En soit l'épisode est globalement plutôt calme car c'est un peu l'aftermath du précédent (même si pourtant il se passe pleins de trucs)... Mais olala ces 15 dernières minutes. La mise en scène, l'acting, la tension, bon sang j'arrivais presque plus à respirer.
Bref excellent épisode qui confirme l'incroyable run de qualité de cette saison (qui dépasse finalement la 3e à mes yeux).
Mention spéciale, encore, à Tony Dalton. Grâce à la merveilleuse écriture, et son acting de talent, Lalo Salamanca s'impose en environ une saison (si on compte son arrivé fin saison précédente) comme l'un des personnages les plus charismatiques, terrifiant, puissant, et important de cet univers. On affirme sans soucis que c'est clairement le Salamanca le plus redoutable et inarrêtable, tel un Terminator, tellement il semble être la combinaison de tous ses cousins et son grand père, avec l’intelligence d'un Gus en plus. Tellement qu'un Walter White n'aurait pas passé la saison 1 de sa propre série avec un Lalo aux commandes à la place de Tuco. Respect
2e, même si c'est plus un cri de ras le bol, mais donnez cette fois ci un emmy à Rhea Seehorn bon sang !!!!
Et oui ces dernières minutes... C'était fort.
On pourrait presque croire que
Saul ne reverra jamais Lalo, vivant désormais sous sa menace suite à ce soir-là (car on voit bien que Jimmy comprends que Lalo a compris la vraie histoire), et expliquant son attitude auprès de la première rencontre avec Walt et Jesse.En tout cas le final promet !