Le bar de Galactus #265 : The Crow ~ Alain Delon

Par
Les Toiles Héroïques
-
60

Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Piégé dans l’enfer du développement pendant une petite éternité, le reboot de The Crow déploiera finalement ses ailes mercredi dans les salles obscures, avec Bill Skarsgård (Deadpool 2, Ça) et Rupert Sanders (Ghost in the Shell, Blanche-Neige et le Chasseur) devant et derrière la caméra. Trente ans après la mort de Brandon Lee, cette nouvelle adaptation de l’œuvre de James O’Barr trouvera-t-elle son public ou – plus probable – souffrira-t-elle de la comparaison avec le film culte d’Alex Proyas ? Sans transition, impossibe de ne pas mentionner le décès d’Alain Delon, qui a tout de même incarné deux personnages de la culture populaire : Zorro et le Jules César d’Astérix aux Jeux olympiques. Et plus légèrement, peut-être avez-vous binge-watché la première partie de la saison 4 d’Emily in Paris ? Dans tous les cas, à vos claviers et très belle semaine à tous !

Eric et sa fiancée Shelly sont sauvagement assassinés par un gang de criminels. Mais une force mystérieuse ramène Eric d’entre les morts, qui, doté de pouvoirs surnaturels, entreprend de se venger pour sauver son véritable amour.

Vous aimerez lire aussi...

60 COMMENTAIRES

  2. @LTH : Très sérieusement, tu regardes des programmes tels Emily in Paris ? D’ailleurs de manière générale, hormis évidemment les DC, Marvel, Star Wars…, tu arrives à regarder parfois des séries ou films un peu « gnangnan » (j’avoue ne pas connaître du tout Emily in Paris et savoir si c’est gnangnan ou non) ?

    • Emily in Paris, faut regarder ça au second degré, comme une sitcom humoristique racontant les aventures d’une américaine travaillant dans la pub, qui débarque dans un Paris fantasmé et plein de clichés (même s’il y a parfois du fond sous le vernis « bling bling »). Et bien sur à regarder en VO pour apprécier toutes les subtilités.

      • Voilà, ça se regarde en une après-midi pour rigoler. Plus généralement, je regarde peu de séries hors Marvel/DC Comics/Star Wars/The Walking Dead/The Boys, car ça en fait déjà un bon paquet à suivre. Donc à part Emily in Paris, rien de gnangnan, juste les séries SF du moment comme For All Mankind, Stranger Things, Fallout et Le problème à trois corps (bientôt).

  3. Malheureusement même si le film est bon, il va sûrement se faire massacrer par les fans du premier film, car il est un peu culte sur son genre. La nouvelle version est plus moderne et veut sûrement faire autrement que le film original

    • En même temps, il y a beaucoup de franchises de nos jours dont les nouveaux films ne se font pas massacrer par les « fans » des premiers ?

      • C’est parce que les « fans » aiment tellement la version qu’ils ont vu en première, ils veulent pas accepter qu’il en ait une nouvelle, pour un nouveau publique. J’ai surkiffé le film The Crow, j’ai adoré les comics et j’attends ce film parce que la BA m’a donné envie, j’vais peut-être adoré, j’vais peut-être détester mais au moins j’attends de voir

      • Pour information :
        SCARFACE de De Palma : Remake
        LES INFILTRÉS de Scorsese : Remake
        TRUE LIES de Cameron : Remake (d’un film français en prime !!)

        Tout dépend donc du remake

        Dans le cas d’aujourd’hui, on peut indiquer DUNE de Villeneuve que certains verront comme un Remake de la version des années 80.

        Pour ma part, je me rappelle du visionnage de la nouvelle version de ROBOCOP et j’avais apprécié l’approche différente concernant Murphy et le film.
        Loin du culte de son aîné mais se laissait voir et j’ai compris l’intérêt
        A l’opposé, le ROI LION « live », NON MERCI !!

