J'ai tout de suite accroché à cette univers noir, mélange improbable de polar/action et d'Alien.
Le comics quand à lui est la même chose, les dialogues crues et les boobs en plus.
Le comics nous compte l'histoire de Jackie Estacado, un mafieux qui, à ses 21 ans hérite du Darkness, une puissance dont hérite chaque Estacado depuis des générations, une puissance incommensurable, dont l'imagination macabre de ses hôte est la seul limite, sorte de Green Lantern des ténèbres.
Mais ce pouvoir à quelques conséquences malheureuses ...
Pour mes critiques, je reprend celles que j'ai posté sur Amazon

Jackie Estacado - orphelin et protégé de Don Franchetti - est le tueur le plus redoutable de la mafia new-yorkaise. Cruel, expéditif et Don Juan irrécupérable, Jackie est un cauchemar pour ses rivaux. Le jour de ses 21 ans, il est choisi pour devenir l'hôte, malgré lui, du Darkness, une entité millénaire qui tire ses pouvoirs de l'obscurité. Il devient alors l'assassin parfait...
Détails sur le produit
Cela fessait un moment que je voulais testé The Darkness en comics, mais le prix me rebutais. J'ai finit par me laisser tenter. Alors même si le prix est plutôt élevé, ce premier recueil vaut le coup d'œil. Au programme, beaucoup d'humour, de l'action très gore et des personnages très charismatique. Il se dégage aussi une ambiance de polar, du au milieu de la mafia New-yorkaise fréquenter par le héros, Jackie Estacado.
Côté dessins, on retrouve le génial Michael Turner, autant dire que c'est superbe, tapageurs mais superbes.
Attention toutefois, le style est très adulte, à ne pas mettre entre de jeunes mains.

(résumé en spoileur)
Débarrassé de la tutelle de Sonatine après les événements survenus au Museum d'histoire naturelle de New York, Jackie Estacado, tueur à gages et hôte du Darkness, prend conscience que ses nouveaux talents relèvent autant du don que de la malédiction. Après s'être découvert une multitude d'ennemis autres que l'Angélus, Jackie fait le choix de se rapprocher de sa famille de sang : la mafia. Faites comme Jackie Estacado : laissez-vous submergez par le côté obscur et (re)découvrez ce qui a fait de la création de Garth Ennis et Marc Silvestri une référence en matière de violence et d'humour noir.
Si le premier tome est réellement excellent, celui-ci l'est moins. On retrouve l'humour spécifique à l'univers du Darkness mais les intrigues s'enchaînent trop vite. Les dessins sont toujours aussi bons.
On découvre ici les premiers super-vilains de l'univers du Darkness.
Sympathique dans l'ensemble mais un peu décevant vis à vis du premier tome.
On avance dans l'histoire et on étend l'univers du Darkness avec l'arrivée de la Witchblade, pendant féminin et positif du Darkness.