Fan Fiction mais pas celle que vous croyez !

Discussions générales sur le monde super-héroïque ! Débats, sondages et prises de bec...

Fan Fiction mais pas celle que vous croyez !

Messagede rider » Lun 5 Mai 2014 00:17

Salut!

Je suis inscrit sur le forum depuis un petit moment et je suis un grand fan de tout ce qui est super-héroique surtout des films. J'ai un peux de mal avec les histoires entre mêlé entre société ! Sa me choque de voir Fatalis ce battre contre Spider-Man ! lol !
Enfin je ne suis pas là pour parler de ça, mais voila alors que le premier Batman sortait j'ai eu l'idée de créer notre propre héros. Oui un héros français enfin ça c'était avant que je découvre Super-Dupont et tous ses copains que je trouve un peux ridicule comparer au américain ! (Ce n'est que mon avis personnel) Et c'est à ce moment là que le projet est née, un scénariste s'empare de l'écriture alors que je crée l'univers ou nos héros évolueront.
C'est la ville de Lyon qui est finalement choisie. Paris ne faisant de toute façon partie d'aucun choix !

Alors au lieux de vous blablater pendant des lignes et des lignes voici un petit aperçu de...
(Je prend des pseudos ne m'en voulait pas)

Créer par: SS
Écrit par: LG (Pas les portables hein !)

THE DARKNESS SHIELD


« - Au cours du 21ème siècle, le monde accueille de plus en plus de « protecteurs », ces justiciers de l’ombre défenseurs de la loi et de l’ordre, véritables légendes urbaines, êtres étranges et mystérieux dont les capacités vont au-delà des limites connues de l’humanité.
Ils recouvrent l’ensemble du globe, des pays d’Europe à l’extrême Orient, en passant par le Tiers-Monde.
Dans un monde en perdition, anéanti par une crise économique sans précédent qui a rongé l’occident durant une décennie, ceux que la culture populaire surnomme les « super héros » sont devenus les anges gardiens du monde moderne.
Livrée à elle-même, l’Europe a perdu ses pôles économiques, tout comme les Etats-Unis, jusqu’à ce qu’une ville de France, Lyon, ne redonne espoir aux gens. Une « arche de Noé du monde capitaliste », où n’est conviée que l’élite, et ce dans chaque domaine professionnel, dans le but de doper la seule et unique chance de L’Europe de se relancer sur le marché mondial.
Le cœur de la réussite de cette mégapole industrielle futuriste est une centrale nucléaire gigantesque qui tourne à 150% de ses capacités, en permanence, faisant fi de toutes les règles de respect de l’environnement et de sécurité.
Aucun protecteur ne veille sur Lyon et personne ne pense alors, à cette époque, que la cité d’Eden de l’Europe pourrait un jour en avoir besoin … »

On voit Steeve assis sur son lit, face à la fenêtre donnant sur la centrale. On entend les pensées du garçon.

« - Mon père a toujours voulu un battant… Et c’est moi qu’il a eu. Fragile, atteint d’une maladie de peau incurable et contraignante, je ne peux sortir que la nuit. C’est peut-être mieux ainsi : ce monde ne m’attire pas. Mon père a travaillé dur toute sa vie pour mettre toutes les chances de mon côté malgré mon handicap, alors pour lui, j’ai dû oublier mes études et accepter cette place rare dans la seule boîte d’Europe encore viable : la centrale… pourquoi je n’arrive pas à me sentir chanceux quand la misère n’a jamais atteint 1 tel stade en Europe et dans le monde? Quand je lui dis «  Je veux étudier les plantes », il me répond « Sécurité de l’emploi ». Je me suis senti obligé d’accepter cette place, adaptée à ma maladie qui plus est, pour ne pas le décevoir. Il s’est battu, alors je le lui dois… »

On le voit ensuite grimper sur sa moto, filer sur la route de la ville futuriste de Lyon en pleine nuit.

« - Je m’appelle Steeve, Steeve Martin ; et je ne suis personne à Lyon, cette fourmilière moins vivante que mécanique… »
Il traverse un quartier délabré.

« - Cette cité m’étouffe… J’ai l’impression de mourir peu à peu avec son âme. Je ne me trouve pas au milieu de tout ça. Ce n’est pas moi. »

Il pénètre dans l’enceinte de l’immense centrale. Il rejoint le poste des gardiens. Dans le vestiaire, il met sa tenue en compagnie de son adjoint, Max, un vieil homme buriné qui picore des cacahuètes.

Max : « - L’équipe de jour a inspecté les cuves chimiques côté sud ouest ; faut qu’on vérifie le taux d’étanchéité de toute la partie nord ce soir… Au fait, tu leur as donné la lettre ?... »

Steeve sort une lettre bien abîmée de son casier et la jette à côté de Max qui la saisit et la regarde par réflexe.

