Le bar de Galactus #142 : Les Animaux Fantastiques – Les secrets de Dumbledore

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Un peu de magie dans ce monde de brutes… Les Animaux Fantastiques : Les secrets de Dumbledore sort mercredi sur nos écrans, troisième opus d’une pentalogie qui fait malheureusement plus parler pour les polémiques qui gravitent autour d’elle – cf. J.K Rowling, Johnny Depp, Ezra Miller – que pour ses qualités cinématographiques. Malgré tout, trouvez-vous votre compte dans ces spin-offs ou souhaiteriez-vous voir la franchise Harry Potter s’orienter dans une autre direction ? Sans transition, à l’heure où certaines conventions mordent la poussière à cause du Covid-19, un nouvel événement compte bien s’imposer dans le paysage geek français… le Paris Fan Festival (7-8 mai, Porte de la Villette). Il se trouve que j’ai cinq places à vous faire gagner (voir le tweet ci-dessous). Alors qui sait, peut-être aurez-vous l’occasion de serrer la pince à Tyler Hoechlin, alias Superman ! Bonne chance et belle semaine à tous…

Le professeur Albus Dumbledore sait que le puissant mage noir Gellert Grindelwald cherche à prendre le contrôle du monde des sorciers. Incapable de l’empêcher d’agir seul, il sollicite le magizoologiste Norbert Dragonneau pour qu’il réunisse des sorciers, des sorcières et un boulanger moldu au sein d’une équipe intrépide. Leur mission des plus périlleuses les amènera à affronter des animaux, anciens et nouveaux, et les disciples de plus en plus nombreux de Grindelwald. Pourtant, dès lors que les enjeux sont aussi élevés, Dumbledore pourra-t-il encore rester longtemps dans l’ombre ?

64 COMMENTAIRES

  1. @LTH : Est-ce-que tu pourras faire stp le moment venu un point sur les séries SH renouvelées (ou non) sur les networks et plate-formes US ?

    • Tout ce qui est en cours est dans le calendrier des séries Marvel/DC Comics : http://lestoilesheroiques.fr/2015/05/le-calendrier-des-series-tv-marvel-et-dc-comics-2015-2017.html

      Au-delà, il n’y a que The Flash et Superman & Lois qui sont renouvelées pour l’instant. On croise fort les doigts pour LoT et Batwoman, mais ça a l’air compliqué cette année. 🙁

        • Pour Star Wars, c’est comme Marvel/DC Comics, il y a une page calendrier dans la colonne de droite du site : http://lestoilesheroiques.fr/2020/12/calendrier-films-star-wars-series-a-venir-2021-2022-2023.html

          The Boys (3 juin) et Umbrella Academy (22 juin) n’ont pas de page, mais elles reviennent bien évidemment bientôt !

          • Sinon les Upfront de Warner Bros Discovery seront pour le 18 Mai du coup des nouvelles des séries pas encore renouveller vont bientot tomber.

        • En tout il y a un mouvement qui commence à faire du bruit sur les réseaux sociaux concernant LOT . Du coup il y a de l’espoir par contre Batwoman pas beaucoup de gens se mobilise donc il se peut que la série ne revienne pas surtout que la prod est occupé par l’autre projet de la Batfamily.

  2. J’ai adoré les Secrets de Dumbledore. Fan de l’univers, j’ai passé un super moment. Le meilleur des 3 pour moi. Hâte de voir la (les) suite(s).

  3. Niveau films Harry Potter pour moi il y a les trois premiers puis il y a les autres. Le 3 est bon, mais c’est là que commence le manque de respect envers l’œuvre, voir ron en tenue moldu à l’école alors que les sorciers n’ont pas de tenue moldu en plus quelle horreur. Après ça on a eu une succession de films moyens et de plus en plus irrespectueux des livres.

    Pour les animaux fantastiques j’avais trouvé le premier pas si mal, il manquait clairement quelque chose mais c’était un divertissement qui était tout à fait honorable. Je n’ai pas arroché au second film, il a un peu trop tombé le ridicule et des retournements de situations ultra prévisibles. Je suis quand même de curieux de connaitre le dénouement final, après de ce que j’ai lu des 7 livres harry potter l’histoire de Dumbledore envers son ami Grindelwald ne semble pas respecté. On apprend dans les livres que c’est leur amitié qui a fait que Dumbledore a toujours fermé les yeux sur lui avant de ne plus pouvoir faire autrement que lui faire face. Je trouve que cela apporte une dimension plus dramatique au personnage, surtout qu’il était sous-entendu qu’il y avait plus que de l’amitié entre les deux du côté du Dumbledore, mais l’auteur n’a jamais dit si c’était allé plus loin que de l’amitié entre les deux.

  4. Pas fan inconditionnel des films Harry Potter (pourtant une saga de ma génération, j’avais lu les premiers tomes avant le premier film et j’ai tout lu par la suite)

    Les 2 premiers sont fidèles, le 3 est le meilleur objet cinématographique, et après ça s’enfonce… à part peut-être l’épisode 7 partie 2 qui relève le niveau (et pourtant le seul que je n’ai pas vu au ciné tant la 1ère partie m’avait laissé indifférent => La mort de Dobby = pire moment gênant)… Une franchise inégale, en dent de scie et à la direction artistique trop fluctuante…

    Et les Animaux Fantastiques… Le besoin de continuer la franchise sans trop savoir ou aller avec un perso principal inutile dans le 2 et un 3ème volet qui s’annonce encore avoir le cul entre deux chaises vu sa promo… (suffit de voir le titre « Les secrets de Dumbledore » en énorme et en tout petit en haut à gauche « Les animaux fantastiques »)
    J’irai le voir pour me changer d’air côté blockbuster même si ça me fait ni chaud ni froid.

    • (Pour le titre sur les affiches, c’était déjà pareil pour le second volet. La mention « Les animaux fantastiques » était déjà plus petite, y a que pour le premier que ce n’était pas le cas (logique). Ce sera probablement la même chose pour les deux derniers opus s’ils voient le jour. ^^)

  5. Je ne sais pas si j’irais voir les animaux fantastiques pourtant j’ai vu toute la saga Harry Potter au cinéma. Pas à cause des polémique (meme si j’avoue ne pas avoir beaucoup de respect pour ce qu’est devenu Rowling) mais le dernier film ne m’a pas laissé un bon gout donc. Mais bon j’ai lu quelques bon retour notamment sur la relation assumé entre Dumbledore et Gellert Grindelwald donc si j’irais ça sera en trainant des pieds en espérnt que le film soit bon.

