Sandman : Où est passé le projet onirique de Joseph Gordon-Levitt ?

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Mercredi, quand la Warner a dévoilé son ambitieux calendrier, vous avez peut-être remarqué l’absence de Sandman, le projet porté par Joseph Gordon-Levitt. L’auteur de cette fresque onirique, Neil Gaiman (Coraline, Marvel 1602), s’en est expliqué sur Tumblr : « Ce n’est pas un film DC Comics. C’est un film Vertigo. C’est une autre série de films, une autre annonce. »

Ainsi, ce personnage aux frontières de la sphère Vertigo – le label ‘adulte’ de la Distinguée Concurrence – vivra ses aventures en dehors de l’Univers Cinématographique DC Comics. Dans sa série, le seigneur des rêves a visité plusieurs super-héros. Ce ne sera manifestement pas le cas au cinéma, avec une séparation bien visible entre les univers.

D’après Gaiman, il existe d’autres projets qui n’ont pas encore été annoncés. Parmi eux, Dark Universe de Guillermo del Toro ? Comme The Sandman, la série Justice League Dark mélange des créations Vertigo et des personnages de l’univers classique DC Comics. Où caser cette adaptation, dans quelle sphère ? Il va falloir trancher !

6 COMMENTAIRES

  1. potentiellement, une ligne ciné avec des films comme Sandman, 100 bullets, American vampire, Y the last man, Fables, DMZ ou encore Northlanders n’a non seulement pas besoin d’un univers commun à l’évidence, mais encore moins d’être relié au pan super héroique DC.
    J’irais même jusqu’à considérer un film Sandman comme appartenant à la même gamme que Constantine, History of violence, V for vendetta, the Fountain et the Losers.

  2. Si Sandman n’a pas été annoncé en même temps que les autres étant considéré comme un film à part ; peut on suggérer que finalement Shazam et Suicide Squad pourraient avoir un lien avec l’univers partagé ?

  3. C’est aussi un film très très dur à vendre, pas une seconde calibré « blockbuster » dans ses thèmes, contrairement à ses camarades du calendrier Warner/DC.
    Qu’il garde au moins le même ADN dit du « merveilleux » qu’on trouve dans la littérature desinée, ce serait déjà bien.

    Etrange que Guillermo del Toro ne s’y intéresse pas, car de Cronos au Labyrinte de Pan, il semble plus parler à une partie (ésotérique et poêtique) de son univers ciné personnel. Peut-être ne l’a-t-il jamais lu, on ne peut pas tout avoir dans la vie.

    Dommage, pour moi ce serait plus un « film de festivals » parmi les plus prestigieux. On ne sait jamais, la Palme d’Or du Cannes de l’an dernier est bien allé à une libre adaptation de bande dessinée…

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