The Falcon and The Winter Soldier : Le tournage de la série est temporairement suspendu…

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Quand l’actualité réelle s’immisce dans l’actualité super-héroïque… Le tournage de la série The Falcon and The Winter Soldier, qui était sur le point de poser ses caméras à Puerto Rico pour deux semaines, est temporairement suspendu. En cause, les tremblements de terre qui ont frappé cette île des Grandes Antilles, et qui ont provoqué la mort d’une personne et occasionné d’importants dégâts matériels (7 janvier : magnitude de 6.4 sur l’échelle de Richter). Variety indique que les plans de la production ont été « annulés » et non repoussés, ce qui voudrait dire que la série devra se trouver une nouvelle terre d’accueil. La date de reprise du tournage n’est donc pas encore connue. En bonus, vous trouverez ci-dessous les dernières photos, prises à Atlanta…

[Synopsis extrait des comics] Sam Wilson n’est plus le Faucon, il incarne désormais Captain America. Ses prises de position enflamment les réseaux sociaux et l’opinion publique américaine, au point que pour certains, le héros ne mérite pas de porter le bouclier…

La série The Falcon and The Winter Soldier sera diffusée à l’automne 2020 sur la plateforme Disney+, avec Anthony Mackie (Sam Wilson/le Faucon), Sebastian Stan (Bucky Barnes/le Soldat de l’Hiver), Daniel Brühl (Helmut Zemo), Emily VanCamp (Sharon Carter), Wyatt Russell (John Walker), Adepero Oduye, Desmond Chiam et Miki Ishikawa.

25 COMMENTAIRES

  1. C’est dans ces moments de crise, comme en Australie ou ailleurs, ou comme ici à Puerto Rico que je regrette que les super héros n’existent pas en vrai. On aurait bien besoin de quelques Supermen de temps en temps o_O

    • oui et non…Si les super-héros existaient, ils ne s’attaqueraient (comme dans les fictions) aux crises et non à leurs causes…ce qui n’aurait que pour effet de maintenir le statu quo.
      Je ne suis pas un grand connaisseur de Superman (par exemple), mais il ne me semble pas qu’il remette en cause l’élevage et la pêche, les industries chimiques et pétrolières, les transports etc…
      Il serait d’ailleurs temps que les scénaristes se saisissent de ces sujets (je ne suis plus trop les comics, mais peut-être est-ce le cas..)

      • Nan les super héros en général dans les comics ne s’attaquent pas aux gouvernements, tu deviens un super vilain quand tu remets en cause le système 😀

        Puis qui dit super héros dit super vilains, donc ce serait contrebalancé par les actions des super vilains. On a pas besoin de super héros, j’aimerai penser que l’on a besoin d’avoir tous les super pouvoirs d’un superman mais l’humanité pervertirait tout ça je pense. Mon idéal serait une population d’humains bien inférieur en nombre, n’ayant plus besoin de compter sur le nombre pour survivre. Mais au fond on arriverait dans une situation à la dragon ball si on avait tous de tels pouvoirs, on irait conquérir l’univers entier… Mais ce serait beau seulement 200 millions d’êtres humains mais tous doté de pouvoirs à la superman ou green lantern, on ne serait plus l’énorme parasyte qui ronge cette planète et on aurait tous une énorme liberté en théorie.

        • @ Angyo : L’exception à la règle des supers qui ne s’attaquent pas aux gouvernements, c’est un peu The Authority, dans une certaine mesure. J’adore comment tu es passé de Superman à Dragon Ball XD….

      • Il y a quelque part un léger côté antispéciste chez Superman : membre d’une espèce supérieure qui pourrait asservir l’humanité à lui seul, mais décide de l’épauler et de la protéger. Mais bon, à mon avis c’était pas le but recherché par ses créateurs, l’ami Sup’ ayant l’air de penser lui aussi que l’être humain a plus de valeur que les autres espèces animales…

        L’ironie dans tout ça, c’est qu’on évoque ici l’idée que des SH pourraient nous sauver, alors qu’on est tous responsables de la catastrophe écologique, collectivement, chacun à notre niveau. C’est vrai qu’on aime blâmer les gros industriels et le capitalisme, mais en vérité c’est nous qui leur avons donné le pouvoir, et continuons de leur donner chaque jour à travers nos choix de consommation. Au lieu d’envoyer notre ki à Goku pour l’aider à former son genkidama, on préfère l’envoyer à Buu…

        Nul besoin de super-pouvoirs pour renverser la situation en réalité, il suffirait qu’on choisisse tous collectivement d’arrêter de consommer irresponsable. Car sans notre argent ces industries seraient destinées à mourir… ou à se responsabiliser.

