Le bar de Galactus #121 : La Roue du Temps ~ Cowboy Bebop

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Fantastique, fantasy, science-fiction, anime… Ça se bouscule au portillon cette semaine et il y en aura pour tous les goûts ! Mardi, Riverdale revient sur la chaîne The CW pour une saison 6 qui accueillera le temps d’un épisode-crossover Kiernan Shipka, la star des Nouvelles Aventures de Sabrina (6×04). Jeudi, les trekkies seront à la fête avec le lancement de la saison 4 de Star Trek : Discovery sur Paramount+. Et vendredi, nous assisterons à un duel entre Netflix et Amazon, avec d’un côté l’adaptation en live action de la cultissime série animée Cowboy Bebop et de l’autre celle du cycle littéraire La Roue du Temps de Robert Jordan (alias ‘Amazon fait ses armes en attendant Le Seigneur des Anneaux en 2022′). Forcément, il y a une série qui vous fait plus de l’œil que les autres… laquelle ? Que ce soit au regard du calendrier Marvel Studios/Disney+ ou de ce programme de novembre, cela devient vraiment dingue tout ce qui sort chaque semaine (#PeakTV) !

Dans un monde où la magie existe mais ne peut être utilisée que par les femmes, Moiraine, membre d’une organisation féministe influente mais mystérieuse, embarque avec cinq jeunes hommes et femmes dans un voyage épique pour sauver l’humanité… ou la détruire !

30 COMMENTAIRES

  1. …on n’est pas non plus obligé d’être « dans le coup » et de tout connaître tout de suite.
    Les effets d’annonce ont cet impression trompeuse, mais en fait il ne s’agit que de choix, qui ne s’autodétruiront pas après dates des premières diffusions.

    Re vision des classiques de Hannah-Barbera, et leur énergie folle…

    Insolemment amusé devant le spectacle kamikaze de Laura Laune…

    Enfin vu « À couteaux tirés », qui n’est Pas un vrai Whodunit, même s’il essaie de faire croire qu’il en détourne les codes de manière méta tout en étant un peu respectueux…
    Parce-qu’il n’y a pas de suspense, le mystère est dévoilé très vite, ce qui confirme que c’est un leurre et que l’interversion du début n’en est pas une etc… Bref, rien n’a vraiment d’importance, comme souvent dans ce genre d’histoire certes.
    Mais les grosses ficelles sont très visibles, le numéro d’illusion consistant à laisser s’amuser les acteurs (contre-emploi ou non) ne peut pas autant marcher à cause du côté conscientisé du film, censé être le truc inédit qui permet de se distinguer.
    Du fait que l’on s’y rend assez compte qu’on est dans un Cluedo, que tout ce monde assume trop d’être des caricatures ou des personnages cartoonesques (l’honnêteté viscéralement physique de Marta en fait partie), qu’un montage moderne un chouia plus rapide n’est décidément pas approprié, et surtout qu’on s’y croit obligé à trop gros traits de dire des choses importantes sur les migrants. Donc l’Amérique à sa fondation bien sûr… mais avant tout, maintenant. Pour réveiller les amnésiques.
    Et reléguer le héros enquêteur intello prolixe et un peu ahuri à un rôle de gentil dépanneur, alors que le seul et unique héros principal est une représentante idéale d’une minorité indirectement rabaissée.
    C’est un peu trop clair et pas assez subtil, aussi bien à sa sortie que aujourd’hui.
    Totalement à l’opposé de la distance ironique, un peu plus cynique et moins revendicative qu’on peut attendre d’un Whodunit, pour mieux justifier le jeu de massacre envers absolument tous les suspects.
    Il faudra attendre l’ultime scène pour élever un peu plus le film en sous-entendant une vengeance de Classe, traversant les siècles, et atténuant un côté bien trop angélique et manichéen.
    Pas étonnant que Netflix (cité aussi dans le film) aille produire ses suites, ce genre de film correspond très bien à l’idée d’une histoire fonctionnant avec un cahier des charges.
    Enfin, amusant, peut-être plus si on ne le prend que au premier degré – encore une fois, à l’inverse d’un Whodunit traditionnel.