    Sinon vu Atlanta saison 3 épisode 4: d’habitude j’attend la fin de la saison pour parler d’une série, mais là l’épisode 4 est un épisode anthologique. Et que dire que c’est une masterclasse. L’épisode est une sorte de Get out mais pour homme blanc. Ou dans un univers paralelle un homme noir a gagné en justice sa plainte pour indemnisations contre un milliardaire dans les ancentres avaient les ancentre de l’homme noir comme esclave. et ça déclanché un vent de panique au USA ou tout le monde commence a se renseigner sur son arbre généalogique.

    L’épisode traite de l’idée de l’indémnisation pour les descendants des esclaves comme elle est fantasmé par les consarvateurs (en gros si on accorde l’indémnisations ,les noirs ne vont plus travailler , vont nous harceler apour leurs donner de l’argent….) , l’épisode est une vraie satire avec des air de black mirror et prend un point vue original sur la question meme si ça m’a rappellé le fameux sketch de Dave Chappelle dans le chappelle show sur cette question il y a de cela pas mal années.

    • Atlanta m’a encore surpris, dans cet épisode qui nous rappel que la série se déroule bien dans un univers alternatif mais pas si irréaliste en proposant des idées intéressantes. Ici le « White guilt » comme on peut l’appeler, où les blancs sont culpabilisé et harceler par les noirs à cause des actes de leurs arrières-arrières. C’est un truc qui n’arrivera jamais mais illustre la place que les afro-américains ont et à quel vitesse leur vie peut être être bousculé. Y’a aussi l’hypocrisie des blancs, comme l’ex du perso principal qui n’a pas de culpabilitée parce qu’elle a du sang Péruvien, il faut pas louper quand elle utilise un emoji de couleur différente après avoir trouvé son héritage x)
      Apparemment le gars qui se suicide est celui du bateau du premier épisode, y’a tellement de trucs à analyser dans cette série.

      • J’avais noté le coup de l’émoji. D’ailleurs en parlant du premier épisode , c’est tiré d’un vrai fait divers (pas le bateau mais l’histoire avec les enfants) . Et ça montre aussi comment les services sociaux au USA sont a deux vitesse et trés sont à cheval sur les afro-américain pret a ne rien pardonner n’hésitant pas à prendre les enfants dans des familles d’accuielles qui sont pas mal de fois que des bisnness pour recevoir des aides de l’état.

  6. Grand fan de Harry Potter. L’arrivé d’un nouveau film Les Animaux Fantastiques est un plaisir pour moi. Découvrir le vrai monde des Sorciers en dehors de Poudlard et du Chemin de Traverse.

    Le 1 très sympathique, le 2 un peu en dessous mais pas pour les débats ou incohérences que le film à susciter. Concernant Credence (Croyance) je fais entièrement confiance à l’autrice pour nous donner une explication viable. Elle a créé cet univers, son oeuvre, l’a peaufiné et elle le fait toujours. Elle sait ce qu’elle fait.

    Pour revenir au 2, je le vois plus comme un long film introductif pour la suite. Et il ne passait pas grand chose en terme de péripéties. Mais ça restait plaisant à voir et en plus ça se passe à Paris.

    Concernant la saga Harry Potter, j’ai une préférence pour les derniers (7.2-4-5-6-7.1), puis les 2ers bien qu’enfantin. Le 3 est apparement considéré comme le meilleur film alors que ce n’est pas du tout le cas pour moi… trop de choses essentielles ont été éclipsés.

  7. J’ai pas aimé suffisamment le premier film pour aller voir le second. Et ensuite toute l’histoire avec Depp etc m’a complètement coupé l’envie.

    Je reviendrai au cinéma pour du HP quand ils adapteront l’Enfant Maudit, ou quand ils feront des histoires avec des synopsis qui m’intéressent. ^^
    Avec le lore sur Pottermore il y a large de quoi faire.

    • Désolé mais j’espere qu’une adaptation de « l’enfant maudit » ne verra jamais le jour. Le scénario est tellement mauvais et cliché. Par contre je serais trés content du’une nouvelle aventure avec le trio principal.

      • Je partage l’opinion de Ulysse. Puisse l’Enfant Maudit ne jamais être adapté au cinéma ! Sur la scène d’un grand théâtre avec des moyens et des effets, ça a sûrement de la gueule, et j’aime bien qu’ils aient osé une Hermione noire, mais sur le papier l’intrigue à vraiment des airs de grosse fanfic malfoutue et incohérente (franchement, Cedric Diggory, le Poufsouffle par excellence, qui vire Mangemort parce qu’on l’a humilié à une épreuve des Trois Sorciers ?!).
        Je n’en retiens qu’une seule bonne chose : l’évolution de la relation Drago-Harry, qui manquait à la conclusion des 7 livres/8 films. Et ça c’est quelque chose que j’aimerais voir repris, si un projet post-Reliques de la Mort voit le jour.

        • Il est vrai que le scénario de l’Enfant Maudit n’est pas fou fou… j’ai buggé quand l’explication de l’Enfant Maudit a été donné tellement que ça ne correspondait pas à ce qui été raconté dans la saga principale.

          Par contre je serai curieux de voir comment ils ont retranscrit les effets parce qu’il y a des moments où j’ai du mal à imaginer ça dans un théatre.

        • Licence théâtrale pour Hermione… Sauf erreur, elle n’était pas décrite avec une ethnie précise dans les livres, ce qui fait que n’importe quelle actrice pourrait l’interpréter avec encore plus de facilité. Tant qu’elle colle à sa personnalité.

          • Je confirme, elle n’a jamais été décrite à ce point dans les livres.
            Et malgré ça, certains n’ont pas pas toléré que l’Hermione de la pièce de théâtre ne ressemble pas à Emma Watson. Triste.

          • Intolérance automatique surtout. Voir même robotique, virtuel.
            Ignorer et dénier toute importance à ses erreurs de jugement manifestes, c’est peut-être le mieux à faire – ça se disolvera en peu de temps.

      • Oh je sais qu’il y a des gros problèmes dans la pièce de théâtre. J’espère que si l’œuvre est adaptée, elle sera en partie modifiée aussi pour avoir un truc moins incohérent avec la licence.

