The Sandman : Jenna Coleman est Johanna Constantine !

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Une nouvelle salve de (jolis) noms pour la série The Sandman, l’adaptation de l’œuvre cultonirique de Neil Gaiman (American Gods) ! Kirby Howell-Baptiste (Barry) est Death, la sœur la plus sage de Dream. Mason Alexander Park (Cowboy Behop) est Desire, le frère-sœur de Dream et le désir personnifié. Donna Preston (Les animaux fantastiques : Les crimes de Grindelwald) est Despair, une autre sœur de Dream et la jumelle de Desire. Joely Richardson (Nip/Tuck) est Ethel Cripps, une maîtresse voleuse et une femme aux mille identités. Niamh Walsh (Good Omens) est la jeune Ethel Cripps, une jeune femme trahie et déterminée qui cherche à survivre. David Thewlis (Wonder Woman) est John Dee, le fils d’Ethel, dangereux, fou et en quête de vérité.

Kyo Ra est Rose Walker, une jeune femme à la recherche désespérée de son frère disparu et qui découvre une connexion avec Dream à laquelle aucun d’eux ne peut échapper. Stephen Fry (V pour Vendetta) est Gilbert, le protecteur débonnaire de Rose Walker. Razane Jammal (Paranormal) est Lyta Hall, la meilleure amie de Rose et sa compagne de voyage (et accessoirement, c’est aussi la fille de Wonder Woman et Steve Trevor !). Sandra James-Young (EastEnders) est Unity Kinkaid, une héritière et une mystérieuse bienfaitrice. Patton Oswalt (Agents of S.H.I.E.L.D.) est la voix de Matthew le Corbeau, l’émissaire de confiance de Dream. Et enfin Jenna Coleman (Doctor Who) est… Johanna Constantine, une exorciste hantée et une aventurière occulte à louer ! Dans les comics, Johanna Constantine est l’arrière-arrière-arrière-grand-mère du plus célèbre exorciste des comics. Dans la série, le personnage se conjuguera au passé et au présent. Il s’agit donc d’une habile pirouette scénaristique pour éviter qu’un troisième John Constantine se balade sur les écrans !

[Synopsis extrait des comics] Morpheus, le seigneur des rêves, a été emprisonné en 1916, par un groupe occulte. Après avoir fomenté son évasion pendant presque un siècle, il réussit à s’échapper et se lance dans une quête pour redevenir le Maître des songes. Hantant les cauchemars et les désirs des hommes, il ira jusqu’en enfer pour retrouver son dû.

La série The Sandman sera mise en ligne en 2022 (?) sur Netflix, avec Tom Sturridge (Dream), Vivienne Acheampong (Lucienne), Charles Dance (Roderick Burgess), Asim Chaudhry (Abel), Sanjeev Bhaskar (Cain), Boyd Holbrook (le Corinthien) et Gwendoline Christie (Lucifer).

55 COMMENTAIRES

  1. Et ben sa avance bien apparemment cette affaire. Je ne savais pas que le casting était aussi avancé. Seul point qui me fait peur, Netflix… Sa pourrait être bon (mindhunter) comme sans saveurs.. Dommage que sa ne soit pas HBO

  2. La petite précision sur la sexualité de chacun. Utilité/20. Sauf si c’est les critères de recrutement.

    Sinon oui cette série s’annonce très sympa 😁

    • Oui, ça saigne les yeux de lire la précision de leur sexualité. Il suffisait de voir la photo et il suffisait d’écrire « Jenna Coleman is… ». Après, j’ignore la raison de cette précision. Avant, on n’est pas des demeurés ^^

      • Ce n’est pas leur sexualité, mais leur identité sexuelle.

        Je sais pas si tu as remarqué, mais un des acteurs se définit par « they/them » car non-binaire.

        • Si ça ne se voit pas, c’est qu’on s’en tape et que ça relève du privé 🙂

          A quand l’opinion religieuse et politique aussi sur la fiche ?

          • Il joue pas son propre rôle à ce qui me semble. C’est tout à son honneur de le préciser sur ses réseaux, ici c’est hors propos je trouve mais bon ce n’est que mon avis.

