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M. Night Shyamalan est de retour ! Après Glass et Old, voici Knock at the Cabin, un thriller apocalyptique qui sort mercredi dans nos salles et qui voit Dave Bautista embrasser une carrière de plus en plus dramatique, loin des clowneries de Drax. On signalera également la mise en ligne de la saison 1 d’Extraordinary sur Disney+, une comédie super-héroïque britannique où l’on suit les aventures de Jen, une jeune femme qui vit dans un monde où tout le monde a des super-pouvoirs… sauf elle. Enfin, nous avons une pensée pour Annie Wersching (Star Trek : Picard, Timeless, 24, The Last of Us), qui incarnait la mère de Karolina Dean dans la série Marvel Runaways et qui est morte à l’âge de 45 ans. PS : on se garde Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu pour la semaine prochaine. En attendant, n’hésitez pas à voter pour les Oscars Héroïques 2023 sur le forum du site. C’est la saison !
Alors qu’ils passent leurs vacances dans un chalet isolé en pleine nature, une jeune fille et ses parents sont pris en otage par quatre étrangers armés qui exigent d’eux un choix impossible afin d’éviter l’imminence de l’apocalypse. Alors qu’ils n’ont pratiquement aucun moyen de communication avec le reste du monde, ils vont devoir seuls prendre et assumer leur décision.
Annie Wersching, qui jouait la mère de Karolina Dean dans la série Marvel #Runaways, est morte à l'âge de 45 ans. https://t.co/6pWEhwdvGo pic.twitter.com/h5SAT4oxeO
— Les Toiles Héroïques (@ToilesHeroiques) January 29, 2023
Ah la bannière a été mise à jour 🙂
Tu le fais toujours fin Janvier Boss ? (je me pose la question chaque année ^^)
Sinon intrigué par le concept du nouveau Shyamalan. Son dernier film Old était très bon.
Sinon je suis en pleine lecture de Blackest Night (après avoir lu les 3 premiers intégrales GL de l’excellent Geofff Johns) et c’est digne de sa réputation. Épique.
Et au-delà de ça, c’est dingue comme il maitrise les évènements sur autant de récits. Ils devraient le recruter dans la nouvelle équipe aux commande de l’univers ciné DC
Pas vraiment de règles, c’est juste +/- tous les six mois, quand des images exploitables sont dispos.
Autant j’avais vraiment bien aimé son run GL, mais la parenthèse Blackest Night était indigeste en ce qui me concerne.
J’ai pris beaucoup plus de plaisir avec Brightest Day, sa suite plus terre à terre, moins cataclysmique.
Tout pareil que weaponX. J’avais aimé que le coup, mais j’ai trouvé ça un peu indigeste.
Et par contre, j’ai trouvé ça très mauvais moi old. Vraiment aucun fond, et très parodique de son propre style.
@WeaponX
Ah mince, je peux comprendre le côté indigeste. Pour moi ça me donne un effet conclusion dantesque en apothéose (mais je ne suis pas encore arrivé à la fin). J’ai plus eu le même sentiment que toi sur l’event King in Black de marvel.
Est-ce que les intégrales GL qui suivent valent le coup d’ailleurs ?
@Benj’
J’ai trouvé Old très intelligent dans le concept, son utilisation, et même le sentimentalisme développé (notamment entre les deux parents vers la fin). En revanche, j’ai trouvé la toute fin très mal venue => ils auraient dû finir sur une fin plus tragique, plutôt que de choisir ce dénouement. Le film aurait été encore plus marquant à mon goût.
« Est-ce que les intégrales GL qui suivent valent le coup d’ailleurs ? »
La fin du run (la série News 52) est très sympa donc j’aurais tendance à dire oui.
Est-ce-que c’est possible de voter pour les oscars heroiques ici ?
C’est sur le forum que ça se passe, donc non. Mais l’inscription prend littéralement 20 secondes ! (Je viens de retester. ^^)
…on fait ce qu’on peut avec la bannière (quelques looks sont obsolètes).
Rip aussi Lisa Loring et Adama Niane… 😔
Vu :
– Maurice Tourneur…
Il y a du talent, des idées, et des comédiens utilisés à leur meilleur.
– « Piste Noire »…
Une Constance Labbé aux faux airs de Chloé Bennett et un Thibault de Montalembert pas très reconnaissable en flic colosse un peu aux fraises, dans une mini-série criminelle qui joue sur le retour en territoire hostile pour l’héroïne.
Entre deux ambiances opposées mais qui arrivent à cohabiter : les autochtones rudasses, et les promoteurs touristico-sportifs à fières allures. Y a le choix niveau suspects.