Max : « - Tu sais que ce sera pire si t’attends d’avoir démissionné pour leur annoncer ; ils vont se sentir piégés. »
Steeve : « - Tu dis ça comme si j’en avais pas conscience… Mon père va me tuer si c’est pas lui que ça tue. Je suis son fils unique ; je suis son seul espoir…Et je suis mort de peur. »

Steeve vient s’asseoir sur le banc à côté de son ami, pensif.

Max : « - Est-ce qu’un jour t’arrêtera d’avoir peur ?... »

Peu après, le duo fait une ronde dans la centrale en discutant.

Steeve : (chantonne) “ - Please allow me to introduce myself. I’m a man of wealth and taste…”
Max: “ - Tu connais pas un autre chanson que celle-ci?”
Steeve : « - Sympathy for the devil; les Rolling Stones. J’adore cette chanson. J’ai l’impression que c’est de moi qu’elle parle. C’est moi le démon de cette chanson, une créature mystérieuse et étrange qui vit la nuit, qui fascine autant qu’elle effraie.»
Max : « - Comment veux-tu que les autres te considèrent comme quelqu’un de normal si tu te prends toi-même pour un monstre ? »
Steeve : « - C’est à eux que ma différence pose problème, alors s’ils ne peuvent pas m’accepter comme je suis, autant que je leur montre ce qu’ils ont envie de voir. Je suis pas contrariant, moi. Ha ! Ha ! »
Max : « - C’est peut-être toi qui ne t’accepte pas comme tu es mais…Bah, laisse tomber, t’es aussi borné que moi… »
Steeve : « - C’est énervant, hein ? »

Dite moi ce que vous en pensez ce n'est qu'une mini-partie, une mise en bouche !
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Messagede Mach » Lun 5 Mai 2014 08:36

Ce que j'aime c'est le côté original de l'histoire, c'est basé sur aucun univers connu et ça me plait. À part ça l'histoire commence bien, tu ne nous balances pas tout d'un coup et c'est une bonne chose, on a eu des fanfics ici où dans un aussi long texte on avait l'histoire complète. J'ai bien envie de lire la suite alors que je ne suis pas fan du concept des fanfics, comme quoi c'est distrayant.

D'ailleurs, je suis peut-être à la ramasse avec le concept de fanfic mais c'est pas le principe de reprendre un univers où un héros connu (le côté "fan" de la chose) ?

Bref appelons ça comme on veut, mais pour le moment c'est la meilleure fanfic que j'ai lu sur ce forum (il n'y en a pas non plue eu 50).

Le seul bémol pour moi c'est Lyon... Connaissant un peu la ville, j'ai du mal à m'imaginer ton décor futuriste parce que je suis sans cesse ramener à ce que je connais de Lyon. Dès que je visualise la cité moderne incroyable je me dis "non mais c'est Lyon va pas chercher trop loin". Vous (parce que vous êtes deux sur le projet si j'ai bien suivi) auriez choisi une ville fictive (avec un nom qui sonne français si vous voulez absolument le placer en France) j'aurai accroché direct et mon imaginaire aurait construit sa vision de la ville.
C'est ça qui fait la force de Métropolis et Gotham City, les deux sont basées sur New York mais en les nommant autrement les auteurs ont pu leur donner une couleur très prononcée (la merveilleuse et futuriste Metropolis et la sombre Gotham rongée par le crime) sans que ça puisse choquer quelqu'un.
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Messagede rider » Lun 5 Mai 2014 09:31

Je peux comprendre que sa paraisse bizarre après il n'y a pas encore de description détailler de la ville, mais elle n'a plus rien à voir avec celle que l'on connait. C'est un mix en Gotham City et Métropolis. Tu le verra par la suite ! Effectivement c'est très long il y a 88 pages Word !
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Messagede Mach » Lun 5 Mai 2014 11:14

rider a écrit:C'est un mix en Gotham City et Métropolis.

Ça s'appelle New York ça. :lol:
Gotham City et Metropolis sont toutes les deux basées sur New York, l'une représentant la New York sombre et sale, l'autre la New York idyllique et lumineuse.
M4enfin ok j'arrête de chipoter et j'attends la suite. :D
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Messagede baltazar69 » Lun 5 Mai 2014 11:26

Mach a écrit:Le seul bémol pour moi c'est Lyon...

Pas touche à Lyon :mad: :mad: :mad:
Moi ce qui me gène c'est un héros français bien de chez nous qui s'appelle Steeve. Sans parler de l'appeler Pierre ou Paul, y'avais peut être moins ricain comme prénom non?
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Messagede rider » Lun 5 Mai 2014 11:48

Son nom de famille est Martin c'est le Smith français !

Voila la suite !!

En s’engouffrant dans l’un des couloirs froids et monstrueux de l’usine, ils sont surpris par une épaisse fumée noire et verdâtre qui recouvre entièrement le passage.

Max : « - Bon Dieu, mais c’est quoi, ça ?! »
Steeve : « - Une mauvaise nouvelle… Qu’est-ce qu’on fait ?»
Max : « - Ce qu’on doit… »

Peu après, une alarme retentit dans toute la centrale, tandis que Max, paniqué, parle au bout d’un téléphone rouge dans l’une des coursives de l’usine.

