Le bar de Galactus #182 : The Last of Us

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

C’est parti pour la sortie la plus attendue de ce début d’année… The Last of Us ! La chaîne HBO a diffusé cette nuit le premier épisode – sur neuf – de l’adaptation du jeu vidéo post-apocalyptique de Naughty Dog. Est-ce le début d’un nouveau phénomène à la Game of Thrones ? Après Grogu, Pedro Pascal – le super-papa préféré de Hollywood – protègera-t-il avec le même succès Ellie ? Et surtout, cette série s’imposera-t-elle comme LA référence en terme d’adaptation vidéo-ludique ? En tout cas, on ne peut qu’apprécier le fait qu’elle soit déjà disponible sur Prime Video France, une plateforme qui comble doucement l’absence de HBO Max dans notre pays. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu ces derniers jours ? Quelle serait votre arme de prédilection en cas d’apocalypse zombie ? A vos joysticks et très belle semaine à tous, malgré le ‘Blue Monday’ !

20 ans après la destruction de la civilisation moderne, Joël, un survivant aguerri est embauché pour aider Ellie, une jeune fille de 14 ans, à s’échapper d’une zone de quarantaine oppressive. Ce qui ne devait être qu’un petit boulot va rapidement tourner en une aventure déchirante à travers les États-Unis, où ils devront compter sur l’un et l’autre pour survivre.

29 COMMENTAIRES

  1. On verra ce soir ce que ça donne =)

    Vu:
    – Saint Maud: excellente plongée dans la folie, très belle réal et excellente Morffyd Clark (Galadriel). Film très surprenant sur ses partis prix et une fin qui nous laisse estomaqués

    – Le Menu: Très bonne idée sur le papier que cette espèce de prise d’otage culinaire par un chef qui cherche à se venger des ultras riches (c’est toujours bien quand des ultras riches se font humiliés). Mais le film ne va pas assez loin et ce malgré une toujours excellente Anya Taylor Joy, un toujours super Nicholas Hoult et un Ralph Fiennes toujours juste.

    – La fin de Alice in Bordelands: Cette série est surprenante tant elle ose des trucs, tant elle réussi des choses et tant elle se vautre dans d’autres… C’est bien trop long et des fois bien trop courts, les choix sont assez hasardeux. Beaucoup trop d’expositions, des épreuves soit trop longues, soit bien trop courtes, des personnages soit trop approfondis, soit inexistants… Toujours l’impression d’être sur un fil entre le top et le flop. Mais au moins il y a une fin et ça c’est toujours bien !

    – Sons of Philadelphia: très chouette film de gangster dans lequel ça parle plus que ça ne tue. A rapprocher de l’excellent The Drop (avec déja le très bon Matthias Schoenaerts).

    Revus: La lutte des classes (sympa) / The Kid who would be king (très cool film sur le roi Arthur pour les plus jeunes), King of Staten Island (superbe tragi-comédie)

    Lu:
    -Banana Sioule T2 : Du shonen simple et efficace à la française par un des co-auteurs de LastMan, très cool

    – Seven to eternity: Je me remet tout doucement dedans, c’est toujours sublime et toujours mortel

    – Batman One Dark Knight: Jock au dessin toujours une valeur sure, il faut maintenant que je termine pour voir ce que vaut Jock au scénario mais pour le moment c’est du tout bon. Batman n’est jamais meilleur que dans des récits ramassés sur eux mêmes comme ici.

  2. Ah mais oui, c’est vrai que c’est aujourd’hui que sort The Last of Us Remastered Remake Definitive Edition.
    Pour moi, la référence des adaptations de jeux vidéo elle existe déjà, elle s’appelle Castlevania.

  3. Quand on a en mémoire les quelques films ou séries qui ont lorgné sur la configuration narrative de ce jeu vidéo (« Logan » par exemple – fille/protecteur/paysages désolés)… Reste à savoir si cette adaptation arrive juste à temps pour revendiquer sa place légitime.

