Spider-Man – No Way Home : Une réunion super-vilainique d’anthologie et autres spider-news pimentées !

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Ça y est, internet est devenu un terrain miné où il devient difficile d’éviter les spoilers de Spider-Man : No Way Home… A moins d’une semaine de la sortie du blockbuster arachnéen, voici un zapping avec deux vidéos qui valent le détour. En premier, nous avons la réunion de Willem Dafoe, Alfred Molina et Jamie Foxx sur le même plateau (même si le discours promo est de rigueur, quel moment !). Et en second, Tom Holland affronte l’étape la plus éprouvante de son marathon promotionnel, en passant dans la web-émission Hot Ones (si vous découvrez le concept, amusez-vous bien !). Sinon, on peut toujours jeter un œil sur les posters et les spots TV, mais au bout du quinzième… Allez, plus que six dodos avant que Spider-Man : No Way Home explose tous les records !

Pour la première fois dans l’histoire cinématographique de Spider-Man, l’identité du héros sympa du quartier est révélée, et ses responsabilités de super héros entrent en conflit avec sa vie privée, mettant ainsi en danger ses proches. Quand il demande de l’aide à Doctor Strange pour rétablir les choses et garder son secret, le sort ouvre une brèche dans leur monde, libérant les méchants les plus puissants ayant jamais combattu un Spider-Man dans tous les univers confondus. A présent, Peter va devoir affronter son plus grand défi, qui altèrera non seulement son futur, mais aussi celui du multivers.

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Spider-Man : No Way Home est réalisé par Jon Watts et sort en France le 15 décembre 2021, avec Tom Holland (Peter Parker/Spider-Man), Zendaya (Michelle Jones), Jacob Batalon (Ned Leeds), Tony Revolori (Flash Thompson), Marisa Tomei (May Parker), Benedict Cumberbatch (Stephen Strange/Doctor Strange), Jamie Foxx (Max Dillon/Electro) et Alfred Molina (Otto Octavius/Doctor Octopus).

21 COMMENTAIRES

  1. C’est bizarre mais depuis que l’affiche Dolby Cinema, j’ai vu personne en mode « Wouah c’est la preuve ultime qu’il a Daredevil dans le film » xD

  2. Du coup on est d’accord que si les posters sont aussi dégueulasse, c’est pour qu’ont apprécient encore plus celui avec les 3 spider-man qu’ils préparent pour après la sortie du film ?

  3. Pourquoi le film le plus attendu de l’année a-t-il des posters dignent de fan made ? Ce film est-il dénué à ce point de conception artistique ? 😂

  4. Oui alors euh, attention.
    La BO du film est déjà sortie.
    Regardez pas les titres. On est pas dans les blagounettes et jeux de mots de l’ami Giacchino. Les titres sont descriptifs et cashs.
    Vraiment, faites gaffe. Moi c’est trop tard.

  5. De plus en plus de visuels bien sympas… ils ont eu plus de temps pour ça, mais ça reste un peu trop lissé.
    Et des spoilers qui ne font qu’ajouter du mystère (io), rien d’autre – réacteur ARK ? D’où ? De Toomes ? De celui qui a racheté la tour Avengers ? Et pourquoi la Iron Spider a aussi une version plus dorée ?
    Etc etc… Ils cachent encore un gros paquet de trucs, tant mieux. Oui, finies les bandes annonces Sony où on distinguait même le tout dernier plan du film (dans le premier en 2002, ou dans le deuxième « TASM »).

  6. En dolby vision ou en imax ?… mon coeur balance.

    Ps je viens de me refaire ceux de sam raimi … et j ai un sale arriere gout quand je vois qu en 20 ans et 4 films il ne sont jamais arrivé a faire mieux ou ne serait ce qu aussi bien.

    Je flipe d avance pour blade by MCU.

    • C’est l’effet nostalgique qui joue, avec la musique tout le temps douce et grave de Elfman (entre deux envolées).
      Mais si quelques effets physiques et numériques accusent bien le coût des années, ces films étaient avantagés car ils étaient plus simples :
      – des combats principalement en un contre un ;
      – des ennemis qui attaquent toujours là où il y a plein d’immeubles, pratique pour faire des voltiges et être moins désavantagé qu’en terrains plats ou étrangers ;
      – ces ennemis paraissent complexes car ils sont principalement des victimes rendus fous, ils n’ont pas de libre arbitre qui serait controversé… Et tout revient dans l’ordre à la fin ;
      – des gentils réduits aussi au plus simple par rapport aux comics : MJ est évacuée de tout son historique ultra dramatique mais aussi énergique, pour devenir un amour secret d’à côté et de toujours, donc la parfaite âme sœur et petite fiancée à sauver (plein de fois)…
      Et surtout Peter y devient très sage. Il est encore souvent perturbé ou maladroit, mais il est très peu ingénieux (et jamais inventeur), et il n’y est jamais moqueur une fois devenu Spider-Man. Puisqu’il est un héros, il doit être sérieux comme tous les héros et c’est tout.
      Pratique, ceux qui aiment faire les malins et blaguer sont de grandes cibles pour les haineux, et la production et Raimi se sont évités ça avec ces films.
      C’est du Classique, avec beaucoup de romantisme qui fait pleurer… et ça laisse plus de temps pour se concentrer sur la mise en scène, sa clarté et son superbe rythme, qui globalement ne bouge pas avec les ans.

      Mais en général, on n’y va pas que pour la mise en scène, en mode fans-esthètes…

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