Le bar de Galactus #191 : John Wick – Chapitre 4 ~ Concours Paris Fan Festival

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Cette semaine, qui va mettre le feu dans la capitale ? Keanu Reeves bien sûr, qui nous revient ce mercredi dans John Wick : Chapitre 4. Une sortie qui a une résonnance particulière aujourd’hui, puisque nous avons appris vendredi la mort de Lance Reddick (Resident Evil, Fringe), qui n’est autre que l’interprète de Charon dans la franchise aux super-gunfights. On le sait peu, mais Reddick avait récemment doublé Thomas Wayne dans la série audio Batman Autopsie, ainsi que Ra’s al Ghul dans Prenez garde à Batman ! et Sam Wilson dans Avengers : L’équipe des super-héros. R.I.P. à cet acteur parti trop tôt (60 ans). Sans transition, il vous reste 44 heures pour participer à un jeu-concours vous permettant de remporter trois places pour le Paris Fan Festival (voir ci-dessous). Le 15 et 16 avril, vous aurez la possibilité de rencontrer du très beau monde, à commencer par Timothy Zahn, Olivier Coipel, Teri Hatcher, James Marsters ou encore Garth Ennis. Bonne chance à tous et que votre semaine soit la plus belle possible !

John Wick (Keanu Reeves) découvre un moyen de vaincre l’organisation criminelle connue sous le nom de la Grande Table. Mais avant de gagner sa liberté, il doit affronter un nouvel ennemi qui a tissé de puissantes alliances à travers le monde et qui transforme les vieux amis de John en ennemis.

69 COMMENTAIRES

  1. Il fait encore trop froid en Avril pour moi mais Olivier Coipel? Ca donne trop envie d’une petite dédicace!
    Et j’avoue que rencontrer Cyclope en vrai me botte bien!
    Sinon pour John Wick 4, c’est day one pour moi tellement la trinité d’acteurs présents dans cet opus me rend fou: Scott Adkins, Donnie Yen et Hiroyuki « Ayato » Hanada? Ce dernier est une légende vivante du cinéma pour moi. Je regarderais n’importe quoi avec lui! Et bien sûr j’aime beaucoup la franchise John Wick en particulier pour ses relations canines.
    Et puis forcément, j’aurais une petite pensée pour Reddick.

    Sinon j’ai vu Triangle hier soir, une petite pépite australo-britannique de 2009, sur les déjà-vus, les boucles temporelles. Pas beaucoup de moyens mais rafraichissant dans le marasme cinématographique actuel.
    Par contre, j’avais une curieuse impression de déjà-vu en le visionnant. Impossible de me rappeler si je l’avais vu à sa sortie! ^^

    • Hiroyuki Sanada, l’acteur qui représente le mieux les personnages japonais dans les films américains, découvert avec Ring, mais pas avec la fameuse série de Sentai.
      Il a pratiqué le Shorinji Kempo, comme moi.
      Beaucoup de charisme, j’ai vu le week-end dernier sur Amazon Prime « Mortal Kombat », la meilleure prestation du film, pour un film plutôt divertissant pour ces fatalités et les scènes avec Sanada-san.

      • @Pepou: Oui, à mon avis, Mortal Kombat ne vaut que pour lui et Joe Taslim.
        Sinon je te conseille The Last Samuraï avec tout ce que j’idolâtre comme un fanboy: Sanada bien sûr mais aussi Tom Cruise et l’inégalable Hans Zimmer.
        Sinon pour Piccolo, j’ai ri… c’est con mais j’ai ri ^^

        • Le dernier samouraï, déjà vu ! Grosse claque.
          Un film hollywoodien respectueux de la culture japonaise. Pas comme Mémoire d’une geisha avec son trio d’actrices chinoises (même si je les apprécie beaucoup).
          Merci du conseil.

          • J’adore Hiroyuki Sanada, que j’ai découvert pour ma part dans San Ku Kaï, quand j’étais petit. Mais je n’ai réalisé qu’il s’agissait de lui que lorsque je l’ai revu dans ses films américains, quelque chose comme vingt-trente ans après… 🙂
            Un grand monsieur, assurément ! 🙂

          • Hiroyuki Sanada est une légende du cinéma. Il n’a eu droit qu’à des seconds rôles cependant à Hollywoke mais vous avez pu le voir dans Wolverine 2, Revenge, Rush Hour 3, Avengers Endgame, Lost, Bullet Train ou encore Westworld.
            A chaque fois, cet acteur marque par sa présence, son charisme, sa classe.
            Allez un petit hommage pour vous et pour ceux qui ne jurent que par Jackie Chan et Bruce Lee. (sur une bande son des formidables Yoshida Brothers)
            https://youtu.be/KjgiD1p2KYo

          • @ Garyus : Virevoltant ! 😀 Il aurait fait un magnifique Shang Shi ! Grand merci, Garyus, je ne l’avais jamais vu dans ses rôles d’action. Je vois qu’il y a des liens vers quelques-uns de ces films, j’irai jeter un oeil !
            Je n’ai jamais été trop fan de ce genre de films, à part ceux de Jackie parce qu’il y a des cascades et un esprit bon enfant, et j’aimais bien les films de ninjas. Sur ce créneau, il y avait surtout Sho Kosugi. Celui qui m’a le plus marqué était Le Ninja Attaque (Force of the Ninja) qui était passé sur la 5 ou la 6, il y a au moins 25 ans… Je l’ai en VO anglaise. Je l’avais adoré celui-là. Non pas avec Sho, mais avec un certain Douglas Ivan.
            Dans le genre aussi, j’avais été très marqué par le tueur en série de New York Deux Heures du Matin, qui tuait ses victimes avec des armes d’arts martiaux, et quelques coups de tatanne.
            Domo Arigato Gary San ! 😀

          • Last Samurai : « Un film hollywoodien respectueux de la culture japonaise » .
            Tellement ça, quel plaisir ce film .
            Sinon OMG Ghost depuis combien d’année je me dis « où ai je vu cet acteur » (sans penser à regarder la filmo)
            Merci et ça y est j ai l’intro San ku Kai dans la tete XD XD
            Garyus, moi c est Demain pour John wick, j’ai aodré le 1er, vite oublié les 2 autres opus, mais hype de fou pour celui ci, trop hate de voir les chorégraphies

          • @ Captsubasa : Allez, on se le refait, on l’a mérité !!! 😀 Sur une musique d’Eric Charden, des paroles de Didier Barbelivien… LOL

            https://www.youtube.com/watch?v=LuTMNWcZNDo
            https://www.youtube.com/watch?v=QWI7hm8xqtA

            Pour la petite histoire, la série San Ku Kai a été produite après un film qui était destiné à concurrencer Star Wars, Les Évadés de l’Espace (Message From Space) ! Et les images de vaisseaux et de navettes de combats sont tirées de ce film ! Si mes souvenirs sont bons, parce que j’ai eu la chance de le voir, les Stressos étaient de la partie, Je crois me souvenir qu’Eolia et son vaisseau également (sans garantie), mais les autres personnages n’étaient pas les mêmes. Ayato, Riu et Siman appartiennent donc seulement à la série, sauf erreur de ma part (la flemme de vérifier).

