We Can Be Heroes : Les premières images du film super-héroïque de Robert Rodriguez !

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Une nouvelle équipe de super-héros débarque bientôt sur Netflix ! Dans We Can Be Heroes, Robert Rodriguez nous présentera les Heroics, un super-groupe composé notamment de Pedro Pascal (The Mandalorian), Christian Slater (Mr. Robot) et Boyd Holbrook (Logan). Sauf que… ils vont très vite se faire kidnapper par des extraterrestres et il reviendra à leurs enfants de sauver le monde. Comme vous pouvez le voir sur ces premières images, We Can Be Heroes s’annonce comme la suite spirituelle de Spy Kids et des Aventures de Shark Boy et Lava Girl (un caméo de ces deux personnages est d’ailleurs prévu). Nous sommes donc loin d’un Sin City ou d’un Machete ; mais qui sait, dans quelques années, ce long métrage super-héroïque destiné aux plus jeunes sera peut-être devenu culte !

Lorsque des envahisseurs extraterrestres kidnappent tous les super-héros de la Terre, les enfants de ceux-ci arrivent à la rescousse. Mais ils doivent absolument apprendre à travailler ensemble s’ils veulent sauver leurs parents… et le monde.

We Can Be Heroes de Robert Rodriguez sera diffusé le 1er janvier 2021 sur Netflix, avec Pedro Pascal (Marcus Moreno), Christian Slater (Tech-No), Boyd Holbrook (Miracle Guy), Quinton Johnson (Crimson Legend), Brittany Perry-Russell (Red Lightening Fury), Haley Reinhart (Ms. Vox), Priyanka Chopra (Ms. Granada) et YaYa Gosselin (Missy Moreno).

19 COMMENTAIRES

    • Bon par contre, la schizophrénie, c’est pas avoir deux personnalités (oui je passe juste pour ça, c’est important qu’on arrête de véhiculer cette idée). C’est le trouble dissociatif de l’identité ça.

  1. J’adore Rodriguez ! Entre autre, parce que ce mec s’en bat les c**lles !
    Il fait du cinéma comme un gosse de huit ans joue au Lego/Playmobil. C’est génial !
    Il renoue avec l’origine même du cinéma, de Méliès ou de Murnau — à savoir faire de l’image juste pour raconter une histoire, et entretenir le ravissement purement infantile du spectateur.
    Il sait qu’il n’est qu’un simple faiseur, s’amuse loin des faux-génies orgueilleux — et pourtant, sa patte est reconnaissable entre mille !

    • Sur le fond je suis d’accord, j’aime bien Rodriguez car il propose son propre style bien à lui. Après, comparer Rodriguez avec Méliès faut pas s’enflammer… Il a pas la filmographie la plus mémorable non plus.
      Et puis on peut raconter une histoire visuelle qui ramène en enfance sans faire comme ce réal. James Cameron peut en témoigner.
      Rien n’est gravé dans le marbre par un grand marabout dans le septième art qui atteste que le cinéma a été et doit perdurer comme un cinéma d’illustration ou seul règne l’esthétisme visuel. Sinon, on reste dans un conservatisme artistique et redondant Hors, ce n’est pas l’inverse de ce que prône l’art ? A savoir repousser les limites établies et créer l’originalité ? Car perso, j’ai vu des films qui ne m’ont pas marqué par la photographie mais ou la puissance narrative et le jeu d’acteur m’ont émues.
      Vaste débat 😉

    • On ne peut pas comparer Rodriguez avec Méliès, je suis bien d’accord. Ils ont chacun son propre style assez éloigné. Mais justement, n’importe quel art comme le cinéma, a pour but de s’exprimer pleinement sans se soucier d’autrui. Le réal avec son inventivité veut uniquement susciter aux spectateurs, des émotions qu’il ressent en créant. Rien n’interdit de ce qu’il veut faire de son film. Moi-même, les trois Spy Kids m’ont marqué. Donc il peut réussir ou pas selon ses capacités. Le premier principe du cinéma est l’esthétisme visuel, puis l’audition. En même temps, le ton de films comme Spy Kid, Shark Boy and Larva Girl se fait rare en ce moment.

  2. Le côté kitch voir rétro ne me gène pas, j’ai tout aimé les Super héros de l’âge d or avec notamment captain America et les envahisseurs luttant entre autres contre les nazis. En revanche les enfants sur la photo ça m’inquiète…

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