    Lu Star Wars, Dark Vador, Bounty Hunters, ça avance avec tranquilité jusqu’à la Guerre des Chasseurs de Prime…

    Le dernier Astérix (et le Griffon), qui a une petite baisse de régime – même le petit gaulois a les traits tirés, sans compter le rhume de Panoramix.
    Un peu trop pris entre deux chaises , entre ses amazones slaves énergiques (et enfin une promesse d’évolution pour Obélix, avec un enjeu sexué, rien que ça)… Et une conclusion en forme de déception incompréhensible étant donné la place du surnaturel dans cet univers.
    Reste les habituels blagues et calembours sympas.

    Fin de la troisième Intégrale de Invincible.
    Angstrom Levy ? Un prétexte pour faire évoluer Mark au final, sans intérêt immédiat. Ce sont les moments en creux qui sont toujours les meilleurs (Eve et Amber !).
    Un volume de transition auquel il manque évidemment du crossover (le bon, pas celui en bonus à la fin).

    • Ma femme et moi avions été très déçus par A Couteaux Tirés, on ne savait trop si le coupable était volontairement « révélé » trop tôt pour parler d’autre chose ou si c’était une pure faute d’écriture/mise en scène. Si le but est d’utiliser le prétexte du whodunnit pour parler d’autre chose, en l’occurence oui, de lutte des classes, alors pourquoi s’accrocher autant à ça tout au long du film. Car au final, la vérité éclate bien à la fin! Bref, très mal géré, peu subtil, et je ne parle pas de l’explosion finale [Spoil potentiel] « cette maison il l’avait achetée à [minorité ethnique étasunienne]! » pour se moquer de l’élitisme de la famille. Trop facile, trop usité, trop balancé rapidement pour être vraiment impactant (puisque le jeu est plié).
      Oui, le dernier plan est classe. Voilà. Et je partage entièrement ton avis sur l’exploitation Netflix.

      A mon sens, après Star Wars VIII et ce film, pour moi Ryan Johnson est plein de bonnes idées, de mise en scène comme en message idéologique, il veut sincèrement déconstruire avec malice, mais il est au final incapable de faire convenablement ce qu’il veut montrer. Certains diraient qu’il est une fraude, je dirais qu’il est un artisan très très très imparfait.

      • Ah perso j’avais bien apprécié ce film cluedo moi, avec un jeu d’acteur que j’ai beaucoup apprécié (oui un peu cliché, mais c’est bien d’en avoir parfois) et un montage captivant. Et, au risque de paraitre miope, je n’avais pas du tout discerné l’élucidation du crime (en même temps quand je regarde un film, j’aime bien me laisser surprendre,sans forcément chercher les ficelles avant les révélations).

        Ryan Johnson a clairement beaucoup de potentiel, et malgré la qualité du film, ça s’est senti dans Star Wars XIII, mais ce qui me donne le plus d’espoir, c’est son film Looper que je recommande chaudement

      • Exact, car avant même d’être arrivé à la moitié, on comprend ainsi que si le film continue malgré que le spectateur soit dans la confidence…
        Soit c’est que ça devient autre chose qu’un Whodunit, c’est à dire uniquement une critique du libéralisme en mode iconoclaste etc…
        Soit c’est qu’il y a un assassin caché, et que l’affaire n’est pas du tout résolue.
        Mais les deux en même temps, c’est un peu trop pour une seule histoire crapuleuse. Ou alors on va en Angleterre et on se refait « Gosford Park » de Robert Altman, ça passe mieux.