Max : « - C’est une chambre d’isolement fissurée, elle a explosé ! …Oui ! La partie Est de la centrale est déjà condamnée ; on a fermé les portes blindées de séparation mais il y a un grand risque d’explosion, il faut évacuer immédiatement !...Quoi ?! L’accord du directeur ?! Mais vous plaisantez ?! Je vous dis qu’on a un risque imminent d’explosion qui risque de raser toute la cité ! Je lance la procédure d’évacuation maintenant ! »

Bientôt des gens en tenues de protections se précipitent à l’extérieur. Steeve les guide vers les sorties de secours.

Steeve : « - Suivez la direction donnée par les flèches sur le sol ! Ne vous bousculez pas ! Les navettes volantes vont arriver d’une minute à l’autre, dégagez la piste ! »

Au milieu des employés effrayés qui se précipitent hors de l’usine, les deux gardiens sont débordés. L’un des évacués tombent au sol dans la panique. Max se précipite pour le relever mais se fait bousculer à son tour et tombe. Plusieurs autres sont passés et leur ont presque marché dessus. Max a bien du mal à se relever. Steeve vient l’aider à se relever.

Steeve : « - Dis donc, Papi, c’est quand que tu prends ta retraite ? »
Max : « - Ce soir, on dirait ! »
Steeve : « - Ca va ? »
Max : « - Ouais… C’est mon cœur, si ça continue, je vais encore faire une attaque… »
Steeve : « - Max : tire-toi… »
Max : « - Quoi ?! Mais les gardiens doivent être les derniers à quitter le site ; ce sont les ordres ! »
Steeve : « - On s’en moque des ordres, je te parle de ta santé, vieux ! File avec la prochaine navette ; je fais un dernier tour pour m’assurer que cette bombe à retardement est bien vide et je te rejoins. »
Max : « - …Fais gaffe à toi, ptit. »

Max rejoint le flot des fuyards tandis que Steeve inspecte le site une dernière fois. Il inhale les vapeurs toxiques qui se répandent dans l’usine et tousse. En revenant sur la piste de décollage, la dernière navette vient de décoller et s’éloigne. Steeve lui court d'après en faisant de grands signes.

Steeve : « - Eh !!! Revenez ! Je suis là ! Revenez ! »

Seul, Steeve regarde autour de lui pour chercher un moyen de s’en aller. Volontairement éloigné de la ville de quelques kilomètres et entouré de plusieurs montagnes pour ralentir le souffle en cas d’explosion, le site devient un piège mortel.
Steeve comprend qu’il n’a plus d’alternative pour fuir, « oublié » par ses collègues. Il fait donc face à cette gigantesque bombe à retardement qui se dresse devant lui tel un dragon. Le vent lui amène un vieux tract des syndicats à ses pieds, intitulé : « Carence des systèmes de sécurité sur le site : danger ! ». Par réflexe, Steeve le lit : il affiche en gros le gimmick du directeur, phrase cynique qu’il donne en guise de réponse à propos du manque de dispositions concernant la sécurité du site : « Ce n’est pas si grave de tirer le diable par la queue ; le tout est de savoir s’arrêter avant qu’il ne se retourne. » Soudain, Steeve prend conscience du danger qu’il court et en un instant se retrouve précipité sur sa moto. Il fuit aussi vite que possible, tentant de sortir de la ville par les sinueuses routes de montagne.
Pour se calmer, Steeve se met à chanter sa chanson préférée à haute voix.

Steeve : “- Please allow me to introduce myself. I’m a man of wealth and taste…”

Roulant à pleine vitesse, il finit par se rendre compte que sa moto tremble et Steeve commence à avoir du mal à la contrôler. Il lutte tant qu’il peut pour la garder droite sur la route mais, par réflexe, se retourne vers la ville qu’il domine depuis quelques minutes et aperçoit une lueur forte au loin. Perturbé par cet élément visuel inconnu, il ne se rend pas compte qu’un souffle puissant lui fait perdre le guidon des mains et lorsqu’il essaie de récupérer l’équilibre, il est trop tard : la moto se renverse et se couche sur le bitume, glissant sur plusieurs dizaines de mètres, l’entraînant avec elle.

Steeve : « - Nooon ! »

Peu après, Steeve se relève, secoué mais intact, et s’adosse quelques instants sur un arbre au bord de la route pour reprendre ses esprits.

Steeve : « - Rien de cassé… Une sacrée chance ! »

Il voit alors au loin la lumière devenant de plus en plus violente et imposante, s’accompagnant d’un bruit terrible. Steeve est pétris de peur, voyant ce cataclysme ravager le site et les alentours.

