Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
Aujourd’hui, il y a forcément plus de choses à voir sous les sapins que sur les écrans… Néanmoins, deux sorties sont à signaler. Dans quelques minutes, Ncuti Gatwa (Barbie, Sex Education) débutera officiellement sa carrière de Quinzième Docteur dans le traditionnel épisode de Noël de Doctor Who, disponible sur Disney+. Et jeudi, Netflix proposera Pokémon Concierge, une série animée en stop motion aussi douce que la voix de Karen Fukuhara – Kimiko dans The Boys et Katana dans Suicide Squad -, l’actrice ayant été choisie pour doubler la réceptionniste Haru. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu récemment ? Combien de Ferrero Rocher avez-vous mangé ? Quels comics le Super-Barbu vous a-t-il apporté ? A vos claviers et très belle dernière semaine de l’année 2023 à tous !
Voici l’histoire de Haru, la nouvelle réceptionniste d’un hôtel pour Pokémon situé sur une île ensoleillée. Alors qu’elle tente, avec ses collègues, de répondre aux attentes des différents Pokémon qui séjournent dans l’établissement, Haru va progressivement à la rencontre d’elle-même.
Étant en train de rattraper les event marvel, super barbu à déposé Fear Itself sous le sapin, ainsi qu’un non d’achat pour les prochaines intégrales TMNT et MMPR, trop hâte de lire tout ça !!
Vu :
Citizen in the temple de Jason Huls : un court métrage dystopique bien réalisé mais un peu prévisible.
Spirit Pact : un film chinois. Une histoire d’exorciste avec un peu de comédie qui tient bien la route.
Pour ma part pas de comics mais deux disques vinyle de spider-man 1 de Sam raimi et les gardiens de la galaxie vol 2. Tellement excellent à écouter 🙂. Je vais essayer de m’acheter les vol 1 et vol 3 pour avoir la trilogie.
Vu: Rebel Moon
Un étron de plus pour Snyder après Army of the Dead, pourtant je suis fan 😅
C’est long, c’est chiant, c’est laid, c’est saturé de ralentis pour rien, les dialogues sont caricaturaux, l’héroïne est antipathique (et se double très mal), bref c’est nul à chier. Même l’action est anecdotique, c’est dire.
Un accident ça arrive, deux accidents ce n’est plus un hasard. Pour moi Snyder a perdu la main et lui donner carte blanche comme Netflix l’a fait était la pire chose à faire. Je suis même pas déçu car le film est exactement ce à quoi je m’attendais suite aux trailers.
A éviter !
Perso j’ai repris des lectures de romans, mais je m’attaque au 15ème Docteur sitôt qu’il sera dispo !
De l’autre côté, j’ai pas mal joué ! Je me suis pris deux compil de jeux Castlevania sur la Switch, et je me suis découvert un amour pour l’opus GBA Harmony of Dissonance, avec Juste Belmont. 👌🏻
J’ai reçu le nouveau Dragon Quest également, Le Prince des Ombres, et si je sais d’avance que le scénario ne sera… Pas incroyable mdr, j’ai bon espoir que le gameplay en revanche, rattrape le tout et me procure nombres d’heures de plaisir !
Sinon, y a Shin Godzilla qui est enfin sorti en support physique chez nous, du coup DVD acheté, et ça va partir sur un regardage (encore !) en attendant de mettre la main sur le Godzilla Minus One plus tard ! 🙏🏻
Vu Rebel moon c’est juste navrant Snyder s’auto caricature sans aucune subtilité, c’est plat dans l’esthétique, sans profondeur dans la narration ( on passe de situation à une autre sans lien réel), l’écriture et le jeu sont très pauvre, je ne sais pas ce que donnera la version longue, mais franchement je doute de tenter le coup, c’était vraiment dure d’aller jusqu’au bout.
Une semaine très peu enrichissante, bouclage de dossiers au boulot, preparation de reconversion, preparation de Noël.
Je pensais pouvoir montrer des classiques de Noel à la télé aux enfants. Cette tradition semble avoir disparu de l’audiovisuel français. Heureusement le Blu Ray existe.
-J’ai laché la serie Monarch, je me demande si chaque episode n’a pas ete scenarisé independamment par ChatGPT.