        Je ne sais plus qui a dit que les humains étaient très intelligents individuellement mais complètement attardés collectivement. Qui que soit cette personne je crois qu’elle a visé juste. Notre égoïsme et notre incapacité à nous synchroniser autour d’actions responsables aura causé notre perte. L’ennemi de l’humanité (et de tout le vivant sur notre planète) n’a rien d’un super-vilain. C’est l’humanité elle-même. Vous, et moi…

        C’était le message optimiste du jour. Bonne journée ! 🙂

        • J’ai déjà un peu réfléchi sur ce point à propos de Superman..et si je ne m’abuse, ses capacités auditives (sa super ouïe quoi) lui permet potentiellement d’entendre chaque animal abattu dans un abattoir…soit des millions par jour..(je suis sympa, je ne compte pas les poissons dont les souffrances – bien réelles- sont pour nous inaudibles)..donc Superman fait volontairement la sourde oreille concernant la souffrance de milliards d’individus chaque année…par contre je l’imagine bien sauver un chaton coincé dans un arbre ou le chien d’une vieille dame qui manque de se faire écraser..

          Après sur la question du partage des responsabilités, il faut être juste. Il y a des comportements individuels très simples à changer (l’alimentation) et d’autres plus ou moins compliqués car dépendants de politiques publiques (transports). Il faut donc, à côté d’un mode de consommation plus vertueux, être représenté par des personnes vertueuses qui élaboreront des règles de nature à contraindre les entreprises à produire mieux.

          • @Jeez :
            Tout à fait. Le chaton et le chien, espèces favorites de ce cher homo-sapiens ! ^^

            Je te rejoins au sujet du partage des responsabilités. Je crois de mon côté – sans pouvoir affirmer quoi que ce soit puisque je n’ai pas suffisamment creusé le sujet pour avoir des données fiables sur ce que je raconte, j’insiste là dessus – que si on se contentait tous du minimum la planète ne serait plus en danger.
            A priori l’élevage compte pour un bon tiers du problème (voire plus selon les études). Ça c’est déjà un truc qui est à 100% entre nos mains de consommateurs.
            Concernant les transports, c’est clair que la partie « comment aller à son taff » est une contrainte à laquelle on ne peut pas échapper. A part décider de faire les trajets à vélo au maximum quand c’est possible évidemment, co-voiturer (ce que je ne fais JAMAIS, honte sur moi !), etc… Mais bon, je t’avoue que je n’ai aucune idée de combien pèse tout ça dans la partie « transports » de l’équation. Parce qu’à côté de ça on a tous les transports en voiture/moto qui ne sont pas nécessaires, les transports en avion totalement dispensables pour une grande partie, le transport de marchandises pour les livraisons à domicile, etc… Ça fait un paquet de transports dispensables, quand même. Et tout ça on le contrôle aussi en tant que consommateur.

            Je parle même pas du trafic internet, sur lequel on pourrait entamer une bonne partie également (voire même la totalité en fait. On vivait sans avant. Ce besoin il est artificiel, on l’a créé). Là encore, c’est entre nos mains : suffirait de ne pas cliquer. ^^

            Bref, à mon avis au niveau individuel on tient une énorme part de la responsabilité. Il suffirait qu’on se mette tous d’accord : « ça on arrête », « ça on limite à tant par personne et par jour », et ce serait réglé. Et je crois qu’on est tous d’accord sur ça individuellement en vérité. Le problème se trouve au niveau collectif. Parce qu’on sait très bien que personne jouera le jeu, donc quitte à ce que la planète explose autant profiter de notre vie…
            Tiens, je viens de me rendre compte qu’en fait c’est carrément une version à grande échelle du dilemme du prisonnier ! 🙂

        • @Archer : je suis d’accord avec ton commentaire si c’est également une auto-critique de toi-même. Parce que se rendre sur le site LTH depuis de nombreuses années, ce n’est également pas très sain d’un point de vue écologique….