Steeve : « - Mon Dieu ! »

Des cris se mélangent aux explosions des valves radioactives dans ce spectacle chaotique et Steeve, en détournant le regard, incapable de soutenir cette vision de cauchemar, pose par hasard les yeux sur une pancarte de la ville affichant : «  Bienvenue dans la capitale européenne » à quelques mètres de lui, et s’aperçoit que celle-ci tremble dangereusement aussi malgré les solides poutres qui la soutiennent. Une vapeur verdâtre envahie la cité et s’élève rapidement, s’insinuant dans tous les recoins des montagnes environnantes : les gaz radioactifs. Elle rejoint bientôt la colline où Steeve s’est arrêté et ce dernier, impuissant, se protège le visage par réflexe en hurlant de peur quand elle se répand autour de lui. Peu après, Steeve erre dans le champ, en état de choc, désorienté, titubant, criant à l’aide, et se rend compte que les larmes coulant de ses yeux brûlent ses vêtements et l’herbe sur le sol ; ses vêtements et sa peau sont calcinés, troués par endroits par des brûlures du gaz.

Steeve : « - Buuuuurgh… A l’… A l’aide !!! »

Lorsqu’il se touche les yeux, ses mains se flétrissent comme si elles avaient été exposées à une intense chaleur. Ses larmes acides ont dessiné des cicatrices noires partant de ses yeux et descendant jusqu’au bas de ses joues. De douleur et de panique, Steeve gémit.

Steeve : « - Oh seigneur… »

Mais il comprend que son calvaire n’est pas fini quand le souffle de l’explosion s’approche à son tour. Steeve tombe à genoux, quasi inconscient, avant d’être emporté et projeté contre un arbre derrière lui qui le retient, et la dernière chose qu’il voit avant de sombrer est la pancarte de bienvenue qui vole en éclats dont un morceau qui fonce vers lui.
Noir. Le silence.
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Messagede rider » Mar 6 Mai 2014 11:20

Salut ! J’espère que vous appréciez, l'histoire prend le temps de démarrer on est loin d'un méchant ou plusieurs par tome ! Voici le réveil de Steeve

Monsieur Martin : « - Fils ? Tu nous entends ? Steeve, c’est nous, c’est Papa et Maman, tu nous reconnais ? Le docteur dit que tu peux nous entendre malgré le… Si tu savais comme tu nous manques… Il dit que tu ne peux pas te réveiller mais… Nous, on veut y croire… Ne nous oublie pas, s’il te plaît… Ca fait maintenant un moment que tu es là, allongé sur ce lit et moi, je suis impuissant face à cette catastrophe… Je sais que j’en suis en partie responsable ; je voulais t’assurer un bon avenir et je t’ai condamné… Mon Dieu, fils, pardonne moi ! Pardonne ton père, s’il te plaît ! Pardonne moi et retrouve le chemin de la maison ! Je crois que jamais je n’aurai le courage de te répéter ces mots si tu te réveilles 1 jour, alors entends moi, je t’en prie ! Jamais je n’ai voulu ce qui est arrivé !... »

Plus tard ; un bip régulier monte, se fait plus fort et plus rapide : des voix qui se bousculent, paniquent, s’interrogent sur l’explication de ce phénomène.

Infirmière « -…Seigneur ! Docteur ! Venez vite ! Le patient de la 667 a un pouls !... C’est impossible, voyons !... Bon Dieu ! On en est à combien de temps de rythme régulier ?... 5 heures, docteur !... Ses fonctions vitales se stabilisent de plus en plus, c’est incroyable… Et docteur, regardez son taux de radiation : il n’a toujours pas baissé mais il n’a jamais contaminé la salle…Comme si son corps retenait la radioactivité… Mais son épiderme a perdu toute couleur et tout pigment ; un vrai lézard, dur comme des écailles… Et ses muscles… Ils devraient être atrophiés… personne n’a remarqué qu’ils n’ont pas été touchés ? On dirait qu’il s’en est servi hier… C’est un vrai cas de médecine, celui-là… un miraculé… regardez ça : il se réveille !...Docteur, qu’est-ce qu’on fait ?... On prévient les parents que leur fils sort de sa tombe… C’est pas un miracle, c’est une aberration.»

Les parents de Steeve se précipitent dans un couloir d’hôpital. Un médecin les accueille et leur explique brièvement ce qui s’est passé.

Le médecin : « - Voyez-vous, je n’avais guère espoir de le voir se réveiller 1 jour mais il est déjà bien conscient pour cette durée passée dans le coma profond. Il a une récupération exceptionnelle. Comprenez-moi bien, ce que vous vivez avec votre fils à partir de maintenant est scientifiquement « contre-nature ». Il est incapable de communiquer avec l’extérieur bien sûr mais je ne serais pas surpris qu’il récupère la parole très vite vu sa capacité de rétablissement hors du commun. »

Les parents de Steeve se regardent d’un air choqué et profondément intrigué. Peu après ils sont dans la chambre et lui parlent.

La mère : « - Tu étais dans le coma depuis 3 ans, nous n’espérions plus te voir rouvrir les yeux un jour. C’est arrivé lors de l’explosion de la centrale où tu travaillais, tu te rappelles ? »

En retrait, le père de Steeve interroge le docteur.

