Yehuda a écrit:Ca fait plaisir de voir ce renouveau et cet engouement autour du genre de l'espionnage, je pense notamment au projet d'adaptation de Matthe Waughn (Argylle).Batou a écrit:Je suis surpris de voir Gosling qui est généralement très loin de projet mainstream et grand public comme celui-ci.
The Notebook, Crazy Stupid Love, Gangster Squad ou encore The Nice Guys c'est quand même très mainstream/grand public
EagleWolf a écrit:Le teaser de Kate, de Cedric Nicolas-Troyan (Le Chasseur et la Reine des glaces), qui suit "une redoutable agent qui, après avoir été irrémédiablement empoisonnée, a moins de 24 heures pour se venger de ses ennemis – et noue, par la même occasion, une relation inattendue avec la fille de l’une de ses anciennes victimes", avec Mary Elizabeth Winstead, Woody Harrelson, et Michiel Huisman, et qui sera dispo le 10 septembre sur Netflix :
“The movie is stuffed with Japanese cultural references: the Lawson convenience stores, the vending machines, the pop culture (with the classic Galactic Wars TV show largely inspired by Star Wars), the anime manga culture (with Tokyo Ghoul) and the music. All the needle drops in the film are there to celebrate Japanese female artists of all genres: metal, pop, ballad, hip-hop, and just plain weird.”
but it would have to be a great script
Adanedhel a écrit:le film est d'une platitude incroyable dans sa narration, surtout quand on le compare à l'inventivité d'un Rocketman sorti juste après.
Adanedhel a écrit:Qui d'ailleurs me semble plus proche de l'histoire réelle et justifie les quelques écarts par un narrateur qui raconte l'histoire et donc va forcément faire des raccourcis, ne pas se souvenir exactement, etc...
On a vraiment l'impression que Dexter Fletcher a vu l'immense potentiel gâché dans Bohemian quand il l'a finalisé et qu'il s'est complètement lâché sur Rocketman pour compenser...
Adanedhel a écrit:En plus Rocketman n'a pas peur d'y aller franchement dans le portrait d'Elton John en étant beaucoup plus frontal sur ses addictions et beaucoup moins timide sur sa sexualité, là où Bohemian reste beaucoup trop lisse, surtout pour représenter un tel personnage.
C'est vraiment une de mes plus grosses frustrations de ces dernières années, qu'un film bâclé et charcuté comme Bohemian ait raflé tous les lauriers alors qu'un film grandiose comme Rocketman n'ait pas eu la reconnaissance qu'il méritait...
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