            Franchement, les jeunots, je vous recommande cette pépite ! C’est fait avec trois bouts de ficelle, mais ça a une coolitude absolue ! J’oserais presque dire que c’est mieux que Star Wars, mais ce serait abuser. Ça a également existé en bande dessinées de toute beauté réalisées sous le crayon du très regretté Pierre Frisano !

            https://pictures.abebooks.com/LELIVRE/16614238333.jpg
            https://www.tokusatsu.org/users/Remember/Sankukaip12.jpg
            https://www.tokusatsu.org/users/Remember/Sankukaip14.jpg
            https://www.tokusatsu.org/users/Remember/Sankukaip28.jpg

          • C’est clair trop bons souvenirs..
            Je me laisserai peut etre un peu tenté par quelques épisodes si c est sur Daily motion ou YT

          • @ Captsubasa : Je viens de modifier mon com et de mettre l’épisode 3 et l’épisode 4. Ils sont sur Youtube. 🙂

            Je rajoute pour les cinéphiles que le comédien qui doublait Riu était Yves-Marie Morin, le frère de Patrick Dewaere.

          • @Captsubasa: « j’ai adoré le 1er, vite oublié les 2 autres opus, mais hype de fou pour celui ci, trop hâte de voir les chorégraphies »
            Tout pareil ^^ Le premier te met une gigantesque claque et méritait pas de suite au niveau de l’histoire mais il faut faire des sous.
            Par contre ce casting de malade, forcément ça ne peut qu’être génial. J’aimerais juste que le côté touchant du premier revienne un peu.

            @The Ghost: Tu connais le pseudo d’Ayato? Ca m’étonne que tu n’aies pas fait le lien! 😅
            Sinon ayant vu San Ku Kaï avant Star Wars, je te laisse deviner mon adoration pour le premier ^^

          • Garyus, voyons ! Évidemment, que je connais le pseudo d’Ayato ! 🤣 🤣 🤣 Mais je voulais rester discret ! D’ailleurs, je préférais Riu, alias Staros, à l’époque. J’ai moi aussi vu San Ku Kai avant, car mon tout premier SW a été l’Empire Contre-Attaque ! 😀

  2. RIP Lance Reddick !
    L’acteur prêtait ses traits a Sylens dans les jeux Horizon Zero Dawn et Forbidden West. Il apparaissait aussi le temps d’1 ou 2 épisodes dans la série LOST.
    J’irai voir John Wick day one ! J’ai adoré les 3 premiers donc je ne me priverai pas.

    • Yo Anthony, tu as vu la série The Last of Us ? Si c’est non, je te conseille vivement de regarder les 3 premiers épisodes, surtout le 3e, c’est une vraie vraie vraie plus-value, tu vas être surpris (comme pour n’importe quel joueur) dans le bon sens du terme.
      Pour les épisodes suivants, connaissant tes goûts (surtout pour les adaptations de jeux vidéos), ça sera du 50 50, je ne crois pas que tu apprécieras, il se peut même que tu lâches l’affaire. Après le 4e ou 5e épisode, tu auras une idée de comment est structurée la série.
      Mais le 3e épisode, tu peux foncer les yeux fermés ! Pas littéralement hein, sinon tu ne verras rien (c’était la blague carambar du jour)

      • Salut !
        Nope je n’ai pas regardé la série The Last of Us. Malgré que je sois un gros fan des jeux (finis plusieurs fois et je les referai a nouveau), je ne comprend toujours pas l’intérêt de visionner une série qui reprend entièrement le jeu vidéo, qui lui même est construit comme un film. Mon frère a vu la série et j’ai été capable de lui dire a l’avance ce qu’allait contenir chaque épisode haha. Le 3eme episode évoque Bill et son amour, c’est ca?
        Plus « scandaleux » (toutes proportions gardées bien évidement), la fin du dernier épisode reprend plan par plan la fin de TLOU. Bref, du n’importe quoi ! J’aurai tellement aimé qu’ils fassent qq chose se déroulant avant le duo Ellie et Joel, ou autre chose … mais pas repomper l’intégralité du jeu 😭😭

        • T’inquiète, moi aussi je suis fan (fini 3 fois le 2e).
          Ouais le style d’épisodes « chapitrés » m’a dérangé. Pour le type de narration du 1er jeu, j’aurais plus vu un découpage à la Breaking bad (avec plus d’épisodes) mais peut-être qu’ils n’avaient pas assez de budget étant donné que les 9 épisodes ont déjà coûté assez chers.
          Sinon, justement, l’histoire du 3e épisode est complètement inédit, il y a eu beaucoup de modifications et en bien. Bon, je ne pensais pas que j’allais balancer ça mais voilà comme tu n’as pas l’air chaud de mater le 3e épisode, il faut que je spoil un peu ce que les showrunners ont voulu faire ressentir aux spectateurs. Je ne suis ni gay ni pro LGBTQ, mais cet épisode m’a fait chialé (voilà, c’est dit), je trouve que c’était un grand moment télévisuel (comme pour l’épisode en noir et blanc de Watchmen). Comme il y a des moments dans les jeux qui t’ont ému, je pense que ça sera le cas pour cet épisode.

          Sinon pour le dernier épisode, oui, tout est repris, mais au final, pour moi, c’est raté, je ne ressens pas la même chose, à voir si c’est le cas pour le grand public. Mais apparemment, certains joueurs ont aimé la fin, chaipas, ça dépend du ressenti de chacun.
          En tout cas, si ça permet de faire découvrir The Last of Us aux non initiés de jeux vidéos, c’est toujours ça de pris mais c’est clair que l’expérience n’est pas la même.