        Donc après ça ne peut se jouer qu’entre la vraie gentille venue du Sud, et le mâle alpha américain arrogant qui débarque en venant semer la zizanie avec gourmandise (excellent Chris Evans tout de même), avec au milieu un Craig qui est tout benoît et blanc comme neige, littéralement (!?!).
        Et non seulement les autres personnages ne servent plus à rien, mais en plus seuls ceux ouvertement « de droite » sont pitoyables, et bien moins les deux un peu plus ouverts (Meg et sa mère, à peine hypocrites). Ce qui donne un côté beaucoup trop « pro démocrate » qui est lui-même hypocrite, alors que c’est plus savoureux d’être en mode « Pas de Quartiers pour tous les camps ! »

        Mais plusieures scènes du film, et notamment les dernières, sont très importantes car elles laissent entendre que Marta va cesser d’être une caricature de fille au grand cœur qui s’excuse d’être là, comme le souligne naïvement Blanc. Et rendre coup pour coup en gardant l’argent pour aider sa mère, en arrivant à se retenir de vomir en mentant pour faire un coup de bluff pervers, et en devenant le nouveau « portefeuille » de la famille, ne s’ouvrant que si Elle Le Décide.
        Enfin un peu de méchanceté, quel soulagement !

        Voilà, ce n’est pas qu’un film à gros casting…
        Ni juste un film de Daniel Craig, où il jouerait cette fois les bulldozers de l’intellect plutôt que du muscle (il est introduit de la même manière que dans « Casino Royale », assis tout au fond de l’écran)…
        Non, c’est avant tout un film de Ana de Armas, entièrement à sa gloire. C’est peut-être ça le plus subversif.

        Toutefois, on peut considérer que Rian Johnson avait trouvé un meilleur équilibre (paradoxalement cahotique) dans le VIII, puisque la Saga Star Wars contient historiquement cette légèreté enfantine et méta. Et que le V est lui-même un détournement en forme d’antithèse – Luke découvre que le grand maître Yoda n’y est rien d’autre qu’un muppet… Un muppet ! Doublé par Miss Piggy !! (Frank Oz apparaît d’ailleurs dans « À couteaux… »).
        Au moins, ça participe à une prise de distance salutaire avec une Saga écrasante, mais qui ne touchera pas les fans au même moment de leur vie (voir jamais, pour certains).

  2. Rien qui ne me fasse envie là dedans mais je découvre Tokyo Revengers avec un plaisir non dissimulé. J’arrive pas à lâcher l’anime depuis hier soir. C’est fou comment les japonais sont capables d’inventer des histoires toujours originales et qui cartonnent.
    J’aimerais que les ricains aient le quart du dixième de leur talent au lieu de ressortir des suites, des spin offs ou des remakes.
    D’ailleurs ce Cow-boy Bebop ne me dit rien qui vaille, vu que c’est Neflix mais par contre ils ont mis en ligne l’original à côté duquel, je suis passé. Je me laisserais bien tenter.

    • C’est bizarre car j’ai moyennement aimé Tokyo Revengers, peut être est ce dû au fait que je trouve l’histoire trop proche de erased ( le voyage dans le temps).

      • Idem j’en avais parlé il y a je crois deux ou trois semaines. Pour moi ce n’est pas trop le fait qu’il soit trop proche d’Erased mais plutôt un blocage envers le personnage principal (maintenant les héros de Shonen sont tous des Deku en puissance ) et son entourage.

        • Pas vu Erased (ni entendu parler) donc je peux pas donner mon avis.
          Concernant le personnage principal, le héros pleurnichard… je partage pas ton avis.
          C’est pas un Goku, un Naruto ou un Seiya, invincibles. C’est un mec comme toi et moi, pris dans des bagarres qui le dépassent physiquement et il fait comme il peut et ça j’aime.
          Maintenant, j’ai pas vu trop de mangas avec des Deku (j’ai wikipédié je l’avoue). Son côté, je pleure deux fois minimum par épisode est relou mais d’un autre côté les autres persos puent tellement la classe.
          Et puis le thème de base, j’adore. Remonter le temps pour connaître chaque erreur qui ont fait de nous ce qu’on est aujourd’hui. C’est juste génial.