        Tout dépend donc de la proposition offerte : si c’est un copier / coller jouant sur la nostalgie : NON.
        Pour THE CROW, la complexité viens aussi de la disparition tragique de Brandon Lee. Compliqué. Mais la bande annonce du nouvel opus semble aller dans un sens différent. Donc a voir

      • @El Gringo
        Là comme ça, sans trop réfléchir, comme renouveau de franchises bien accueilli :
        – Mad Max
        – Creed
        – The Batman
        – Dune, effectivement bien vu

        • Bsg, l’armé des douze singes, True grit, King Kong(Peter Jackson), vanilla Sky, solaris, Dracula, the star is born, 3h10 pour Yuna, le talentueux monsieur ripley film et série
          La planète des singes
          Sana parler de franchise, un film peut redonné vie à un genre
          À l’image d’impitoyable qui en clôturant le mythe du western, lui redonne une vie.
          On peut mm parler de shogun, qui,fera des petits

        • Certains ça avait quand même bien hurler en amont malgré tout
          Et beaucoup de ceux que tu citent X datent d’avant l’ère du règne des aigris sur le web

    • et veut plutôt faire différent des comics underground originaux.
      Hors, là, la réécriture n’est pas possible vu l’impact de l’oeuvre.
      C’est comme si on voulait refaire Watchmen dans l’univers visuel acidulé de Barbie

        • la « franchise » est indéniablement liée à un moment symptomatique d’histoire contemporaine. Si toutefois on peut parler de franchise, parce qu’avec le second film, franchouillard, on n’était déjà plus dans cette lecture que Proyas avait su cerner. the Crow, c’est la poésie sombre et la mélancolie du Gothic, et donc la déplacer dans le temps, coller dessus une autre période musicale revient juste à caricaturer le propos de James O’barr qui tient plus de l’auteur de graphic novel que du gars qu’on peut commanditer sur un comic ou un autre.

          A l’extrême, on pourrait tenter une réécriture plus Cyber, avec une bande son contenant les morceaux de Noisuf-X ou Detroit Diesel, mais ça n’est pas le choix fait ici. Donc hors sujet.

  5. J’suis sur la fin de « The Office », et ensuite ce sera « Lost – Les Disparus ». J’ai une connaissance qui m’a fait un bon lobbying !

  6. Malheureusement pour « The Crow », j’ai bien peur que le film explose complètement au B.O; promo inexistante, 1 seule bande annonce sortie il y a 3/4 mois, un rejet « global » du nouveau Éric Draven, le culte lié au 1er film et son destin tragique… Bref, ça pue fort !! Et pourtant, le film m’intrigue…

    Pour ma part, je me refais l’intégrale de Daredevil en attendant Born Again, et ba c’est toujours aussi bon ! Disney va avoir une sacrée pression sur les épaules…

  7. A noter que Delon a fait du fantastique également !! Et comme dans la bande son du Passage il peut maintenant chanter:
    Et si la mort me programme
    Sur son grand ordinateur
    Elle ne prendra que mon âme
    Mais elle n’aura pas mon cœur..

    Allez salut mr Delon ! Et merci de nous laisser avec les nouveaux grands du cinéma français que sont LeBihan, Diefenthal ou Reno….

        • Disons que Delon avait avoué une certaine admiration pour Hitler dans une certaine émission.
          Et je ne comprend pas qu’on en fasse plus pour Delon que pour Belmondo. Pour moi Belmondi était plus grand. Il avait fait l’effort de tourner des films d’action et de donner au cinéma d’action ses plus grands films ( La Scoumoiune, Peur sur la ville….) avec Verneuil, Deray ou Giovanni.
          Delon était un acteur faussement populaire. Il alternait les films commerciaux et les films d’auteur. Mais il n’a jamais accepté de tourner dans dans de purs divertissements populaires comme Belmondo. Donc il était un cran en dessous.

          • Belmondo et Delon : même niveau d’hommage pour moi.
            Les deux avaient des côtes sombres et des côtes lumineux mais ils ont étaient et restent encore des icônes du cinema français à l’étranger.
            Donc, si la famille le souhaite, hommage national mais solennel. Surtout pas un truc a la Johnny…

    • ah vaste débat Foxy que peut engendrer ton commentaire ! peut on dissocier l’acteur de l’œuvre?? car s’il est vrai que tu as entièrement raison sur l’aspect abject de l’homme Delon, doit on pour autant ignorer les œuvres et le personnage… Pour moi des films comme Le Guépard, Plein Soleil, Rocco, Le samourai de Melville ou Soleil Rouge par exemple font parti du paysage français /ou européen (visconti) et ont marqué une grande part de réalisateurs et de spectateurs….
      doit on arrêter de visionner Seven, American beauty ou Usual suspects parce que Kevin Spacey???
      doit on détester Rosemary baby parce que Roman Polanski?….
      je ne sais pas, le débat est ouvert

      • Disons que les films où il y a un acteur on peut apprécier l’œuvre peut importe les histoires liés a l’acteur plus facilement
        Quand il s’agit d’un réalisateur c’est déjà plus compliqué

        Et encore, le soucis soulevé généralement vis a vis de Polanski par exemple, c’est pas tellement la question d’apprécier ou non ces films, chacun fait avec sa sensibilité la dessus ma foi

        C’est que l’industrie cinématographique (au sens large) continue de financer un criminel en cavale et pire, qu’on le célébre même dans des cérémonies.

