mode « regardez, nous sommes progressistes ! » ).
Comme Ada te l'a gentiment souligné concernant le titre Uncanny X-Men en 75 ils avaient quand même un russe, un allemand et un japonais dans une équipe qui finira par être dirigée par une afro-américaine, tu fais pas plus progressiste que ça mince ! J'ajoute que Disney et Marvel Studios sont loin d'être les seuls "opportunistes" quant à ce phénomène dit de la diversité :
# Universal = Atomic Blonde (2017 / Focus Features)
# Sony = Skyfall (2012), Spider-Man: Into the Spider-verse (2018)
# Warner = Watchmen (2009), Suicide Squad (2016), Ocean's 8 (2018), Crazy Rich Asians (2018)
# Paramount = Star Trek: Beyond (2016)
# Lionsgate = Power Rangers (2017), Anna (2019)
Et c'est sans parler de la télévision, vous verrez que dans les années à venir les autres studios intensifieront aussi la présence ou la transformation de tels personnages dans des adaptations de comics et autres blockbusters !
Winter Soldier a écrit:EDIT : par contre, je disais ceci pour Disney et MARVEL STUDIOS mais ça concerne tous les gros studios.
Ah voilà je me disais bien
Adanedhel a écrit:Ouaip c'est ça
Après on a aussi Black Panther en 1966, Le Faucon en 69, Luke Cage en 72...
Sans oublier que la première équipe de X-Men avait pour suis texte l'exclusion des minorités.
Bill Foster dès 66, le Prowler en 69, Blade en 73 puis Misty Knight, White Tiger ainsi que Storm en 75 pour n'ajouter que ceux-là
Le concept même des X-Men à l'origine est une allégorie de la ségrégation (Apartheid, Shoah, etc.) donc clairement même Stan Lee et Jack Kirby étaient avant-gardistes... Claremont n'a fait que confirmer les positions de cette licence, les ancrer et les amener le plus loin possible au vu de la conjoncture de son époque.