        Mais perso, le pitch de base… Bah j’aime beaucoup haha
        Voyage dans le temps, réécriture de la ligne temporelle etc, ça peut donner des trucs complètement dingo à l’écran !

        Une sorte de Endgame avant l’heure (sur le papier) en somme !

        • ça commence a devenir trop rededans de retrouver ce genre d’histoire dans les plus grande franchise.Meme Star wars a ouvert cette porte dans Star Wars Rebel mais sans s’engouffrer dedans.

  8. Ca a l’air pas mal ce Paris Fan Fest, du monde y est déjà aller ? Sachant que je ne suis jamais aller à ce genre de convention, la Comic-Con doit être cool aussi.

  9. Vu les Animaux Fantastiques 3 dimanche. Le meilleur des trois selon moi, mais ça reste quand même un peu mou du genou. L’affrontement entre Dumbledore et son amour de jeunesse laisse à désirer, celui contre Voldemort dans la saga Harry Potter est bien plus prenant. On sent qu’ils veulent laisser Ezra de côté tant son intrigue est bazardée dans l’indifférence.

  10. « Les Animaux… »… Plus par habitude Potterienne ciné, malgré la lenteur absurde qui plombe leur rythme. En attendant le moment où David Yates sera moins écrasé par la mainmise de JK Rowling – une littéraire, sans lien avec la cinématographie, et dont les points de vue personnels et sans animosité (!) ne sont pas un programme politique auquel obéir. Sans blague.

    Vus :
    Toujours Robert Wise. Toujours dans le pessimisme, et la condamnation des bellicismes et de l’excès d’ingénuité (sauf si vous avez l’énergie de Julie Andrews). Toujours très fort.

    Les deux volumes de l’adaptation filmée de « Tamara » – le deuxième étant plutôt facultatif en fin de compte. Mais la sympathie (grâce aux acteurs) et la bonne énergie sont à l’écran.

    « NCIS ». Bienvenue à Gary Cole, dans un rôle de héros mature moins strict et plus cool. L’impression d’avoir un beau-père qui s’imposerait tranquillement dans une famille.
    Également un petit goût de ce qu’était la série à ces tous débuts, avant que les zones d’ombre de Gibbs viennent ajouter de la gravité.

    « Hunger Games : La Révolte partie 1 »
    Il y a du mieux… Certes il y a encore des twists qui ne sont pas très bien amenés (le chat, ou le final).
    Et des codes spécifiques aux Young Adults, mais qui arrivent à être utilisés à bon escient : l’héroïne aime toujours deux garçons, chacun à sa façon (qui choisir ?). Mais comme Peeta est toujours traité de manière sensible, tel un damoiseau en détresse, c’est plus incongru, original.
    Et l’économie de moyens dans certaines scènes est plus salutaire qu’on ne le croit – le gros bombardement, montré et ressenti seulement par le son et via la peur des victimes impuissantes.
    Reste que le fait de concentrer uniquement le parcours de Katniss au sein de l’armée de rebelles offre une perspective intéressante quand on se rend compte que le Jeu (médiatique) n’a en fait pas du tout cessé, faisant s’entrechoquer cette fois deux types de propagandes, l’une oppressive et l’autre libertaire… Mais toutes les deux reposant sur une manipulation de la vérité, sur le Contrôle. Et où la sincérité émergente devient même une opportunité exploitable pour gagner des points. En fait, c’est Hollywood…
    Rien ne change, pire encore quand l’ambiance guerrière au milieu de ruines et de destructions (dont une séquence d’extraction militaire typique, mais reposant sur une diversion télévisée) ne fait que nous rappeler des contextes réels bien connus, dont l’ukrainien actuel… et leurs images télévisées, aussi bien terribles que politisées.

    Début de la saison 2 de « En thérapie »
    N’est-ce pas un peu redondant d’avoir à la fois Charlotte Gainsbourg et Suzanne Lindon au casting ? – mêmes profils toutes les deux.
    En reposant beaucoup sur des conséquences, de façon encore plus direct que la précédente saison. Et avec un compte à rebours mortifère lié à l’une des nouvelles patientes, qui passe pour être le point central crucial du parcours du trop humain Dayan.
    On verra de ce qu’il en est pour les mécanismes d’écriture, s’ils seront visibles ou non.

    « Independance Day : Resurgence »
    Trop de personnages secondaires inutiles cassent le rythme d’une bonne histoire de SF dystopique (il y avait déjà eu une bande dessinée montrant l’après Guerre des Mondes, la récupération de la technologie alien etc). Un peu de temps consacré aux personnages principaux aurait apporté le supplément d’âme qui manque aux films de Roland Emmerich.
    Trop d’ambition non assouvi pour en faire également un film d’aventure suffisamment cool et hargneux… Et qui finit littéralement comme un prequel de « Starship Troopers » – aller traquer les envahisseurs chez eux, sans pitié (et sans jugeote ?).

    « La Dernière Fanfare »
    Ça fait du bien de choper un John Ford manquant. Surtout quand la programmation opte pour une œuvre politisée en plein premier Tour français, pour bien nous rappeler la poudre aux yeux que représente le vote par affinité de personnalités – comme si ces fonctionnaires, qu’on n’a aucune raison d’aimer intimement, étaient des stars bien agréables qu’il fallait plébisciter, qui sont des sauveurs aux pouvoirs illimités… quelle Horreur, quelle naïveté !
    Surtout aussi quand il s’agit de Spencer Tracy faisant un numéro plein de bagout génial, de calculs fourbes, mais aussi d’une blessure profonde et personnelle ainsi que d’une sincérité dans ses envies à défaut de ses méthodes. Ce qui bien sûr marche parce-qu’on le suit, et qu’on le comprend, au lieu de juste regarder son allure publique ou sa légère arrogance.
    « Je préfère voter pour un séduisant filou que pour un parfait idiot ».

    Et puis, c’est le parfait complément de « Vers sa Destinée », où Ford s’intéressait au début d’une carrière politique prestigieuse en re-iconisant Lincoln par la base.
    Tandis que là, c’est une fin de carrière qu’il nous montre, avec ses autres zones d’ombre.