– J’ai entendu que le role de Kang a été recasté avec Kirk Lazarus . 😀 ….. Cette rumeur a vraiment tourné et des gens y ont vraiment cru.
J’espère que vous avez gaté vos enfants pour Noël et que vous passez de bonnes fêtes de fin d’année en famille.
4 Ferrero pour l’instant.
Les derniers Marvel Legends No Way Home, dont un splendide Bouffon Vert – mais la base ne s’emboîte pas bien dans le planeur, il semble qu’il vaudrait mieux agrandir le trou pour éviter de la casse.
Vu :
– Début de l’intégrale des films « Sherlock Holmes » incarnés par Basil Rathbone (et Nigel Bruce en Watson)…
Par bien extraordinaire, mais le contexte de production est très particulier. Et il en ressortira quelques inspirations futures…
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– Bon rétablissement ! »…
La quatorzième film de Jean Becker semble suivre la même voie que de précédents opus, un peu « pépère » et matinée d’une touche de gravité (il adapte encore un roman de Marie-Sabine Roger).
On croirait être dans un remake hospitalier de « Camping », avec un casting de seconds rôles qui ressemble à un gros Kamoulox – acteurs à emploi, ou à contre-emploi (Fred Testot), un Darroussin familier, une ado bizarre, un vieux chanteur de variété, une animatrice télé…
Et puis on découvre que Gérard Lanvin ne va pas se contenter de jouer les vieux ronchons qui vont s’attendrir facilement, mais plutôt un homme affublé de traumas plus profonds (le mystère se lève peu à peu, bien que ça soit à peine esquissé). Et qu’on aide, directement ou non, à symboliquement revenir à la vie. Au son de « ce sont des trucs qui arrivent ».
Un des meilleurs films du réalisateur en fin de compte.
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– « N’oublie jamais »…
Nick Cassavetes, cinéaste sans genre ou style particuliers, ni même avec une vision personnelle, adapte un de ces romans traditionalistes et conservateurs de Nicholas Sparks…
Le résultat est un mélo déjà anachronique en 2004 (il n’ose pas beaucoup de choses) et improbable sur plein de points (la ressemblance entre les acteurs jeunes et vieux, le manque de cohérence du personnage de Joan Allen).
Très charcuté par des censeurs, atténuant une bonne partie de ce qui pouvait y avoir de plus chaud et sensuel… ce qui en reste est encore appréciable, mais plutôt naïf.
Il y surtout trop d’occasion manquées pour ce qui est de traiter de la naissance d’un amour pur, de la lutte des classes, des traumatismes de guerre, de la prise d’indépendance des femmes, du rejet de la jalousie, et surtout de la difficile gestion de la mémoire via la narration – on dirait que les personnages dont on raconte l’histoire ne sont que fiction idéalisée (d’où l’absence de ressemblance), et à d’autres moments le doute est permis quant à l’identité de celui qui raconte.
Et finalement, il ne fait rien de toutes ces idées prometteuses. Il y a juste la reconstitution appliquée, et le plaisir de diriger ces acteurs, qui en ont pourtant plus que ça sous la pédale (l’énergie de Rachel McAdams notamment).
Ainsi qu’une intéressante sensibilité féminine, traitant (pour le coup) du consentement, et de la liberté de se faire mutuellement du bien. C’est distillé ça et là, mais c’est très pertinent.
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– « Aquaman et le Royaume perdu »…
Analyse complète sur sa page consacrée :
http://lestoilesheroiques.fr/2023/12/aquaman-et-le-royaume-perdu-le-film-sort-aujourdhui-votre-avis.html
C’est là où on est pas loin de se prendre un coup de pelle dans la figure, tellement ça sent « une autre époque ».
Parce-qu’on a déjà vu du Stephen Sommers et une Prelogie Star Wars qui étaient tout autant gorgés de trucages numériques (et de bestioles non moins), prêts à nous montrer sans complexes et avec beaucoup de vélocité des univers fantasques impossibles à créer avec plus d’effets pratiques. Ça gonflait la critique de ces années là, mais pas le public…
Mais qu’est-ce qui s’est passé aujourd’hui ? On s’est fait influencer ? On mime les mêmes éléments de langage analytiques juste pour « rentrer dans le club des intellos » ? Ils étaient quand-même pas ouf du tout les effets « en dur » des derniers films de Reeves, Villeneuve, Gerwig et Nolan, non ?