    Vu :

    – Toujours des films de Georges Lacombe, agréable faiseur au service de sujets, de genres cinématographiques et d’acteurs. Dont une comédie de remariage délicieuse – « Florence est folle » – que n’aurait pas renié le meilleur du cinéma américain.
    Ainsi que l’un des rares rôle « à performance physique » de Jean Gabin, dans « La nuit est mon royaume ».

    – « Vortex »…
    Cool, non seulement le rythme tient, avec tous ses rebondissements stressants. Mais les personnages se mettent moins de limites.
    Reste que l’identité du coupable semble vite acquise (facile : quel est le proche de Mélanie auquel personne ne pense assez ?).
    Allez, voyons si la conclusion sera à la hauteur.

    – « Sonic, le film »…
    Ça partait sur des a priori négatifs – dont le Ugly Sonic, le mélange cartoon/comédie beauf américaine, les nombreux clins d’œil populaires, le doublage français…
    Mais finalement tout ça trouve une certaine harmonie (surtout pour le petit écran) grâce à un enthousiasme innocent, qui n’est avare ni en énergie ni en émotion (de temps en temps).
    Le danger de voir la production utiliser plusieurs éléments clés du jeu vidéo, pour avoir une intrigue aventureuse rationalisée, fait penser au traitement jadis cyberpunk de l’adaptation de Super Mario Bros. Mais grâce aux moyens modernes à l’œuvre, on ne tombe pas dedans.
    Parce-qu’on est habitué depuis un certain temps aux films mêlant des personnages cartoonesques à un environnement réel… et ici, ils restent suffisamment limités pour éviter l’indigestion complète et le fouilli visuel.
    Parce-qu’on est habitué aux effets visuels de super vitesse (bien qu’il n’existe pas beaucoup de films avec des héros bolides) ou aux drones tueurs…
    Parce-que cette origin story garde une part de sobriété, construisant peu à peu l’identité des personnages principaux.
    Loin de tout sectarisme, la vf par Malik Benthala et sa voix d’éternel gamin en manque d’affection, permet elle-même d’empêcher de réduire le héros à un affreux môme irresponsable.
    Bref c’est pas énorme, ça a quelques grosses bêtises (des adultes immatures, des militaires facultatifs) mais c’est rigolo, y compris quand Jim fait le Carrey à fond la caisse. Explicitement enfantin, assumé.

    – « Jour J »…
    Dans la Bande à Fifi la délicieuse Reem Kherici est celle qui raconte moins d’histoires de potes et d’amoureux immatures, et plus de quêtes de reconnaissance (pour l’héroïne principale qu’elle incarne tout le temps)… c’est une autre sensibilité, quoi ?
    Tout ça en gardant la même exigence dans les gags visuels chorégraphiés à coup d’effets destructeurs, bien qu’un chouia moins apocalyptiques chez elle. L’affiche du film en devient ainsi trompeuse : le climax déglingué de l’histoire n’intervient pas au moment du mariage en titre, organisé en désespoir de cause sous de multiples embûches, mais plutôt avant lors d’une double soirée d’enterrement de vie de garçon/jeune fille, bien torchée.
    Dommage que, pour garder un rythme comique et ne pas se disperser trop, les personnages secondaires se limitent à des archétypes très drôles, pas toujours unidimensionnels (à part pour François-Xavier Demaison, énorme en pote beauf aux conseils et à la barbe de psychopathe). Mais chez qui on distingue ainsi des arcs narratifs… dont on ne verra jamais l’aboutissement.
    Rien sur l’absence cruciale de famille du protagoniste de Nicolas Duvauchelle – pourtant central, sorte de variation sur le Ben Stiller des « Femmes de ses rêves »…
    Rien sur le fait que celui de Lionnel Astier connaisse (c’est dit brièvement) la mère instable que joue Chantal Lauby (ex amants ? père caché ?) etc etc… Comme si ça avait été coupé parce-que ça ne marchait pas, ou que ça alourdissait le tout.
    Pour mieux se recentrer donc sur l’héroïne et sa quête personnelle, qui sait rester touchante jusqu’au bout, heureusement.

