Le bar de Galactus #329 : Insaisissables 3 ~ Call of Duty – Black Ops 7

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Des années d’Ocean’s Eleven et de Lupin avec des plans virtuoses et du faisceau laser à gogo pour finalement se retrouver avec le cambriolage du musée du Louvre (mot de passe : Louvre)… Nous atteignons donc la fameuse semaine d’Insaisissables 3, où chacun pourra y aller de sa petite blague en rapport avec l’actualité ! L’autre sortie de la semaine concerne l’une des franchises vidéo-ludiques les plus cinématographiques du moment, Call of Duty : Black Ops 7, qui sera d’ailleurs prochainement adaptée au cinéma par Peter Berg et Taylor Sheridan. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu ces derniers jours et de quoi sera fait votre programme du 11 novembre ? (Star Wars : La Force Vivante terminé. Trop anecdotique sur le fond, mais effort louable de développer la personnalité des membres secondaires du Conseil Jedi, avec une pointe d’humour et un début de réflexion sur les carences de l’Ordre.) A vos claviers et belle semaine à tous !

Les Cavaliers sont de retour pour le braquage le plus impressionnant jamais imaginé ! Accompagnés d’un groupe de jeunes magiciens qui espèrent suivre leur trace, ils vont devoir repousser les limites de l’illusion pour orchestrer leur tour le plus spectaculaire : dérober le joyau le plus précieux du monde des mains d’une redoutable organisation criminelle…

5 COMMENTAIRES

  1. Pas de mots pour Pluribus ? La nouvelle série de Vince Gilligan (Breaking Bad, Better Call Saul) qui a commencé la semaine dernière ?
    J’ai l’impression qu’elle passe un peu inaperçu

  2. Inqualifiable ?

    https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/La-bande-annonce-de-Kill-Bill-The-Whole-Bloody-Affair-va-vous-donner-envie-de-revoir-le-4e-film-de-Quentin-Tarantino

    https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Mort-de-Lee-Tamahori-realisateur-de-James-Bond-Meurs-un-autre-jour

    Vu :

    – Toujours le Arrowverse, avec « The Flash » fin de la Saison 2, très sombre, celle du harcèlement par des brutes, qui vont pousser Barry dans ses retranchements…
    « Arrow » fin de la Saison 4, en ne sachant plus quoi raconter…
    « Legends of Tomorrow » fin de la Saison 1, avec suffisamment d’action dingue pour faire passer la pilule grossière…
    « Supergirl » début de la Saison saison 2, intéressante avec de menues maladresses…
    Reproduction surtout du même schéma dans les 4 saisons 2015 – 2016, avec notamment des héros qui font tous face à un antagoniste brutal, qu’ils n’arrivent jamais à mettre longtemps, et qui pourraient même être interchangeables : Zoom est un conquérant bidimensionnel comme Savage l’est à travers le Temps… on a deux immortels, Savage et Dahrk, ce dernier étant un époux bientôt en peine et voulant réformer le monde entier par la destruction comme Non chez Supergirl.
    Pas assez de chefs en cuisine et les recettes sont beaucoup trop similaires.
    Les saisons suivantes semblent plus prometteuses ?

    Analyse sur les pages consacrées :

    lestoilesheroiques.fr/films/dc/arrow
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/flash
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/legends-of-tomorrow
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/supergirl
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    – « Smashing Machine »…
    Machine Pumpkin
    Dwayne Johnson qui pleure et qui dit « hey, ça c’est pas bien », et Emily Blunt qui fait n’importe quoi. Ça aurait pu être un sketch du SNL, voir même une lubie de Tugg Speedman (« never go full sensitive ! »), mais comme petit film dramatique à l’ambiance jazzy, ça se laisse voir.
    Et comme complément à « Uncut Gems » – là où Adam Sandler rebondissait avec malice sur chaque échec, Dwayne apprend à laisser faire…
    Analyse complète au Bar précédent, le #328…
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    — Spécial Japanim’ par des français :

    – « Arco »…

    Donnie d’..?

    Graphiste, clipeur, bédéaste, réalisateur, Ugo Bienvenu réalise son premier film d’animation (avec un coup de main de Natalie Portman) en se mettant dans les pas de Ghibli. Contrairement à ses travaux habituels, plus noirs, il se lance dans un récit enfantin, écolo, indirectement pour la tolérance (c’est une question de vêtements, mais ça reste très anecdotique, les personnages étant d’ailleurs très uniformes). Et dont la ligne claire n’est pas soutenue par un récit abouti.
    Original pourtant d’avoir comme idée une histoire à la « E.T. » où le Futur lointain entrerait en collision avec non pas le Présent (comme c’est souvent le cas)… mais avec un autre Futur, certes plus proche.
    La conception de ces mondes les mettant en miroir l’un de l’autre : ordonné mais certainement post-apocalyptique pour celui vivant dans les nuages, en harmonie avec les éléments les plus volatiles (des oiseaux jusqu’au Temps lui-même), au point où leur technologie ressemble presque à de la Magie…
    Ordonné itou mais en dépit de catastrophes écologiques régulières pour le monde terre-à-terre, se reposant sur trop de gadgets à l’allure de jouets multicolores, devant vivre sous cloches chaque fois que les éléments se déchaînent.