      • Pour aller dans le sens de la réflexion sur l’homme et le personnage public, je dirais qu’il ne faut pas oublier qu’une œuvre cinématographique doit a nombres de personnes.
        Le cinéma n’est pas comme la littérature ou la peinture : c’est un art qui se partage dans sa création.
        L’exemple de Kevin Spacey me parle plus que Delon : je ne vais pas arrêter de voir USUAL SUSPECT ou SE7EN a cause de lui. Au delà du gars, on a des réalisateurs, des acteurs, des scénaristes, etc.. qui mérite amplement le respect de voir ces films.
        Je suis plus circonspect par contre sur les œuvres de Polanski ou Besson post-revelations.
        Après on est dans un monde où même l’abbé Pierre est reconnu de problèmes sexuels…

  9. Enfin vu « Alien – Romulus », j’ai beaucoup aimé ! Un étonnant « film somme » de la franchise, parfaitement maîtrisée sur la forme, moins sur le fond. Il manque des choses à mes yeux (davantage de séquences effrayantes, une tension plus palpable, un aspect plus mutique…) mais ne boudons pas notre plaisir, c’était un régal de le voir dans un cinéma !

    Je (re)découvre la filmographie de Delon vu l’actualité (même si, ma première rencontre du septième art avec lui était justement… Zorro ^^).

    Côté lecture je (re)découvre l’entièreté de Naruto en manga, quel kiff même si je suis moins addict que One Piece.

    Et… j’ai rendez-vous avec Lana Del Rey mercredi soir à Rock en Seine, c’est donc une bonne semaine ^^

  10. RIP mon Zorro. D’ailleurs, je vais me le remater ce soir.
    Quant à The Crow Riboute, j’espère qu’il va se planter encore plus que Borderlands. The Crow, c’est un de mes films préférés (Top 3), son acteur évidemment, sa mélancolie, sa mise en scène, son OST de malade…
    Le refaire est un sacrilège, et pour ça il faudrait du talent comme du Nolan/Ledger pour faire accepter la nouvelle version. Faire un John Wick bis version génération Z, avec des gens sans talent, c’est tellement naze.
    Enfin on a l’habitude. Ils vont tout saccager et se planter. Merci l’argent de Blackrock

      • Où tu vois un complot là dedans? Tu es complètement teubé ou il te faut une liste de toutes les œuvres de la pop culture américaine revisitées à la sauce wookie?
        Ca serait plus rapide de parler de celles qui ne l’ont pas été d’ailleurs.
        Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir

          • Et donc? C’est faux? Blackrock, la DEI, tout ça, ça n’existe pas? C’est un complot? 😅
            Les entreprises de divertissement américaines (cinéma, séries, jeux vidéo) forcent leur « diversité, équité, inclusion » en perdant des centaines de millions d’euros, juste pour le plaisir et la bonne cause?

          • Tout le délires autour de Black Rock ou Sweet Baby c’est du délire complotiste oui

            Mais je vois que t’as les deux pieds dedans…
            Je peux pas dire que ça m’étonne des masses

            La DEI ça existe, c’est juste pas ce que vous prétendez

          • C’est du délire complotiste… parce que tu le dis?
            J’avais oublié à quel point ta parole était divine. J’attends toujours que tu me cites 5 oeuvres non retouchées par la wookie attitude 😅

    • Si tu veux des films d’action façon John Wick mais avaec des scénarios aussi soilides que ceux du Parrain, il semble y avoir ça en cinéma indien.

  11. Delon, acteur surcoté qui est surtout connu mondialement pour son physique. Ça reste un acteur charismatique mais quand je le vois à côté des jean gabin, de funes, belmondo etc. je grimace.
    Accessoirement une belle ordure boxeur de femme

    • @Fub.