  11. Toujours pas compris l’intérêt de ces animaux Fantastique :
    – les animaux ne servent à rien que de l’anecdotique, la resolution de probleme grace à eux dans un monde où tu peux tout par une formule magique n’a pas vraiment de sens .
    – les persos sont nazes,en tete celui de Ezra Miller dont les scenaristes ne savent pas quoi aire depuis le debut, Norbert a qui au bout de 3 films on se demande comment on peut lui filer une mission alors que c’est un manche doublé d’un autiste ( et pas le genre Rainman ).

  12. Vous avez vu ça ? Warner avait bien anticipé le truc…

    « La Chine censure Les Animaux Fantastiques 3 afin que Dumbledore ne soit pas gay. Les autorités n’ont eu qu’à enlever 6 secondes du film pour cela, ce qui laisse penser que le film a été conçu pour permettre de le censurer facilement. »

    https://www.news.com.au/entertainment/movies/new-movies/harry-potter-movie-the-secrets-of-dumbledore-censors-gay-references-in-china/news-story/be44212178049e2789bee3a3904a22bc

    • La censure des contenus gay ça date que de l’an dernier. Avant on pouvait faire des films ou des séries BL sans problème.
      Ce qui assez hypocrite, c’est que ce type de contenu est censuré au cinéma et en drama mais pas en anime. Il y a donc des donghuas (anime chinois) avec des contenus gay ou des personnages LGBT. Les manhuas et les romans ne sont pas non plus concernés par cette censure qui ne concerne que l’audiovisuel live.

  13. C’était pourtant pas difficile de faire une saga sur un mec qui voyage dans le monde magique pour répertorier toutes les créatures magiques. Non car à part le 1, c’est pas une saga qui parle d’animaux. Dans le 2 c’était tellement forcif, le scénario parle de Grindelwald et Dumbledore, comment tu places une intrigue avec des animaux là-dedans ? C’est une saga prétexte. Norbert est juste censé être un magizoologiste, et le voilà embarqué en première ligne du combat contre Grindelwald. Il était où le mec quand y’avait Voldemort ? Il a un ‘caméo’ dans le 4 on sait qu’il est à Poudlard à ce moment, mais à l’époque c’était juste ce qu’il aurait dû rester : un magizoologiste, avec aucune importance sur l’intrigue principale. Les Animaux Fantastiques, plus Dumbledore/Grindelwald la saga de films…

    • D’accord avec toi. Pour moi ils auraient dû partir sur un titre plus général (les Chroniques des sorcier, un truc du genre) afin d’éviter de se cantonner à un personnage auquel on donnera un rôle qui le dépasse largement. Quand on voit Dumbledore qui dit, en gros, à Norbert qu’il va devoir aller se taper contre Grindelwald alors que ce dernier est l’un des sorciers les plus dangereux et que Norbert n’est même pas spécialement décrit comme un sorcier prodigieux… On a du mal à comprendre.

      Nan je pense qu’ils auraient dû faire une saga de plusieurs petits films sur l’univers magique sans forcément faire une saga sur un groupe de personnages bien défini. (un film sur les animaux fantastiques était largement suffisant, un autre sur les origines des maisons de Poudlard, etc…)

    • … peut-être parce-que Dumbledore est lui aussi associé à un animal fantastique (le phénix Fumseck) ?
      Des bêtes étranges sont présentes tout du long de cet univers, depuis le début de la Saga… Pas pour rien ?

      Par contre, il aurait fallu que chacun de ces films aient un registre différent pour qu’ils puissent se distinguer individuellement. Un qui soit explicitement du Polar, un qui soit de l’Aventure, un qui soit de la Comédie etc… Y a de l’idée, mais ça n’y est pas assez.

  14. Bon, vu aussi les Animaux Fantastiques 3. J’avais moyennement apprécié le premier que je trouvais un peu lourd dans sa mise en place et la multiplicité de ses intrigues. Avec les mêmes défauts, j’avais néanmoins beaucoup aimé le 2 qui avait l’avantage de prendre pas mal d’ambition visuelle et de présenter un méchant magnifiquement incarné qui me semblait bien plus impressionnant que Voldemort, tant par les idées que l’interprétation. Et visuellement, certaines séquences étaient absolument sublimes.

    Pour le 3, je trouve qu’on est en dessous des 2 premiers. Visuellement, c’est d’une tristesse absolue, avec des décors très génériques qui n’ont aucune vie. On ne ressent pas l’existence du monde des sorciers comme avant. La petite rue de Kowalski, le ministère de la magie allemand, le temple de la confrontation finale et, pire, même Hogwart, sont des coquilles vides qui ne semblent ni vivantes, ni fonctionnelles. On perd la réalité propre à l’univers sorcier d’habitude. Il n’y a rien de vraiment transportant, le Qilin est juste vilain à regarder, l’immense parenthèse avec les scorpions chelou est chiante à mourir en plus d’être inutile (je me suis endormi, perso) et, évidemment, malgré tout le talent de Mikkelsen, son Grindelwald est d’une banalité affligeante. Alors évidemment, il était inutile d’essayer de copier ce que proposait Depp, mais bon, là… Pffff… On est finalement plongé dans une banale intrigue politique qui a de mauvais arrière-goûts du 1er tour de la présidentielle avec des enjeux pas vraiment excitants.
    Reste quelques passages sympathiques, et une galerie de personnages attachants, mais l’ensemble reste vraiment très anecdotique, à ce stade.

    Déçu, du coup. Mais heureux que d’autres en soient sortis plus satisfaits que moi ^_^

  15. « Les Animaux, les amis mâles, et leurs maux dont ils ne veulent dire mot »

    Il y a bien du mieux par rapport au précédent, épisode de transition qui tournait trop autour du pot entre divers mystères tortueux, et n’utilisant pas à plein le potentiel séduisant de Jude Law et Johnny Depp.

    Ici tout est clair et essaie moins de sur-scénariser : étant dans un prequel, il est évident qu’il n’y aura toujours aucune audace faisant basculer les guerres entre sorciers jusque dans le monde des humains/moldus, car ça serait un évènement trop marquant pour être effacé par facilité – mais dans une autre Saga future, peut-être ?
    Tout est confiné pour ne rien empiéter sur l’importance des volets centrés sur Harry Potter, et donc tout restera circonscrit à un seul monde… Qui sera surtout le reflet à la fois de l’époque passée (qui justifie le discours de Grindelwald) Et actuelle – la montée des Extrêmes bien sûr.