Le père : « - Dites, vous pensez que ses possibilités de rétablissement peuvent aller jusqu’où, doc ? »
Le médecin : « - Pour tout vous avouer, je ne m’avancerais plus à rien le concernant, monsieur Martin. Même ses résultats d’analyse récents sont une énigme pour nous : sa peau est devenue lisse mais elle est résistante à la lumière du soleil et les effets de sa maladie de peau disparaissent peu à peu alors qu’elle est en principe incurable. A présent, elle est hermétique à tout agression extérieure, dure comme celle d’un reptile. De plus, son taux de radioactivité est resté très élevé mais son corps semble avoir acquis la capacité de la contenir en lui. Son cœur a résisté mais émet à chaque battement des radiations qui se répercutent dans tout son corps et lui permettent de le faire vivre. Le corps de Steeve survit grâce au fonctionnement de cette énergie nucléaire qui anime son cœur qui a miraculeusement résisté au choc de la contamination. Ses tissus, ses muscles, ses os ont ainsi pu rester comme « éveillés » pendant tout ce temps, comme animés par cette énergie atomique qui n’est pas naturelle mais puissante. Il apparaît même que ces radiations aient permis la guérison de bon nombre de ses blessures subies lors de l’accident. En fait, il semble qu’une seule refuse de cicatriser entièrement : celle qui parcourt son torse.»

A l’écoute de ses mots, Steeve baisse les yeux vers sa poitrine et aperçoit l’immense balafre qui la couvre. Lui vient comme une sensibilité particulière en la voyant ; il a une sorte de flash de ce bout de métal qui lui a foncé dessus 3 ans auparavant, dernière image du choc. Il voit aussi combien son corps a changé et est devenu méconnaissable : blanc, imberbe, dur.

Le médecin : « - J’ignore combien de temps le corps de Steeve va tolérer ce fonctionnement dangereux et malsain car s’il l’aide à vivre, il est évident qu’il détériore ses cellules en les soumettant aux radiations atomiques. Je ne sais pas si je dois être heureux ou bien désolé pour vous… »

Le couple reste circonspect devant cette situation incompréhensible et dévisage Steeve comme une bête curieuse.

Dit moi ce que vous en pensez !! A bientôt
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Messagede rider » Dim 11 Mai 2014 01:48

Je ne sais pas s'ils y en qui lise mais voici une autre partie ! La suite est un peux plus longue et vous présente plusieurs nouveaux personnages important pour l'intrigue ! C'est surtout l'apparition des méchants qui est intéressant !!

Sam Desportes, jeune homme rondouillard, regarde la télévision dans le pavillon familial, les infos locales diffusant un reportage sur la cité irradiée et ravagée qu’est devenue Lyon.

La télévision : « - Aujourd’hui dans ce journal : rétrospective sur la catastrophe de la centrale qui a bouleversé le sort de Lyon : La nouvelle capitale européenne, soufflée et irradiée à 80% par le nuage radioactif, est aujourd’hui un paysage de désolation. Laissée à l’abandon après la catastrophe, elle est à présent le lieu de perdition ultime de l’Europe et un paradis de corruption, un repère pour les criminels les plus dangereux et la plus grande zone de non droit au monde. Dans ce paysage de désolation toxique, on dit que celui qui a du pouvoir e de l’influence peut devenir le roi de la ville… »

Puis Sam regarde sa montre, éteint le poste et traverse un long couloir qui le mène à la pièce principale et vers la porte d’entrée. Il a plusieurs gros sacs sur le dos et en tient quelques autres à la main. Une voix l’appelle dans le grand salon, ce qui le fait grimacer et l’oblige à faire volte face.

La mère : « - Sam ! »

Il s’approche d’un fauteuil où une femme au regard terne et froid l’observe.

La mère : « - Tu es bien sûr de vouloir t’en aller ? »

Sam détourne le regard sans répondre.

La mère : « - Vois comme la vie est injuste ; après tant d’efforts pour installer notre famille dans l’unique ville d’Europe où les protecteurs n’imposent pas leur dictat, je dois voir le seul héritier de cette famille capable de prendre les rennes du pouvoir le refuser… Pourquoi ne veux-tu pas de cette opportunité si rare d’être un « puissant », d’embrasser ce destin unique et magnifique… ? »
Sam : « - Maman… Ca n’a rien de magnifique ; cette famille est tâchée du sang d’innocents ainsi que tout ce qui la compose. Je suis quelqu’un de simple et je veux une vie simple, honnête, libérée de cet héritage morbide. »

Dans le couloir, un adolescent se cache pour écouter la discussion. Il fulmine et pleure de colère en silence.

Sam : « … As-tu oublié que tu avais un autre fils ? Pourquoi ne pas lui faire ce cadeau empoisonné ; il n’attend que ça, sans compter que cette place lui irait bien plus qu’à moi ! »

La mère, offusquée par une telle impertinence, se lève et fait voler en éclat tout ce qui est à proximité d’un simple coup sur une table qui a comme effet de provoquer une onde de choc. Toute la pièce est chamboulée. L’un des objets projetés passe près du visage de Sam, érafle sa joue qui se met à saigner sans que cela ne fasse réagir le jeune homme, toujours calme.