          Mon avis perso, il faut vraiment qu’ils trouvent « LE TRUC » pour réussir à adapter le part 2, sinon le public va passer à côté de quelque chose.

          • Pas de soucis, tu peux spoiler, vu que la série = le jeu, je sais déjà tout a l’avance.
            Alors, ca serait a verifier, mais dans le jeu, Bill a un partenaire auquel il tenait. Mais il faudrait voir si partenaire = collègue ou partenaire = amour. Le jeu reste assez flou la dessus.
            On m’a dit que l’épisode 3 est incroyable. Mais moi le soucis que j’ai, c’est que si on m’impose quelque chose, ça me braque et ça me sort du délire (film, série, etc). Si on a fait Bill gay dans la série alors qu’il est hétéro dans le jeu, ça me bloque. Si il est gay dans le jeu, alors je n’ai pas de soucis avec ça.
            C’est comme les changements d’ethnie de certains personnages, j’ai du mal (Sarah, Maria). C’est trop selon moi.
            Et au contraire, il y a beaucoup plus de diversité dans TLOU part 2, d’orientation sexuelle, etc .. et j’ai adoré (Lev !!)

            Il se dit, pour la saison 2, qu’elle sera coupée en 2 saisons.
            SPOIL SPOIL SPOIL (pour ceux qui ne veulent pas savoir):
            Saison 2 -> centrée sur Ellie = tout le passage lorsqu’on joue Ellie
            Saison 3 -> centrée sur Abby = tout le passage lorsqu’on joue Abby

            Et point important: certains qui ont vu la série et qui désireront tenter le jeu peuvent sûrement être rebuter car lorsqu’ils verront que le jeu est un copié collé de la série, ils connaitront déjà les différents évènements et la fin. TLOU a un gameplay simple (mais efficace), et c’est surtout son histoire, son écriture et ses visuels qui font sa force … c’est a dire: on a l’impression de voir un film ou une série -> la boucle est bouclée.

          • Ceux qui veulent essayer le jeu après avoir vu la série verront que les grandes lignes sont présentes/identiques mais ça ne sera pas la même expérience.
            Par exemple, quand j’ai vu les films Harry Potter, je trouvais ça moyen, je ne comprenais pas l’engouement pour cet univers. Mes amis ont insisté pour que je lise les livres, j’ai lu les 7 et beaucoup apprécié (d’ailleurs, j’ai lu plusieurs fois certains tomes), l’immersion a fonctionné avec moi.
            C’est pareil avec TLOU, ces 2 jeux sont des OVNI, surtout le 2e. Mais je suis sûr que beaucoup de spectateurs ne jouent pas aux JV et ne vont pas acheter une console rien que pour ça. Je me dis que c’est déjà bien que le grand public puisse découvrir cet œuvre.

            Bill est gay dans le jeu, c’est ce que j’avais compris dès ma 1ère partie (le magazine gay – avec les pages qui collent – retrouvé dans sa voiture). C’est la relation entre Bill et Franck qui était floue, avec certains moments de silence de Bill, mais Druckmann a bel et bien confirmé leur relation. En tout cas, j’espère qu’un jour ou l’autre, tu verras cet épisode, on ne sait jamais si un jour la série part d’Amazon parce qu’elle appartient à HBO (warner).

            J’ai peur pour le part 3 si il y en a un, peur que ça n’égale pas le 2e.
            Je préfère mettre mes attentes très basses comme ça je ne serai pas déçu 😆



            Spoil TLOU2
            Tu es d’accord qu’ils vont à contre courant du fanservice ? (Pour ça que certains n’ont pas aimé, ils n’ont pas eu ce qu’ils voulaient), et Ellie perd tout, sa famille, son dernier lien avec Joel (elle ne peut plus jouer de la guitare).
            Si le part 3 est du même acabit et que Ellie est la protagoniste, je sens que je vais finir en dépression >_<
            Si Abbie et Lev sont les protagonistes (je me suis énormément attaché à ce duo) et qu’il arrive la même chose… pareil… dépression…

          • T’as raison pour Bill. Je n’avais pas du tout faut le lien entre lui et le magazine gay qu’a pris Ellie et jeté de la voiture. Plutot un bon point finalement.

            Pour moi, TLOU2 n’a aucun fan service. Bien au contraire, Druckmann a pris de vrais risques. Et perso, ca a payé. Le 2 est au dessus du 1 pour moi. Et je suis certain que TLOU3 sera incroyable ! Je fais 100% confiance a Naughty Dog (Uncharted, TLOU sont des masterpieces !). Et j’espère bien revoir Abby et Lev !! Abby est l’un des personnages les plus incroyables jamais créés, au côté de Dante, The Boss ou encore Sephiroth ! 😛

          • Je préfère Nero et Cloud… Nah je déconne !





            — SPOIL FIN DE TLOU2 (sérieusement, ne lisez pas) —
            La narration aide beaucoup mais Abby a pardonné la 1ère (un peu grâce à Lev) et elle ne voulait pas se battre dans le dernier acte. Même si Ellie se reprend à la fin, elle a vraiment déconné (ainsi que Tommy).
            L’écriture est une réussite pour moi, Abby a su garder son humanité, si les scénaristes ont voulu qu’on ait de l’empathie pour elle, ça a fonctionné sur moi (même juste avant qu’elle rentre dans le théâtre).

  3. RIP Lance Reddick, excellent dans The Wire en Cedric Daniels. Très hâte pour Wick qui figure dans mon top 3 d’attente de l’année, avec un trio de légendes de l’action cité plus haut plus qu’alléchant, Keanu Reeves a tellement mis en avant Adkins dans une interview récente en reprenant un journaliste qu’il n’y avait pas 2 mais 3 légendes du cinéma d’arts martiaux présentes.

    Vu 2 épisodes de Swarm, la nouvelle série de Donald Glover et c’est intriguant jusque là avec une durée courte de 30 mins qui semble aller pas mal dans l’horreur. Il y a aussi Lucky Hank avec Bob Odenkirk qui débarque, moins chaud vu le trailer qui m’a pas l’air d’être autre chose qu’une simple sitcom malgré la durée plus longue, m’enfin on va regarder pour Odenkirk dans son premier rôle post BCS.