          Sinon, concernant Superman, je pense tout bêtement que les auteurs ne voulaient pas se prendre la tête avec des questions écologiques.

          • La réponse à ton questionnement se trouve dans mon commentaire Winter Soldier. ^^

            EDIT : Pour Superman c’est même plus simple que ça selon moi : une vision du monde anthropocentriste. En 2020 on a encore du mal à accepter que les animaux non-humains ont une personnalité et sont des individus dotés d’une volonté propre, alors à l’époque je t’en parle même pas. Superman étant écrit par des humains, il est finalement logique qu’il ne se soucie guère des malheurs des autres espèces.

        • @Archer : justement, je ne vois pas ce qui t’empêche personnellement de prendre des résolutions écologiques dans un premier temps. Là, j’ai un peu l’impression que tu rejettes la faute sur les autres (« si les autres ne font rien, je ne vois pas pourquoi j’agirais moi aussi »).

          Et pour répondre au reste de ton premier commentaire, il y a beaucoup de personnes qui se contrefichent de l’écologie puisqu’ils trouvent leur petit confort individualiste dans cette société de consommation (qu’ils soient au courant ou non des problèmes écologiques).

          PS : je précise, je ne dis pas du tout ça méchamment @Archer, je suis là pour discuter dans la joie et la bonne humeur même si le sujet est un peu sensible.

          • Aucun problème Winter Soldier, je le prends pas mal. ^^

            Je me suis peut-être mal exprimé. Pour clarifier ma pensée, je dirais que je fais même pas un centième de ce que je pourrais faire comme effort à ce sujet (peut-être même 1 millième…). Donc non vraiment, je ne cherche pas à me dédouaner. Le jour où je vivrais en autonomie totale dans une cabane dans les bois, peut-être que je me permettrai ce genre de jugement ! XD

            Ceci étant dit, je dois admettre que je me retrouve un peu dans ces mots que tu as dit:
            « si les autres ne font rien, je ne vois pas pourquoi j’agirais moi aussi »

            Même si dans ma tête le raisonnement est plus analytique que ça. Ça donne un truc de ce genre :

            Pour sauver la planète on doit tous se serrer la ceinture
            –> Si tout le monde ne joue pas le jeu ça ne sert à rien
            –> Je peux pas être sûr que tout le monde jouera le jeu
            –> Etant donné cette incertitude, quel niveau de confort je suis prêt à sacrifier en sachant que ça ne servira probablement à rien ?

            L’incertitude est importante dans l’équation, je pense. Pas que pour moi, mais pour tout le monde (sauf évidemment les gens qui n’ont rien à faire de tout ça évidemment ^^). On est prêt à faire plus d’efforts quand le résultat est assuré.

            Du coup j’ai trouvé une sorte de juste milieu : j’ai pris quelques mesures à mon niveau mais c’est vraiment infime. Je tâtonne en avançant progressivement, changeant des petits trucs par-ci par-là. Mais c’est clair que je suis pas prêt à couper internet, vu l’impact que ça aurait sur ma vie, en sachant qu’il y a de forte chances pour que personne ne suive et qu’en conséquence, mon sacrifice soit vain. Ça te paraît choquant comme raisonnement où tu t’y retrouves ?

          • « Pour sauver la planète on doit tous se serrer la ceinture »

            Et surtout adopter politique mondiale de « pas plus de 2 enfants », c est surement atroce mais je suis convaincu que sans ça on va droit dans le mur.

            Surtout que l afrique a une démographie folle, est sera amené à migrer climatiquement.