    Que raconter dans ce cas-là ? Et bien, une fois les bases bien, bien posées, il s’agira surtout de continuer à faire exister la marque Wizaring World, mais en s’amusant plus ouvertement à créer de jolies moments esthétiques, entre-autres. D’ailleurs ce n’est pas le seul cas au sein de la Warner, qui propose d’autres gros films franchisés Tout Public, aux héros fragiles « acceptables » et à l’imagerie chic/monochrome, mais aux scenarii à la fausse complexité (« Dune », « The Batman »…). Des trucs pour enfants qui se prennent pour des adultes, et qui attendent un jour de pouvoir péter les coutures dans leur Saga.
    On y est aujourd’hui avec ce troisième opus des « Animaux Fantastiques » : plus aucun intérêt à y démêler quoi que ce soit de profond et de trop politique dans le scénario, complexifié surtout par des codes surnaturels impossibles à comprendre, où le « Chut, c’est Magique ! » devient plus cinématographique, voir sensitif. Même si la présence de Steve Kloves comme co-scénariste permet à peine de garder une cohérence, en incluant même des résumés d’intrigues (amusants) pour ceux qui ont eu de la peine à suivre tout ce qui se passe.
    Le réalisateur David Yates a beau être coincé depuis 15 ans dans des couleurs grisâtres matinées de numérique (pas toujours très lisible), ici on peut sentir que grâce à ce scénario moins lourd, il se libère plus dans sa mise en scène, pour créer des instants qui ne sont pas qu’efficaces et surtout, sont encore mieux composés artistiquement. Sans non plus égaler l’Expressionnisme d’époque, et avec encore quelques carences de rythmes, il y a suffisamment pour régaler les yeux sur un grand écran.
    Et même si Poudlard (et donc les films d’Harry Potter, la musique de John Williams etc) restent le Centre de cet univers, il y a là aussi suffisamment d’Aventure, dans des course-poursuites autour du Globe, à base d’espions et de valises précieuses – filmées non pas comme du Indiana Jones, mais comme du Le Carré pour les gosses.

    De plus, sans avoir à nouveau à suivre le « cheminement de l’Élu » qui soutenait toute l’histoire de Harry, et qui est très prévisible – découverte, apprentissage, pertes, traumatismes, acceptation, épanouissement – il se confirme que ces « Animaux… » reposent majoritairement bien sur l’idée de ne justement pas suivre un itinéraire trop balisé, où l’on prédirait facilement comment réagirait les personnages dans l’intervalle n’ayant bénéficié d’aucune description dans l’univers canonique de la Saga :
    Ainsi Norbert Dragonneau étant un (anti ?) héros bel et bien adulte/autiste (d’où son manteau bleu ?), il ne peut donc avoir un parcours lui permettant de devenir un leader très sûr de lui, capable de tenir des discours galvanisants et forts. Ce n’est pas sa nature, on doit alors accepter qu’il ne soit pas un protagoniste plus actif, mais néanmoins bon et volontaire.
    – de plus, il n’est pas explicitement désigné comme autiste par les autres car évidemment les termes existants dans les années 30 seraient soit injurieux (retardé, idiot…), soit bienveillants mais assez infantilisants (timide, lunaire…). Ici on ne le réduit pas à un terme médical évident. Et même en étant interprété par un acteur neurotypique, il existe juste tel qu’il est, sans qu’il y ait toujours du jugement à son égard. Sûrement une idée fixe de JK Rowling, qui peut également passer pour de la pudeur british –

    Si Dumbledore et Grindelwald (recasté sans explication diégétique) sont plus explicitement des décalques de Xavier et Magnéto – le côté « X-Men » est pertinent, et on y a même une « prof Hicks/X » – donc des archétypes politiques entre modérés et extrémistes, leurs échanges ponctuels toute en douceur grave les orientent vers des blessures secrètes, romantiques et irréparables. Les fameux « Secrets » du titre, liés également au frère taciturne Alberforth.
    Jude Law et Mads Mikkelsen les jouent tout en subtilité.
    Quant à Croyance (à l’ascendance enfin éclaircie), il s’impose surtout comme un anti Harry Potter, un Élu puissant qui n’aurait pas été recueilli à temps pour ne pas devenir une arme vivante, et souffrant continuellement comme une plaie ouverte.
    Selon la logique réactive de cette série de films, il ne pouvait pas nécessairement être le personnage central.

    Selon sa logique de production, les acteurs font le job, essaient de petites choses mais n’y sont utilisés que s’ils présentent un intérêt dans l’instant.
    Tina Goldstein n’était plus très convaincante ? Cette fois elle se met à l’écart et Lally Hicks prend aisément sa place (très charismatique Jessica Williams).
    Les hauts et bas de l’histoire romantique entre Jacob et Queenie n’ont pas toujours grand sens ? Grindelwald rate sa prise de pouvoir belliqueuse ?
    Aucune importance, le seul but est maintenant d’atteindre l’optimisme au lieu d’exploiter facilement la noirceur.
    Les personnages secondaires ? Fonctionnels, peu facultatifs.
    Les Animaux ? Toujours là dans un but d’émerveillement et de sentiment Écologique, voir même Animiste.

    JK Rowling semble vouloir contrecarrer une ambiance apocalyptique qu’on voyait venir de très loin, et dont l’issue va prendre son temps – jusqu’en 1945 ?
    En attendant, ce film là sait se conclure de manière claire (mais avec un fort sentiment de mélancolie). Et le spectacle visuel vaut bien le détour.

  16. LES ANIMAUX FANTASTIQUES : LES SECRETS DE DUMBLEDORE
    Un film à gros budget de plus sans aspérité aucune et au scénario parfois incohérent ! C’est hallucinant quand on sait que c’est JK Rowling à la baguette (de moins en moins magique…) et qu’elle avait programmé des pans entiers de la fin de Harry Potter dès les premiers tomes !
    On sent surtout avec ce 3e opus une volonté de la part de Warner d’assurer les arrières ! Le film sert en effet à la fois de fin convenable tout en laissant place à des suites possibles. Ca fait mal pour un Wizard World qui a explosé le box office durant autant d’années.

    COEUR DE BRONZE (NetFlix)
    Petit film passé inaperçu autant au cinéma que sur la plateforme de streaming, COEUR DE BRONZE (ou THE BRONZE en V.O.) est pourtant une œuvre qui sort un peu des productions basiques.
    A voir surtout pour l’interprétation tout en couleurs de Melissa Rauch, la Bernadette de THE BIG BANG THEORY.