    • « RIP Lance Reddick, excellent dans The Wire en Cedric Daniels »
      Le message que je voulais lire 😉
      Va vraiment falloir que je trouve le temps pour mon 3eme visionage de cette série

  4. Cette semaine j’ai revu Ame et Yuki, Les Enfants Loups et…bah ça reste pour moi le meilleur film d’animation ever. J’ai aussi découvert le turbo Banger qu’est La Planète au Trésor Aka meilleur Disney donc bonne semaine 👌🏼

    • J’aime bien le studio qui a fait Les Enfants Loups, Le Garçon et La Bête m’a aussi plu. Je ne sais pas si ça vient de chez eux mais ça me fait rappeler que je n’ai toujours pas vu Belle, qui a eu des bonnes critiques.
      Sinon mon film d’animation préféré est Your name (kimo no na wa), Le Tombeau des Lucioles est excellent mais je ne suis pas prêt de le revoir… dans le même thème mais en beaucoup moins dark, il y a Dans un recoin de ce monde, que j’ai apprécié.

  5. Repose en paix Lance Reddick, je l’ai vu surtout pour son rôle dans la saga John Wick et j’ai appris avec sa mort qu’il jouait aussi Sylens dans la licence Horizon dans lequel il était excellent.

    J’attend de voir ce que Guerilla va faire pour ce personnage étant donné qu’il est important dans les jeux.

    Sinon j’ai bien évidemment prévu d’allez voir John Wick 4 dès mercredi, je suis entrain de me refaire les 3 en préparation. J’ai prévu aussi d’allez voir The Whale, de ce que j’ai pus entendre ça marque le renouveau pour Brendan Fraiser et l’histoire m’intéresse un peu.

  6. RIP Lance Reddick. Je l’ai connu dans plusieurs types de média mais pour moi, il était iconique dans John Wick.

    Je voulais poser une question à ceux qui ont vu la série The Last of Us sans avoir y jouer.
    Avez-vous été touchés par la relation entre Joel et Ellie ? Et du coup vous comprenez Joel dans le season finale (fin du 1er jeu) ?



    – SPOIL de la série –
    Comme le jeu est encore frais dans ma tête, je n’avais pas tiqué mais voici ce que certaines personnes m’ont dit « ce n’est pas grave de ne pas avoir un vaccin vu qu’il n’y a pas beaucoup de zombies (infectés), d’ailleurs, ils pourraient reconstruire la société d’avant ? ». Avez-vous eu cette même impression ?
    En fait, dans le jeu, le virus est une menace réelle, il y a beaucoup d’infectés. Ce monde est vraiment hostile (même du côté des humains mais c’est très bien montré dans la série), en tout cas, on comprend bien qu’un vaccin pourrait sauver l’humanité.

    • J’ai eu ce sentiment sur la série : « où sont les infectés… »
      Tout les passages du jeu où il y en a sont enlevé dans la série. Dans l’épisode 3 lors de la confrontation avec les claquers, j’avais trouvé la scène superbe et m’était dis qu’on allait bien kiffé par la suite, et finalement ça reste le seul moment où ils les ont affronter. Dommage.
      Mais du coup je comprends ceux qui t’ont dit que y’a pas beaucoup d’infecté etc…

      • Quand j’ai vu Bill, je me suis dit « grosses scènes d’action en vue ! » alors que pas du tout 😂, mais ceci dit, j’apprécie le pourquoi/comment de ces changements. Pour moi, cet épisode était un chef-d’œuvre.

        En fait, je ne me suis pas dit « il manque des infectés » mais « il manque des péripéties à Joel et Ellie ». Il n’y a pas de phases de gameplay où ils doivent collaborer (ou très peu); les moments d’angoisse qu’ils partagent, ce qui facilite leur rapprochement. D’où ma 1ère question, est-ce que ceux qui n’ont pas joué au jeu, vont être attachés à ce duo.
        Quand on m’a pointé du doigt « il n’y a pas beaucoup d’infectés = on ne sent pas vraiment la menace = le virus est-il vraiment utile ? ».
        J’étais vraiment curieux de savoir comment ceux qui n’ont pas joué au jeu ont perçu l’histoire et la conclusion.

  7. 007 – Mourir peut attendre :
    Belle conclusion pour l’arc de Craig qui m’aura surpris de bout en bout. Chaque film prend en compte ses prédécesseurs et marque une évolution sur la continuité.
    Le film n’est pas parfait certes, un peu trop long, des scènes auraient pu être enlevé, les méchants et leurs scènes d’exposition, j’ai jamais franchement aimé qu’entre Bond et Spectre ce soit juste une histoire de jalousie fraternelle… mais le scénario est bien mené (malgré les spoil que j’ai eu et qui m’auraient bien marqué au visionnage) et une réalisation au petits oignons.
    Mon classement: Skyfall, Casino Royale, Spectre/Mourir peut attendre (j’ai pas encore tranché) et Quantum of Solace (il est bien mais il manque un truc mémorable).

    Série : bonne question…

    Jeu : découverte de la ps5 avec Astro. Impressionnant.

    • LOL pour moi les James Bond (bon je sais que tu ne citais que l’arc Craig) c’est Goldeneye/Casino royale …. Après il y a le reste XD

  8. Fini Shadow and Bones saison 2. Un peu déçu car on ne prend jamais du plaisir à suivre l’intrigue principal avec Alina et Mel. Au contraire moins ils sont a l’écran plus la série est meilleure. D’où le fait que Netflix explore un spin off sur les Crows. Mais bon s’ils font ça j’ai l’impression qu’ils tueront la série car il n’y aura plus beaucoup d’intérêt a la suivre

    Sinon la nouvelle saison de Sentai débute Ohsama Sentai King-Ohger ça faisait quelques années que la communauté de fans Hors Japon n’était pas aussi excité et enthousiaste envers une nouvelle saison. Qui d’ailleurs a débuté très bien avec 3 premier épisode de qualité.

    • Je ne suis pas fan de sentai (déjà pas très fan de shonen à part quelques uns) mais il y a une adaptation de manga dont je suis assez curieux de voir.
      C’est un peu comme The boys, une histoire de sentai qui en réalité, sont des enflures, parmi les villains, un minion essaie de les faire tomber.
      J’ai oublié le titre mais le trailer annonçait quelque chose de prometteur.