          • @Clooney : Je me sens moins seul, merci Clooney 🙂

            @Captsubasa : Merci ! Quand je parle de l’importance de réguler les naissances autour de moi on me prend pour un taré ! ^^

          • @archer : moi je trouve que ce sont les gouvernements qui sont tarés à ne pas mettre ça sur la table, et venir nous dire « on va taxer le diesel pour combattre la pollution »

            à terme ça finira comme dans utopia, ou snowpiercer…réguler la population par l extermination 🙁 🙁 🙁

            oui je suis un gros pessimiste (à rajouter avec mon  » c était mieux avant  » 😉 )

            source wiki mais c est juste ouf population mondiale (fourchette haute)

            an 0 / environ 200 millions
            an 1000 / 345 millions
            an 1500 / 540 millions
            1990 (mon entree au college) / 5,3 milliards
            2020 / 7,7 milliards
            2050 / prévu 9.7 milliard (quasi X2 en 60 ans)

            C est dément à l échele de la durée de vie d une planète…tout simplement DÉMENT

          • C’est clair Cap. Cette évolution est vertigineuse : population multipliée par 14 en 500 ans… Je partage ton pessimisme.

            PS : Au passage, Snowpiercer petit bijou ^^

        • @Archer : ça ne me dérange pas
          du tout si tu fais preuve d’auto-critique envers toi-même (ce qui semble être le cas). Je déteste surtout les moralisateurs écologiques qui essayent de faire culpabiliser leurs interlocuteurs alors qu’ils se complaisent tout autant dans cette société de consommation (ils pourront faire culpabiliser les gens quand ils auront éteint leurs ordinateurs et qu’ils vivront dans une petite cabane au fin fond de la forêt amazonienne).

          De mon côté, j’entends les questionnements autour de l’écologie et de l’avenir de la planète mais je ne vais pas jouer l’hypocrite, mon confort individualiste me satisfait beaucoup trop pour remettre en question mon mode de vie (je suis content de m’être acheté le dernier iPhone à Noël, de pouvoir aller sur Internet tous les jours et j’ai hâte de déguster mon poulet rôti entier tout à l’heure à 19h30).

          C’est la même problématique pour beaucoup de monde, pourquoi remettre en question son confort individualiste qui apporte un minimum de sens et de bonheur à notre vie ?

          Par contre, je suis moins d’accord avec la dernière partie de ton commentaire, je ne vois pas ce qui t’empêche de faire des concessions personnelles sur ton mode de vie si les questions écologiques te tiennent tellement à cœur, sans même l’approbation de la majorité de la population. Par exemple, si la cause animale te tient à cœur, je ne vois pas ce qui t’empêche de devenir vegan et je ne vois pas pourquoi il te faudrait l’approbation de la population pour ça. Là, j’ai l’impression que tu te cherches un peu des excuses pour ne justement pas remettre en cause ton confort individualiste parce que tu te rends compte que ce n’est pas si facile. En plus, ça ne motivera personne à faire un premier pas avec cette mentalité.

          PS : et je précise encore une fois (on sait jamais), je ne t’attaque pas personnellement @Archer 😉

          • @Winter Soldier :
            « pourquoi remettre en question son confort individualiste qui apporte un minimum de sens et de bonheur à notre vie ? »

            Pour le coup je crois vraiment que ça dépend des sensibilités de chacun (j’espère quand même que tu trouves sens et bonheur ailleurs que dans tes actes de consommation ^^). Mais oui c’est la même problématique pour tout le monde, on est d’accord, c’est ce que je disais plus haut. 🙂

            « je ne vois pas ce qui t’empêche de faire des concessions personnelles sur ton mode de vie si les questions écologiques te tiennent tellement à cœur »

            En fait c’est ce que je t’expliquais, peut-être avec des mots mal choisis. Moi faire des sacrifices (dans une certaine mesure, comme je te le disais je suis pas prêt à me priver d’internet ^^), si j’ai la certitude que ça aura un impact, j’ai tout de suite plus de motivation. Mais si ça change rien quel intérêt ? C’est pour ça que je parlais du principe d’incertitude plus haut, parce que ça joue forcément sur le niveau de sacrifice qu’on est prêt à faire. Ça n’a rien à voir avec l’approbation des gens. C’est juste une volonté de ne pas sacrifier pour rien. Parce que sacrifier, ça fait mal. Et avoir mal pour rien, perso ça me tente pas. Ce qui me paraît être plutôt sain comme comportement non ? ^^

            Mais sinon puisque tu en parles je suis déjà vegan en fait, donc je t’assure que mon confort a été méchamment remis en question, surtout pour le gros mangeur de viande et de poisson que j’étais ! ^^
            Même si pour le coup c’est pas du tout pour des raisons écologiques (le véganisme n’est pas une réponse cohérente à la crise écologique à mon sens. Ceux qui l’utilisent comme argument pour promouvoir le véganisme font à mon avis une erreur de raisonnement ou sont malhonnêtes, mais enfin c’est pas le sujet ^^).