  4. ABOUT FATE ( Amazon )
    J’adore Emma Roberts mais Amazon a abusé avec cette comédie romantique mollassonne. Ça se laisse voir

    TIRAILLEURS ( Cinéma )
    D’un point de vue historique, le film a son importance. D’un point de vue artistique par contre… Déçu donc.

    LAST CHRISTMAS ( Netflix )
    Une « comedie romantique » surprenante qui déstabilise de façon intéressante son spectateur au fil du film pour terminer par un dernier acte émotionnellement assez fort.

    HITMAN AND BODYGUARD 2 ( Amazon )
    Aucune surprise dans cette comédie d’action ou chaque acteur, Ryan Reynolds en tête, fait son jeu habituel. Les scènes d’actions sont mal tourné mais le film arrive a amuser le spectateur assez aisément avec ces blagues de maternelles. J’exagère a peine mais on se prend aisément au jeu

    THE CROWN S5 ( Netflix )
    La meilleure série de la plateforme ? Peut être !
    La saison 5 enchaîne avec une aisance folle les moments forts avec un sentiment assez dur de tragédie.

  5. Willow: la série Fantasy patchwork WTF, qui navigue en permanence entre l’absurde comique volontaire, des scènes « pop » (mettre du rock ou de la pop dans la fantasy), quelques séquences très jolies, bien réalisées et d’autres en manque d’inspiration, des séquences mal découpées ou raccourcis scénaristiques. Mais au final sympathique.

    The Bear: grosse claque.
    On ressent le coup de feu, la montée d’adrénaline, le bordel catastrophique, qq personnages au début antipathiques mais finalement attachants.
    Très belle fin de série/saison (qui pouvait conclure la série) avec en guest un acteur du Marvel Series qui illumine sa seule scène.

  6. Je me méfie de cette adaptation.
    Neil Druckmann a supervisé l’ensemble donc ça sera bien fait.
    Le soucis, c’est que le jeu est déjà une sorte de « film interactif » (et quels incroyables jeux !!) et si c’est pour que la série reprenne (toutes?) les séquences de jeu (comme on a pu le voir dans la BA), ou est l’intérêt de regarder?? (Sauf pour ceux qui n’ont jamais fait les jeux)
    Perso, je préfère me refaire les 2 jeux, l’immersion et le « fun » seront beaucoup présents.
    C’est comme pour Uncharted, le film n’a aucun intérêt vu qu’il reprend toutes les scènes des jeux vidéo.
    Mais je reste curieux tout de même de cette adaptation. Si quelqu’un qui a fait les 2 jeux a vu le premier épisode de la série, qu’en a-t-il pensé?

  7. Knives out et Glass Onion :
    2 films captivants où le moindre détail, même le plus visible, paraisse évident dès la révélation. Chapeau pour réussir à pondre un déroulement très alambiqué.

    Ocean’s 8 : un spin-off franchement sympathique.

    Alice in borderland saison 2 : j’ai pas encore commencé car le 1er épisode de la saison n’a pas la VO sur Netflix. Mais le reste, si… vous avez eu ça aussi ?

      • Je viens de vérifier, effectivement le choix des langues est maintenant plus nombreux. Je ne comprends pas vraiment ce qu’il s’est passé mais on ne me proposait que le français et l’anglais en audio de sa sortie à hier…

  8. Je parierais plus sur le film Super Mario de Illumination en terme de standard niveau adaptation vidéoludique, après je peut me tromper n’ayant pas vu les trailers de The Last of Us dont je doit refaire la partie 1 pour enchaîné avec la partie 2.

