Le bar de Galactus #210 : En eaux très troubles

The Bear saison 2, grosse claque, comme la première saison, mais très différente dans son approche.

Certains épisodes sont dédiés à un personnage :
Mention spécial à l’épisode Melon (au Danemark avec « Adam Warlock »), Poissons (episode de Noël avec toute la famille avec le Punisher, qui fait presque son Punisher, avec une guest que je préserve le secret qui joue la mère), Fourchettes (coup de coeur, participation de « Sonya Falsworth ») et le dernier épisode.

Hâte de la prochaine saison.

Mercredi sort aussi Détective Conan : Le Sous Marin Noir au cinéma ! Ça peut être le dernier épisode de la saga au cinéma en France si trop peu de spectateurs lui donne une chance donc n’hésitez pas à allez le voir pour lui donner de la force et découvrir ou aider un super univers trop peu connu en France !

« Meg… are ton jet-ski ailleurs bon sang ! L’océan il est pas qu’à toi, espèce de chauffard des mers !!! » 😅

Vu :

– Fin de la Spéciale Budd Boetticher…
Des films (pas tous, il manque « 7 hommes à abattre » par exemple) qu’il a réalisé pour la Universal, à ceux de la Columbia avec un Randolph Scott transfiguré, encore plus que chez André de Toth.
Que des séries B d’action, mais dont il va pousser le principe plus loin, prendre ses personnages et les conventions à revers.
Sans oublier une mise en scène de plus en plus efficace, tout en étant réduite au stricte nécessaire – guettez les plans à distance, ceux en silence, les hors-champ, les arrière-plans, la fluidité de la caméra… c’est très bon !

– « À feu et à sang »… Un héros qui pourrait faire penser à Jesse James…. mais dont le destin, non inscrit dans la Légende, est bien moins enviable.

– « Les Conducteurs du diable »… Un peu comme dans « Les Sacrifiés » de Ford, l’arrière-garde de l’armée, ses galères, mais aussi quelques dissensions ethniques (surtout si c’est Sidney Poitier qui se trouve sur la défensive), et enfin le courage, la camaraderie et la rédemption. Son seul film de guerre

– « Le Traître du Texas »… La difficile réinsertion des vétérans de guerre, surtout du côté Sudiste où les conflits de Classes trouvent d’autres biais pour perdurer… et où la cupidité peut même se transmettre d’un ennemi à un autre.

– « L’Expédition du Fort King »… L’ambiance de la Floride, des tribus Séminoles, de la folie des hommes (et des choix des femmes).

– « Le Déserteur de Fort Alamo »… Une des premières fois où Boetticher met en scène un antihéros aux idées fixes, taiseux même si ça met sa vie en danger. En partie une inspiration pour Eastwood et Taylor Sheridan.

– « L’Homme de l’Arizona »… Comme pour « L’attaque de la malle poste » et « Les bannis de la Sierra », encore une prise d’otages en huis-clos (dans un environnement lui-même extrêmement ouvert), avec un chef de bande brillant à l’affection assez troubles, un pactole à récupérer et des gêneurs à éliminer, des hommes de mains dangereux mais humains (leurs discussions en apparté leurs donnent des dimensions supplémentaires), de la violence encore plus terrible (même hors-champ, on tue un enfant, on tire au fusil dans le visage), et un homme et une femme forcés de faire équipe avant de penser à un quelconque romantisme. Fort !

– « Le vengeur agit au crépuscule »… Cette fois tout est sans dessus dessous, le héros est trahi par son obsession (machiste, comme toujours avec Randolph Scott), et est responsable de morts inutiles. Aux femmes de remporter la partie.

– « L’Aventurier du Texas »… Plus proche d’une comédie (par Elmore Leonard), dépourvu de femmes actives, mais remplie de gangsters bouffis d’orgueil – des simili frères Dalton, gras du bide – et d’autres qui arrivent à réfléchir par eux-mêmes, nous préparant à l’avance aux futurs personnages Tarantiniens. Nombre de scènes très insolites, dont un enterrement dans… un arbre.

– « La Chevauchée de la vengeance « … Une quête impitoyable au milieu d’un nouveau panier de crabes, dont le terrible secret nous est révélé en fin de film.
La rédemption pour les uns, qui sont tentés par la trahison, le profit… pas pour le héros, finissant statique devant l’image remarquable d’un arbre aux pendus, en croix, brûlant d’un feu rougeoyant.
Pas très optimiste.

