Venom – Let There Be Carnage : La sortie est repoussée en septembre 2021…

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« Quand je vais sortir d’ici… Et je vais sortir d’ici… Ça va être un carnage… » – Cletus Kasady

Pour éviter un carnage au box office, Venom : Let There Be Carnage déménage… Sans surprise, la sortie du blockbuster symbiotique d’Andy Serkis est décalée du 25 juin au 17 septembre 2021. Depuis le début de la pandémie, la stratégie de crise de Sony Pictures a toujours été de laisser du temps au temps ; ce n’est donc que la seconde date de sortie du film. La rentrée n’est pas vraiment une période très porteuse, mais ce sera toujours mieux que des salles vides en juin !

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Venom : Let There Be Carnage est réalisé par Andy Serkis et sort aux Etats-Unis le 17 septembre 2021, avec Tom Hardy (Eddie Brock/Venom), Woody Harrelson (Cletus Kasady/Carnage), Michelle Williams (Anne Weying), Reid Scott (Dan Lewis), Naomie Harris (Shriek) et Stephan Graham.

12 COMMENTAIRES

  1. Tiens curieux, ça impliquerait donc qu’il n’y a effectivement pas d’éléments de continuité avec Morbius nécessitant de le repousser à après la date actuelle de sortie de Morbius…

      • Oui oui je sais, je disais ça parce qu’à l’origine Morbius devait sortir avant Venom 2 (c’était avant qu’ils ne le repoussent jusqu’à Janvier 2022 justement).

  2. je me demandais quand ça allait tomber se report
    en attendant ils feraient mieux de nous mettre quelques choses sous la dent, on est nombreux à commencer à être bien échauder de tout ses reports

  3. … ça en fait des étagères bien remplies de films dans les studios, en attente illimitée.
    Pendant que les nôtres, d’étagères, se vident de plus en plus au profit du dématérialisé.

    • Ils feraient mieux de vendre leur came en ligne. Ils ne vont rien gagner a continuer de tourner des films sans les diffuser. Ca va bouchonner sec et va y avoir des films qui vont se planter mechamment.
      C est sur qu il y a un manque a gagner evident, mais il y a une saloperie de virus qui emmerde tout le monde et faudra faire avec un moment encore.

      • Ce n’est pas le virus en lui-même qui emmerde tout monde c’est la façon que certains ont de l’instrumentaliser pour imposer des trucs stupides en dépit du bon sens et des observations empiriques que l’on a déjà pu faire jusqu’ici (les cinés ont rouvert en Chine, aux US, etc.)

      • Qu’est-ce que vous voulez : on paye aussi notre arrogance à vouloir toujours plus, et tout de suite, souvent en un simple clic – d’autant qu’à consommer ou « binger » du divertissement, on en finit par tellement le banaliser qu’on peut en perdre… le goût, comme pour la Covid.

        Et les premiers confinements n’ont pas servi de leçon puisqu’on s’est très vite remis à surproduire et surconsommer (également pour protéger notre santé puisque l’ironie est que les masques et gels hydroalcooliques peuvent polluer, malheureusement)…
        D’où la persistance de la Pandémie, un variant par ci… un reconfinement par là… Plus possible de tout prévoir à l’avance, il y a tellement de variables inconnues, d’un territoire à l’autre, qui font que ça change tout le temps.
        On dirait une nouvelle divinité, bien énervée et aux effets bien réels (et pas toujours distinctifs), eux.

        Le « Carpe Diem » devrait rentrer dans les têtes d’ici là… Pour au moins la durée totale d’une bonne guerre mondiale, soit environ 5 ans au final (avec ou sans compter la reconstruction dans le « monde d’après »).

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