        • En faite ça m’énerve que c’est devenu limite la norme dans les derniers Shonnen. Ce coté looser pousser a l’extrême qui pleurniche tout au long franchement je n’adhère pas . Naruto, Ichigo (bon lui il ne l’est pas résté trop longtemps) ou meme Seya ont commencé aussi comme des looser mais il avait la tète haute quoi , ils sont plus inspirant.

          Pour Erased c’est le même principe juste que ça se passe dans une ville rurale que le personnage principal retourne à l’âge ou il a 10-11 ans et doit empêcher le meurtre d’une camarade de classe. De plus très tôt dans la série les aller retours deviennent impossible du coup ça accentue le suspens. Et puis il y a le coté les Gonnies Stranger things avec une bande de gamin. l’animé n’a que 12 épisode si sa te tente.

  3. Seulement un épisode Sabrina dans Riverdale ? Je pensais que ce serait plus 🙁

    Apres vu le niveau de Riverdale par rapport à Chilling Adventures on va déjà voir si la cw est de taille à vraiment accueillir le personnage.

  4. Vu le film Injustice.
    Par où commencer ?

    En général je défends toutes les précédentes adaptations DC, mais là… y a pas mal de pb…

    Adapter les BDs, le jeu vidéo et même un arc dans les BDs d’Injustice 2, le tout en un seul film !? C’était perdu d’avance. La solution aurait été de faire 2 films, le premier relatant QUE l’année 1, puis le second 5 ans plus tard avec l’histoire du jeu.

    Du coup je peux comprendre que certaines intrigues et certains personnages soient occultés (Black Canary, Alfred, Lex Luthor, Martha Kent (pourquoi y a que le père d’ailleurs ?), Gordon, Batgirl, etc) ainsi que la faible participation des autres (Green Lantern et Shazam), mais c’est choquant à voir et ça détruit l’intérêt de l’histoire…

    La scission entre les héros DC se résume qu’entre Superman/WW vs Batman/Catwoman, le reste, soit ils ne participent pas au conflit, soit ils meurent alors qu’ils ne sont pas censés l’être (Flash avant Loïs, sérieux ?). Pire ! Tout le monde fini par se retourner contre Superman à la fin ! L’intervention de l’autre Superman n’a plus d’intérêt !!

    On ne ressent ni la dangerosité du rêgne de Superman, ni le dépassement de Batman.
    Côté émotion ? Ça s’enchaine beaucoup trop vite. Pas le temps de voir pleurer les pertes avec des larmes, il faut avancer le scénario…

    Quelques point positifs de cette version : On retrouve quelques scènes et dialogues des comics, Robin est moins connard, et le personnage de secours qui intervient à la fin est une bonne surprise.

    Pfiou ! J’en avais gros… mais je comprends les décisions faites. Film regardable pour les non connaisseurs d’Injustice mais potentiel gâché.

    Sinon série : Squid Game et je reprendrai après l’Attaque des Titans maintenant que j’ai terminé la saison 2 de Breaking Bad.

  5. Je me suis enfin décidé a jouer au jeu gardiens de la galaxie.
    Grosse surprise ! J’en attendais rien après la présentation a l’e3 que j’avais trouvé un peu bof et au final ca a été une super expérience. J’ai fait le jeu en quasi un weekend, incapable de le lacher et ça m’a donné envie d’en voir plus de cet univers là.

  6. Vu Eternals.
    Bien, très bien. Il ne fallait pas plus long. Agréable de voir des formules différentes dans le MCU, après tout c’est là qu’ils s’en sortent le mieux.
    Une galerie de protagonistes intéressants, aux motivations bien dessinées sans être caricaturales. J’ai trouvé les Deviants réussis, et les plans impliquant les Célestes magnifiques. Je suis plus circonspect sur Kro, mais au final l’histoire me fait tellement penser au lore Moissonneur des Mass Effect que j’ai compris le projet derrière.
    Vraiment, j’ai apprécié.