      • Oui ça s’appelle No Longer Rangers. L’animé sortira cette année mais le titre anglais sera Go go Loser Ranger en hommage a Power Rangers

  9. Même si ce quatrième volet sent un peu trop l’égocentrisme (long et avec un acteur chouchou inutilement caché sous des prothèses – vous vous croyez dans « The Batman » ou quoi ?)… Dommage qu’il soit trop tard pour dédicacer le film à Lance « Wire/Fringe etc » Reddick, sur toutes les copies.
    https://www.premiere.fr/People/News-People/Keanu-Reeves-et-Laurence-Fishburne-saluent-la-memoire-de-Lance-Reddick-a-la-premiere-de-John-Wick-4

    Vu :

    – Jean-Paul Le Chanois encore…
    Son travail sur l’entraide entre les gens a atteint ses limites, sur la fin de sa carrière, plus au service d’acteurs (Gabin) que de sujets sociaux touchants.

    – « Insaisissables 2″…
    Même chose que pour le premier volet, mais en moins bon : il manque une mise en scène bien plus maîtrisée pour ce qui est des scènes d’action, bien trop brouillonnes (même quand il s’agit d’une duperie). Ou bien traînant trop en longueur pour éviter d’être lourdes. Louis Leterrier était un peu plus lisible que Jon Chu.
    Et encore une fois, les 4 Cavaliers n’existent qu’en temps d’archétypes (le maniaque du contrôle, le vieux beau – et son frère de soap-opera, le p’tit gars énergique et la fille jolie/rigolote), laissant l’histoire être menée par Ruffalo et Freeman… Quitte à effacer plein de détails établis – quoique, ça se voyait de loin – et à faire bégayer le scénario en restant focalisé sur le même méchant.
    Daniel Radcliffe est aussi là, mais ils n’en font pas grand chose.

    – Deux films qui prennent des récits connus, et les tordent dans tous les sens de manière décomplexée :
    – « Abraham Lincoln : Chasseur de vampires »…
    Adapté d’un roman presque uchronique (et assez ridicule, de l’aveu même de son auteur Seth Graham Greene), imaginant que les vampires ont croisé la route du futur Président des États-Unis… et qu’il les a bien défoncé, tant qu’on y est.
    En mode « F#ck l’Histoire vraie, c’est trop chiant ! ».
    Tout est pourtant là dans ce scénario : les rapports entre les oppressions que les humains s’infligent les uns aux autres depuis des siècles, et le fait que ces prédateurs « au dessus de la chaîne alimentaire » en soient si désabusés que certains en profitent pour participer à l’esclavagisme…
    Cette idée intéressante de voir qu’il existe une communauté d’individus aussi puissants parce-que… il leur est impossible de s’entretuer, eux…
    Le dilemme quant à savoir si on doit quand-même intervenir et changer un statu-quo, même si ça doit mener à des sacrifices tragiques…
    Le parallèle entre l’immortalité par la condition physique, et celle qui advient par la grandeur des actes.

    Ça a l’air bien, pas trop tiré par les cheveux… Sauf que l’exécution est complètement bancale. Timur Bekmambetov ne peut toujours pas s’empêcher de mettre en scène des vampires faisant du kung-fu (!) au ralenti, avec des tas d’effets numériques moches, le tout étant illisible.
    Ce qui gâchent toutes les scènes intimistes qui, elles, sont faites avec plus de retenue et de joliesse, comme si on était dans la continuité de « Vers sa destinée » de John Ford. Avec la même ambition d’humaniser un Lincoln depuis longtemps statufié, en mettant en avant le côté nécessairement roublard de « Abe l’honnête », et une tendre gaucherie – qui devient ici typique d’un super-héros.
    Benjamin Walker, grimé, ayant surtout de faux airs de Liam Neeson, on est tout de même dans de la série B brutale mais jamais perturbante, qui a le tort de vouloir se croire plus sensible qu’elle n’est. Et créant même de la gêne par instants lorsque les vampires se font responsables de certains drames très humains.
    Impossible alors de prendre ça au second degré, on en est réduit à ne retenir que le bon (surtout Mary Elizabeth Winstead) au milieu de cette tambouille… Et à se demander si aurait été peut-être plus facile dans un film d’action asiatique, bien exotique, même avec des bastons où on s’envoie des chevaux à la figure.

    – « Pan »…
    Joe Wright, sa théâtralité, Peter Pan, un prequel… Imaginant que ça commence plutôt pendant les bombardements londoniens de la Seconde Guerre Mondiale, mais dans un orphelinat complètement Dickensien !?
    En mode « F#ck le contexte original, c’est trop limitatif ! ».
    Parce-que le réalisateur voulait se faire plaisir en montrant la RAF pourchasser un galion pirate volant (c’est vrai que c’est marrant, mais c’est court). Ou un Barbe Noir introduit comme si on était dans un Animé japonais, au milieu de pirates aux faux airs de Mad Max dans une mine exploitant de la poudre… de fée.
    Et pendant qu’on y est, rajoutons des chansons de Nirvana et cie, et racontons tout ça en dupliquant Star Wars à l’identique.

    Si c’était assumé comme complètement taré et dangereux, ça serait mortel.
    Mais bon, il s’agit aussi d’un vrai film pour enfants qui, même si la cruauté est présente, ne pousse pas la radicalité trop loin – belle idée de représenter des tueries en remplaçant le sang qui gicle par des explosions de poudres multicolores.
    Hélas, c’est un film qui contient également trop de codes appartenant aux prequels, à savoir « mettre des clins d’œil et les origines de telles ou telles rencontres », partout partout. Bien qu’un dialogue final semble servir de commentaire ironique sur ce mode de fonctionnement, trop confortable pour être excitant.
    Là par contre, ça ne se la raconte pas trop, et le second degré y est un peu plus naturel malgré l’hystérie de l’ensemble.

    – Début de la mini-série « Prométhée »…
    OK : cicatrices, corps, électricité, embaumeur sosie de Jeffrey Combs…
    Frankensteinisme donc ? Mystère déjà éventé, les comédiens auront intérêts à être assez juste pour qu’on ne s’ennuie pas jusqu’à la fin – étonnamment, la flic garçon manqué Camille Lou ne rentre dans l’intrigue qu’après avoir laissé beaucoup de temps d’exposition à une famille d’accueil traumatisée.
    Et puis il y a l’étonnante Fantine Harduin dans le rôle titre.