    METAL LORDS (NetFlix)
    Un film d’adolescent autour du hard rock & co. qui utilise l’univers musical tel le rnb / rap dans les films de danse.
    A éviter clairement car même le casting des enfants rattrape que trop peu des idées indignes (et que dire des caméos…)

  17. Je viens de visionner Spiderman No Way Home sur Google Play
    La première partie de qualité égale aux autres épisodes de Spiderman, je me suis ennuyé. La seconde partie quasi parfaite. Nostalgie, humour, émotion : un yoyo émotionnel (sauvetage de MJ…) qui capture l’essence pure de la mythologie Spiderman et cette fin mélancolique… Une page se tourne.

    • « La seconde partie quasi parfaite. »

      Je crois que je viens de me brûler les yeux ^^

      A voir si tu continueras d’avoir cet avis quand tu le revisionneras sans l’effet découverte du fan service

      • Peut-être qu’il l’a déjà fait, en s’abstenant de reprendre servilement cet argument rebattu. Puisque c’est un fait que le Fan-service, c’est toujours quelques secondes gratuites (Matt Murdock, ou le Martien dans le dernier « Justice League » par exemple).
        Tandis que là, tous les revenants principaux (grâce à un accès multiversel qui a déjà été présenté) sont là pour longuement continuer leur arc narratif, et/ou servir celui de Holland en pleine refonte, même par petites touches – pour ne pas non plus lui voler la vedette.
        Suffisait de bien utiliser ses yeux, au lieu de suivre simplement les autres ?

        • Tout à fait, j’aime les films Marvel (aspect « feuilleton »), mais assez hermétique à l’effet Fan Service, private joke, ou Easter egg. Et je pensais avant de visionner le film que les Spiderman serait du pur Fan service sur les 10 dernières min. Et la bande-annonce chez Marvel quasi bravo, juste basé sur les 30min du film sauf la fameuse scène 3 vs 3 (2 effacé) qui aurait dû ne pas être dans la bande-annonce.

          Le fan service n’améliore pas la qualité d’un film, alors que l’apport des Spiderman dans les dialogues et interactions a une résonance très différente, ils partagent leurs expériences, solitudes, douleurs. Ils aident Peter Parker à devenir un vrai Peter Parker dans l’essence de Spiderman et pour A Garfield à soulager ses peines.
          Et c’est ce que j’ai vraiment apprécié plus que les combats.

          • Et bien ce côté feuilletonant accepte d’autant plus les clins d’œil, montrant ainsi de façon plus rapide qu’on est toujours dans un contexte bien établi, qu’on ne remet pas tout éternellement à zéro à chaque opus. Par la drôlerie, c’est moins lourd que si on se perdait en descriptions explicatives trop sérieuses. Permettant de ne jamais trahir l’idée qu’on est dans un divertissement rythmé, plus nécessairement soutenu par le visuel (ce n’est plus une obligation, surtout que ce sont des histoires plus portées par les personnages) et que les gens de la production n’essaient jamais de se prendre pour plus complexifiés qu’ils ne sont.
            Mais quand le clin d’œil débarque de nulle part si ce n’est des comics, sans liens préétablis dans une autre production existante (Starfox par exemple est présenté comme frère de Thanos)… Là dans ce cas on est dans le pur fan service, qui ne parle qu’aux fans érudits des œuvres d’origine… mais qui laisse sur le côté le Grand Public – lequel Grand Public connaît sans problème aucun les précédents films de Spider-Man, multi diffusés à la télé.

    • Juste histoire de bien montrer à quel point cette scène de NWH voulant s’inspirer de celle de TASM2 est juste nulle en comparaison :

      https://www.youtube.com/watch?v=5PCvAce1HnI&ab_channel=Pqnic

      Il n’y a rien de travaillé, c’est visuellement pauvre, ça dure deux secondes… Quelle indignité !

      • Tout à fait d’accord, la scène de l’horloger est la scène mythique de TASM2 côté réalisation et stupéfaction. Le ralenti donnait tellement l’impression qu’il allait la sauver et ils arrêtent le ralenti juste à la quasi fin. C’est la force de la scène. On est choqué.

        Et celle de No Way Home très courte, pas de pathos mais il y a un fort pouvoir de suggestion. Quand vous avez vu la scène même très courte, vous n’avez pas ressenti l’émotion qui habitait le personnage et que MJ ne comprenait pas la situation ?

        • « Quand vous avez vu la scène même très courte, vous n’avez pas ressenti l’émotion qui habitait le personnage et que MJ ne comprenait pas la situation ? »

          j’ai surtout eu l’impression que le film me hurlait au visage « t’as vu, là il devrait y avoir de l’émotion car ça fait référence à une scène que tu connais. Mais si je te jure ça devrait avoir de l’effet. Ah non dommage… »

          Je vois des bons points dans ce film mais très honnêtement rien qui n’implique les deux autres spider-men

      • @archer Je ne m’en lasserai jamais de ta ref
        https://www.youtube.com/watch?v=DPdfuKXWr_4&ab_channel=kinglizard

        Sinon je plussoie évidemment (pepou aussi) ^pour la scène de l’horloge, tellement incomparable

        Sinon Pepou je rejoint aussi weapon x pour ce qui est du revisionnage, bon perso j ai moyen aimé le 1er visionnage (beaucoup de bruit et tout pour ça, meme si Garfield est ZE SPIDERMAN) mais j’ai litteralement détesté le revisionnage, là où par exemple ça m’a dès fois aidé à mieux comprendre le film, l’apprécier puis l’adorer de plus en plus à chaque visionage (BVS, Fight club par exemple)

        Là je pense aussi qu’une fois le coté fan service mis de coté, il n’y a rien à sauver dans le film (avis totalement subjectif bien sûr)

        La mort de ….. je me suis dit, bon débarras, aucune « poésie » dans les CGI, je trouve qu’on est à mille lieue de
        https://www.youtube.com/watch?v=9Lf9b3kdgmk&ab_channel=CINEMATICSTYLE

        Bref j’ai quand même discuté avec quelques personnes qui avaient bien aimé, mais pour le revisionnage, ça a été plutôt unanime DA 0 , fourre tout, humour 0, manque de respect total à Octopuss, et Strange qui sont les 2 bouffons du film (sacrilège)

        Souvent ça m’énerve que des gens souhaitent qu’un film se casse la gueule, mais pour le coup j’aurait aimé que ce soit le cas pour NWH. Cette trilo a reussi (mon avis obv) à faire de pire en pire au fil des 3 films.