Si l’on peut deviner assez tôt une partie de ce qui motive un règlement de compte pour elle (« dégénérée », à ce point !?), on peut aussi apprécier une production qui n’hésite pas à avoir un peu de style avec des scènes en bons plans-séquences, et de beaux plans aériens d’une région neigeuse.
– « Caméra Café, 20 ans déjà »…
Ils sont tous revenus (sauf le psy Serge/Marc Andréoni) pour non seulement célébrer la mémoire de cette féroce et assez cartoonesque série sur les moments creux en entreprise, qui a accessoirement aidé à l’explosion des programmes comiques courts français – « Kaamelott » notamment, qui parlait aussi de petits riens, de magouilles souvent en duos et de luttes de pouvoir en marge du vrai travail (après tout, une machine à café ou une table ronde, ça met au même niveau aussi bien les chefs que les subalternes)…
Mais en plus, ils nous racontent également bien d’autres moments en creux de cette histoire dans la grande Histoire dramatique du Monde, y compris tout ce qui s’est passé depuis leurs dernières aventures (ciné) jusqu’à à la petite désacralisation de l’espace détente (clos) suite à la Pandémie. En faisant l’aller-retour entre le lieu unique avec la machine – le dispositif aux gags rythmés et à la gestion de l’arrière plan ne prend pas une ride (et évite de détecter justement les rides des comédiens) – et dans le reste des bureaux.
Jouant sur les différentes morts possibles pour Sylvain, ou sur l’évolution physique de certains (la découverte de ce qui a eu la peau de l’inoxydable Jean-Guy est un moment aussi hilarant qu’imparable), sans se reposer sur trop d’acquis cultes (par exemple, pas de « Faut qu’j’y vais » ou autres aphorismes connus de Jean-Claude, mais des nouveaux).
Ils sont quasi tous monstrueux de brutalité, de bêtise, de mesquinerie ou de veulerie… ils ont tous droits à ce qu’ils méritent depuis des lustres, et ils n’apprendront jamais de leurs erreurs tout en gardant une part de tendresse enfantine… Et c’est ça qui est bon.
Surtout, c’est aussi la célébration (à ciel ouvert finalement) d’une grande amitié de plusieures décennies entre Yvan Le Bolloc’h et Bruno Solo.
Un peu de sucre avec ? 😁
– « Notre petite sœur »…
Pas évident si on se met à à voir des films de Hirokazu Kore-eda en commençant par ce film là… Parce-que sa douceur a quelque chose de surprenante compte tenu d’un sujet lié à l’adultère et la culpabilité, propice à de grandes effusions dramatiques.
À plusieurs reprises on peut ainsi se dire « là il va se passer quelque chose, là il va se passer quelque chose… » Et finalement non, la proverbiale politesse nippone est poussée à un point où toutes les confrontations mère/fille ou sœur/sœur réussissent à être contenues, ou pardonnées, sans annuler pour autant la gravité.
Comme si c’était du Ozu mais en plus mobile.
Justement, l’opposition entre traditions et modernité voit basculer l’équilibre plutôt vers un côté, et on peut être enthousiasmé de voir quatre personnages féminins centraux dans cette histoire japonaise… Ou presque, Kore-eda négligeant bien trop la troisième aînée, dont la gentille simplicité (pas d’autre ambition que d’être une employée de magasin et une suiveuse) n’était pas une raison pour l’empêcher d’avoir elle aussi un avis profond sur ce qui vit sa famille.
Ça réduit un peu la portée féminine/ste du film, surtout dans une société aussi patriarcale (mais les hommes ne sont jamais écrasants dans ce récit là), où les décisions liées à la fidélité et à la liberté de choix sont cruciaux.
Mais il faut aussi noter l’omniprésence de la Mort là dedans, entre personnes en soin palliatif, ou sur le point de perdre leurs raisons de vivre… Alors, les multiples scènes de repas (et de leur préparation) qu’on y voit sans cesse servent d’autant plus à célébrer la Vie – tranquille.
– « Un moment d’égarement »…
Jean-François Richet s’inscrit lui aussi dans cette mouvance (jamais nommée), qui a vu des cinéastes français spécialisés dans l’action et le style accepter la commande d’une comédie à la papa – du burlesque, des remakes.
L’ambition de voir des comédies françaises ayant plus de mise en scène et de belles images, pourquoi pas ?
Richet s’empare d’un des films les moins emblématique de Claude Berri, mais ne se l’approprie pas complétement. L’écueil principal étant François Cluzet, dont le rôle appartient plus à du comique français en surrégime caricatural.