    Je continue mon marathon Doctor Who et plus ça va plus je me dit que c’est un passage obligé pour les acteurs du Royaume Unis, vu le nombre d’acteurs plus ou moins célèbre qui y sont présent: Tom Ellis, Andrew Garfield, Carey Mulligan et voir même Sophie Turner (même si je pense plutôt que ce soit un homonyme). Il y a aussi MyAnna Buring (Tissaia dans The Witcher), et puis surtout Kylie Minogue dans le spéciale Noël sur le Titanic.

  9. Etant un énorme fan des jeux The Last Of Us, j’attendais avec impatience le lancement de la série et autant dire que c’est vraiment réussi
    Ce 1er épisode a un tel respect pour le jeu tout en amenant son lot de différences qui fait du bien à ceux qui connaissent le jeu par coeur comme moi
    Pedro Pascal est Joel et Bella Ramsey, qui était mon point d’inquiétude majeur, fait un très bon taff en Ellie

    Hâte de voir la suite et oui, cette série se placera dans le très haut panier des adaptations de jeux vidéos et des séries HBO

  10. Je rentre de voir M3gan. Verdict en demi-teinte. J’y ai trouvé ce que je recherchais, mais n’y ai pas trouvé ce que je n’y cherchais pas. C’est parti mon kiki !

    Ce que je n’ai pas aimé :
    – Le scénario est faible, sans aucun inattendu, et pire que tout, la fin est extrêmement fainéante et la résolution est bateau. De façon générale, j’ai eu l’impression que ce n’est qu’une réactualisation de tous ces récits dans lesquels un robot devient dingue et se met à zigouiller tout le monde. Donc le récit en lui-même, les péripéties, ne réservent aucune surprise. Pire, même, dès les premières scènes, il y a un élément qui trahit tout éventuel effet de surprise. Il y a d’autre part, plusieurs points de bascule qui rendent le pétage de câbles de la machine évident et inéluctable.
    – MINI SPOILER : la scène de la danse (que l’on voit dans la bande-annonce) n’a pas vraiment de justification, si ce n’est de nous montrer la souplesse et le talent de l’interprète.
    – La réalisation est banale, c’est celle d’un petit film indé. Pas extraordinairement spectaculaire. Juste correcte.
    – Ce n’est pas un film d’épouvante (ça ne m’a pas dérangé), mais comme tout est attendu, rien ne fiche la trouille qu’on aurait pu espérer avoir.
    – J’aurais bien aimé pour les profanes, des explications sur ces technologies. « Apprentissage par renforcement », ou même plus simplement « machine learning » (apprentissage automatique) n’est même pas prononcé une seule fois. On nous montre bien quelques dispositifs, mais on ne nous dit pas comment ça fonctionne. En trois lignes, on pouvait le faire.

