Joker – Folie à deux : Quatre ans après Joker… une image inédite de la suite !

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Tiens, un petit quelque chose pour l’une des rares productions super-héroïques de 2024 qui est en boîte… A l’occasion du quatrième anniversaire de la sortie américaine de Joker, le réalisateur Todd Phillips a partagé sur Instagram une image inédite de Joker : Folie à deux, accompagnée des mots suivants : « Merci pour tous les messages. Il y a quatre ans, nous avons fait un sacré voyage. Beaucoup de bons souvenirs. Plus à venir. » Arthur Fleck serait-il en train de connaître son moment ‘Evey Hammond sous la pluie’ à sa sortie de l’Asile d’Arkham ?

[Définition médicale de la ‘folie à deux’] La psychose partagée ou psychose induite est un phénomène psychiatrique résultant de l’adoption de la thématique délirante d’un individu psychotique et du mode de vie qui y est lié par un proche également psychotique. »

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Joker : Folie à deux est réalisé par Todd Phillips et sort aux Etats-Unis le 4 octobre 2024, avec Joaquin Phoenix (Arthur Fleck/le Joker), Lady Gaga (Harley Quinn), Zazie Beetz (Sophie Dumond), Brendan Gleeson, Catherine Keener, Jacob Lofland et Harry Lawtey.

13 COMMENTAIRES

  1. Je fais partie des rares personnes qui n’ont pas aimé le premier film. Autant je reconnais la prestation de l’acteur, autant j’ai du mal avec le rythme et le sujet du film (les riches sont méchants et ça a fait péter un câble à un mec déjà taré). Mais je suis étrangement hypé pour la suite 😅

    • +1 je te rejoins à 100%

      A mes yeux le joker de Joaquin Phoenix ne représente pas la folie mais la vengeance / colère des petites gens.

      Ce parti pris n’est pas mauvais en soit mais il ne correspond pas à mes attentes pour une origine story sur le plis grand vilain de tout les temps.

      • J’ai aimé le film, mais avoue que j’ai du mal à imaginer Joker Phoenix face à Batman. En fait, j’ai du mal à imaginer Batman dans cet univers tout court, tellement l’ambiance du film était proche d’un film nommé aux oscars (en général du drame psychologique).

        • Pour moi le titre Joker ne sert à rien, le film aurait pu s’appeler Clown et se passer à NY plutôt qud Gotham et c’était la même histoire..

          J’ai quand même aimé le twist concernant sa voisine

    • Je suis sans doute encore plus rare, je l’ai toujours pas vu ! Je sais pas si c’est une overdose dûe à la hype après le premier film ou juste le concept d’un Joker dans un monde 100% réel sans la moindre possibilité de voir apparaître des super-héros, mais quelque chose me freine avec ce film. Je le verrai sans doute avant la sortie du 2, mais c’est pas dans mes priorités !

    • J’ai apprécié le film mais comme une suite à « la valse des pantin », le titre joker est plus du au marketing, ça a marché mais c’est putassier.
      le joker reste pour la meilleur version du personnage dans un univers semi réaliste.

      • +1

        JOKER est un excellent film mais j’ai l’impression que sa hype est aussi du a un ras le bol général des produits super-héroiques « normaux »

        La prestation de Joaquim Phoenix est excellente mais, dans l’idée, je préfère la version de Ledger concernant le personnage. Après on est dans deux propositions totalement différentes.

        Concernant Batman, le personnage a tellement de variants qu’on peut largement avoir une version adéquate face a ce Joker. Après serait ce intéressant ? Je n’en suis pas sur tant ce Joker n’a que le nom du nemesis du justicier capé

  2. Du gris au milieu de la couleur – Parapluies de Cherbourg in the rain, tout ça…
    Peut-être une pluie qui laverait symboliquement les péchés en plus du maquillage…
    Bref, le premier était un film de monstre, ayant naturellement faim de violence (et comme souvent, il émerge au milieu de foules prêtes à déchaîner leur colère – rappelez-vous des monstres de la Universal).
    Il fallait faire fi de la promo excessive de l’époque, et de celle qui arrive bientôt, pour se rendre à quel point Todd Phillips (dans la lignée de son documentaire sur GG Allin) nous interroge face à nos faiblesses morales, nos aveuglements, et la manière dont la folie destructrice peut s’abattre comme un raz de marée… ou un cancer/virus, bien accroché à nos gènes, lui.
    Commencez déjà à avoir la trouille – et sinon, (re)voyez à la place « L’antre de la folie » de Carpenter, plus explicite.
    Et bonne nuit. 😟

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