– « Comanche Station »… L’inverse du précédent (on retrouve l’arbre en croix, mais près de l’eau, et les destins sont inversés).
C’est aussi une quasi synthèse de tous les westerns de Boetticher, laissant le fin mot à la femme, jusqu’à créer une Épiphanie chez Scott… Dont le plan final, parfait palindrome du plan d’ouverture, ne peut symboliser que la fin de ces quêtes obsessionnelles. Et le retour au bercail.
Plutôt un signe d’espoir.

« Qui Tire le premier ? »… Une comédie dramatique de jeunes, dans un western moderne (on voit très bien les tics de mise en scène). Et où les Légendes s’invitent enfin dans l’histoire, pour mieux être désacralisées – on boucle ainsi la boucle avec « À feu et à sang », jusqu’à impliquer Audie Murphy de façon… funeste (il mourra quelques temps plus tard, ce qui bloquera la sortie du film pour des années).
Plus beaucoup d’optimisme, c’est la Fatalité qui est ici à l’œuvre.
Pas très abouti, Boetticher n’ayant plus beaucoup réalisé de films dans l’intervalle, lui aussi pris dans une obsession maladive : la création au Mexique d’un film sur son ami Carlos Arruza.

Car il y aurait aussi beaucoup à écrire sur le personnage, sorte de sous John Huston mais qui aurait un côté plus masochiste que aventureux. Sous le signe de la corrida, étant un ancien toréador.
Suffisant pour ne pas susciter de l’empathie, mais il se rachète non seulement avec son métier, mais aussi avec sa sympathie et sa séduction (moult belles femmes à ses côtés, qu’il aura fait tourner dans la foulée).
Bref, ne jamais sous-estimer les réalisateurs qui ne sont pas devenus des grosses stars… Leurs films, même simples et mineurs, recèlent des trésors d’idées ou de thématiques.
Les super-héros auront eux aussi droit à de bonnes analyses, un jour – merci Bertrand Tavernier !

– Revu « Jack Mimoun et le secret de Val Verde »…
Je crois qu’on a déjà eu notre lot d’analyse dans le Bar #168… Plus, ça serait de la gourmandise. 😄
Mais quelques petits trucs en rab : le déroulé narratif est quand-même très proche de « Jurassic Park 3 », sans dinos.
Et c’est un film qui a beaucoup d’ampleur, plus encore que le dernier Indiana Jones (qui utilise lui aussi une héroïne qui ne veut pas prendre la place des explorateurs d’antan, mais tient quand-même à leur rendre hommage).
Et ça, c’est inouï.

– « Arsène Lupin » (2004) de Jean-Paul Salomé…
Le problème avec ces films adaptés d’un matériau feuilletonesque très dense, s’autorisant même des éléments surnaturels, c’est de devoir tout condenser avec un maximum de fidélité en deux heures. Surtout en y appliquant des effets de style qui seront vite démodés (n’est pas « Le Pacte des loups » qui veut).
Résultat, ça va trop vite, ça écrase le côté rocambolesque, et on n’est pas assez impliqué.

– Les deux films de Percy Jackson…
Pareil que pour le film « Lupin », même problèmes de raccourcis, de vélocité, sans qu’on ait le temps de faire suffisamment vivre les personnages – dans ce qui passe pour un sous Harry Potter, la participation d’acteurs stars trouve un intérêt limité, et même eux semblent se demander ce qu’ils font là. L’illusion (la Magie ?) ne marche pas.
Et toutes les allusions au Sexe, plus acceptables avec des héros déjà ados plutôt qu’enfants, y sont à peine exploitées. Sans compter qu’on ne saura jamais pourquoi les Olympiens se sont mis à faire autant de reproduction avec les humains pile à la même époque, tous en même temps.
Ça sera pire dans la suite, produite en dépit du bon sens (les recettes à l’International), où l’histoire basculera dans la comédie d’aventure, mais difficilement drôle – merci quand-même Nathan Fillion. Et visuellement, ça devient même répugnant.
Encore une saga cinématographique qui sera étouffée dans l’œuf, avant de pouvoir redresser le niveau. Mais peut-être qu’un jour, à l’instar des super-héros..?