    Ce que j’ai aimé :
    – Ce n’est pas un blockbuster ! C’est un petit film, court (1h42, ma vessie a apprécié), qui ne perd pas de temps et qui va direct à son sujet. J’ai eu l’impression de lire une nouvelle, et pas un roman. Et j’adore ça.
    – Les décors et les accessoires sont une réussite ! L’ambiance de façon générale.
    – L’indéniable point fort du film, c’est son acting ! Il est vraiment solide, et il n’y a pas un acteur en dessous de l’autre, avec une mention très bien pour les deux jeunes actrices qui sont absolument fantastiques !
    – Quoi ? Non ? Vraiment ? Ouiiii ! Un titre des Freedom Fry dans la bande originale ! Rien que pour ça, je valide tout le reste ! 😀
    – Les effets spéciaux et de maquillage sont nickel !
    – Il y a un petit humour noir très gentiment transgressif sur les multinationales qui m’a beaucoup plu.
    – Ce que j’ai le plus aimé, bien entendu, c’est le réalisme du sujet tel que traité. Et à ceux qui regarderont le film, j’ai le regret de vous dire que vous avez ici, incarné dans le personnage de M3gan, l’ensemble des technologies sur lesquelles plusieurs compagnies travaillent ici et là : reconnaissance de formes (of course, c’est la BASE de l’I.A. tout part de là et découle de là), reconnaissance des émotions humaines, et adaptation comportementale du robot, réalisme poussé à l’extrême de la ressemblance avec l’humain, et apprentissage par renforcement. Le robot s’adapte en fonction de son environnement, de ses erreurs, et apprend à être autonome dans un certain cadre. Celui de sa programmation. J’y reviens plus bas dans un mini-spoiler.
    – Enfin, le véritable point fort du scénario est la solidité du fond ! Les personnages sont bien caractérisés, tout d’abord, et le récit pose les vraies questions sur l’Intelligence Artificielle et la robotique.
    > Ces technologies sont mises au point par des génies qui sont souvent affublés d’importants troubles émotionnels. Allison Williams, parfaite !
    > La société ne se pose pas assez de questions sur les implications psycho-sociales de la robotisation et de l’I.A. et les considère trop comme des jouets ou comme des gadgets.
    > MINI SPOILER : attention aux directives que vous donnez à votre robot. Une I.A. fait ce qu’on lui dit de faire… Donc si elle devient autonome et se met à vouloir zigouiller tout le monde, c’est que vous avez dû lui dire de le faire sans vous en apercevoir. Ne jamais oublier les trois lois de la robotique quand vous programmez votre engin. Mais le personnage d’Allison Williams avait-il lu Asimov ? J’en douterais presque…
    > MINI SPOILER 2 : > On ne règle pas les problèmes émotionnels d’un être vivant avec un jouet, même hypersophistiqué. J’ai beaucoup aimé le personnage de la psy, qui recadre bien les choses à un moment clé du film, et replace l’humain – et le parent ! – là où il doit être. L’idée de remplacement est très bien amenée par le film, d’ailleurs. C’est l’humain qui choisit le robot qui le remplace. En fait, le film a raison : tout dérapage est dû à l’humain, qui n’a pas su apprécier la situation, et ce qu’il a créé et amené chez lui. Une technologie est un outil, le problème, c’est toujours l’humain !
    > MINI SPOILER 3 :Personne ne semble se méfier du tout connecté. Si vous avez un robot tueur qui peut se connecter avec tout le reste, vous risquez d’avoir quelques ennuis, je dis ça je dis rien. Plaisanterie mise à part, ça c’est un vrai problème soulevé par ces technologies : où est le bouton pour tout couper ? Est-il prudent d’avoir plusieurs appareils qui sont capables de « discuter » entre eux, dans votre dos ? Ce n’est pas de la science-fiction non plus… Sur ce point, la fin du film est à la fois très classique, mais très logique et très justifiée. Mais du coup, ça reste un peu faible. Mais c’est cohérent.

    Donc dans l’ensemble, je crois que ça aurait fait un bon bouquin, et que c’est plutôt « intello ». Mais pour quelqu’un qui cherche juste la distraction, et qui ne connait pas grand-chose à l’intelligence artificielle, ça risque d’être un film de robot dingo comme un autre.

  11. Les adaptations de jeux ont aucun intérêt pour moi, on se contente souvent de recracher l’intrigue et les perso et le gros point noir évidemment est qu’on perd le côté interactif d’un jeu donc on passe d’une expérience un peu plus personnel et tangible à une simple expérience de spectateur. Donc même si les personnes autour et la chaîne inspiraient confiance je n’était pas si excité que ça, comme Uncharted l’expérience du jeu m’a suffit et ça sera dur de rivaliser avec. Fort heureusement on est loin de l’adaptation fade de Uncharted, là c’est bien plus fidèle, certes Bella Ramsey ne ressemble pas du tout à Ellie mais c’est pas forcément un problème et c’est une bonne actrice après l’avoir vu dans HBO, Pascal lui reste une valeur sûre. Hâte de retrouver Nick Offerman sinon, toujours bon à la TV.