          • « Le reste de la famille est aussi présenté : l’acteurice Mason Alexander Park (Action for a Cause) campera Desire, dans une version présentée comme non-binaire dans la série Netflix »

            J’ai trouvé ça sur un autre site (comicsblog), si le sujet de l’identité de genre est abordé dans la série à travers ce personnage, la précision trouve un peu plus de sens. Et ça evitera des bourdes de journaliste…

        • Fausse réponse, car la question n’a pas à se poser en vrai … « XXX is YYY », pas d’utilisation de pronoms !!!
          La simple précision du pronom est une volonté de surfer une vague, une vague où une minorité bruyante tente avec grand bruit d’imposer ses standards.

          Les pronoms genrés sont le reflet de l’existence de deux « sexes » distincts dans la nature (sauf cas rares de malformations) pour des espèces comme l’homo-sapiens. Vouloir sur-imposer, avec les mêmes termes, des concepts auto-déterminatifs (basés sur des notions tout à fait subjectives == constructions sociales) n’a pas de sens (ils remplacent une utilisation simple parfaitement bien définie par une utilisation ambigüe des même termes … c’est un appauvrissement linguistique) !

          La sexualité n’est pas forcément liée à la biologique, d’où l’existence de termes comme hétero/homo/bi/zoophile/nécrophile/ ….

          Le rejet psychologique du genre physique est un trouble de l’identité.
          Qu’il ne faille pas stigmatiser les personnes souffrant d’un trouble de l’identité, c’est une chose évidente (pour peu que l’on soit tolérant et que l’on sache accepter la différence), qu’il faille maintenant prendre des « gants » à tout va et subir le dictat de ses personnes qui font souvent tout un patacaisse de pas grand chose, s’en est une autre.

          Si demain une personne vient vous voir en se disant « giraffe » plutôt qu’ « humain », vous serez surement moins enclin à accepter son trouble de l’identité. C’est pourtant en substance la même chose, la négation psychologique d’une réalité biologique.

          Les pronoms « Il/Elle » reflètent l’existence d’une différence biologique entre individus. Ces pronoms ont toujours donnés une information sur la biologie de celui à qui ils se rapportent.
          Pourquoi vouloir remplacer cette information biologique par une information sur l’identité sexuelle (encore faudrait-il définir ce qu’est une identité sexuelle … et là ce n’est pas gagné …) ? Pourquoi certains éprouvent-ils le besoin de porter une étiquette ? C’est une forme d’exhibitionnisme assez intriguant … mais nous somme à l’ère de l’exhibition permanente avec les réseaux sociaux … même si c’est surtout là le reflet d’un besoin d’attention au sein du société essentiellement indifférente.

          Qui plus est, via l’idée qu’il existe des psychologies « genrées » qui seraient autre chose que des constructions sociales … les adeptes de la théorie du « genre » sont en fait les plus grands partisans d’une forme de sexisme.

          Les personnes qui refusent leur identité biologique, nient une réalité biologique au profit d’une construction sociétale … Plutôt que de se ranger eux-même dans des cases … ils devraient se demander si les dites cases sont pertinentes !!! Là, il y a une vrai réflexion à faire, là il y a à discuter ! Quoique la plupart n’ont pas la stabilité pour engager se genre de réflexion, hélas !

          Bienvenu dans l’ère du « genrisme », une nouvelle forme insidieuse de « sexisme » … qui en plus n’a même plus le moindre fondement biologique objectif.

          • Toujours le même argument, « s’il se prend pour un animal, c’est débile donc c’est pareil », sauf que ça n’a rien à voir.

            Tu parles d’étiquette, mais les pronoms genrés sont des étiquettes, tant qu’à te faire étiqueté, autant te faire étiqueté par quelque chose qui te correspond. Si les considérer comme ils le souhaitent les aident à se sentir mieux, franchement, ça n’a aucun impact pour nous. Une personne s’estime non genré, veut que j’utilise iel pour s’dresser à eux, ça va pas changer ma vie, si pour eux-elles, ça a une importance, tant mieux.

            Et effectivement, ça ne changera jamais la biologie et les gènes, mais quand je m’adresse à un être humain, je le vois pas comme un élément scientifique, mais comme une personne qui a des sentiments, donc je m’adresse à elle dans la manière qu’elle estime respectueuse.