        Bref mon seul espoir c est qu’on ne devrait plus bouffer du spiderman millionaire high teck, mais bon est ce que le mal n’est pas déjà fait ? Les jeunes fans accepteront-il un spidey sans le sous, avec ses seules toiles et son intelligence comme arme ?

        Total HS mais on parle de spiderman, je viens de finir Miles morales sur PS, juste après avoir fini Arkham knight …. Mon dieu le fossé entre les 2 jeux (Et ne me posez pas la question duquel est meilleur que l’autre 😉 )

        • C’est prévu que je ne revisionne pas le film pour garder les bonnes impressions de la seconde partie du film.

          En espérant que les futurs Spiderman (si avec Holland) reviennent aux fondamentaux avec un autre réalisateur plus talentueux.

          • « En espérant que les futurs Spiderman (si avec Holland) reviennent aux fondamentaux avec un autre réalisateur plus talentueux. »

            J’ai peur du syndrome DBZ…faire du plus en plus cheaté car les gens n’accepteraient pas de downgrade, mais j’espère évidemment me tromper et aussi espère un retour aux fondamentaux et une meilleure réa

  18. Peut-être ^^

    Mais agréablement surpris, l’interaction entre les 3 a été plus travaillé que je pensais. Ce n’est pas l’action que j’ai apprécié dans cette partie, mais clairement les dialogues qui ont abordé leur solitude, le poids de leur vie, une réhabilitation de Andrew Garfield et cette fin mélancolique. Peter Parker n’est plus le lycéen insouciant bavard, il a beaucoup de évoluer dans le film.

    • En gros, sa tante est morte parce-que il voulait que son pote, sa copine, sa tante et Happy n’oublient pas qu’il est Spiderman et au final tout le monde l’oublie. Le côté puéril est devenu tragique.

      • un des élement que j’ai trouvé tellement WTF
        Autant pour Ultron, ça part d’une connerie, mais avec du fond (prix à payer pour protéger la Terre), pour EG, pourquoi pas, même s’ils ont risqué de faire détruire l’univers pour en sauver la moitié qui était morte 5 ans avant (donc deuil fait, de plus apparemment le monde va mieux).

        SPOILER NWH

        Mais là, la raison du pourquoi le sort à foiré ( et pourquoi faire ce sort déjà ) j’ai trouvé que c’était vraiment se foutre de la gueule du public, surtout que, comme tu le souligne, au final, tous l’oublient…. bref 🙁

        • J’ai trouvé qu’en fait que l’initiative de Peter, la nature du sort demandé (les gens oublient que Spiderman est Peter Parker), pourquoi le sort a foiré, pourquoi il n’a pas essayé de convaincre le MIT avant d’avoir à recourir à Dr Strange (Dixit le dernier) montrent une situation absurde et un Peter immature.

          Et que sa décision à la fin de demander à Dr Strange que tout le monde oublie Peter Parker, couper les liens avec tout les gens qu’il aime et malgré sa promesse, de ne pas reprendre vraiment contact avec eux, rend la situation poignant, mélancolique.
          Une fin amère.

          Si j’étais T. Holland, je dirais que il n’y a pas mieux comme fin pour sa participation au MCU.

          • Peut-être pas tant l’immaturité que le fait d’avoir goûté au confort en étant parrainé très tôt par Stark – cohérent avec la vitesse de connexion entre les êtres aujourd’hui, par rapport aux années 60 et cie.
            La solution aisée qui consiste à ne pas hésiter à faire appel aux moyens considérables que possèdent des adultes, on voit que ça a aussi ces limites : Strange est demandé alors qu’il n’est plus Sorcier Suprême, et depuis se cantonne à des sorts d’oubli fastoches (alors que rien n’est simple avec Peter).
            Et la technologie Stark utilisée n’est finalement pas plus forte que les pouvoirs ou le machiavélisme des vilains venus d’en dehors du MCU : ce dernier ce fait ainsi pirater, il n’arrive pas complétement à écraser les autres univers.

            Conclusion… confirmation que le MCU ne peut pas aider à résoudre certains problèmes. On a toujours la possibilité de faire sans.

            Mais ne pas oublier la « prophétie » de Mysterio. Il lui avait bien dit que sa naïveté le perdrait.
            Et en même temps, prendre l’initiative de tenter de guérir des vilains tous instables, même s’il doit en payer doublement le prix, c’est quelque chose de naturel qu’il assume. Tant que c’est tout seul, sans que ça retombe sur ses proches.
            Il y a toujours un côté sacrificiel en lui.

  19. Ou j’aurai dû ajouter de la paresse, beaucoup de naïveté.
    Ce Peter Parker est naïf.

    Celui de T. Maguire maladroit dans ses relations.
    Celui de A. Garfield un peu crâneur, confiant
    (dans mes souvenirs, il faudrait que je revoie les 5 films).

    • Disons surtout un grand cœur…
      Plutôt similaires, mais à des degrés différents pour chacun – Maguire très doux, et conservateur à la Ditko… Garfield plus énergique et dans une ambiance initiale plus vengeresse (assez inédit)… Holland énergique proche des modernes, Ultimate en tête (car il est ado), en étant autorisé à être ouvertement plus fan de ses aînés.

  20. FINI LES EXAMS ! Mais on retourne au boulot mardi !

    Vu « Les Animaux Fantastiques 3 ». Meilleur que le précédent, mais pas à la hauteur du premier.
    Le film est caractérisé par ses lenteurs, prend le temps de faire évoluer la situation et on ne sait au départ pas vraiment où les personnages veulent en venir, errant de quête secondaire en quête secondaire. Au point que la résolution semble du coup un peu facile ? On sentait venir de loin qui serait la dernière pièce à être posée sur l’échiquier (même si on pouvait avoir un doute). Croyance / Aurelius, joué par Ezra Miller, un peu effacé. Le personnage semble être pris entre plusieurs feux et ne pas savoir dans quel camp se ranger. D’où des positions un peu incohérentes et un jeu moyen. De même pour Yusuf Kama où on ne comprend pas vraiment pourquoi il rejoint le camp de Grindelwald pendant une bonne partie du film (à quoi servait-il ? A espionner ?).