    Fin de la S1 de Tulsa King qui fut divertissante tout du long, Stallone a pas été aussi en forme depuis Creed, très à l’aise dans la comédie ici avec un bon paquet de réplique sympa. Clairement la série et son intrigue de mafia vise pas le haut, mais son format est appréciable avec un style un peu plus débridé plutôt qu’un vrai drame sombre même si la série n’est pas non plus une comédie.

    1923 de Taylor Sheridan aussi est sympa jusque là, ses spin-offs de Yellowstone battent clairement celle ci qui bat de l’aile dernièrement même si les audiences eux sont au sommets.

    Allez mes 10 films favoris de 2022 pendant que j’y suis : The Batman, Ambulance, Prey, The Northman, Nope, Elvis, Top Gun Maverick, Barbarian, Avatar 2, Scream. Mentions honorables à Licorice Pizza, Nightmare Alley, Everything, Everywhere All At Once, Hustle, Glass Onion, Emily the Criminal, The Sea Beast.

    • Je dirais que ça dépend du jeu vidéo.
      Pour Uncharted et the Last of Us qui ont une approche cinématographique, peu de chance qu’une adaptation transcende le JV. Il faut que ça soit fidèle et divertissant.
      Mais peut permettre à des gens d’avoir envie d’essayer le jeu.

      Mais un JV comme Mario ou Sonic qui est plus basé sur un concept / univers, ça peut intéressant d’interpréter/adapter le JV.

  12. Je vois pas pourquoi je regarderais The Last of Us. Par contre, ça me donne envie de jouer au 2 que je n’ai pas encore fait et que j’imagine bien mille fois supérieur. Cette série c’est surtout pour les non-gamers.
    Sinon je re-regarde les Vendredi 13 en ce moment, y’a du bon, du jouissif et du très drôle (de ridicule). ^^

    • Je trouve la Directive Team de TLOU 2 exceptionnellement audacieuse à mes yeux. En bien ou en mal, ça je ne sais pas.

      Là où une équipe marketing se réunie pour se poser dans une salle et faire « bon, le public veut ceci, pour générer de l’argent, il faut faire cela ».
      Là ils ont choisi de débarquer « rien à foutre du market, j’ai une certaine idée originale que j’aimerai faire expérimenter aux joueurs ».
      Résultat, ça déboussole et ça divise. On aime fort ou on déteste à mort.

      En ce qui me concerne, c’est peut être mon « expérience de jeux » préférée de ces 7 dernières années.

        • Hâte de connaître ton avis, je pense tout l’inverse de Pikotropic. Pour moi ils ont tellement voulu prendre tout le monde par surprise qu’ils se sont totalement foirés.

  13. C’est un peu calme en ce moment en termes de séries SH, à part The Bad Batch, y’a rien… Ça faisait très longtemps que j’avais pas vu une situation comme ça. D’habitude y’a au moins une série Marvel ou DC, voire au maximum 5 ou 6 la même semaine.

    • Ca me dérange pas. De mon côté, j’étais arrivé à saturation. Trop de quantité et souvent pas assez de qualité.
      Mais t’inquiète Marvel va nous inonder de séries cheap d’ici la fin de l’année.
      DC nous proposera un The Penguin dont on ne sait pas trop où ça va aller avec la nouvelle direction.
      Perso, je ne suis intéressé (et c’est un grand mot) que par Flash saison 9 (pour la nostalgie), The Marvels (pour Captain Marvel) et les Gardiens de la Galaxie vol. III (parce que j’ai bien aimé l’épisode de Noël moins débile et plus touchant).

  14. https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Apres-The-Last-of-Us-Pedro-Pascal-dans-une-serie-Mario-Kart-le-sketch-du-SNL
    Mort de rire !!! 😂
    Et en même temps d’une grande évidence. C’est à se demander si tous ces jeux vidéos ne sont pas liés par des bases narratives communes…
    Et si l’ancien film « Super Mario » en action réelle n’avait pas été trop en avance sur son temps.
    🤣

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