    Pas si opposés que ça puisque chacun semble pousser l’Humanité à vivre dans des cocons (en 2932, même si on peut voler, on dort comme si on flottait dans un liquide amniotique)… et commencer à abandonner tout ce qui vit près du sol.
    Similaires aussi les deux héros enfants du film (même si le titre n’en désigne qu’un seul, pas le plus intéressant). Arco étant un Icare perdu, aux pouvoirs proches du Dr Spectrum des comics Marvel, et Iris est une rêveuse qui a des velléités pour changer les choses – ce qui sera explicite à la fin.
    Seulement le cheminement pour arriver à conclure les arcs narratifs des personnages est un peu précipité, sûrement pour des questions d’économies de budget que pour se caler sur un rythme pour jeunes spectateurs impatients (c’est souvent lié).
    Non pas que le film soit exempt de scènes plus posées, contemplatives, bien au contraire… c’est juste qu’il y manque des éléments pour caractériser les personnages. Ainsi que, justement, de la nervosité, un peu plus d’action eût égard à l’histoire de Arco, au contexte dans lequel ça se passe. La notion du danger, quitte à ce que ça se désamorce ensuite, n’y est pas assez forte.

    Par exemple le premier vol de Arco, qui devient une chute libre, n’est pas aussi angoissant puisqu’on ne voit pas le sol qui se rapproche…
    Les robots de 2075 sont des machines efficaces, pas réellement des IA menaçantes, et il n’y a pas vraiment de réflexion sur le fait qu’elles remplacent les enseignants à l’école (joli gag de « la salle des professeurs ») et privent les enfants de plus de contacts humains, dans une société où des adultes aux lunettes VR vissées sur le nez délèguent leur éducation.
    Notamment le robot Mikki (un personnage déjà développé par le réalisateur sur de précédents travaux), amalgame de la personnalité des parents de Iris – ce n’est pas précisé, c’est dans le générique qu’on remarque que sa voix mélange les deux… Bon lui c’est évidemment une petite référence aux « Géant de fer » et cie, mais on ne comprend pas trop la raison de sa dernière action, utile pour boucler le film bien que semblant surgir de nulle part – par contre c’est très touchant, l’humanisant juste ce qu’il faut…
    Quant aux trois pieds-nickelés qui courent après le duo, si on les suspectent d’abord d’être de classiques agents ennemis, la révélation de leur vraie nature et le changement de leur fonctionnement sont trop abruptes – et on n’arrive même pas à les distinguer individuellement, alors qu’ils sont joués par Vincent Macaigne, Louis Garrel et William Lebghil…

    On a alors l’impression de voir des archétypes connus d’animés japonais piochés puis répartis dans le récit de manière automatique. Comme une imitation des grandes œuvres de la Japanim’, pas une réappropriation avec un œil occidental, français, voir même cartésien ou différemment poétique.
    Ce qui l’empêche d’être suffisamment convaincant lorsqu’on arrive aux derniers périls, demandant beaucoup pour passer la suspension d’incrédulité – une évasion avant fermeture de dôme, une course-poursuite avec un bébé, une chute qui n’occasionne aucun dégâts, des twists temporels dramatiques mais trop forcés…
    Certes c’est joli, et c’est une vision assez optimiste d’un Avenir qui serait laissé entre les mains d’enfants volontaires… mais cette morale très usitée, on peut la détecter dès le début du film, ça n’est même pas un enjeu final surprenant.
    Dans l’intervalle, on a beau livre d’illustrations pour les petits de moins de 12 ans, pas du tout complexe. Le public principal de ce long-métrage, assurément.
    Pour les adultes, ça manquera toujours de quelques subtilités…

    J’adorerais ce plan sans Arco ?..

    – « Miraculous World : Tokyo, Stellar Force »…
    Festival Japanim’ pour la série (qui s’en inspire déjà beaucoup), Enfin ! Avec une virée nippone pré saison 6, (le cœur de) Kagami en vedette, de la 2D, des éléments traditionnels, des Super Sentais, des Kaijus, un Mecha…
    Bien marrant, mais qui finit sur un atroce suspense, d’autant plus frustrant qu’on ne sait pas quel impact ça va générer.
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    Lu :

    – Les Esprits de la Vengeance se rassemblent de plus en plus…

    – Moon Knight prend cher, et voyons s’il y aura à un moment donné un dialogue nordique/juif…

    – Deadpool et Wolverine, et une séance de torture consentie, démente…

    – Le Ultimate Nick Fury d’un univers bien faf…
    Ultimate Black Panther doit se méfier de lui-même…

    – Star Wars : La bataille de Jakku se finit avec la perte de personnages jusque-là coriaces…

    – Astérix en Lusitanie…
    Histoire classique pour Fabcaro et Conrad – comme quand ils étaient légionnaires, les héros vont s’infiltrer pour retrouver quelqu’un.
    Niveau particularités portugaises : zéro poils mais beaucoup de morue et de saudade… Ainsi que du gaulois réac et quelques bons calembours – Mavuebès, lentilles !

  3. Une news Call Of Duty, on en est là 🤣
    Perso je m’éclate sur World At War (toujours plein de monde en ligne sur PS3), à l’époque où la licence ressemblait encore à quelque chose (les deux premiers Black Ops, la première trilogie Modern Warfare et World At War représentent pour moi le sommet de la licence à tout les niveaux, solo, multi et zombie).

  4. GT7 annonce l’arrivée de l Espace F1 !!!

    Sinon ca sera surement ciné dès que possible pour INSAISISSABLES 3. Ma compagne a vu le 1 dernièrement et a aussi aimé que moi. Du blockbuster détente simple

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