Le bar de Galactus #117 : Halloween Kills

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Octobre, le mois où Hollywood essaye de nous faire peur… (Ouf, la grève des travailleurs de l’industrie du spectacle a été évitée !) Au cinéma, il y a bien sûr Halloween Kills qui débarque sur nos écrans mercredi, tandis que l’atomique saison 7 de Fear the Walking Dead vient tout juste de débuter. Si vous n’êtes pas très horreur, libre à vous de débriefer la DC FanDome et son gargantuesque programme. Justement, n’était-ce pas trop d’un coup ? Personnellement, je préfère quand l’actualité est répartie tout au long de l’année, plutôt que d’enchaîner une demi-douzaine de bandes annonces en l’espace d’une soirée ! La remarque est aussi valable pour le Disney+ Day, où les annonces sont tellement nombreuses qu’une partie des fans passe à côté de certaines. Mais bon, en attendant l’hypothétique retour de la Comic-Con et de ses panels équilibrés, il faut faire avec…

Laurie Strode, sa fille Karen et sa petite fille Allyson viennent d’abandonner le monstre au célèbre masque, enfermé dans le sous-sol de la maison dévorée par les flammes. Grièvement blessée, Laurie est transportée en urgence à l’Hôpital, avec la certitude qu’elle vient enfin de se débarrasser de celui qui la harcèle depuis toujours. Mais Micheal Myers parvient à s’extirper du piège où Laurie l’avait enfermé et son bain de sang rituel recommence. Surmontant sa douleur pour se préparer à l’affronter encore une fois, elle va inspirer la ville entière qui décide de l’imiter et de se soulever pour exterminer ce fléau indestructible. Les trois générations de femmes vont s’associer à une poignée de survivants du premier massacre, et prennent les choses en main en formant une milice organisée autour de la chasse et la destruction du monstre une fois pour toutes. Le mal meurt cette nuit.

16 COMMENTAIRES

  1. J’ai vus les deux premières épisodes d’la saison 4 de Young Justice et j’suis pas déçu. Elle reste, pour moi, la meilleure série de Super-héros tout format confondus.

    J’ai commencé Dark Âge de Marvel et The Dark Knight Of Steel de DC qui sont tous les deux des comics de Tom Taylor et j’kiffe, j’ai hâte de lire la suite

    • Vu aussi les deux épisodes , je confirme très bon ,une des rares fois que la mythologie martiennes est autant misent à l’honneur. Et ça ne fait pas que copier ce qui a été fait dans la ligue des justiciers ou Supergirl mais sa créé son propre Lore en s’inspirant des comics (comme les martiens rouges qui sont les martiens qui font référence au première martiens qui avaient des pouvoirs pyrotechnique). Et des le génériques ont voit que la série va tourner autour des membres originaux. Franchement si j’étais scénariste de Titans et que je me retrouve devant un épisode de Young Justice j’aurais honte.

      • J’ai beau adoré Titans, j’suis bien d’accord qu’à côté de Young Justice, Titans et tous les autres séries de Super-héros font pale figure. Rien que pour le traitement de Beast Boy et SB

  2. Après Le Messie de Dune (très bonne fin), j’ai décidé une pause dans les Herbert pour lire le roman La Plage, qui fut adapté par Danny Boyle. Je sais qu’il est détesté, mais j’ai de l’affection pour ce film même si j’exècre ses personnages. Je regrette de l’avoir découvert sur le tard, j’aurais aimé le connaître davantage étant jeune, quand je voyais di Caprio comme un jeune bellâtre sans talent. On est con quand on est jeune ado. Le titre n’aidait pas, faut dire.

    Pour mes 32 ans (yay c’est aujourd’hui!) j’ai reçu de quoi compléter ma collection de Walking Dead et The Boys (les 2 en comics) et je me suis offert un jeu de société, Star Wars: La Bordure Extérieure. Très bonnes mécaniques, tout ce que j’aime, un peu scénarisé, un peu jeu de rôle, et diablement bien pensé.

  3. UPGRADE :
    Vu hier sur Netflix. Je ne connaissais pas et ne fut pas déçu. Bon film de SF avec des idées intéressantes lors des scènes de combat et un scénario qui tient la route avec un léger twist.
    A voir pour les amateurs du genre assurément.

  4. Comme je l’ai constaté : 1 année sur 2 la conférence (E3, ComicCon, etc) est interessante et riche en nouveauté, l’autre reprend ce qui a été annoncé avant et est donc moins marquante. Pour le DC Fandome, on est dans le 2ème cas.

    On retrouve quasiment toutes les annonces de l’édition précédente, avec des first look au lieu de concepts art. Seules les animated movies ont apporté son lots d’annonce inédites.

    Hypé pour The Batman, The Flash, SS kills JL, Green Lantern et Battle for Super Sons.