            Après, il y a une manière de faire, et je comprends vos points de vue quand les gens font passer l’identité sexuelle avant tout et s’offusque et appelle directement au rejet, mais quand ils prennent le temps d’expliquer sans s’offusque, il y a aucun problème pour moi. Ça m’est déjà arrivé de mégenré quelqu’un, on m’a fait la remarque, je m’excuse et on repart comme si de rien n’était. Tout le monde n’est pas un excité qui s’offusque à la moindre erreur. Faut juste garder l’esprit ouvert.

            J’ai hâte de voir la nouvelle saison d’umbrella academy, je sens que la section commentaire va être bien toxique avec vanya qui sera joué par un acteur elliot Page.

          • @killzed :
            Ta réponse aurait pu être intéressante.
            Jusqu’à ce que je la lise, tant que l’on ne prend pas connaissance du réel, l’espoir perdure. Par contre, une fois qu’on lit, on doit faire avec … présentement, je me fendrais d’un : « hélas ! ».

            En substance, les pronoms n’ont jamais (jusqu’à récemment) exprimés la propre auto-perception de la place du sujet dans les standards et les archétypes d’une société (archétypes qui sont variables selon la culture d’ailleurs, par conséquent une définition de cette fameuse identité sexuelle n’a de sens que dans une société données et varie donc selon la société, les pronoms en question ne sont pas traductible de façon bijective … un beau bordel … un peu comme l’ineptie de ne pas avoir de neutre en Français).
            Les pronoms ont toujours été perçus comme une identification d’une réalité biologique objective (que cela te dérange ne change pas cette réalité).
            Si vous voulez inventer des étiquettes pour d’autres aspects de votre personne, je vous invite à inventer de nouvelles étiquettes plutôt que de modifier une terminologie existante ! Je doute que j’utiliserai les néologismes en question, mais rien ne vous empêche de les créer.

            Sinon, oui, se dire homme quand on est biologiquement une femme, ou se dire femme quand on est biologiquement un homme, c’est un trouble de l’identité … un peu comme un humain qui se prendrais pour une girafe.
            En soit, tant que l’individu en question ne fait de tord à personne … il peut même se prendre pour théière, c’est du ressort de la vie privé.

            Par contre, quand cette minorité bruyante commence à pratiquer un peu trop de prosélytisme et entend modifier la langue à leur sauce, pour s’inventer des agressions inexistantes (parce qu’il est là le vrai problème …), là je ne mâche pas mes mots pour appeler un chat … un chat ! Même si tout leur point est justement de faire que l’on appelle un chat un chien …

            Toutefois, je doute fort que j’en vienne un jour à appeler un chat un chien … si ils veulent voir cela comme une agression, grand bien leur face, les délires de persécution c’est assez fréquent.

          • Finalement, quand je vois ta condescendance, je me dis que palu avait trouvé la réponse adaptée à ton discours.

            Cordialement.

        • on a remarqué le « they », je pense même que tous les autres n’importent pas c’était histoire de le montrer. Sérieux qu’est-ce qu’on en a à foutre de l’identité sexuelle des acteurs quoi

          • @Ratatosk ça c’est un autre débat, chacun fait ce qu’il veut et ressent. Mais je ne vois juste pas ce que ça vient faire dans une promo de série à part surfer sur une vague

          • @Clonney 😉 c est simple 😉
            On en parle —> ils sont gagnants
            Je vomis ce procédé mais bon maintenant ce sera pour quasi tous les blockbusters

  3. Ça veut dire quoi le « they/them » genre ils veulent qu’on les appelle ils ou eux ? Parce que  »eux » ça fait un peu insulte quoi 😅

    • En anglais « they » a longtemps servi de pronom neutre, lorsque l’on parlait d’une personne abstraite ou lorsque la situation ne permettait pas de connaître le genre d’une personne.
      Cet usage s’est perdu au cours du XXe siècle mais il est revenu récemment lorsque les personnes non-binaires ne voulaient pas que « he » ou « she » soient utilisés.
      En français on a pas vraiment d’équivalent historique donc le pronom « iel » a été inventé pour cela.