    Revu Grave Encounters 1 pour pouvoir voir le 2.
    Après un found footage d’épouvante solide, classique mais efficace, le 2 dynamite complètement l’univers, avec un propos méta perturbant, puis une étrange surenchère. Et finalement, le déclic se fait et tout prend une dimension vraiment incroyable d’écriture, à se demander si tout est faux ou tout est vrai. Tout prend sens, même les jeux un peu outrés, même les effets cheaps, même les clichés et facilités. Le 1 n’avait clairement pas besoin de ce 2, mais l’ensemble est juste incroyablement réussi. Et oui je sais qu’il se fait exploser par les 3 pauvres critiques de Rotten Tomatoes.

    Vu Jojo Rabbit.
    Extraordinaire. Une sorte de La Vie Est Belle avec une touche de burlesque noir. Scarlet Johanson y est géniale, l’acteur principal est vraiment bon, et Sam Rockwell bien sûr, toujours un des meilleurs de notre époque. Les partis pris visuels, musicaux sont osés (le générique d’intro!). La guerre et le IIIème Reich vus avec la candeur et la psychologie d’un enfant, avec une justesse folle. Du rire aux larmes au rire aux larmes au…eh bien la fin.

    Commencé à lire l’Escadron Alphabet. Bien, voyons où ça nous mène.

  7. Pas mal de film pour moi cette semaine
    No Time to die : je suis y aller avec quelques appréhensions vu certains critiques , mais au final le film est pas mal. après je ne comprend pas comment un film de 2h40 peut autant raté son vilain, et ce n’est pas un raté a cause de l’acteur ou du scénario juste une question de temps d’apparence qui est très minime et qui fait qu’on ne croit absolument pas dans cette dualité entre lui et Bond. Mais bon le film est quand même assez bon grâce au reste du casting qui assure et de bonnes scènes d’actions. le film clôture assez bien l’histoire de ce James bond.

    The harder they fall: Western avec un casting 100% afro-américains et pas du petit casting Idris Elba, Regina King Jonathan Majors et d’autres. Le film reprend des personnage ayant réellement exister et leurs fait croiser leurs route pour donner lieu à une histoire inventé. Malgré que le film ne sort pas des sentier battu du genre et reste très classique , là encore son casting et la musique du film nous font passer un bon moment devant .

    Red Notice: Il y a des films calculé au millimètre par les studios ,là on a droit a un film calculé au millimètre par son trio d’acteur , The Rock , Gal Gadot et Ryan Reynolds. Limite j’ai du mal a appeler la chose un film tellement l’idée derrière n’est pas de raconter une histoire mais laisser ces trois là faire leurs show. Tout le monde fait ce qu’il sait faire, le problème reste que ça sonne tellement calculé et impersonnel qu’il n’y a aucun plaisir derrière. La seule qui peut-être prend un mini risque c’est Gadot mais là encore elle ne pousse pas assez son interprétation pour sortir d’une zone de confort.

    Bon oui vu les critiques pour Cowboy Bebop j’appréhende l’animé est culte et pas que j’attendais grand chose de l’adaptation Netflix mais bon . En tout cas cette semaine Netflix a annoncé le casting pour One Piece , la encore on va voir s’ils vont faire éclater le portefeuille pour la Fx ou pas. Parce qu’ils ne l’ont pas fait pour Cowboy Bebop.

  8. LOCKE AND KEY :
    Ai terminé la S2 il y a peu. Une série sur le passage à l’âge adulte déguisé en fantastique. Pas mauvais du tout et ça fait bizarre de voir Aaron Ashmore et de se dire que, non, ce n’est pas Iceberg mais son frère jumeau !