Refaisant littéralement la même chose que dans « Les petits mouchoirs » (hôte maniaque proche de la séparation, on remplace juste la traque des taupes par des sangliers), on a un « roi des beaufs », corse du Continent qui regarde du Patrick Sébastien etc…. Corsé oui.
On comprendra alors que l’enjeu sera la résilience plutôt que la bête virilité vengeresse (traditionnelle)… mais seulement à la toute fin.
Entre-temps Richet garde assez d’énergie motrice, et utilise les paysages corses (remplaçant le St Tropez d’origine), mais sans mettre assez en avant leur part de dangerosité westernienne.
Mais on peut mettre à son crédit le fait de réaliser un film explicitement sexué et tabou, opposant crise d’adolescence féminine et crise de la maturité masculine, où tout le monde a sa part de responsabilité. D’une morveuse ayant un aussi gros pet au casque que son père, à un adulte coincé malgré lui dans le mauvais rôle…
Le fidèle Vincent Cassel y jouant l’antithèse de son personnage dans « Mon roi », voir même un contre-emploi à sa virilité naturelle.
Petite ambition, mais pas moche à regarder.
– « Divorce Club »…
Michaël Youn prend commande d’une comédie française balisée, mélange entre du romantisme modeste à quiproquos, et de la troupe de potes régressifs destructeurs à la Philippe Lacheau.
Le réalisateur ayant quelque peu mûri, place aux quarantenaires (en crise et déni), et le résultat semble fonctionner avec un tiraillement pendant un petit moment.
Avec quelques idées sympas (Audrey Fleurot est une des potes déglingués), des ajouts facultatifs (le petit rôle que Youn s’est accordé) et autres pistes bien trop laissées de côté (un Benjamin Biolay enflure mais qui ne reste pas assez longtemps).
Mais il est finalement maîtrisé grâce à une arme fatale inattendue : Arnaud Ducret, en total contre-emploi de son physique de grande brute bourrine (à part lors d’une mémorable séquence de torchage festif)… Ça semble incompatible, mais en fin de compte il devient crédible dans ce rôle de vrai gentil romantique à la malchance monstrueuse.
C’est donc un film à la Ben Stiller (pensez donc à « Mary à tout prix » ou « Les femmes de ses rêves ») qu’on a là de bout en bout… Et quand on le comprend, le plaisir gagne sur tous les plans.
– « Bienvenue à bord »…
Mieux (donc moins pire) que prévu : si Valérie Lemercier n’est pas vraiment à sa place dans ce type de film (surtout avec la promiscuité et le mal de mer), Franck Dubosc par contre ne s’y limite pas à jouer les dingos qui dit tout ce qui lui passe par la tête sans réfléchir, comme on l’a déjà trop vu.
Il y est plutôt l’Idiot révélateur, évidemment complètement retardé ou lunaire, mais qui devient intéressant quand il fait preuve de vraie jugeote et d’un zèle bien canalisé. Une fois sur cinq certes, mais c’est pas si mal.
Et puis le film n’est visuellement pas trop moche, et ses acteurs ont divers degrés de coolitude ainsi qu’une absence de peur du ridicule (Enrico !!)… du moment que ça n’est pas juste gratuit à l’intrigue.
La meilleure adaptation non officielle de « La Croisière s’amuse ».
Lu :
– Mighty Marvel Spider-Man 1962-63…
Pas du tout une réponse à la collection à petit prix de Urban Comics, mais il reste un bon rapport qualité-prix pour ce qui apparaît comme une moitié d’Intégrale Marvel.
Et puis ce Lee/Ditko ne bouge pas du tout (le monde des années 2020 est rempli de JJ Jameson). C’est aussi un bon moyen de rappeler à quel point, à ses débuts, Peter Parker était colérique, rancunier et à deux doigts de basculer du mauvais côté.
– Intégrale Dr Strange 1966-67…
Fin de Ditko, bonne prise de relais par d’autres artistes (Marie Severin par exemple), et surtout une structure feuilletonesque énorme avec des numéros qui se suivent vraiment de très près.
Énorme, avec toutes ces entités cosmiques.
– Intégrale Luke Cage 1974-75…
Toujours furibard, toujours la poisse (pas le seul héros Marvel dans ce cas), et un charisme intact même en essayant d’être un peu plus super-héros – « Power Man ».