Lu :

– Bienvenue chez Skrulls…
L’adaptation en série qu’on aurait préféré voir, à la place de « Secret Invasion » ?
Pas sûr…
Certes il y a la vraie G’iah (ici, compagne de Klrr), mais c’est surtout un récit dramatique qui se lit très, Très vite. Pas de gros suspense, juste un groupe jouant à la parfaite famille américaine, en mission et qui s’aiment… En gros, ce que le MCU a déjà plus ou moins fait au début de la Phase IV. avec « WandaVision » et « Black Widow ».

– Fin de Fantastic Four : Reckoning War…
Comme avant son Tony Stark : Iron Man, Dan Slott finit son intrigue dans l’Apocalypse et la précipitation, convoquant plusieurs arcs narratifs qu’il a pu distiller dans ses écrits au fil des ans.
Mais comme il ne s’agit pas d’un grand crossover, il en est réduit à refermer tous ses tiroirs un à un, en laissant un peu d’éléments scénaristiques pour les scénaristes suivants… Et tout ça a ainsi l’air pas très important, alors que des événements énormes, en liens avec les idées de Lee et Kirby, sont censés avoir eu lieu.
Le signe évident que Marvel ne met toujours pas assez de moyens pour ses Fantastiques ?

– Suite de Miss-Hulk, avant la fin du deuxième tome…
Certaines choses deviennent explicites, mais à trop jouer la douceur le récit manque de tonus. Même un brisage de Quatrième Mur y a l’air un peu forcé.
Mais l’évolution de Jack fait plaisir à voir, rien qu’un instant.

– Jane Foster and Mighty Thor…
Une énième attaque d’Asgard, avec un contingent de vilains pas très enthousiasmants et des dessins qui ne suivent pas trop.
Mais Torunn Grønbekk ne se contente pas de coller à l’actu cinéma, en faisant brièvement revenir la Mighty Thor… Elle continue à faire exister le superbe personnage de Jane Foster, tout en plaçant quelques réflexions sur la place des dieux dans la vie des mortels. Ça suffit à garder de l’intérêt.

– Fin de Edge of Spider-Verse…
L’exercice créatif est toujours plaisant, et pas trop inégal cette fois. Le fait que ça soit le prologue à un autre crossover, c’est facultatif.
Un peu de Spider-Man avec encore des années 80/90 (Super Bouffon etc)…

– Iron Man harcelé par un mystérieux ennemi, la routine quoi ?

J’arrive pas trop à saisir le succès d’En Eaux Troubles. S’agit-il d’un nanar de luxe comme Fast & Furious mais version sharknado? Bon par contre, s’il y a Skyler Samuels, je me laisserais tenter quand il sera dispo en ligne.

Vu:
– Hijack: Ca faisait longtemps que je n’avais pas accroché autant à une série. Je me suis tapé les épisodes en deux jours et j’attends le « finale » avec impatience. Tout est là: suspense, tension, Idriss Elba, réalisation, plans larges magnifiques. Bon petit bémol sur la fin avec le flic le plus con de Grande Bretagne mais bon ça passe.
– Mayday (Plane) avec Leonidas et Luke Cage. Original et sympathique. Ca fait le taf en dehors de certaines scènes en CGI dégueu (passer après Hijack est compliqué).
– Bleach: Fini de me remater les anciennes saisons pour attaquer les dernières. C’est juste du pur bonheur cet anime. Quel plaisir de retrouver Ichigo et ses amis. Par contre, je trouve que ça va trop vite sur certaines confrontations (Kenpachi/Yhwach).
– The Fate of the Furious (Rapides et Dangereux 8). Une torture. Tout est mauvais dans ce film. Même pas de bagarre comme dans le 7 avec Statham et The Rock. Là on a John Cena qui reste dans l’ombre de Baboulinet et c’est bien triste. Le seul point positif, je suis prêt pour voir le cameo de ma Captain Marvel dans FFX.
– Le Diner de Cons (revu). Une masterclass à l’ancienne comme le cinéma français ne sait plus en faire.

Joué: Modern Warfare (2019). Quelle claque! Ces scènes tellement terribles à voir mais surtout à « vivre » ont été très marquantes pour mon petit coeur. C’est franchement digne des plus grandes oeuvres du genre.
C’était tellement bon que je passerais sur la touche « féministe » du jeu avec des femmes de partout. Pas très crédible mais le personnage principal Farah est tellement bien écrit et charismatique qu’on y pense pas plus que ça. Pour note, Farah Karim est intérprétée par Claudia Doumit, Victoria Newman dans The Boys.
Je vais enchainer le 2 en espérant que ce soit aussi bon.