    CHUCK :
    Beaucoup en rêver, Prime Vidéo l’a fait. CHUCK est disponible sur la plate forme d’Amazon et ça fait du bien.
    Pour ma part avais vu un épisode par ci par là du fait d’une diffusion moyenne a la télé. Et p.tain que c’est bon ! En suis au début de la S2 et ça me donne qu’une envie : voir la suite !!

    FLASHBACK
    Pour sa première réalisation, Caroline Vigneau offre a Prime un film progressiste qui mériterait d’être vu par le plus grand nombre !
    Sous forme de comédie, l’humoriste dépeint plusieurs siècles de lutte pour les femmes avec un certain brio. On pourra peut être par contre s’interroger sur le talent de Caroline Vigneau mais c’est peu par rapport au résultat final

  9. J’ai enfin fini de voir le vrai cowboy bebop. Et mazette comment avais-je fait pour ne pas voir ça plus tôt. Du coup aucune envie de regarder ce qu’en fera Netflix.
    Par contre Arcane… WoW. Des concepts arts a chaque plans !
    Mais bon cette semaine ce sera de nouveau Doctor Who et Dickinson (avec Kate Bishop/Hailee Steinfeld)

  10. Ce sera Cowboy Bebop pour moi, l’adaptation semble sympa. Pour la roue du temps j’ai un peu peur, autant la sf on arrive à faire de bons trucs avec un budget de séries tv « ordinaire », autant l’heroic fantasy il faut du gros budget pour que ça rende bien. Puis leurs histoires de modernisation me font peur, à tout les coups cela va concerner les relations amoureuses de Rand.

  11. Découvert les Scary Movie pour la première fois en 2021.
    C’était vraiment drôle (impossible a faire aujourd’hui), mais dès que les Wayans ont quittés la réalisations, on a vraiment perdu au change, le 4 et le 5 sont les moins bons, voir très mauvais.
    Par contre, c’est beaucoup plus drôle si on a vu les films d’horreurs correspondants aux parodies, évidemment.

      • Je confirme, très drôle, même s’il est presque indispensable de voir « Elle est trop bien » pour se rendre compte d’à quel point le genre de la « teen rom com » est pété jusqu’à la moelle. Le film en est la parodie directe.

        Et, plus confidentiel mais très réjouissant: Spoof Movie (Don’t Be A Menace To South Central While You Drink Your Alcohol In The Hood) des frères Wayans, qui pastiche les biopics de jeunesse dans le ghetto noir.

        • LOL je me rappellerai toujours le junkie… »vas y file moi une dose, je te s… la b….. » « vas y ok » XD XD XD
          Belle parodie des New Jack City, Boys in the hood, menace to Society….

          Et oui les frères Wayan trop bons, même dans les navets type Fausses Blondes Infiltrées, je me marre

  12. Red Notice : Le film le plus fade, sans vie, sans originalité que j’ai vu depuis longtemps. Si un film aurait été fait par une intelligence artificielle c’est celui là avec trois des acteurs principaux les plus ennuyants et les moins attirants qui font toujours la même chose. Rien ne vaut le coup dans l’action, l’histoire est banal, rien à récupérer.

    Cry Macho : Un film paisible pour l’inépuisable Clint Eastwood, on peut appeler le film sans ambition et sans intrigue et cela ne serait pas loin de la vérité, mais ça reste un film honorable pour un réalisateur/acteur qui continue à 91 ans ce qui est déjà légendaire en soit. Un film qui marche très bien comme son possible dernier film, en attendant son prochain.

    The French Dispatch : Aussi Wes Anderson que possible, le plus similaire à The Grand Budapest Hotel dans son choix d’une période temporelle précise et de jouer dans les format d’image différent. Son cadrage et son blocking m’impressionne toujours, et il arrive encore à se réinventer en ajoutant des choses différentes.

    Non seulement il y a Cowboy Bebop qui va sans doute être un exemple qu’une adaptation d’un anime n’est pas forcément une bonne idée, mais aussi Hellbound sur Netflix la série de Yeon Sang-ho (Dernier Train pour Busan).