    – « La Daronne »…
    Jean-Paul Salomé refait ses « Braqueuses » (1994), mais avec une femme mûre en solo. Mais vraiment solo hein, totalement focalisée sur les siens, les rares personnes qu’elle apprécie, et basta. En résulte surtout le portrait d’une femme qui n’envoie pas tout valser (en secret certes) juste à cause du ras le bol, façon Nancy Botwin/Walter White/maintenant j’veux faire ce que j’veux… Mais plutôt parce-qu’elle a la fibre criminelle en elle, via les deux seuls hommes de sa vie, feus son père et son mari. Et que personne ne peut leur arriver à la cheville, même pas le flic droit qu’elle fréquente, mais qui n’arrive jamais à la décrypter – « cours après moi si tu peux ! »
    Ainsi son métier d’interprète de langues arabes pour la Police apparaît plus comme une bifurcation nécessaire, avant de trouver le moyen de redevenir hors-la-loi… et dans le même temps, la présence d’une voisine faisant ses propres trafics (mais au service de toute sa communauté) nous présente une option alternative, qu’elle aurait aussi bien pû suivre. Mais qui oblige à moins de liberté.
    Peut-être que la présence de Isabelle Huppert dans le rôle titre dessert un peu l’histoire, car ses mimiques de gamine jouant les innocentes sonnent trop bizarre (voir faux) pour qu’on oublie son phrasé un peu snob.
    Quand on connaît les rôles passés de sa filmographie, elle pourrait faire un peu « monstre »… mais jamais le film ne va jusque là, et se contente alors d’être gentiment insolent et insolite.

    Lu :

    – Un peu de Superman et Superman : Son of Kal El…
    Le pillier qui résiste à tout, et son « faux » successeur – mais vraie alternative, en revanche.

    – Un poil de Batman Fear State, de Wonder Woman, de Justice League Incarnate, de Deathstroke inc… on se presse pas.

    – Le sympathique épisode interractif de Flash (#776)… Ça sort un peu de nulle part (l’hommage à Infantino d’accord, mais la présence du dernier Dr Fate ?), et c’est marrant. Sauf peut-être pour ceux qui l’ont lu sur écran et n’ont pas désactivé la fonction de rotation.

  10. L’énorme fan de the wire que je suis, est très triste de la nouvelle. Tout comme pour Michael k Williams.
    Ils ont su me marquer a leur manière, parfois tendre, parfois autoritaire et aussi violente.

    J’en profite pour dire aux gens qui n’ont pas encore céder à l’une des meilleures séries télévisuelles qui s’est fait, d’y aller. Vous avez énormément de chance de pouvoir la découvrir.

  11. Un papyrus qui ravira, je l’espère, les fans de Black Panther : Wakanda Forever, et surtout, les fans de Namoroucho, El Hombre Pescado ! 😉 😀
    Lorsque j’ai vu le film, ça a fait tilt dans mon esprit quand Namor conduit Shuri jusqu’à Talocan en passant par ce que l’on appelle un « trou bleu ». Sauf que j’avais toujours cru qu’un trou bleu se situait dans l’océan et ne communiquait pas avec la terre. Une sorte de trou de ver dans la flotte, si vous préférez… Enfin, une grotte sous-marine amenant à une autre grotte sous-marine. Ce n’est pas aussi simple !

    Les cénotes sont des gouffres qui ont la particularité d’être à la fois remplis d’eau douce jusqu’à un certain point, où celle-ci est remplacée par de l’eau de mer, la séparation étant assurée par une tierce substance ! Ils peuvent atteindre des centaines de mètres et communiquent avec les fonds sous-marins.

    La péninsule du Yucatan au Mexique compte plusieurs cénotes reliant un réseau de grottes à la mer, et dans la culture aztèque, ces lieux étaient sacrés. Je me suis même laissé dire qu’ils étaient considérés comme un passage vers le plan de l’au-delà (de l’eau-delà, ha ha).

    Le film reprend donc sans l’expliquer cet élément caractéristique de la culture aztèque et de la géographie mexicaine. Un bon point pour Marvel, et surtout pour Coogler, qui a fait ses devoirs.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Cénote

  12. @Captsubasa : Le message sur Marvel Snap a été volontairement supprimé ? (Je demande, car dans un cas pareil, pas moyen de savoir s’il a été automatiquement marqué comme spam par le filtre du site.) Sinon, aucun souci, je le valide manuellement. 🙂

  13. (re)Vu Blade. Mon dieu quel nanar absolu. Dire qu’il est mieux noté ici que la plupart des films de l’âge d’or des supers… On était pas encore, à l’époque où il avait été noté ici, dans l’ère du c’est génial/c’est une daube mais quand même.
    Les dialogues nuls, les poses Bioman de Snipes, les effets spéciaux des années 70, le creux pendant tout le film passée la scène d’intro, les chorégraphies bidons de chez bidons.
    7,3/10 quoi. Je sais que chacun ses goûts mais quand on voit Morbius à 3, on se dit que le monde tourne plus rond.

    • Moi je préférais cette époque où le public était pas blasé (et où la place de cinéma ne demandait pas de vendre un rein – enfin c’est une autre histoire).

      De nos jours, ça crache souvent dans la soupe je trouve, avec des avis extrêmes qui souvent m’échappent.
      Wonder Woman 84 : 4,1 / Morbius 3,6
      Honnêtement j’ai l’impression d’avoir vu des versions alternatives de ces films

      Pour Blade je ne l’ai pas encore vu – mais déjà rien que look de Snipes de-dans est devenu iconique. Après, il faut pas oublier qu’on était aussi à ce moment là au début de la vague des vampires modernes (pleine époque Buffy, Blade, Underworld…), des suceurs de sang en cuir qui sortent en boîte. C’était très dans l’air de son temps à l’époque.

      • Concernant les super-héros, on peut comprendre que le public soit blasé: en une quinzaine d’années, on doit être à la cinquantaine de films du genre sortis dans les salles.
        Blade avait cet argument pour lui au moins.
        Pour le cuir, les boîtes de nuit, etc… ça m’a pas gêné. Par contre la crème solaire 😅

    • Me rappelle plus trop du 1, mais je garde un très bon (dans le sens « agréable », pck niveau mémoire, ça date) souvenir du 2. Le passage dans les égouts notamment.
      Même pas tenté le 3

    • En quoi les chorégraphies sont bidon ? T’aime pas Snipes et son Krav Maga ? Niveau montage c’est lisible et y’a de bonnes cascades. Les poses de Snipes je vois ce qu’elles ont de mauvais, il a toujours autant la classe je trouve, le premier et deuxième ont très bien vieilli, c’est quand même plus divertissant que Morbius et son Leto qui impose rien du tout et zéro scènes d’action marquante. Rien que la scène d’intro et la rave party bat tout le film Morbius.