  4. LOL en Angleterre ça va ils sont plus « évolués » qu’en France, dans le métro londonien ils ont retiré l’anonce «  »good afternoon, ladies and gentlemen » suite à un scandale d’une personne s’étant offusqué après avoir entendu cette annonce…

    Du coup faites gaffe si vous bossez avec d autres personnes, ou dans le commerce physique, je vous invite fortement à désormais ne dire que « bonjour »… et encore, même ça ça disparaitra bientot car si tu me dis bonjour sans que je ne t’ai rien demandé, je pourrais percevoir ça comme une agression (surtout si un garcon dit bonjour à une fille)

    Je vous invite aussi fortement, pour les célibataires, à sortir avec des contrats de couchage plus alcotest (2 témoins seraient un plus ) avant d’esperer finir la soirée bien accompagné sous la couette 🙂

  5. A vérifier évidemment mais si un acteur comme Stephen Fry participe au projet, ça sent relativement bon..
    Concernant la fidélité, seul les fans pourront le savoir et, sans être médisant, ça sera une infime frange de la population qui suivra la série.
    A voir donc en 2022 mais clairement, le Cast déjà me donne envie de tenter l’aventure

  6. Sacré casting ! Et on aura toujours du plaisir à se reprendre « A Bit of Fry » (and Laurie, si ça avait été possible).
    Seul petit écueil, le fait que Death ne soit pas représentée avec l’allure d’une « gamine ». Une actrice ayant la vingtaine aurait été plus judicieux.
    Et aussi, on peut éliminer d’emblée toute référence au Sandman de la JSA.

    Bref, typiquement le genre de série à traiter de thèmes ultra diversifiés, c’est dans l’ADN de l’œuvre d’origine… C’est juste que là, évidemment, ça n’est plus précurseur, donc ça peut les faire passer pour des suiveurs.
    Quelle importance…?

  7. Je n’ai pas encore lu Sandman. Mais ça aurait été trop demander d’avoir une Death qui ressemble à une ado goth au lieu de chercher à atteindre le quota non-blanc du casting ? Oui, ça n’est qu’un détail et oui, je sais que c’est un perso fictif représentant un concept qui existe depuis aussi longtemps que la vie existe, donc théoriquement sans forme « humaine » fixe, mais pour le coup, ça m’enlève toute envie de suivre la série.

    • Je ne sais pas si tu es au courant mais il n’est pas obligatoire d’avoir une peau blanche pour être gothique, et ça n’empêchera pas le personnage de s’habiller comme Siouxsie Sioux

  8. Ah merde, Stephen Fry….

    Un peu marre de voir des bigots haineux continuer d’avoir du boulot dans des grandes productions…

          • Version courte : JKR est transphobe et soutient des associations qui se battent contre les droits des trans.

          • Je viens de parcourir un peu ce qu’elle avait dit. Je ne vois pas de transphobie dans ses propos. A aucun moment elle n’incite à haïr les trans, ni à leur faire du mal, ni n’insinue qu’ils seraient des êtres inférieurs ou indignes de respect…
            Tout ce que je vois ici est quelqu’un qui s’inquiète de la montée en puissance de ce mouvement et de ses possibles répercussions. Elle a peut-être tort de penser ça, ou raison (personnellement j’en sais rien, je connais pas assez le sujet pour avoir un avis), mais je constate qu’en 2021 on ne peut pas émettre un point de vue négatif sur une idée prônée par la bien-pensance sans se faire traiter de truc-phobe. Et je trouve ça très alarmant. Bien plus que les propos de JK Rowling (ceux que j’ai pu lire en tout cas).

          • C’est un ensemble de petites choses Archer, mais c’est bel et bien transphobe.
            https://www.madmoizelle.com/jk-rowling-transphobe-1055687

          • J’avais lu tous les messages que cet article traite. Honnêtement Chocasse, je suis très étonné que tu ne te rendes pas compte de la quantité de sophismes et de biais argumentatifs qui parsèment cet argumentaire.

            Je suis sûr qu’on pourrait faire la même chose avec moi, en isolant quelques likes que j’ai pu lâcher à Papacito quand il m’a fait rire, accompagnés d’un ou deux messages que j’ai publiés ici, et surtout celui-ci où je défends JK Rowling :
            « Archer soutient une transphobe, like des vidéos d’un royaliste-masculiniste-fasciste et utilise des termes comme « bien pensance » ou « camp du bien » – le lexique de l’extrême droite – rendez-vous compte de sa toxicité ! »
            Ironique, sachant que mes valeurs penchent plutôt largement à gauche, et que je n’ai absolument rien contre les LGBTQ . 😂
            (d’ailleurs tu devrais faire attention à toi, parce que tu as parfois exprimé ton accord avec moi sur certains sujets, tu es donc une cible de choix pour le fameux déshonneur par association 😉)