« – Le Diner de Cons (revu). Une masterclass à l’ancienne comme le cinéma français ne sait plus en faire. »

Me concernant les plus grosses blagues avaient diffusés lors de la promotion. Lorsque j’avais vu le film, je n’ai pas aussi ri.

J’avais bien « le prénom », même si le genre est différent.

Après, ce sont des films basés sur des pièces de théâtre.
Je préfère souligner le travail des dialogues sur Ridicule, Beaumarchais ou la fille de d’Artagnan.

Je ne vis que pour Diablo 4 ces derniers jours. C’est simple. Le peu de temps libre que j’ai, je me jette dessus.

J’ai vu Oppenheimer et MI7.
Autant Oppenheimer m’a plu et un peu plus reconcilié avec Nolan que je trouvais long et pompeux depuis Inception.
Autant MI7 bordel la déception après les claques Rogue Nation et Fallout (et Top Gun Maverick aussi en un sens)… quel ennui pendant près de 3h, on aurait largement pu retirer 1/3 du film pour que le dernier acte soit centré sur la recherche du sous-marin et sa résolution. À la place on va se taper une partie 2 toute aussi longue.

Justice League Warworld qui est sorti en VF, mais Legion of Super-heroes toujours pas… Y’a un problème quelque part

Ils ont cloné Tyrone. Je l’ai vu la semaine dernière.
1) première fois que j’aime et que je vois un bon film sur Netflix.
2) ce film est une oeuvre d’art.
3) ce film m’a lavé les yeux après l’acide mélangé à la javelle qu’a été secret invasion.

Kingdom 1 et 2 sur netflix, j’ai été très surpris par cette adaptation en film live du manga, j’ai retrouvé l’esprit des bouquins et de l’animé avec de très bons acteurs même si ma préférence va pour Ouki le général de Qin,
Dommage que Kingdom 3 ne sorte pas au ciné en France.

Vu MI au ciné, j’ai beaucoup aimé même si effectivement il y a au moins 45 minutes de trop mais ca reste très bon malgré tout. Je vais de moins en moins au ciné me concernant depuis le covid et la qualité déclinante des blockbusters en général.

Dégoûté de ne pas avoir droit à Dune 2 en 2023, j’espère que Napoléon ne sera pas repoussé.

J’ai vu :

– La Maison du mal : un sketch, j’avais pas vu un aussi mauvais film d’horreur depuis un bail, la seule chose à sauver est l’acteur qui joue Homelander mais c’est tout. Je ne parle même pas de la fin qui est… inexistante ? Je me demandais même si il n’y avait pas de scène post-gen tellement j’étais surpris que ça se termine ainsi haha.

– Le Manoir hanté : divertissement familial sympathique mais Disney l’a clairement sacrifié en le sortant à cette période, il aurait eu beaucoup plus de succès en automne pour les petits qui n’ont pas grand chose à Halloween.

– Oppenheimer : Masterclass.

– Barbie : « lé zomme son touss méchan é cé de leur fote si nou lé femme on é pa des chef ». Bon j’exagère mais Greta aussi haha. Je l’ai trouvé drôle et bien foutu ceci dit, et Ryan Gosling est excellent en caricature et Margot Robbie est toujours impeccable, peu importe le rôle. J’ai juste trouvé le message poussif, pas impertinent mais juste mal amené, trop « lourd ».

– Bleach : Thousand-year blood war : ça fait grave plaisir de retrouver Ichigo au sommet de sa forme, et les autres aussi, avec une animation au goût du jour (même si on reste loin de la masterclass qu’est Demon Slayer) et j’ai hâte de voir la suite ! Un peu bizarre de dire ça mais j’apprécie le fait que ça soit plus violent, ça me paraissait toujours un peu trop propre pour un animé basé sur des mecs qui portent des sabres géants, là on a enfin un peu d’hémoglobine.

BARBIE

Agréable moment même si le succès me semble trop important vis a vis du film.
Reste que les acteurs semblent s’amuser ( mention spéciale à Ryan Gosling ) et je fus étonné qu’une co-production Mattel égratigne autant la maison mère !
En clair : A voir mais pas obligatoire au cinéma

DONJONS ET DRAGONS : L HONNEUR DES VOLEURS.