      • @ SOA-MC : Je suis plutôt de ton côté, car je viens de revoir des extraits que je trouve plutôt sympas, y compris les poses très super-héros, mais c’est dans quelle séquence de Blade que tu vois du krav maga, toi ? Ça me parait plutôt un mix assez généreux d’arts martiaux japonais… o_O

        • Je dis ça parce que c’est un de ses arts martiaux mais il en a fait d’autres comme du Karaté donc oui c’est pas forcément exclusivement cet art martial.

          • @SOA-MC: Il est plus karateka de kraviste à mon sens. En tous cas, c’est plus ce qu’il montre dans ses films et en particulier dans Blade.
            Et je parlais des choré pas des mouvement de Snipes qui sont excellents.
            Beaucoup trop de pauses entre les coups, ça fait téléphoné et pas crédible pour un sou.
            Il y a la danse des coups de pieds retournés aussi. Les mecs se touchent pas, se visent pas, ils dansent c’est tout. C’est naze.

  14. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Mission-Impossible-8-un-mystere-du-premier-film-enfin-resolu–Rolf-Saxon-va-faire-son-retour

    … ça fait des années qu’on se demande si la franchise cinéma « Mission Impossible » a la même continuité depuis le troisième (quand JJ Abrams a placé d’autres personnages récurrents que Luther, et que Cruise et McQuarrie ont développé tout ça)…
    Ou bien si le premier film, de de Palma, (extraordinaire) compte lui aussi ?
    Maintenant oui, on sait… et maintenant on s’attend aussi à avoir une franchise sans fin, qui pourra aussi puiser dans celui de John Woo (pourtant complètement à contre-courant) en plus de le faire dans les derniers épisodes (on était vraiment obligé de retrouver sitôt l’excellent Solomon K… Lane ?).

    Voir même, Enfin, dans la continuité des deux séries TV – la première, et puis celle « 20 ans après » (pas beaucoup de survivants en forme, toutefois).
    Prend garde à toi « Fast and Furious »,et tes revenants tirés par les cheveux ! Tu n’es plus seul à imiter les feuilletons et les comics !! 😂

  15. Bon ben sorti de la scéance de 23h et quel gros kiff ce John Wick 4.. Le meilleur opus .
    Quelques défauts minimes
    – Les combats sont tellement lisible que ça fait un peu trop chorégraphie (je pinaille)
    – Inutilité d’un des perso
    – Pas super exploité le coté aveugle de Donnie yen
    – Trop peu de Scott Adkins

    Mais sinon un pur kiff, pas vu passer les quasi 3h si ce n est la grosse envie de fumer XD XD

    Garyus si tu passes par là, j’espère que tu as kiffé aussi.

    SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER

    Par contre faudra m’expliquer que pourrait raconter une suite

    • La partie avec Adkins est cool tout de même, c’est sans doute sa meilleure utilisation dans un film de cette ampleur. J’aime trop comment il appel Wick « Mr. Vick » x) Puis ce Spin Kick qu’il met à Wick et la chute que ce dernier se prend, j’ai halluciné et le lieu du combat avec la pluie dans le club est classe. J’espère bien que c’est la fin tout est là pour après la conclusion épique de près de 3H, c’est sans doute l’un des meilleurs films d’action que j’ai vu au ciné. La scène de vu du dessus dans l’appartement à Paris, incroyable.

  16. Très déçu de ce qui vient d’être relayé sur Jonathan Majors (violence sur sa compagne et il a pas l’air d’être sympa sur les tournages) il avait la meilleure année de sa carrière cette année (Ant-Man, Creed III, Magazine Dreams, Devotion) et le gars fout tout en l’air…

  17. « – Tu sais qui j’ai vu hier soir ? C’est John Wick-han…
    – Qui ça ?
    – John Wick-han…
    – Haa, John Wick-han ! Ah ben lui il est grave hein, c’est genre il dit un truc intelligent, il se retourne pour voir si c’est pas un autre qui l’a dit… »

    Une série B d’action et de vengeance jouant sur l’image du « Keanu Triste », devenu ici un mélange de Jésus violent (portant la souffrance du monde – mais la redistribuant aussi !), et de guerrier Mongol, en costard cravate aux deux types de chemises, funèbrement noire ou au blanc plus optimiste.
    Un croque-mitaine désigné… mais qui ne fait pourtant peur à personne.
    L’Humanité perdue puis recherchée étant symbolisée par un amour mort, des chiens (une civilisation moderne se doit de les protéger, surtout aux USA), et l’amitié.
    Également une métaphore de la vie active, où l’on doit toujours courir après du temps, des privilèges, que des patrons et des collègues peuvent vous donner, puis vous prendre, puis qu’il faut quémander, puis s’endetter sans fin.
    C’est juste montré à travers des bastions hargneuses et pas trop découpées, à travers le monde.

    Formellement, une série de films reprenant les codes de jeux vidéos du type Beat them all :
    Un protagoniste qui doit tout le temps avancer, taper avec une série d’enchaînements qui lui sont propres (à part si on peut débloquer de nouvelles capacités, ça reste limité), récupérer des points de vie et autres privilèges…
    Des ennemis qui déboulent un par un ou en petits blocs, de plus en plus résistants au fil du jeu, et qui se ressemblent tous, jusqu’à ce qu’on atteigne un boss de niveau plus original…
    Des foules civiles qui n’ont aucune substance, qui sont des décors vivants mais avec aucune interaction, au contraire de tels objets et décors inertes (jamais on n’y menace qui que ce soit, jamais un quidam pour vous filer un coup de main)…
    Des décors justement, reprenant des environnements réels et des clins d’œil à la Pop Culture, juste pour faire de l’illustratif cool…
    Répétitif, mais assez cathartique.
    Tout y est dans ces films, à condition d’accepter de ne pas avoir la manette en main.
    Et d’accepter aussi que les règles strictes de la matrice du jeu ne soient pas toujours respectées par les personnages, peinant à trouver pour ça des justifications.

