Yehuda a écrit:Cowl a écrit:- enfin, aucune n'est vraiment forcée, elles sont toutes fidèles au personnage qui dit sa réplique.
+1 je repense entre autre aussi à Ant-Man, Hulk c'est moins évident même s'il y avait déjà de l'humour affilié au personnage depuis l'Avengers de 2012 là c'est plus du Ruffalo que du Hulk mais ça fonctionne quand même dans la continuité du MCU et l'évolution du personnage (qui était aussi dans Ragnarok)
Cowl a écrit:J'ai jamais été gêné par l'humour dans le MCU, justement parce que elles ne trahissent pas l'esprit des personnages.
Quoique j'ai trouvé le dialogue de fin entre Quill et Thor particulièrement long.
Un peu comme quand Rocket se fout de la gueule de Taser Face (venant de la part d'un raton laveur qui s'appelle Rocket Racoon en plus, bossant avec Star Lord)....
Exactement !!
Après j'ai pas trouvé ça gênant dans le sens où c'est la fin du film, on n'a presque pas envie que ça se termine justement donc ça s'y prête à mon avis ^^ Mais je suis de ton avis sur la scène de Rocket vs. Taser Face
Effectivement, le dialogue entre Quill et Thor, bien que longuet vient à la fin, et ne casse aucun rythme. Il n'est pas dérangeant pour apprécier le film.
Par contre j'espère que si on devait revoir les deux à l'écran, ils sauront proposer plus qu'un concours de qui a la plus grosse. C'était sincèrement très réussi dans IW, mais je crois qu'on a compris
...
Rocket devant Taser Face, c'était tellement gênant, on sentait clairement que Bradley Cooper se forçait à rire, au delà du raisonnable. Dans le même film, y'avait aussi Drax (dans la scène où Mantis lisait les émotions de Quill) qui se forçait tellement à rire... Comme IRL, quand y'a un gros lourd qui veut forcer sur une vielle vanne
... Je crois que les GdlG2 est sans doute le moins bien écrit des Marvel sur l'humour, et le seul que je trouve vraiment lourd
. Là aussi, j'espère que James Gunn sera plus inspiré.
@ EagleWolf : Désolé, j'avais pas vu le message que tu m'as linké. Je pense aussi qu'il y a une atmosphère dans le film. Perso, c'est pas tant l'humour (je sais pas comment le traduire, mais les anglais ont un mot plus juste : les Quips) qui l'illustre, mais une volonté d'espoir, de héros qui reprennent leur destin en main. Le ton est plus léger, positif, comme si les protagonistes savaient dans leur for intérieur qu'ils allaient gagner. Les quips deviennent alors un outil d'une humeur générale.
Après, ça ne m'a pas vraiment dérangé, même si j'aurai aimé voire un peu plus de ce monde changé, désespéré.