            Tiens prenons ce passage de ton article :

            « Ses opinions sur la transidentité sont limpides : elle a notamment clamé que « les femmes trans sont des hommes » et dit qu’elle n’utiliserait pas forcément les pronoms que ses interlocuteurs et interlocutrices trans préfèrent. C’est purement et simplement de la transphobie. »
            Ceci n’est pas de la transphobie non. Refuser qu’on nous impose l’utilisation d’un pronom n’est ni haineux, ni de l’incitation à la haine. Ce n’est pas condamnable, de la même manière que si j’exige que tu me vouvoies et que tu refuses, ça ne mérite aucune condamnation. Refuser de se faire imposer un changement tel que cette histoire de pronoms n’est pas haineux. C’est conservateur plutôt. Et au pire on peut dire que c’est mal poli. Mais jusqu’à preuve du contraire ce n’est pas punissable par la loi.
            Cet article démontre précisément le point que je soulevais : il y a aujourd’hui une déformation extrême de ce qu’est la transphobie. Et ça vaut aussi pour racisme, sexisme, homophobie, etc. Tu oses remettre en question les allégations concernant les inégalités salariales H/F ? Sexiste ! Tu souhaites évoquer les risques d’une immigration non-contrôlée ? Raciste ! Envisager un impact négatif de l’éducation de parents homosexuels ? Homophobe ! Pourtant ce sont des interrogations qui sont légitimes et qui méritent d’être étudiées. Mais pour ça il faut qu’on ait le droit d’en parler, et de douter des versions avancées par la bienpensance…

            Bref, ce qui ressort des messages de JK Rowling, c’est qu’elle réfute le fait qu’un individu puisse avoir un genre différent de son sexe. Mais c’est son droit de penser ça les gars ! Et elle a le droit de le dire. Et elle a le droit de ne pas vouloir s’adapter aux choix de pronom d’un trans (personnellement je trouve que c’est pas sympa, mais on va quand même pas commencer à condamner les gens malpolis, si ?).
            Elle a le droit aussi d’évoquer de potentiels effet négatifs de ce mouvement qui prend de l’ampleur. C’est quelque chose qui doit être débattu, qu’elle ait raison ou tort. Et jusqu’ici je ne l’ai pas lue souhaiter du mal aux trans, les insulter, ou les rabaisser. Elle a même dit que chacun faisait ce qu’il voulait, et s’identifiait à ce qu’il voulait. Donc non, je ne vois aucune transphobie dans ses propos. Juste un refus d’accepter la différence entre sexe et genre.

          • Personne lui nit son droit de le penser mais ça en reste pas moins de la Transphobie car derrière ses messages il y a la volonté de stigmatisé les transexuel femmes comme n’étant pas des femmes et qu’elles sont inferieur car elles ne sont pas née femme. Et la stigmatisation c’est le pavée sur lequel marche la haine

            Elle est entrée dans une sorte croisade pour définir la féminité et clairement cible la communauté transsexuel comme étant un danger pour la féminité et le sexe féminin.
            Le pire c’est quand elle parle de chose scientifique sans rien partager de concret sur le sujet.

          • Je te rejoins Archer. Je ne suis pas d’accord avec les propos de JKR mais bordel que je hais cette cancel culture qui fait que toute opinion contraire est taxée de transphobe, homophobe, sexiste, raciste et j’en passe.
            C’est de la paresse intellectuelle, c’est de l’agression systématique.
            Et surtout bordel, qu’on arrête de parler à la place des autres.
            Ma main à couper que la rédactrice de cet article n’est pas trans.
            Allez écoutons les, ces adeptes de la bienpensance. Si on suit l’idée d’Acetylsallicilique, Stephen Fry ne devrait plus pouvoir faire de films ou de séries, JKR ne devrait plus pouvoir écrire de livres. A quand le « brûlons les livres Harry Potter » parce que JKR a donné une opinion que NOUS jugeons transphobe, parce que NOUS avons la vérité?

          • Ulysse a tout dit. Jkr est dans une position où elle est complètement obnubilé par sa définition de la féminité. C’est de la stigmatisation pur et dur. Et comme le dit ulysse, ça commence comme ça.

  9. https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Sandman-Neil-Gaiman-senerve-face-aux-critiques-sur-le-casting-de-la-serie-Netflix
    Pas gai, man. ☹️

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