    Au final, le film parvient à apporter une vraie fin à son histoire (même si temporaire car il y a encore 2 suites). Ce que je veux dire, c’est que contrairement aux « Crimes de Grindelwald » qui ne semblait être qu’une partie 1, « les Secrets de Dumbledore » sont bien une partie 2 qui amène l’intrigue à son terme.
    Cependant, il faut se poser la question de savoir ce qu’apporte le film à la mythologie du Wizarding World ? En effet, tout l’intérêt du film, c’est qu’il apporte des éléments supplémentaires. Et la réponse est rapide : RIEN. On a un développement de la relation entre Dumbledore et Grindelwald pour bien confirmer qu’ils sont amoureux (on s’en fiche, on le savait déjà). Des quêtes annexes de Norbert en Allemagne puis au Bhoutan qui nous permettent juste d’apprendre que Grindelwald n’a pas réussi à devenir président de la Confédération magique (bon ok, pourquoi pas ? c’est le coeur du film, mais est-ce que ça change vraiment quelque chose au statu quo ? au début, Grindelwald est recherché. A la fin, on suppose fortement qu’il est recherché). Reste que le pacte de sang entre Dumbledore et Grindelwald est rompu… encore une fois par le pouvoir de l’amour. C’est un peu facile.
    En somme, donc, on en apprend pas beaucoup plus. En cela, le film est donc assez moyen. On se dit qu’on a attendu 4 ans pour une énième péripétie dans la guerre contre Grindelwald (qui fait quand même bien moins peur que Voldemort, alors que son emprise est mondiale et que celle de Voldemort était restreinte à la Grande-Bretagne). Et qu’il faudra attendre 4 ans pour la suite. S’acharner à vouloir faire une saga « Les animaux fantastiques » alors que ceux-ci n’ont qu’un rôle de figuration, mieux valait entamer une saga « Dumbledore vs Grindelwald » qui aurait été plus sincère. Bref, un peu à l’image de sa stratégie sur DC, on sent que Warner tâtonne sur son Wizarding World. Ils veulent raconter l’affrontement final entre Dumbledore et Grindelwald en 1945 et ont choisi d’étaler ça sur 5 films… mais ils ne savent pas quoi raconter dans 4 de ces derniers. On se retrouve donc avec un premier film introductif sympathique, un second qui donne l’impression d’être une partie 1, un troisième fade… le quatrième ?

    Enfin fini Lucifer après des années. Les 3 dernières saisons sont clairement les meilleures, avec une montée d’intérêt. L’explication de l’auto-actualisation est clairement l’aspect le plus intéressant d’un point de vue philosophique. Sinon, c’est une série policière lambda avec des intrigues amoureuses un peu niaises la plupart du temps.

    Fini X-Men’97 saison 2. Toujours de bonne qualité (pour l’époque). Affrontement final contre Monsieur Sinistre au poil.
    Lu Marvel Comics 4. Fin de « La conspiration du Caméléon », qui à l’image des Animaux fantastiques, n’apporte pas grand chose. A quoi ça servait ? Début de la « Sinister War » avec une grosse baston qui part dans tous les sens et retour « final » de l’Âme soeur. Iron Man, Cantwell prend toujours son temps. Pas mal. Thor : tout en douceur là aussi.
    « Les Tortues Ninja Tome 16 » : intrigue rapide contre le Roi des rats, mais qui a le mérite de faire briller plusieurs membres du Panthéon. Et retour de Leatherhead.
    « Transformers War World » : on entre dans le vif du sujet, maintenant qu’Optimus est dans la place.
    « Power Rangers : Ranger Slayer » : Des intrigues annexes sympathiques, qui font vibrer la carte de la nostalgie en proposant des versions « alternatives » des personnages des années 90.
    Commencé à lire le crossover Revolution. En VO vu que j’ai raté les publications VF et flemme d’acheter. Du coup, il me manque un peu le contenu exact, j’arrive pas à trouver quels chapitres exactement ont été publiés par Vestron ? Est-ce que le prologue est compris ? Contenu de Revolution Extension 3 ?

    • Assez d’accord avec ton analyse sur les animaux fantastiques, même si je serais plus dur que toi envers lui tant certains passages sont profondément sans intérêts et servent juste à meubler- à l’image d’une saga dont ils avaient le début, la fin probablement, mais 3 films dont ils ne savent pas quoi faire au milieu.

      A l’inverse j’ai passé un bon moment de divertissement devant Morbius. Bashing immerité pour un film qui ne vole certes pas très haut, mais tout à fait honnête dans sa démarche d’origine story (je ne parle pas de la promo elle très puteàclique) .

    • Pour Les animaux fantastiques, je rajouterai que j’ai critiqué l’importance de Yusuf Kama. Mais il en est de même de Jacob. Lui avoir remis une fausse baguette servait à ? Pas grand chose hormis le petit tour de passe-passe lors du repas où il est accusé de tenter d’assassiner Grindelwald. Et ça n’a trompé personne. Les sorciers ont bien compris que c’était un Moldu. Hicks aurait pu faire la même chose sans sa baguette. Il aurait pu être intéressant que Grindelwald sous-estime justement Jacob, et que ce soit lui qui amène la résolution. Mais ce n’est pas fait.

      Idem pour Thésée qui est envoyé au casse-pipes au début du film. On l’envoie confronter Vogel, tout ça pour qu’il se fasse enfermer et fasse perdre du temps à l’intrigue. Du coup, il a servi à quoi au juste ?

      Au final, donc beaucoup de personnages secondaires qui ne servent à rien. Les seuls réellement intéressants sont : Dumbledore, Grindelwald, Vogel, Santos, Dragonneau et son assistante dont j’ai oublié le nom. Et voilà, les autres après servent pas à grand chose…
      Abelforth et Croyance ont leur petite intrigue de leur côté (mais qui n’apporte rien).
      Hicks de son côté fait un bon personnage de soutien, et de l’autre Jacob et Queenie qui concluent leur propre intrigue.

      Je pense que j’ai bien plus hâte de voir (jouer ?) à L’héritage de Poudlard, qui m’a l’air d’un bon gros bonbon acidulé. J’ai peur de la désillusion. J’espère vraiment qu’il sera bien.
      Sinon, pour ceux qui connaissent, sur portable, il y a le jeu Hogwarts’ Mysteries, qui développe une intrigue très captivante (mais très longue). Ça, c’est bien !

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