Avec une histoire qui justifie un contexte très truqué, malgré le fait qu’ils aient vraiment tourné dans des tas d’endroits exotiques, et qui fait très cinématographique (en comparaison les amphibiens du MCU font plus « concrets », mais par contre ça tue la lisibilité)… pourquoi les partis pris du film devraient alors en devenir les pires défauts ? D’autant que ce sont des idées tirées des comics, certes… Mais qui, à la base, sont de bonnes idées, très appréciées par les lecteurs d’origine.
Et qui ont été ici adaptées au plus proche, sans les défauts d’avant (pas trop de naïveté désuète, pas de violence excessive avec le bébé).
En plus, l’argent est bien présent à l’écran, c’est pas « The Marvels ».
Vraiment pas de raison de bouder, ou alors c’est du cynisme.
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– « Eiffel »… « Accroche toi à la tour, j’enlève l’Eiffel ! »
Martin Bourboulon fait aboutir un projet tortueux, initié et porté à bout de bras par Caroline Bongrand… Et manque le coche en évitant justement de mettre en parallèle le développement de ce film, entre France et Amérique (entre autre), avec la conception acharnée de la Tour Eiffel.
Peut-être parce-que, ironiquement, il aura fallu 5 fois moins de temps à construire ce monument qu’à faire aboutir ce film… à partir de 1997 !! Emma Mackey n’avait que un an à l’époque, c’est pour dire !
Et pour quel résultat ? Un téléfilm de luxe en fait, aux rebondissements plats, aux teintes marrons normatives (un manque d’audace constant de la part de Bourboulon, loin de la folie de ses « Papa ou maman »), à l’ampleur pas assez travaillée. Et qui repose sur une révélation qui est éventée dès le dossier de Presse, ou sinon, qu’on décèle très vite.
D’ici à ce qu’on arrive à la fin, on a la typique histoire d’amour impossible (classes sociales) sur deux âges, ou Romain Duris correspond plus à l’une (la maturité) et Mackey à l’autre (la jeunesse).
Dommage, la mise en parallèle de l’aventure bâtisseuse à haut risque, et de celle adultère non moins (avec un cocu plus intéressant, joué par Pierre Deladonchamps)… Ça ça aurait donné plus de nerf à ce film, si le réalisateur y avait été à fond.
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– « Le Nouveau »…
Joli petit téléfilm en forme de faux biopic sur François-Xavier Demaison, puisque décrivant un homme d’affaire en surchauffe qu’un traumatisme va pousser peu à peu à choisir une voie artistique – et reposant sur la communication et la transmission (de savoir).
Pas trop original (Charlie Dupont en prof comme dans « La faute à Rousseau », mais avec des tous petits cette fois ; Julie Gayet en ex à reconquérir), un peu trop miraculeux sur la fin, mais tout de même bien sympathique.
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– « Irréductible »…
Pour son premier film réalisé en solo, Jérôme Commandeur nous livre un drôle d’objet, nanti d’un faux rythme.
On croit que ça va être une de ces comédies dépaysantes récentes, pas toujours bien rythmées (« Terrible jungle » ou « Jack Mimoun… » – ces tentatives françaises de faire du film un peu plus cher), et en fin de compte, ce remake d’un film italien façon « Chevaliers du fiel » choisit la construction d’un parcours résilient, chez un personnage aussi familier qu’abominable.
Un peu comme un « Banzaï » moderne, malheureusement sans action mais avec l’incroyable humour à froid du comédien – les guests géniaux (beaucoup d’acteurs ayant joués dans des Astérix – ça va bien avec le titre) se mettant sur la même gamme pour un résultat diversement hilarant (un syndicaliste peut-il avoir l’accent d’un Clavier !? doit-on vraiment prendre autant au sérieux l’envolée lyrique de Depardieu !?).