      Tu es sérieux ?
      Tu peux ne pas aimer l’homme (et vu son relationnel avec ses enfants et ses amours…)
      mais de parler de lui comme acteur surcoté ?!?!
      Le gars a fait le tour du monde en jouant dans des films français et a inspiré nombres de personnes (THE KILLER est un hommage au SAMOURAÏ)
      Et pour son aura, c’est simplement que avec Belmondo, ils représentaient les deux facettes du français à l’étranger : Charmeur, comique, séducteur, roublard, etc.

  13. NAUTILUS ( France 2 )

    Un retour dans le temps tant la série a une mise en scène du début des années 2000
    Paradoxalement, ça va et ça fait du bien ! Il faut dire que le jeu d’acteur n’est pas trop mauvais (mention a l’acteur jouant Némo) et les péripéties se suivent agréablement avec des clins d’œil aux connaisseurs de l’oeuvre littéraire.

    JACKPOT (Prime)

    Pas encore fini le film mais c’est plaisant sans plus. Clairement le film d 1h30 que l’on regarde en mode tranquille sans trop réfléchir.

    LE SEIGNEUR DES ANNEAUX ( Prime )

    Ma compagne n’avait jamais vu la trilogie ! Réparé et une amatrice de plus pour l’univers de Tolkien ! J’hésite à lui montrer BILBO. Si quelqu’un a un conseil, je suis preneur.

    • @Spidey

      Le plus grand mal du 4F de Trank : Avoir mis des gros bâtons dans les carrières. Michael B. Jordan était déjà passé à autre chose mais Miles Teller a dû limite repartir en arrière via les films indé pour revenir sur le devant de la scène médiatique d’importance avec TOP GUN MAVERICK
      J’espère donc pareil pour Kebbel qui, en prime, semblait avoir compris le côté gris de Doom dans les 4F.

      • Kebbel a campé un excellent Victor von Doom (ce qui est encore plus inquiétant avec les projets de Downey JR/Feige/Iger/les Russo, avec les récentes déclarations au Hollywood Reporter) mais un fort fort mauvais Dr Doom, essentiellement dû à l’écriture et à la chappe Kinsberg sur le travail de Trank.

  15. Pour moi, on doit toujours dissocier l’acteur et la personne.

    Il y a toujours une rivalité fabriquée entre Belmondo et Delon et finalement j’ai plus apprécié les films de Belmondo, étant enfant (avec Louis De Funès).
    Mais il a joué dans de grands films où son côté taciturne / ténébreux allait à ses personnages.

  17. Pour THE CROW, j’ai vu une vidéo sur un projet avorté dans le milieu du rap avec Eminem en méchant face a DMX !
    Le film ne s’est pas fait car les producteurs ne croyait pas en un film porté par deux vedettes rap. Dommage car l’idée était intriguante

    • the Crow est un monument du Gothic…
      il est lié à une mouvance et à une époque.
      Sans même parler de la galère à avoir émergé de l’underground avec une histoire écrite en 80 par O’Barr dans le but de surmonter le décès de sa petite amie, morte dans un accident de voiture avec un conducteur ivre, et devoir attendre presque 9 ans pour que Caliber la publie, elle est héritière à la fois du post-punk, et cristallise la continuité du romantisme noir par ces thématiques allant de la marque du passage du temps à cette sorte de mélancolie éternelle qui caractérise nos amis les gothiques.

      Vouloir proposer différent à tous prix, raconter autre chose que ce qu’à narré O’Barr, dans l’univers où il l’a placé et dont il était emprunt, c’est dénaturer le propos.
      Ici où on n’est aussi prompt à parler de Black Panther joué par un acteur asiatique ou dégommer tout ce qui revêt l’apparence d’un elsewolrd ; ce qui n’aurait pas de sens (sic), je suis surpris de cette soudaine tolérance.

      Ou bien vous n’avalez jamais lu the Crow (ou ne l’avez pas saisi)

  18. 20 août 2024 at 12 h 02 min

    Faux, le deuxième « The Crow » est aussi sorti au cinéma…

    Delon justicier masqué en Zorro, mais aussi en Tulipe Noire pré-parodique…
    Un acteur iconisé trop tôt, qui était un paradoxe à lui seul :
    Il peut séduire tout le monde, mais a été livré à lui-même, quasi abandonné, dès l’enfance…
    Il pâti de cette façon désuète dont on apprend la virilité à un homme, à double tranchant – par exemple, on est fidèle aux copains, même s’ils font des saletés… et on oublie trop vite les femmes et les enfants.
    Il n’est pas le seul de cette génération à avoir la connerie orgueilleuse chevillée au corps (sans aller jusqu’à devenir un porte-parole embarrassant), mais il l’a souvent payé, et s’est amendé avec l’âge.
    Très français, et en même temps il a la gueule archétypale d’un japonais (ceci explique sa popularité là bas).