– Intégrale She-Hulk 1980-81…
En fait c’était déjà du portnawak avant l’arrivée de John Byrne, le scénariste David Kraft héritant d’un postulat marvelien usité (problèmes de super pouvoirs, de morts injustes et d’accusations à tort) en s’enfonçant dans des intrigues maffieuses et judiciaires assez grossières.
Et dès qu’on en a assez, greffer Jen Walters sur des intrigues SF absurdes tirées d’autres séries sur lesquelles l’auteur a écrit. À lire d’une traite, ça passe mieux.
– Hulk vs Thor..
Baston sur baston à chaque chapitre, faisant à peine avancer le schmilblick des scénarios de Donny Cates. À un moment donné, c’est trop de destructions.
Et on n’a pas vraiment de réponse à « c’est qui le plus fort ? l’éléphant ou l’hippopotame ? ». 😉
– Fin de l’ère Beyond de Spider-Man… Avec une greffe à Nextwave qui, comme tous les épisodes déviants de l’intrigue principale, permet d’aérer celle-ci, très poussive.
Car après le passage de Nick Spencer, très inspiré des années 80, là on était plus dans les années 90, les clones qui n’en finissent pas tout ça…
Pas un bon moment à passer, mais bon ça y est et ça n’a pas duré trop longtemps..?
– Encore un petit effort et Christopher Cantwell cessera de culpabiliser Tony Stark. En attendant, il le fait enfin s’amuser un peu.
J’ai fini le revisionnage integrale de la saga Star Wars.
Pas à dire c’était top.
Episode 1 : une merveille ce film. Je ne comprends juste pas que les répliques de la mère d’Anakin ne soient pas devenues cultes, chacune de ses phrases était puissante. Avec cette dimension messianique qui apporte beaucoup à la mythologie Star Wars
Episode 2 : un peu plus faible mais l’histoire d’amour d’une part (l’entrée dans l’arène me met des étoiles plein les yeux à chaque fois) et les enjeux politiques d’autre part le laisse très solide
Episode 3 : le père du blockbuster nouvelle génération, action extrêmement intense, triangle de héros très intéressant qui finit par se déchirer, et le plan machiavélique et bien huilé de Palpatine (à ceci prêt qu’il ne pensait pas perdre contre Mace Windu). Un opéra tragique qui se bonifie d’année en année.
Episode 4 : un film d’aventure vraiment saisissant, un début très osé uniquement axé sur des droides, un empire terrifiant (les massacres sur Tatoine, torture de Leia, génocide d’une planète, espions partout, etc), un humour parfait, un Han Solo inégalable. Toujours au top tant de décennies après.
Episode 5 : Le film est très sympa, même si pour moi il est moins équilibré que le précédent et repose beaucoup sur son expansion de la mythologie jedi (Yoda qui crève l’écran en vieux sage, alignant les répliques de haut vol) et évidement sur un twist legendaire préparé tout au long du film.
Episode 6 : Sympatoche, conclusion honnête de la saga. Le debut sur Tatoine était bien réussie, le milieu est plus quelconque. Par contre toute la partie entre Luke et Vador donne sa saveur au film, où comment offrir un arc de rédemption émouvant au méchant le plus iconique du cinéma. Et Luke est d’une classe folle en jedi dépourvu se haine et de peur (à l’exception de quand Vador menace sa sœur, et encore il reprend vite ses esprits)
Episode 7 :
Une réalisation magique, un mélange réussi entre nouveaux héros et anciens, quelques choix osés (un stormtrooper en personnage principal ! La force « lumineuse » absente les 3/4 du film face à un côté obscur déchaîné). C’est une pépite pour les yeux, une histoire simple mais rudement dynamique et efficace, le réveil de la force en Rey à la fin est iconique.
Episode 8
L’épisode qui apporte enfin du neuf sous l’ère Disney. Ben Solo devient un personnage plus complexe, la relation avec Rey au cœur du film. L’exploration de la force par Rey est faite avec doigté. Et puis tout s’accélère à la mort de Snoke, jusqu’à un final ultra émouvant, ni happy end, ni tragique, mais un juste milieu qui prend la forme d’un passage de relais parfait entre Luke et Rey.
Episode 9
Apres ce second visionnage, je suis toujours un peu déçu par cet épisode, surtout son début rushé et sa fin qui veut trop être une conclusion définitive de la saga (alors que juste conclure simplement et proprement la postlogie aurait été bien mieux. Typiquement le retour de Palpatine est une erreure). Mais le gros morceau entre le départ de la bande de héros à la recherche d’Exegol, et le duel où Rey tue « Kylo Ren » et sauve « Ben Solo », le film me plaît.
Fini Alice in Borderland.