    Matrice ? Oui car Chad Stahelski et Keanu Reeves ne sont pas sortis de l’univers qui les a fait se rencontrer au milieu des cascades… Toutes ces références ci-dessus conjuguées (et avec la présence de trois des acteurs de « Matrix »), il s’agit au final d’une histoire où un élément perturbateur, pour une question d’amour, est le point central d’une opposition larvée entre une élite bien sapée, et un groupe plus indépendant habillé en clodos. La Matrice et ses agents, Zion et ses résistants prêts un jour à en découdre, et dans le coin quelques hommes d’affaires plus neutres (représentés ici par les hôtels Continental).
    Mais Matrix parlait de Révolution, aussi bien cinématographique que contextuelle.
    Et là, la promesse énoncée via l’hilare Bowery King n’est pas tenue.

    Pire, la structure de ces films prend de plus en plus d’ampleur jusqu’à se prendre pour le plus épique des films d’action mafieux.
    Le succès a-t-il gonflé les chevilles de l’équipe jusqu’à se prendre pour plus grandioses qu’ils ne sont ? C’était déjà prégnant dans les précédents films, ne décrivant qu’une dizaine de jours de tueries (mais jouissives) sans faire avancer plus loin le schmilblic… et perdant l’occasion d’une jolie fin.
    Pour ce quatrième, se passant après une convalescence suffisante, là ça en fait des caisses dès le début :
    D’une série de coups de poings assourdissants, à un pentagone de feu à la Superman, puis un vilain jump-cut imitant David Lean (un conseil, si c’est purement visuel, prenez votre temps et coupez le son), et un personnage à la Zatōichi/ »Kung Fu », et une thématique à la « Bon, la Brute et le Truand », et une annonceuse radio à la « Guerriers de la nuit », et le Bushido…
    Et on rajoute des tas de personnages, qui on l’air de vivre dans leur propre film (en attendant leurs spin-offs ?), avec une durée fleuve, avec Scott Adkins mais on le laisse s’amuser à ricaner sous plein de latex, au lieu d’engager directement un Nick Frost ou un Don Lee ayant déjà la corpulence… Comme dans « The Batman », en quoi tout ça sert vraiment le film ? Pas grand chose, juste la folie des grandeurs. Une « folie » très standardisée, on en a déjà trop vu des comme ça.
    L’écriture de Chad GPT Stahelski ne va pas donner autre chose qu’un agglomérat, sans le transcender pour autant. N’est pas Tarantino qui veut.

    La chose la plus impardonnable étant que tout ça n’est qu’au service d’un John Wick voulant épuiser les grands patrons, protéger ses quelques « amis » qu’il a mis dans la mouise (ça reste tous d’horribles assassins tarés, et Winston ironise en protégeant le plus possible ses fesses). Puis trouver la paix… c’est tout.
    C’est bon ? Non car il aurait été sacrément radical de renverser cette satanée Grande Table, envoyez paître ces dirigeants obséquieux (et pourquoi l’habituellement glauque Bill Skarsgård en vilain français ? c’est Gaspard Ulliel qu’ils voulaient au départ ou quoi ?)…
    Bref tout péter, puisqu’on s’en fiche d’eux… ce sont des salauds qui s’entretuent, au lieu de tuer des innocents, tant mieux.
    Non, le « héros » principal kevlardisé reste bloqué à l’état de corps cognant et supplicié, jusqu’à l’absurde cartoonesque et résistant aux chutes dans le vide, résumant ses répliques principales à « je vais tous les tuer », ou « désolé, les conséquences » (comme l’autre là, avec sa « c’est la famille »).
    Et tout est mis en œuvre pour préserver le statu quo, éviter une quelconque révolution malgré une référence directe au célèbre tableau de Delacroix.
    C’est comme si l’équipe du film était elle-même au service de la Grande Table, sans faire de vagues et parée à distiller son scénario dans plein de dérivés ciné et télé très commerciaux… voilà.

    Alors ok, faisons avec : le jeu va enchaîner les cassages de tête, ça va être un peu lent au début, laisser un peu de côté John pour les nouveaux venus…
    Mais quand on a Hiroyuki Sanada face à Donnie Yen, il se passe un truc, et on nous offre bien un combat entre eux ! Certes pas très long, certes sans faire grand chose, ni de leurs origines japonaise contre chinoises, ou de ce que véhicule leur carrière… Mais c’est quand-même excitant dans ce laps de temps.
    Le même Donnie Yen qui ne cesse de se coller à John, préparant un duel final auquel on ne s’attend pas, c’est cool aussi (la scène post-générique, moins)…
    Le Chasseur « Personne » et son chien (remplaçant Halle Berry ?), lui aussi dans un rôle pris entre intérêt et compassion, est pas mal du tout…
    La partie parisienne est au dessus du lot, les morceaux de bravoure dans ces décors ni trop lissés ni trop moches, nous bousculant de manière agréable, avec même un peu de sens qui en découle (tourner en rond, prendre de la hauteur…).
    Adkins fait des coups de pieds retournés en étant grimé en Pingouin/Caïd, c’est tellement absurde que ça en devient rigolo à force…
    D’ailleurs c’est bien que le film finit par être de plus en plus drôle, se prenant moins au sérieux. Jusqu’à laisser se détourner le sens Sisyphéen de la séquence des escaliers de Montmartre, ressemblant à un moment à une scène gag de la comédie « Hot Rod » (dans laquelle Ian McShane y jouait un papa de substitution brutal – comme on se retrouve !).

    Oui, « John Wick 4 » c’est pas malin du tout, ça se voit (la tour Eiffel, 6 fois !).
    Mais le travail physique et logistique lui aussi se voit. Heureusement, c’est le principal intérêt.
    Même avec une heure en trop, même avec une galerie d’archétypes pas nécessairement attachants, le spectacle est à la hauteur, avec plus d’enthousiasme adolescent que de génie. Et c’est bien suffisant comme ça.

  18. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/John-Wick-4-une-fin-alternative-plus-ouverte-a-ete-tournee

    Tant mieux : le coup de la fin d’une Saga qu’on ne voit pas spécialement venir, et qui surtout n’est pas survendue pendant des mois, c’est pile le petit électrochoc qu’il faut.
    Comme ça, moins de pression pour les spin-offs, puisque le protagoniste principal ne viendra pas les parasiter avec trop de caméos.

  19. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/On-a-rencontre-la-doublure-francaise-de-Keanu-Reeves-sur-John-Wick-4

    Toujours plus sympa que… le scénario.

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