La mère : « - Il suffit ! Ne joue pas sur cette faiblesse ! Tu as parfaitement conscience que ton frère ne possède pas le gêne du pouvoir reconnu par la caste et qu’il ne sera jamais accepté comme l’un des nôtres !… Prend garde à toi, mon fils, car si tu refuses de porter les responsabilités de cette famille, tu devras en tout cas en porter les conséquences…»
Sam : « - Ne t’en fais pas pour ça, Maman ; grâce à vous, j’y suis préparé depuis toujours. »

Sur ces derniers mots, il prend ses affaires et quitte les lieux. Sa mère crie son nom dans toute la maison, provoquant une onde de choc qui se répercute partout et brise tout ce qui est un peu trop fragile pour y résister.

La mère : « - Sam !!! »

Jason, toujours dans le couloir, lance un regard mauvais vers son frère qui s’en va, puis vers sa mère qui rage dans le salon.
Peu après, de retour dans sa chambre, il sort une valise réfrigérée d’une caisse marquée du sigle désignant la radioactivité de sous son lit. Il ouvre la valise contenant des seringues immenses de couleur verdâtre. Il les observe d’un regard fasciné et craintif…

Dans sa chambre d’hôpital, Steeve est auprès de ses parents, toujours des larmes aux yeux.

La mère de Steeve : « - Qu’est-ce qui ne va pas, mon cœur ? »
Steeve : « - C’est étrange : j’ai l’impression de voir le monde pour la première fois tel qu’il est… Sans ombre, sans noirceur. Et moi, je ne sais plus qui je suis parce que même si tous ces traitements, ces restrictions étaient un fardeau, c’est la seule chose que j’ai jamais connu. »

Il cache ce phénomène étrange et nouveau depuis l’accident : ses larmes qui brûlent la matière qu’elles touchent, hormis sa peau proche de celle des reptiles. Le médecin vient l’ausculter brièvement.

Le médecin : « - Récupération des muscles quasi complète, j’ai même l’impression que la rééducation sera inutile ; contact intelligible avec les autres, compréhension, assimilation, communication normale… c’est purement hallucinant. Même tes sens semblent intacts. »
Le père : « - Qu’est qu’il faut faire, doc ? »
Le médecin : « - Sortir. »
Les parents : « - Quoi ?! »
Le médecin : « - Que voulez-vous que je fasse ? Votre fils est en 1ère place des énigmes de la médecine, je n’ai aucune idée de ce qu’il faut en faire ; il a l’air en meilleure santé qu’avant l’accident lui-même, et ça fait 5 ans qu’il est enfermé, alors je pense que c’est inutile de le maintenir bloqué ici encore plusieurs semaines pour des examens lourds et longs. Il est en bonne santé, profitez-en car je n’ai aucune idée du temps que ça va durer. Cependant, je veux le revoir 1 fois par semaine durant les 6 prochains mois au minimum pour des visites de contrôle. On est d’accord ? »

Steeve regarde par la fenêtre d’un air effrayé. Ses parents ne peuvent retenir leurs larmes.

Le médecin : « - Profite s’en, mon garçon. Ne sois pas effrayé. Avoir la chance de commencer une vie normale après un tel traumatisme, c’est très rare. »
Steeve : « - En tant que malade, je ne sais pas ce qu’est une vie normale ; c’est bien ça qui me fait peur. Et commencer une nouvelle vie avec cette nouvelle… apparence, cette nouvelle identité ; je sais même pas par où commencer. J’ai l’impression de venir au monde… »

Steeve reste songeur jusque dans la voiture où par la fenêtre, il observe le monde qui défile. Fasciné, Steeve le regarde d’un œil nouveau. L’auto de son père, silencieuse, passe devant l’entrée de la vallée où, autrefois, se dressait fièrement la pancarte de bienvenue de la ville.

La mère : « - C’est ici que l’équipe de secours t’a retrouvé, à moitié mort. On a cru te perdre, ce jour là... »

La mère a à nouveau les larmes aux yeux. Voyant du coin de l’œil le lieu du drame, Steeve a le temps de se rappeler, l’espace d’un instant, ce qui est arrivé ici. un flash du choc lui revient en mémoire. Mal à l’aise, le père de Steeve accélère. Arrivé dans la ville, le véhicule passe devant les quartiers les plus délabrés. Des gens semblent y vivre malgré les conditions médiocre et le paysage de désolation, et même des adolescents sortis de la faculté ont l’air de s’y amuser. Steeve les voit et se sent soudain irrésistiblement attiré vers ce monde.