Elle est entrée directement dans mon top 5, j’ai adoré et la fin m’a retourné, quelle claque.
Comme quoi quand Netflix veulent ils peuvent.
Malheureusement tout le monde en parle moins que des Mercredi et cie, c’est dommage.
Rendez-vous service et regardez cette série, seulement 2 saisons et 16 épisodes, et j’espère que ça s’arrêtera là.
La différence entre Alice in Borderland et Mercredi, c’est que AiB c’est une adaptation. Quasiment tout est repris du manga à part quelques détails mais la ligne narratrice suit les grandes lignes. Là où Mercredi, c’est oeuvre originale (adaptation de personnages existants mais histoire originale). Donc les deux ne se comparent pas vraiment.
Normalement, AiB devrait s’arrêter là. En tout cas, c’est comme ça que le manga s’arrête. Si ça continue, alors là on pourrait comparer avec Mercredi (à moins qu’ils n’adaptent les spin-offs du manga ?). Encore que c’est pas du tout le même style…
RIP Annie Wersching !!!!
Sinon on est fin janvier et toujours aucune nouvelle de James GUNN et son DC universe!
@ BarryMauvaiseAllen : Annie Wershing est morte… o_o Emportée par un cancer à 45 ans, monde de mer… 🙁
Je vous le dis. Ça va nous passer sous les yeux comme un oignon.
Ceci étant, il a réagi hier à un message lui faisant la remarque qu’on arrivait en février et qu’il n’avait toujours pas communiqué. Donc peut-être qu’il va la jouer filou et communiquer le 31 janvier à 23h ou un truc comme ça. Ou sinon, pas du tout et alors, j’aurais eu raison.
@ StormXZ : Il va sûrement vouloir te faire mentir, tout en nous faisant un coup fourré ! 🙂
Très déçu des derniers Shyamalan…
Old était pour moi très mauvais , plus aucun suspens, histoire sans intérêt (voir même incohérent) et acteur pas ouf …
J’espère que celui là remontera le niveau
J’ai encore en tête le Bautista dans blade runner 2049. Et pourtant on doit le voir a peine 5 minutes. Alors que je l’ai vu au ciné et pas revu depuis.
Mais oui, comme pour Cena, j’espère qu’ils auront tous les deux une carrière plus intéressante dramaturgiquement parlant, que the rock.
J’ai tenté Glass Onion (pour rester dans le thème Bautista), c’est franchement pas mal, ça se laisse regarde sans être un chef-d’oeuvre.
Sinon, je suis de plus en plus déçu par la saison 3 de l’Attaque des Titans. Je crois qu’on atteindra jamais le niveau de la saison 2, la barre semble trop haute… mais je vais finir !
Pauvre Annie Wersching, elle était si jeune 🙁
J’adorais cette actrice depuis 24 heures Chrono ( 24 ).
Extraordinary c’est une vraie pépite ! J’ai dégommé 6 épisodes en une soirée et j’ai failli chialer quand j’ai vu qu’il n’y avait que 8 épisodes lol. Hilarant, absurde mais terriblement attachant. Il n’y a pas a dire les anglais sont forts en comédie !!
Bon je garderais mon avis d’Asterix pour la semaine prochaine du coup.
Sinon je sort de Vaincre ou Mourrir, et je l’ai pas trouvé dégueu pour un film fait par le Puy du Fou, l’histoire raconte la Guerre de Vendée vu par un officier de Marine après la Révolution et là dessus je reste en retrait parce que je ne connais pas trop. Par contre à la fin du film il y a eu des applaudissement, j’ai été surpris.
Interressé par un retour sur Astérix.
J’ai entre-appercu 2 critiques disant que c’est plus qu’honorable. Meilleur que les 2 précédents films.
@Pepou Dans l’ensemble je l’ai trouvé très moyen. L’humour est en dents de scie, des fois c’est drôle des fois non.
L’histoire ça va, même si je suis pas fan de la partie amoureuse du film.
Bizarrement j’ai trouvé que les actrices jouant l’impératrice, la princesse et la garde du corps jouait mal. Par contre les décors sont magnifique, les effets sont très propres.
Merci de ton retour !
Et par rapport aux 4 premiers films, il est en quel position ?
Je peut pas faire un classement,j’ai pas revu les anciens films depuis longtemps. Je suis même pas sur d’avoir vu Au Service de Sa Majesté.
Ps: j’ai oublié dans ma critique de dire que les scènes de combats sont toutes aussi inégales, les scènes incluant la garde du corps sont pas top, alors que celles incluant les gaulois sont correctes.