Mensuel Marvel ICONS 16 (Mai 2012)


Sommaire :
- Infinité #2 (Infinity, part 2) : New Avengers 10, mai 2011
- Infinité #3 (Infinity, part 3) : New Avengers 11, juin 2011
- Comment c'était, qu'est-ce qui s'est passé, et comment c'est maintenant : Invincible Iron Man 500.1, avril 2011
- Régénération (Fix me, part 1) : Invincible Iron Man 501, avril 2011
La saga Infinité se poursuit... à ne pas confondre avec Infini (dans HEROES, avec le Gant cosmique)

La première intrigue débute avec une mauvaise présentation de l'équipe : on ne sait pas trop qui est qui, à part les "stars" que sont Kraven le chasseur, Namora et Dent de sabre. Idem pour le Crâne Rougesorti d'on ne sait d'où. Heureusement que la partie rédactionnelle est là pour clarifier les choses. Les dessins d'Howard Chaykin parviennent à bien retranscrire le changement d'époque. Comme sur la partie "moderne", le scénario et l'action est vive et haletante (découpage sans faute de Mike Deodato).
Il y a quand même le plus gros WTF du mois dans ce numéro : Namora qui chevaucheun cachaloten pleine double-page.


Chez Tony Stark, double dose d'histoire avec tout d'abord un numéro Marvel.1 [= un épisode spécial pour les "lecteurs débutants"/j'imagine la prise de tête de ces lecteurs en découvrant les autres histoires de la revue] Un comble : le numéro 500.1 est meilleur que le numéro 500 paru le mois dernier.
Le point de départ est ridicule : c'est comme si Bill Gates allait se pointer à une réunion des alcooliques anonymes. La confession de Tony Stark est sincère et touchante, même le trait de Larroca est différent pour coller à l'ambiance. Et c'est un bon moyen pour les néo-lecteurs comme moi (post-House of M) d'avoir un aperçu de la carrière de Tony.
Question : sur la dernière page de souvenirs, qui est ce méchant au crâne décharné ? Et pourquoi ce corps entoilé trois cases plus tard

Bref, je doute de l'intérêt commercial de ces numéros .1 : qui va réellement se mettre aux comics suite à ça ? L'épisode suivant voit la confrontation entre Stark et Octopus. C'est bien de délocalisé les méchants des autres super-héros. Mais Octavius est pitoyable dans son discours (quoique son plan est plutôt réfléchi), ce que ne manque pas de souligner Stark. Du moment que la saga ne s'éternise pas sur 6 ou 8 numéros comme le fait habituellement Fraction, ça me va !