Steeve : « - Ils ont l’air heureux ; on dirait que ça ne les touche pas, toute cette misère, cette crasse humaine… Comment font-ils pour être comme ça ? »
La mère : « - Ils ne font rien ; ce sont des adolescents, Steeve. Comme toi. »
Steeve : « - Ce sont des adolescents mais ils ne sont pas comme moi. »

Il est ébloui par la joie de vivre de ces jeunes insouciants, il les envie, avant de voir les regards malsains et pervers d’errants cachés dans les coins de rue, observant eux aussi cet univers fragile mais heureux, avec cependant un mélange d’envie et de mépris. Steeve les regarde avec inquiétude et constate, à la vue de ces êtres en perdition, malsains et dangereux, à quel point sa ville a changé et se trouve désormais à la merci du mal dans son expression la plus décomplexée, la plus libre et la plus dangereuse.
Arrivé dans le vieil appartement de ses parents, Steeve monte en silence dans sa chambre. Ses parents, perdus et gênés de ne savoir quoi faire, le regardent s’isoler. Peu après, à leur grande surprise, ils le voient redescendre avec sa valise.

Steeve : « - Papa, Maman, je veux reprendre mes études. Je veux faire ce que j’ai enfin l’occasion de pouvoir faire : devenir botaniste. »
La mère : « - Mais… euh… tu sors à peine de l’hôpital, tu dois être épuisé, et puis… »
Le père : « - C’est peut-être un peu tôt pour prendre 1 telle décision ; tu ne crois pas qu’il faudrait te laisser le temps de… »
La mère : « - …Réfléchir, prendre le temps de te remettre et… »

Voyant le regard décidé de leur fils, ils stoppent leur argumentaire, vaincus.

Les parents : « - D’accord. »
Le père : « - Comment vas-tu t’y prendre ? »
Steeve : « - Je vais demander une chambre universitaire. »

Les parents se regardent, stupéfaits et inquiets de voir leur fils changé à ce point.
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Messagede Mach » Dim 11 Mai 2014 09:42

En ce moment je n'ai pas trop le temps de lire mais je le prendrai bientôt.
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Messagede rider » Sam 31 Mai 2014 23:35

Bonsoir à tous, voila une nouvelle partis attention pour les âmes sensible pour la seconde intervention du frère de Sam.
Dite moi ce que vous en pensez !!

Le portail peu accueillant de la famille Desportes s’ouvre et une voiture sombre y pénètre. Madame Desportes, que l’on a vue plus tôt, reçoit avec une certaine gêne des invités bien apprêtés et l’air sérieux.
Peu après, dans le salon de la résidence macabre des Desportes. L’un des invités sursaute de colère.

Un parrain de la mafia : « - Qu’est-ce qu’il faut comprendre ?! Que personne n’est en mesure de prendre le contrôle de la cité ?! C’est la famille Desportes qui nous fait défaut, quel revers de situation comique ! Quand je pense que c’est elle qui nous a convié à venir nous installer à Lyon pour y faire fortune ! Que faisons-nous ici si nous n’avons l’appui d’aucun puissant ?! »
Madame Desportes : « - Je suis certaine qu’il ne s’agit là que d’un contre temps : le départ de mon fils aîné n’est que temporaire ; il finira par devenir raisonnable. Il comprendra très vite que pour survivre dans cette cité, il va être obligé de choisir entre écraser où être écrasé ; alors il nous rejoindra. Voyez-vous, je crois qu’on peut renier sa famille, mais pas sa nature. Il est l’un des nôtres. »

Le maire, assis derrière un fauteuil de grande qualité dans un coin de la pièce, fume un cigare.

Le maire : « - La question qui démange : a-t-on envisagé 1 plan de secours au cas où on ne pourrait définitivement pas compter sur lui ? »

Alors que la mère s’apprête à laisser éclater son exaspération, quelqu’un fait son entrée et la coupe dans son élan : Jason, son fils cadet, l’air perturbé, fou.

Jason : « - La nervosité suinte sur les murs, on dirait… Ne vous inquiétez pas pour vos intérêts, chers businessmen, l’atout de la famille Desportes ne va pas tarder à sortir de l’ombre. Voici votre issue de secours bien cachée, n’en déplaise à certaines personnes manquant de clairvoyance quant à son potentiel. »

Jason regarde sa mère, qui lui lance un regard noir, outrée de le voir oser défier en public sa volonté.

Un parrain : « - Qui est ce jeune impertinent ? »
Madame Desportes : « - Hmm… Messieurs, voici mon fils cadet, Jason, dont l’unique force est malheureusement d’avoir échappé au gène qui caractérise notre famille ainsi que la marque des « puissants » et son indéfectible dévouement ne suffit pas à pouvoir lui donner une chance de représenter la famille. Ce n’est qu’ « un humain », fragile et faible, à mon grand reg... »
Jason : « - Mon potentiel, chère mère, est justement le fait que je suis prêt à tout pour toi, alors que tu n’obtiendras rien de mon frère, et tu le sais ! »
Madame Desportes : « - Ca suffit ! Cette réunion est privée ! C’est moi qui décide de la marche à suivre dans cette famille ! File dans ta chambre immédiatement ! »

Cet accès de colère de madame Desportes fait éclater tous les verres, tasses et autres objets fragiles de la pièce. Tous les hommes présents, surpris et paniqués, restent immobiles, hormis un molosse, garde du corps, prêt à sauter sur le jeune impertinent pour lui apprendre le respect. Pourtant Jason ne bouge pas.