Et avec une conscience socio-écolo très actuelle, suffisamment sincère pour toucher un individu… qui, lui, n’arrive jamais à être sincère, tout occupé qu’il est à protéger ses fesses avec mauvaise foi et obstination.
Mais c’est son duo antagoniste avec Pascale Arbillot (enfin un rôle qui sache utiliser sa jolie sévérité) qui aide à donner le plus de punch à son film, relançant la machine au moment où le récit menace de s’assoupir, à chacune de leurs régulières passe d’armes.
Jamais là où on l’attend cette comédie, comme si Commandeur anticipait même nos réactions, pour mieux les retourner cul par dessus tête. Jusqu’à l’utilisation de la BO de « …Spider-Verse » (il n’y a pas pléthore de musique guillerette là dedans), qui sort de nulle part, avec un effet de plénitude…
Pour qu’ensuite il casse cette ambiance dans un générique de fin très rigolo.
Sale gosse va !
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– « Your Name »…
Makoto Shinkai semble être un énorme jusqu’au-boutiste : raconter une histoire d’amour naissante, marquée par une séparation irréconciliable, ne lui suffit pas. Il faut que cette dite séparation soit traitée à travers Tous les prismes possibles, qu’ils soient genré (l’échange de corps restant une pénétration physique et intime), culturel, géographique, mais aussi spatio-temporel, spirituel (est-on dans « Laura » de Preminger ?) et cosmique. Ça va vraiment très loin, Wourf !
Tout ça pourrait être un peu trop pour un film de moins de deux heures, présenté d’ailleurs d’une telle manière (un générique qui résume le gros de l’histoire, des pauses qui pourraient signaler une fin d’épisode) qu’on croirait voire une mini-série remontée au format de long-métrage.
Il n’empêche que c’est très beau, que ça compte sur l’intelligence du spectateur pour rassembler peu à peu les pièces du puzzle (et de ses deux héros, qui sont si débrouillards qu’on se demande s’ils n’ont pas déjà vu plein de films de body swap)…
Que c’est aussi plein de références symboliques (pensez au ruban de Moebius) ainsi que d’une manière inédite de parler des catastrophes naturelles japonaises…
Que le suspense SF se mêle joliment à l’émotion Surnaturelle…
Et que même si le récit aurait pu s’arrêter de façon satisfaisante à plusieurs reprises, ses rebondissements sont alors moins des coups de théâtre stupéfiants qu’une volonté de se battre pour la Vie… en cherchant des solutions, et en ne lâchant rien.
L’Amour transcende tout
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– « Le Secret de la cité perdue »…
Pour leur premier film hollywoodien, les frères Aaron et Adam Nee vont se contenter de s’amuser avec un matériau prémâché, et des acteurs à peine impliqués, Sandra Bullock en tête… laquelle avait visiblement autre chose à penser dans sa vie à cette époque – ces dernières années, il n’y que Alfonso Cuarón qui ait su lui donner une vraie performance et lui redonner de l’expressivité, même en jouant un personnage d’emblée désabusé.
Channing Tatum est lui-même un poil figé, Daniel Radcliffe nous refourgue la même présentation que dans « Insaisissables 2 », Brad Pitt est plus à l’aise dans l’autodérision mais son rôle secondaire n’est qu’une blague… un peu méchante – l’acteur a jadis fait mariner James Gray et sa propre cité perdue (de Z), mais innofensive.
À l’instar de ce film, qui ne peut ni émuler la dimension méta pirandellienne du « Magnifique » de De Broca, ni égaler le superbe mélange Romance/Action du « … Diamant vert » de Zemeckis (référence explicite). D’autant qu’il y avait la possibilité d’explorer le milieu de l’édition des romans érotiques, et celui (plus large) du merchandising, de ceux qui prêtent leur physique pour incarner un fantasme de fans… sachant que que tout le film ne fait que nous montrer des femmes assez mûres, au milieu de plein de mecs bâtis comme des chippendales.
On n’y est pas vraiment : l’action n’est pas assez trépidante ou originale, la drôlerie se résume à des situations décalées qui sont de fausses bonnes idées (la combinaison à paillettes, jamais pertinente du début à la fin), et aux deux acteurs qui brassent incessamment de l’air en oubliant qu’ils sont censés être en danger.