            PS : Du coup je précise aussi que je n’applique aucun jugement de valeur à qui que ce soit sur ce sujet. J’ai sacrifié une partie de mon confort pour la cause animale mais je suis sûr que certains mangeurs de viandes sont plus responsables que moi dans d’autres domaines de consommation. Je fais simplement un constat : ce qui tue la planète c’est la somme de nos égoïsmes individuels (le mien compris !!!).

          • Je n ai pas tout lu mais

            « Je déteste surtout les moralisateurs écologiques qui essayent de faire culpabiliser leurs interlocuteurs » lol j ai direct pensé à Nicolas hulot et ses produits toxiques dans uhuaia et ses 4X4, ou Taubira qui fait du vélo pour faire genre ecolo , mais suivie par 2 voitures de gardes du corps, ou Jean vincent placé et son gros 4×4 (qui ne paie meme pas ses amendes) 😉 😉

    • En y réfléchissant bien, je gage que si les SH existaient, on aurait dans un monde tel que celui de The Boys. Le ton dans la série est un peu atténué alors dans le comic, j’en parle. Le bien-fondé aurait voulu qu’on utilise les super-pouvoirs à bon escient mais la réalité est autrement. On serait perverti et abusé les pouvoirs à outrance car la nature même de l’humain est primitive. En même temps, si on décide de remettre le système en cause, on aurait le syndrome des Mugiwara (One Piece) : des pirates qui sauvent le monde du gouvernement mondial, même si c’est une bonne chose, on serait pourchassés. Idem dans le réel à l’exemple de Sea Shepherd Conservation Society ou du
      Front de libération des animaux. Notre mentalité est conforme à la société de consommation. On a besoin d’obtenir et toujours plus. Pas étonnant que la Terre se dégrade à cause de notre individualité, même les super-pouvoirs y changeront pas grand-chose. Comme l’a dit si bien Thorin : « Si l’on pense à leur propre chez soi, le monde se porterait mieux. » C’est en référence aux Hobbits qui se foutent carrément de l’industrie (symbole par Saroumane). Ils se contentent de mener vivre paisiblement avec ce qu’on a sous nos mains, c’est-à-dire la nature.

      • Je te rejoins MacAnto : un monde réel abritant des SH ressemblerait probablement à celui de The Boyz.
        Je crois que c’est aussi une question de subjectivité : chacun à son propre curseur moral. Ce qui est bien pour les uns ne l’est pas forcément pour les autres, ce qui est source de conflit. Et comme tu le dis l’égoïsme de tout être humain nous pousse à vouloir toujours plus.

        • mdr vous m avez devancé. je vous rejoint a 100% si on avais des sh ils seraient plus homelander que superman.

          qui de nous n a jamais rêvé d etre invisible pour braquer une banque ?

          et genre spiderman un mec de 15 piges qui a des superpouvoirs tu crois il va sauver le monde ? ( le tu est impersonnel bien sûr )

  2. Bah, les super héros existent dans l’Instant – du coup ils ne vieillissent jamais, leur apparence « ultime » reste figée pour créer le même effet à chaque nouvelle génération (moins quelques rajouts d’époque, et changements radicaux qui seront relativement brefs)
    …Comme des boys scouts, ils se rendent utiles en empêchant les catastrophes les plus graves, lesquelles n’existent que parce qu’ils vivent dans un Monde un peu plus grand (et dangereux) que Nature, dont ils représentent les sorte « d’anticorps ».
    Quand il sortent de leur fonction réactives pour essayer de changer eux-même le Monde, ils ne peuvent qu’échouer… tant que le Monde Réel, lui, n’a pas pu rattraper la Fiction.

    D’ailleurs, cette fois, c’est le Monde réel qui handicape une production, et pas les divergences créatrices…

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