Un peu moins intéressante cette seconde saison
"made in France" qui arrive donc au bout, il y a de bons passages heureusement, et au moins l'histoire avance, mais j'en attendais un peu plus, entre une écriture un peu limite et des scènes d'actions molles du genou, et puis j'ai un peu de mal avec le jeu pas terrible des acteurs français. Mine de rien, il y a tout de même de magnifiques plans du
Mont-Saint-Michel.
Dans le second, les coïncidences abusives continuent, alors qu'ils se posent au Groenland au milieu de nulle part, il faut qu'ils tombent sur deux femmes scientifiques qui étudiaient les glaciers et qui, comme par hasard, cherchent (enfin l'une d'elle surtout) à repeupler la planète en sautant sur le premier homme qui passerait par là un jour ou l'autre. Alors bon, pourquoi pas, m'enfin je trouve ça un peu too much.
Et pour le coup du faux enlèvement, je comprend pas qu'ils aient pu y croire, comme ils peuvent voir n'importe qui arriver à des kilomètres à la ronde, et qui puis que les ravisseurs aient pu savoir direct où se trouve sa chambre. Bref...
Chouette plan iconique de Carol qui arrive à la Défense , et marrant ensuite comme elle se met à mentir à tout le monde. Par contre, le cliché du sans-abri à Paris, même dans un monde post-apo.. ils sont toujours là !
Les retrouvailles sont sympas, et mais bien triste pour Isabelle. Heureusement, Genet y passe aussi.
Très bonne la scène dans la voiture avec les deux "énervés" , et si seulement deux comme eux sont capables de ça, ce ne va pas être bon pour la suite. ^^
Sympa de revoir le Demi-Monde.
Ce serait marrant si Judith et Laurent tombaient amoureux.
Sympa le tunnel sous la manche et ses rodeurs bioluminescents.
Carol qui se voit en zombie renvoie au comics , et puis elle aura réglé sa problématique avec la perte de sa fille, bonne chose pour elle.Mr. Toiles Héroïques a écrit:Et vu l'importance mythologique de la France, n'avoir rien appris sur l'origine du virus est un peu décevant.
Ouaip, je croyais tellement aussi qu'on en saurait encore un peu plus, surtout que les locaux auraient pu/dû savoir ce qu'il s'est passé.