    • CRY MACHO
      Entièrement d’accord. On sent après GRAN TORINO qui enterrait le Eastwood policier type INSPECTEUR HARRY que le réalisateur acteur souhaitait aussi mettre un point final à l’image de son cowboy.
      Un film presque testamentaire même si Eastwood semble invincible et n’arrêtera le cinéma que avec son dernier souffle.

  13. Hanna : Avalé les 2 premières saisons (la 3 sort ce 24 novembre). Parfois des problèmes de rythme dans ce reboot du film de Joe Wright qui suit une ado aux « compétences particulières » (non ce n’est pas la fille de Liam Neeson), mais j’attends quand même avec impatience.

    The Looming Tower : Passionnante mini-série avec Tahar Rahim et Jeff Daniels qui théorise sur le fait que la rivalité et l’absence de partage d’infos entre le FBI et la CIA à la fin des années 90 ont ouvert la porte au 11/09. Excellentes interprétations.

    Red Notice : Ok ce n’est pas un chef-d’oeuvre, mais c’est fun et ça détend. Et Reynolds cabotine tellement bien… (ok, il ne sait sans doute faire que ça).

  14. Si vous êtes fan d’animation, je vous recommande vivement Arcane sur Netflix.
    J’ai fini que le 1er acte (les 3 premiers épisodes), je suis déjà conquis.

    J’étais un peu réticent pour 2 raisons: je ne suis pas fan de League of Legend (ni du style de jeu); ensuite, j’ai une petite allergie au cell shading (2,5D).
    Ces appréhensions se sont vite balayées après avoir vu le style de la série lors du visionnement du 1er épisode. Je ne sais pas si la série est fidèle au jeu mais les scénaristes ont réussi à raconter une histoire rythmée, et un univers intéressant. La direction artistique est sublime, le style est assez européen, chaque plan ressemble un artwork, c’est très joli et soigné.
    Généralement, l’animation en cell shading est assez moche ou inégale, ce n’est plus pas du tout le cas pour Arcane, j’ai entendu dire qu’il y a eu aucune motion capture, chapeau aux animateurs.
    Ça fait depuis longtemps que je n’ai pas bingewatch quelque chose, je pense que je vais enchaîner les actes 2 et 3 ce week-end ☺️

    • Merci tu me le fais découvrir, je vais tester, en plus animation cocorico et les retours sont très bon dessus 🙂 et j aime vraiment ce visuel du coup je vais m y lancer sans lire synopsis ni matter de vidéos, comme ça full surprise 🙂
      Merci encore 🙂

      • C’est des Français qui l’ont fait ? 😮⁉️ Je sentais bien une patte européenne.

        Hier soir, j’ai enchaîné le 2e acte (ep 4 à 6), j’aime beaucoup, c’est vraiment bluffant pour du cell shading, la BO est pas mal non plus. Je vais mater le 3e ce matin en espérant que la fin soit aussi bon que le 1er.

        Comme je n’avais rien à me mettre sous la dent après l’acte 2, j’ai ensuite maté le 1er épisode animé (BO génialissime 👍) puis live de Cowboy Bebop. La réalisation du dernier est assez fun mais franchement… il faudrait que Netflix fasse des efforts avec les chorégraphies, après Jupiter Legacy, maintenant Cowboy Bebop, à croire que la boîte file le même chorégraphe à ces prods…
        C’est assez sympa que la série ait gardé l’aspect visuel du générique du début de l’anime, par contre, pourquoi ils ne l’ont pas fait pour celui de fin ?
        Je ne suis pas fan de jazz ni de blues mais le générique de fin de l’anime « Real folk blues » est sublime. Je l’ai découvert que hier et wow !
        Version 2020 😍 :
        https://www.youtube.com/watch?v=8GwE0wwMmKE

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