    Par dessus tout, c’était un solitaire dans l’âme, mais :
    Qui resplendissait dès lors qu’on l’associait à de grands réalisateurs – sa filmographie des années 60 à 70 (au delà, ça commence à baisser) parle mieux que lui, avec une élégance et une intelligence qui dépassent tous ses vieux égarements machos (suffit de le constater avec « Monsieur Klein »)…
    Ou quand on l’associait avec des femmes – féminité qu’il possédait aussi, dans la douceur de ses traits (tout en évitant à tout prix de devenir un énième minet du Cinéma)…
    Ou quand on l’associait avec d’autres acteurs plus « terriens »…
    Un astre noir, morbide même – le soleil Belmondo était-il le seul à justifier son existence ? son ombre ? pourtant lui aussi était ultra bondissant à l’époque, il n’y a qu’à voir ses cascades kamikazes dans « Mélodie en sous-sol » et « Les Félins ». Deux films parmi d’autres (une dizaine de grands, à tout casser) qui prouvent que s’il était l’un des meilleurs, ça n’est pas pour une question de goût, ou parce que tout le monde le répète…
    C’est juste parce que c’était Vrai.

    Et il y a l’événement « Emilia Perez » qui sort aussi… Pas la came du coin, tant pis.

    Vu et revu :

    – Toujours l’alternance Michael Bay/Chris Nolan…
    De « Rock » à « The Island » cette fois.
    _

    – Toujours « Game of Thrones »…
    Saison 1, avec l’installation de sa fameuse mécanique racoleuse pour têtards d’Internet – tactiques de faux culs à la Koh-Lanta, cul et violence, des fois dans de longues scènes qui s’enchaînent les unes après les autres.
    Malgré quelques répétitions, c’est de qualité et compensé par la présence de vrais personnages vertueux,
    _

    – « Rumba la vie »…
    Décidément le Frank Dubosc réalisateur n’existe que pour surpasser le Frank Dubosc acteur.
    Avec ce deuxième film, son personnage de prédilection de héros beauf, mytho un peu pathétique, devient un être ombrageux, handicapé affectif (!) qui se punit de n’avoir pas été plus entreprenant, d’être passé complètement à côté du bonheur.
    Cette fois il n’y pousse pas jusqu’à l’extrême limite les blagues sur la danse, les préjugés et les pseudos franchouillards (c’est du déjà vu dans sa filmographie), et ne fait pas reposer son film uniquement sur les mensonges et quiproquos, les désamorçant peu à peu pour mieux embrayer sur une autre piste, tout aussi intéressante.
    Et si le chemin de son héros est encore balisé avec une évidente tendresse (et que son héroïne, jouée par Louna Espinosa, est toujours extra), l’identité de ce film s’oriente plus vers de la farce mélancolique.
    Donc si on n’y ri(cane) pas autant qu’on ne l’aurait cru, c’est normal… Et si on n’y pleure pas non plus à chaudes larmes, c’est une question de pudeur.
    Par contre, le cœur y est, gros comme ça.
    _

    – « Ducobu président ! »…
    Élie Semoun continue de « cartoonifier », dans ses films comme dans ceux des autres.
    Et y va de sa petite critique de la politique populiste, sans évidemment la moindre acidité (et juste un soupçon de férocité), puisque film pour gamins et prime de TF1 oblige. La présence de Ary Abittan en antagoniste est même inutile.
    _

    Lu :

    – Superman Chronicles 1988 volume 2, et encore quelques révélations sur le Smallville post Crisis…

    – Batman Chronicles 1988 volume 1 et 2, et encore plus d’action et de noirceur…

    – Action Comics sombre dans les résolutions faciles à coup de Multivers…

    – Batman Nocturne a droit à un interlude moins centré sur le héros, et Nightwing joue les pirates…

    – Shazam dompte les dieux…

    – Wonder Woman au chevet, et c’est le plus important…

    – Green Lantern face à Sinestro, finale…

    – Début des nouvelles Birds of prey, drôle et un peu Rétro…

    – Début du crossover Titans Beast World, assez précipité.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here