Donner et Burton ont tellement eu les mains libres que l'un s'est fait viré par la production pour la séquelle (je n'invente rien, le cas de "Superman 1 et 2" est tout de même connu de tous) et que l'autre s'est fait laminé par la critique française de l'époque en raison de la mise en scène impersonnelle du metteur en scène (aux USA, le "fan-service" à conquis les critiques, en France ça a été la douche froide, un peu genre "Mouais, bof, c'est donc ce truc qui déclenche la Batmania ? Eh ben, il leur faut peu aux ricains).
Merci de bien confirmer tout ce que je dis sans en contredire la moindre ligne.
Concernant ton avis sur Rotten Tomatoes, j'aimerais bien savoir qui a le droit, dans ce cas, de jouer à la "Police du bon goût" avec les films ? Parce que si, c'est juste 4/5 critiques qui doit décider pour moi de quel film je dois considérer comme bon ou mauvais sous prétexte que, eux, l'on décidé. C'est bon, comme dirait l'autre "J'ai passé l'âge de ses conneries".
Je te l'ai déjà dit mais apparemment ce n'est pas assez : personne ne peut juger de ton appréciation du film. Tu as très bien le droit d'aimer un film ou pas. C'est mon cas également. J'aime des bons gros nanars qui sont pourtant de mauvais films. Et je n'arrive pas à apprécier certains grands classiques. En revanche, ce n'est pas la majorité du grand public qui arrivera à définir si un film est bon ou pas, ça c'est clair. Les critiques par contre ont pour la plupart du temps un sens du cinéma, une culture cinématographique qui les met dans une position capable de juger le film plus objectivement. Ont-ils toujours raison ? Non, évidemment. De même que ces grandes critiques ne seront pas toujours d'accord. Mais c'est de toute façon plus intéressant qu'une majorité des gens qui auront par exemple élu Fast & Furious 7 meilleur film de l'année 2015.
Jerem a écrit:Codel a écrit:Face à Nolan, on sait déjà de quel côté la critique penchera (et moi avec d'ailleurs).
Il n'y a surtout aucune corrélation. C'est simplement du pourrissage gratuit et injustifié.
Honnêtement : si j'ai tort, je tire mon chapeau. Mais entre un film historique réalisé par un réalisateur reconnu mondialement complètement libre et un film qui semble déjà formaté, avant même que la production ne commence, je mise tout pour une critique plus favorable envers Nolan. Mais encore une fois, je tire mon chapeau si j'ai tort.