Jason : « - Alors dis-moi, madame Desportes, est-ce qu’un simple humain serait capable de faire sauter tout un pavillon de banlieue, en sa présence qui plus est, rien que pour prouver sa volonté et son ambition? »

Alors qu’il prononce ces mots, Jason pose sur la table des invités une bombe artisanale dont le compteur défile à grande vitesse. Médusés, les convives prennent peur. Tous s’écartent de l’engin.

Un chef de clan : « - C’est une plaisanterie ?! »
Madame Desportes : « - Jason ! Arrête-moi cet engin dans l’instant ! Tu entends ?! Je ne plaisante pas ! Stoppe-le tout de suite ! »
Jason : « - Ma bombe au mercure ne plaisante pas non plus, crois-moi ! Il ne te reste que quelques secondes pour te laisser convaincre, chère mère ! »

Excédé, le molosse se précipite sur Jason, l’attrape par le cou et lui assène deux directs au visage qui le font saigner presque instantanément. La mère, qui ne s’attendait pas à cette réaction, observe, malgré tout choquée de voir son fils maltraité, et hésite à réagir.

Le molosse : « - Tu ne sais pas où tu mets les pieds, gamin ; j’ai déjà tranché des gorges plus jeunes que la tienne ; arrête ça tout de suite. »

Jason, déjà blanc de ne pouvoir plus respirer, grommelle des mots que l’autre ne comprend pas.

Jason : « - Grr…kmpfff… arrrrgh… »

Le molosse s’approche doucement de Jason pour écouter ce qu’il a à dire et tend l’oreille.

Jason : « - Est-ce… que tu as…arrgh… aimé ton… déjeuner ? »
Le molosse : « - Quoi ?!... Pourquoi tu me demandes ça, petit comique ? »

A cet instant Jason sort deux lames brillantes de ses manches et les plante dans la poitrine du molosse, qui lâche prise, soudain blême, et regarde les deux dagues plantées dans son plexus, stupéfait, avant de cracher du sang et de se mettre à trembler. Jason tousse et prend de grandes inspirations.

Jason : « - Parce que c’était le dernier ! »

Jason saisit les deux lames toujours plantées, laissant s’effondrer l’homme au sol dans un hurlement d’agonie tandis que le sang coule abondamment de son torse. Jason, tâché du sang de sa victime, pointe 1 des lames vers les invités, le visage fou et couvert de sang.

Jason : « - Retenez tous ceci, messieurs : Je suis et serai le véritable héritier de la famille Desportes, que je sois soutenu ou non par les miens ! »

Pétrifiés, les convives restent à l’écart. D’un geste contrôlé, Jason donne 1 léger coup de lame sur 2 fils de couleur reliant la minuterie à la bombe, ce qui bloque le décompte. Sa mère a l’air écoeuré.

Madame Desportes : « - Seigneur ! Comment ai-je pu te porter dans mon ventre ? »

Sans que Jason n’ait le temps de réagir, elle fait un mouvement du bras qui le projette dans le couloir avec une partie des objets à proximité. Jason atterrit lourdement plus loin, une partie des projectiles lancés lui tombant dessus. L’un d’eux l’assomme. Elle se retourne vers les invités, tous cachés dans un coin de la pièce.

Madame Desportes : « - Veuillez excuser ces désagréments, cela ne se reproduira pas. Quoi qu’il en soit, je vous certifie que le plan sera respecté ; ce n’est qu’une question de patience. Je garde le contrôle sur cette famille, soyez-en assurés… »
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Messagede Sam71 » Dim 1 Jan 2017 14:41

Bonjour, tout le monde. Bonne année à tous et bonne santé, je reviens sur le forum sous un autre pseudo, n'ayant pas pus reprendre l'ancien.

Je voulais vous annoncer une grande nouvelle, la fan-Fiction que j'ai écrite, et que j'ai arrêtée aura droit à son adaptation Comics. Sortie prévue début 2018, je vous en parlerais plus à la fin du mois de janvier dans la section autre comics...
Pour vous faire attendre, voici un petit résumé...

Synopsis :
En 2008, la crise frappa durement l'Europe, détruisant des décennies de construction européenne. Les pays, se recentrèrent sur eux même délaissant l'Union Européenne. C'est cette année là, que la plus grande catastrophe écologique que la France est jamais connue se produisit. La centrale Nucléaire de Neyron II, situé au Nord-Est de Lyon. Nouvellement inaugurée elle explosa rayant une partie de Lyon . À ce moment précis, une nouvelle force allait naitre et combattre les ténèbres qui s'était installée dans la région Lyonnaise. Le Darkness Shield, devra lutter contre des ennemies toujours plus fort, dont la folie n’a d'égal que leurs cruautés.

A bientôt...
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