Joker – Folie à deux : Noël au balcon, Arthur Fleck en prison (nouvelles images) !

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Quel meilleur endroit que l’Asile d’Arkham pour passer Noël ? Je vous le demande. Sans plus attendre, on écoute le réalisateur Todd Phillips, qui vient de partager deux nouvelles images de Joker : Folie à deux : « Je souhaite à tous de joyeuses fêtes et une belle nouvelle année. Octobre 2024 #Joker2 » Merci à lui. On rappellera que la suite de Joker sera la seule production DC Comics de l’année 2024. Ce qui veut dire que pour une fois, la bonne résolution ‘Qualité plutôt que quantité’ devrait être respectée !

[Définition médicale de la ‘folie à deux’] La psychose partagée ou psychose induite est un phénomène psychiatrique résultant de l’adoption de la thématique délirante d’un individu psychotique et du mode de vie qui y est lié par un proche également psychotique. »

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Joker : Folie à deux est réalisé par Todd Phillips et sort aux Etats-Unis le 4 octobre 2024, avec Joaquin Phoenix (Arthur Fleck/le Joker), Lady Gaga (Harley Quinn), Zazie Beetz (Sophie Dumond), Brendan Gleeson, Catherine Keener, Jacob Lofland et Harry Lawtey.

11 COMMENTAIRES

  1. Mouais, ça sera peut être objectivement un bon film mais ça n’aura encore rien avoir avec les comics.
    Vivement 2025, pour The Batman Part II et Superman Legacy.

    • @Joshripper.
      Tout dépend du comics en question
      Je trouve que JOKER correspond assez a la version proposée par KILLING JOKE.
      Reste que le film de Todd Philipps a la particularité de se passer de Batman…

      • Y’a une inspiration Killing Joke pour le côté One Bad Day, mais ça reste là, le Joker en mode chef de file des laissés pour compte, quelle horreur !
        J’aurais largement préféré une adaptation du Joker de Brian Azzarello, où on le suit à travers les yeux de son homme à tout faire et on voit à quel point il incarne la terreur à Gotham, au point même que Double Face finit par appeler Batman pour qu’il l’arrête.
        Ou faire un film qui évoque réellement la dualité entre Batman et le Joker, qui montre vraiment que ce sont les deux faces d’une même pièce.
        Pour moi c’est un film très surcoté qui propose une relecture du personnage qui est à des années lumières de ce qu’il est sensé être : un clown psychopathe terrifiant.
        S’ajoute à cela que les origin story me gonflent et que ce qui est intéressant avec le Joker c’est que personne ne sait qu’il est, personne n’arrive à trouver de quel pathologie il souffre, il y a un mystère qui entoure ce personnage et c’est très bien.
        Et alors la suite avec Harley Quinn, personnage que je ne supporte pas (en dehors des White Knight de Sean Murphy), j’ai vraiment aucune attente pour ce film.

      • Je ne les aient pas tous lus (qui le peut de toute façon ?) mais j’en ai lu un bon rayon, et oui, d’accord, y’a différentes versions, comme pour chaque persos d’ailleurs, mais il y a quand même des standards à respecter qui doivent être là (code couleur axé sur le vert et le violet, le côté clown et humour macabre, la dualité avec Batman etc).
        Il y a des bases qu’on doit retrouver, perso je suis pas fan de « c’est une adaptation donc on fait ce qu’on veut », parce qu’à ce compte là, y’a qu’à faire un Joker sur une licorne avec des fusils laser sur un arc-en-ciel.

    • Vu toute les purges auxquelles on a eu le droit ces dernières années, si on a un bon film même si il ne respecte pas les comics ce sera déjà fantastique

  2. …et on vous souhaite des voyelles noyées. 😁

    Aucun rapport quantité/qualité ici, ce film n’a pas le moindre lien avec tous ceux contenus au sein d’une même franchise global. Donc s’il devait être mauvais, ça serait entièrement sa faute.
    Et on en a eu des exemples cette année, de gros films (surtout d’auteurs) boursouflés par leur propre ambition. Beaucoup ont créé de l’aveuglement auprès de la critique, mais très peu ont été suivis par le public…

    Commençons à lancer l’appel : ce n’est pas à la « super-héros fatigue » qu’on assiste, c’est à la fatigue de la lourdeur plutôt – humour, action, scénarisation, leçons de vie, bons sentiments… plus personne ne sait couper dans le gras, tellement encouragés par des financiers avides de multiplier les heures de visionnages ultérieurs sur leurs plateformes.
    Et ça, ça concerne Tous les films, sans distinction de genre.

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