Déception au box office illégitime tant ce film en donne pour son argent. Les scènes se suivent a un bon rythme et les idées de mise en scène sont intéressantes
Côté personnage, on reste sur du basique avec des acteurs dans leurs rôles « phares » ( ex : Michelle Rodriguez joue la femme Bad ass )
Ça marche toutefois car l’alchimie se fait et tous les membres du groupe ont leur importance et moment de gloire.
Un bon divertissement donc qui mériterait une suite

SECRET INVASION ( Disney ) : AVIS FINAL

Tout ça pour ça ?
Une série anecdotique au final baissant de qualité d’épisode en épisode.
Et au delà de la question basique de la « disparition » des Avengers, une autre se pose : Comment la « novice » G’iah dispose aussi facilement de « l’expérimenté » Gravik ?
Que le combat soit rapide, soit. Qu’aucune explication sur le rapport de force en faveur de la fille de Talos soit indiqué, bizarre. Et puis, on est dans le syndrome Dragon Ball où la montée de puissance devient hallucinante et ne sert plus le scénario de bonne façon…
A voir mais je serai le MCU, je ferai avoir a G’iah une sorte de maladie pour atténuer la puissance

J’ai vu Flash et GOG3, le premier est mauvais avec plein de fautes de gouts, des effets spéciaux pas terrible et rien qui m’a touché ou intéressé… Le second est sans plus, à part l’histoire de Rocket c’est le seul truc qui m’a vraiment intéressé, leur déni sur Gamora qui est vraiment morte était malaisante mais de toutes manières l’intrigue principal reste pas terrible et à l’image de tout ces films superslips, sans âme même si dans ce film il y avait de bons moments parfois touchant, qui malheureusement avec l’humour de gunn côtoient le nanardesque. Pas étonnant que le film n’ait pas dépassé le second, après la surprise du premier l’étincelle ne prend plus.

Vu :

– AKA : film d’action/policier sympa avec Cantona en vieux mafieux en bout de course et un Alban Lenoir bien vénère et un scénario efficace.

– Mission Impossible : Dead Reckoning Partie 1 : moins mémorable que Rogue Nation ou Fallout mais toujours très efficace et spectaculaire, hâte de voir la seconde partie.

– Indiana Jones et le Cadran de la Destinée : on est loin de la déception du quatrième film mais même si j’ai bien apprécié la séance, je ne peux m’empêcher de penser que ça aurait peut être été mieux de faire un film entier avec Ford rajeuni… Toutefois il assure encore bien en Indy (il a d’ailleurs assuré lui-même certaines séquences d’action, notamment à cheval).

Niveau comics, il faut que je lise White Knight : Harley Quinn et Beyond the White Knight qui patientent sur mon étagère depuis déjà quelques temps.

J’ai aussi commencé l’animé City Hunter et moi qui ne suit pas très mangas (hormis quelques vieux trucs genre Cobra ou Ghost in the Shell) je trouve ça vraiment excellent, avec une bande son de folie et un personnage qui oscille constamment entre gros obsédé et personnage un brin mélancolique au passé trouble et puis badassitude ultime.

Et niveau gaming, je vais me remettre à Zelda Majora’s Mask (son remake 3D) et American Conquest, un jeu de stratégie du début des années 2000 dont j’avais la démo gamin et que j’ai retrouvé sur Steam, retraçant l’histoire de l’Amérique dans les grandes lignes, de Christophe Colomb à la Révolution Américaine, en passant par les expéditions de Pizzaro et la Guerre de Sept Ans, bref, parfait quand on est un fondu d’Histoire XD

https://www.premiere.fr/People/News-People/Stephen-Amell-dans-la-tempete-apres-ses-propos-anti-greve

https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Tatiana-Maslany-a-t-elle-deja-dit-adieu-a-Marvel-et-She-Hulk-

Deux super-héros en vert, assez fidèles à leurs modèles d’origine…
L’un, râleur envers tous types de « camps », même s’il se doit d’être toujours du côté des opprimés (ça n’empêche pas d’avoir le droit de dire qu’une grève, ça gonfle).
L’autre, toujours frondeuse même avec ses patrons, ce qui est normal vu les scénarios qu’on lui donne à jouer (surtout dans les comics).