  5. Pour ceux qui sont orphelins de Agents of Shield et qui veulent une série avec des super agents qui luttent contre une organisation criminelle tentaculaire je conseille RUGAL, une série coréenne.
    La police coréenne est dépassée lorsque apparaît Argos ( imaginer un croisement en SPECTRE et l’Hydra mais en pire). L’ancien chef de la police crée RUGAL, une organisation dont tous les agents de terrain sont des cyborg. Et l’on suit l’équipe un peu dysfonctionnelle dans son combat contre Argos. J’en suis à l’épisode 5 et ça dépote.

  6. Re Luchino Visconti… La deuxième est toujours la meilleure ?

    Un peu de Superman, Batman (petite perte de temps pour arriver à la Joker War) et Young Justice.
    Mais surtout, lu Trois Joker… Moins bof et inutile que ce que certains penseraient, de manière abrupte.
    Évidemment, Batman pour Geoff Johns, ce sont toujours des arcs courts, concentrés, contrairement à ses autres travaux sur ses chouchous Superman, Aquaman, Flash, Green Lantern, JSA – puisque Batman n’a pas besoin qu’on mette plus la lumière sur lui. Et ça ajoute peu, tout en explorant le personnage sous des angles auxquels on n’avait pas encore pensé.

    Ainsi, cet opus, en plus de tenir parole en développant cette idée des Trois – logique, et limitant ainsi les multiples réinventions que s’autorise régulièrement le vilain…
    Cet opus donc joue sur un combo assez rare, composé de Bruce, Barbara et Jason (trois face à trois, c’est « carré »)…
    A une atmosphère noire de chez noire dans les dessins… Des dessins faussement figés, avec quelques subtilités minimes, même pour un Jason (!) Fabok à la planche…
    Poursuit les obsessions de Johns à savoir donner un emblème sur fond jaune pour Batman (comme Superman, signe de lumière), faire en sorte que les héros gardent leur look le plus populaire et pas le plus « à la mode », ne pas faire l’impasse sur leur maturité ou instabilité.
    Et nous présente un vieux Joker impressionnant.

    Bien entendu, Joker oblige, tout a l’air vain, vite oublié… Ce qui est n’est pas trop vrai.
    C’est juste qu’il n’en fait pas des tonnes avec les quelques idées qu’il pose, y compris les « Joker zombies » (pas de Spoiler, pas de soucis).
    Batman y a droit à un « cadeau », lui permettant de solder l’une de ses obsessions et de devenir moins torturé (même si la transformation de « vous savez qui » aurait été interressante à développer pendant un temps).
    Les graines d’un rapprochement rédemptif pour Barbara et Jason sont plus ou moins posées.
    Et le petit twist final est loin d’être gratuit…
    Mais par contre il est sacrément roublard puisque ça change du tout au tout le sens de ce qu’on voit dans Darkseid War
    _
    SPOILER
    Ainsi, quand Batman pose ses questions sur Chill et le Joker, c’est en fait pour tester le fauteuil Moebius car il connaît déjà les réponses… Sauf que le statut actuel du Joker a entre-temps changé, d’où son étonnement à l’énoncé des Trois.
    _
    Ce faisant, Johns ne fait qu’étendre certaines choses que Alan Moore a posé de façon cavalière et précipitée dans The Killing Joke (l’auteur n’étant lui-même pas complètement satisfait), accentuant le reflet déformé entre les deux ennemis intimes. Tout comme il a su aller au delà du postulat des Watchmen en lui faisant faire une boucle bien plus complète dans Doomsday Clock.
    Ce n’est ni brillant ni unique… Mais ça fait moins illusion, et c’est fidèle totalement à l’idée qui sous-tend le vilain : être insaisissable du début à la fin.

  7. « le film de comics le plus époustouflant que nous ayons vu »
    « chef-d’œuvre »
    « les scènes post-credits vont simplement bouleverser toute la franchise ! » On dirait l’annonce de chaque cross-over Marvel Comics: « Plus rien ne sera jamais comme avant! » … chaque année c’est la même chose, comme pour chaque film c’est la même chose. Les fans du MCU vont être aux anges après ces premiers avis.
    Alors c’est peut-être vrai mais WW84 aussi avait des premières critiques dithyarambiques. Et on a vu ce que ça a donné…

    • Si tu parles de Eternels ce qui me fait mourir de rire c’est qu’il y a des critiques qui le comparent positivement a Zack Snyder Justice League (ou au film du DCEU) dans son envie de mettre beaucoup d’exposition et explication dans le film. Et du coup il y a pas mal de critiques très fidèles au MCU mais super trache envers Snyder et DC depuis longtemps qui se retrouvent le cul entre deux chaises avec le fait de vouloir faire une bonne critique du film tout en étant obliger de dire du bien de Snyder et DC ça doit bien leurs arracher la gueule.

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