Posté: Lun 24 Juil 2023 00:49
Le facteur "devant l'enfant" et le fait qu'il le voit compte, surtout pour quelqu'un de traumatisé comme lui.
Et ça, les films de Burton ne le montraient pas. Justement, c'est peut-être ce gamin qui a eu l'effet d'un énorme déclic, qui lui a permis de réaliser que sa méthodologie était mauvaise. Et avec une telle réalisation, on aurait de quoi justifier l'homme crasseux et fatigué qu'on voit dans The Flash.
Donc l'idée tient, selon moi.
Mais pourquoi pas garder l'idée de la mission accomplie, hein. J'ai pas quoi que ce soit contre, fondamentalement, mais rien n'est développé dans ce sens. On sent d'aucune manière que ce soit qu'il est parvenu à l'utopie qu'il espérait de Gotham.
D'ailleurs, si il y était vraiment parvenu, est-ce qu'il serait pas censé être un vieillard un peu plus heureux, un peu moins hommes des cavernes dépressif comme on le voit dans le montage final ? Clairement, le peu de mise en scène autour de ce Batkeaton oriente vers un personnage qui a échoué, qui se cherche une rédemption, et pas quelqu'un qui a accompli l'objectif de sa vie.
Donc le choix de la fin de carrière heureuse peut paraître original, mais il est d'autant plus ridicule que tout ce qu'on voit à l'écran le dessert.
La petite phrase qui balaye d'un revers de main que rideaux, tout va bien dans le meilleur des mondes à Gotham, c'est juste un pauvre effet de suspense artificiel, pour qu'on doute cinq minutes sur la capacité du personnage à vouloir s'investir dans l'intrigue du film.
Effet d'autant plus désuet que la promotion de The Flash a martelé son volontariat.
Et ça, les films de Burton ne le montraient pas. Justement, c'est peut-être ce gamin qui a eu l'effet d'un énorme déclic, qui lui a permis de réaliser que sa méthodologie était mauvaise. Et avec une telle réalisation, on aurait de quoi justifier l'homme crasseux et fatigué qu'on voit dans The Flash.
Donc l'idée tient, selon moi.
Mais pourquoi pas garder l'idée de la mission accomplie, hein. J'ai pas quoi que ce soit contre, fondamentalement, mais rien n'est développé dans ce sens. On sent d'aucune manière que ce soit qu'il est parvenu à l'utopie qu'il espérait de Gotham.
D'ailleurs, si il y était vraiment parvenu, est-ce qu'il serait pas censé être un vieillard un peu plus heureux, un peu moins hommes des cavernes dépressif comme on le voit dans le montage final ? Clairement, le peu de mise en scène autour de ce Batkeaton oriente vers un personnage qui a échoué, qui se cherche une rédemption, et pas quelqu'un qui a accompli l'objectif de sa vie.
Donc le choix de la fin de carrière heureuse peut paraître original, mais il est d'autant plus ridicule que tout ce qu'on voit à l'écran le dessert.
La petite phrase qui balaye d'un revers de main que rideaux, tout va bien dans le meilleur des mondes à Gotham, c'est juste un pauvre effet de suspense artificiel, pour qu'on doute cinq minutes sur la capacité du personnage à vouloir s'investir dans l'intrigue du film.
Effet d'autant plus désuet que la promotion de The Flash a martelé son volontariat.