Le bar de Galactus #139 : Ambulance

65

Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Le Maître des Explosions est de retour ! Ambulance de Michael Bay sort mercredi sur nos écrans, avec Mysterio et Black Manta en têtes d’affiche. Là où les choses deviennent particulièrement intéressantes, c’est quand on sait que le Père Noël a offert de nouveaux jouets à Bay… des drones. Il suffit de voir la bande annonce pour s’en convaincre : la réalisation des scènes d’action pourrait bien être révolutionnée par cette technologie. Pour l’instant, personne ou presque ne l’utilise, mais nul doute qu’Ambulance changera la donne. (Il y a déjà eu quelques essais dans Stargirl et Supergirl. Cela donnait un sympathique supplément d’ampleur à moindre coût.) En attendant, revenons sur le plancher des vaches. Qu’avez-vous vu/lu/bu récemment ? A vos claviers et vive le printemps !

Will Sharp, un vétéran décoré fait appel à la seule personne indigne de confiance, son frète adoptif Danny pour trouver l’argent afin de couvrir les frais médicaux de sa femme. Ce dernier, un charismatique criminel au long cours, au lieu de lui donner de l’argent, lui propose un coup : le plus grand braquage de banque de l’histoire de Los Angeles : 32 millions de dollars. Will, prêt à tout pour sauver sa femme, accepte. Mais quand leur affaire prend un tour spectaculairement désastreux, les deux frères n’ont pas d’autre choix que de détourner une ambulance avec à son bord un vieux flic mortellement blessé et l’ambulancière Cam Thompson. Pendant la course poursuite infernale qui s’ensuit, Will et Danny vont devoir échapper aux forces de l’ordre surmotivées postées aux 4 coins de la ville, tenter de garder leurs otages en vie et éviter de s’entre tuer tout en exécutant l’évasion la plus spectaculaire que la ville de Los Angeles n’ait jamais vue.

65 COMMENTAIRES

  1. Cinéma : Calme plat… dire qu’il y a quelques mois j’y allais chaque semaine…La force de l’habitude… Vivement Sonic 2. Peut-être Morbius si la critique le permet.

    Jeu vidéo : Kena Brigde of Spirit (version PS4). Magnifique jeu même avec ma console « rétro ». Avec une ambiance à la limite de la relaxation ponctuée d’un peu de difficulté dû à une descente punitive de barre de vie à chaque coup reçu.

    Comics : Depuis l’annonce d’Obiwan Kenobi, je me refais l’intégrale Dark Vador Seigneur Noir des Siths, en particulier les arcs concernant les inquisiteurs. Ça serait super si ils adaptaient en série (animée ?) ce comics. Bien que ça ne va pas arranger ma réception du look du Grand Inquisiteur dans Kenobi…

    • « Kena Brigde of Spirit  » Je ne connaissais pas, et vien de regarder le trailer sur youtube, effectivment ça à l’air vraiment, vraiment sympa

    • Une adaptation du comics Dark Vador seigneur noir des Siths ne serait pas très utile. Vu que Star Wars est éminemment cross-média, ça ne sert à rien de reraconter la même histoire.
      Mieux vaut raconter des événements inédits (et surtout, une nouvelle période ce serait très cool). La Haute République ?

  2. Vu « comment je suis devenu super hero »..Bon ben comme d’hab c est du Lachau, c est bien nul mais je me marre, pleins de clins d’œil sympas (Logan qui sort de sa Logan 🤣🤣🤣) et Notre Dame et Mamoudou Gassama fallait oser.
    Bref c’était bien drôle même si je comprends qu’on pourrait lui mettre 0

    Sinon fini « Beyond, two souls » , sympa , mais là où je mettais un bon 20/20 à Detroit, celui ci se fendra d’un 14, bon me reste à me faire Heavy rain demain 🙂

  3. Fini la saison 2 de Upload toujours bien cette petite série du créateur de the office. Par contre 7 épisode de 30 minutes qui ne termine aucune intrigue bin ça fait un peu mal. Surtout que je n’ai pas l’impression que la série soit une des priorités d’amazon donc j’ai peur qu’on en reste là et qu’il n’y ait pas de saison 3.