Quant à la conjonction du Romantisme et de l’Aventure, avec toutes les émotions qui peuvent en émerger, on la frôle à la fin, sans plus, la caractérisation express des deux héros (elle veuve qui cherche un second souffle, lui un bon gars qui ne veut pas être limité à sa carrure) n’aidant pas à apporter suffisamment d’épaisseur à cette histoire.
Vite vu, pas marquant.
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Lu :
– Fin de Superman Infinite tome 5…
Lex Luthor justifie à peine ses volte-face, pour mieux mettre fin à une idée qui ne pouvait pas durer (encore une fois).
– Batman Nocturne tome 2…
L’ambiance est bien soignée, l’histoire est toujours très prenante.
– Aquaman : Andromeda…
Manifestement une réponse tardive au Namor : Voyage au fond des mers, excellente version horrifico conradienne de l’antihéros amphibien.
Mais Arthur Curry étant un personnage plus vertueux, celui-ci prend un peu trop de place au détriment de l’équipage sous-marinier, en chemin vers la terreur.
À quelques détails esthétiques près, ça aurait même pu être une histoire canonique (incluant un classique Black Manta), mais le mélange SF/Lovecraft fonctionne tout de même très bien, le développement psychologique est bien assuré par l’écriture de Ram V, et les dessins de Christian Ward (un peu à la Pasquale Ferry) ont un côté psychédélique angoissant.
Bon travail, à lire en parallèle de la version cinématographique plus débridée.
– Début de Wonder Woman Infinite tome 4…
Étrangement cette série a viré de plus en plus dans l’aventure légère, annihilant tout effort dramatique. Et ce n’est pas le crossover suivant qui va changer grand chose.
– Fin de Flash Infinite tome 3…
Aventures légères là aussi, mais c’est amplement justifié par le côté familial retrouvé des Flash, surtout quand on se rappelle d’où revient Wally West.
– Planète Lazarus – La revanche des dieux…
À peine connecté à l’affaire Lazarus, un crossover entre Shazam et Wonder Woman qui se contente de faire se bastonner des personnages pas d’accord, enfile les retournements de veste sans grande cohérence (et pourquoi Mary a l’air aussi rajeunie ?), et remet tout en ordre à la fin – peu importe dans quelles mains va le Pouvoir, rien ne change vraiment.
– Flashpoint Beyond…
Analyse complète sur la page dédiée :
http://lestoilesheroiques.fr/2023/03/flashpoint-beyond-la-critique-geoff-johns-ressuscite-le-monde-de-flashpoint-et-son-batman-super-vener.html
Je n’ai pas vu Rebel Moon puisque je n’ai pas Netflix. Mais je voulais jeter un œil aux courts métrages de Snyder pour mieux connaître son univers. J’ai juste trouvé un court de 2017 « Snow, steam, iron » qui est un essai de film au smartphone. Bref une expérience. Mais bon pas forcément génial non plus. Du noir, sans dialogue.
Ce qui m’intéresserait ce serait de visionner ses premiers courts ou même ses films d’école. Quelqu’un sait si c’est disponible quelque part ?
Le père noel m’a apporté le livre « MCU official Timeline ». Il y a pas à dire c’est un bel ouvrage. Ça fait plaisir de le parcourir, il y a plusieurs entrées possibles (la chronologie globale mais aussi des encarts par personnage). On voit qu’il y a eu un gros travail pour mettre des choses dans l’ordre, tout en restant suffisamment flou sur les dates de certains événements pour ne pas risquer d’être contredit après. En plus, c’est presque un livre in-universe puisque présenté comme étant la Sacred Timeline de Loki. Lorsqu’il y a eu des incohérences dans les films (le fameux 8 ans plus tard de Spiderman), il y a un petit encart de Miss minute pour dire que le TVA va enquêter dessus, malin !
Bref, content de ce cadeau, le genre de bouquin que je vais mettre sous ma table basse et feuilleter régulièrement
Intéressant, je ne savais pas pour les petites notes de Miss Minutes. Perso, j’ai eu Star Wars Timelines, donc j’espère que l’achat de cet ouvrage participera à motiver Hachette à publier la chrono du MCU en VF !