un perso con embourbé dans ses clichés parce qu'il ne veut pas un monde qui change " changer le monde ? Il est très bien comme il est le monde "
(OSS117 Rio ne répond plus) , mais il a une furieuse et fascinante capacité d'adaptation par rapport à une langue, un instrument de musique, une coutume, s'improvise chanteur, etc.
Le dernier film est peut-être plus politiquement incorrect et nous montre moins un perso à côté de la plaque finalement.
Quand son patron lui fait remarquer qu'il doit faire attention car en ce moment "tout le monde voit du racisme partout", étonnamment cela fait écho avec notre société écorchée vive d'aujourd'hui. Où tout est susceptibilité, stigmatisation, hypersensibilité à tout et contre tout, etc.
Alors certes ce film paraît moins dynamique, moins excitant mais je n'ai pas l'impression de me sentir obliger de rire au moindre trait d'esprit complètement barré de OSS 117.