    Terminé aussi la première saison de Yellowjackets Sa raconte l’histoire d’une équipe lycéenne de foot féminin dans l’avion s’est craché en plein milieu de nul part et elles doivent donc survivre.
    La série est excellente entre présent et passée le casting est très bon. Il y a quelques tête connu dedans , d’ailleurs il y a la jeune Cyborg de Bobba Fett qui là montre tout son talent d’actrice . La série arrive à gérer plusieurs style entre humour cynique au thriller horrifique en passant par des amourette d’ado jusqu’à la crise de la quarantaine. Vraiment hate de voir la saison 2 .

    • UPLOAD S2 ( Amazon )
      Clairement l’impression d’avoir une demi saison avec, encore, un final en suspens.
      J’adore cette série et l’histoire n’a clairement pas tout donner. Après pour une S3, je n’ai pas de doute car le coup au final m’apparaît assez faible compte tenu du propos

      • Ah j’avais pas vu que la saison 2 d’Upload était sortie, j’avais beaucoup aimé la saison 1. J’espère que la saison 3 arrivera plus rapidement que la saison 2.

      • Effectivement la fin arrive trop vite.
        J’espère que la 3 sera vite annoncée et vite tournée.
        Pourquoi elle ne serait pas une priorité ulysse? La série a l’air de bien fonctionné!

        • Vu le peu de promo autour de la série. Que la saison deux a un peu tardé ça me fait dire que la série n’est pas vraiment une priorité d’amazon.

    • Fini aussi Yellowjackets, d’accord avec Ulysse, la série est top, vivement la saison 2. Avec entre autres Juliette Lewis, Christina Ricci qui se font voler la vedette par les « jeunes » mais surtout par Mélanie Lynskey. Thriller para-fantastique (ça existe çà ?…du coup oui) sans temps mort.

      Débuté « From » avec Harold Perrineau, auquel on peut aussi appliquer le « Thriller para-fantastique ». Les 2 premiers épisodes sont top, le 3ème moumoumou, ça repart avec le 4 et 5. J’attends la suite avec impatience…

      • Juliette Lewis c’est peut-être la seule que j’ai trouvé pas très bien dans la série, il n’y a pas vraiment de ressemblance physique entre les deux version de Natalie la ou pour les autres filles clairement les actrices ont fait cette effort. Et puis Melanie Lynskey est une valeur sur , toujours excellente peu importe le projet.

  4. Adam à travers le temps. Poussif, chiant, une film de science-fiction fainéant, comme souvent avec les dernières productions Netflix avec tête d’affiche.

    Je me méfie comme de la peste de Michael Bay, je ne donnerai pas une thune à ce film !

    En série, je suis sur la fin de Peacemaker, une bonne surprise. Et Snowpiercer, devant laquelle je m’endors… seule série qui sort du lot ces derniers jours : My Name. Très bonne série mafieuse / action se déroulant en Corée !

  5. Tirez pas dessus… 😉

    Vu :
    Fin de Anthony Mann. L’homme de théâtre (ça se voit souvent dans sa mise en place des acteurs), l’explorateur de la violence tapie en soi, ainsi que de la quête de richesses et de prospérité américaine.
    Étrange fin de carrière avec un polar d’espionnage british et, une fois n’est pas coutume, contemporain (« Maldone pour un espion »). Sacrément racé, tortueux jusqu’à la folie et d’un cynisme à contre-courant de ses habitudes.
    Mais il ne l’avait pas terminé, mourrant en plein milieu du tournage. Est-ce que cette noirceur psychologique aurait composée la suite de son Œuvre, on ne le saura jamais.

    « Philomena »
    Les films de Stephen Frears post Hollywood sont vraiment très intéressants par leur traitement humaniste, simple et grand à la fois. Et ce buddy movie dramatique, avançant tranquillement sur son chemin, crée beaucoup d’attachement pour ses personnages (réels), entre refus de colère indignée pour l’une et tentatives de rédemption pour l’autre.

    « Guy »
    Du (faux) Mockumentaire, mais dans de la Variété française populaire. Donc pas aussi énergique qu’un « Spinal Tap » pour ce qui est de la médiocrité amusante des personnages. Comme un condensé de toutes les émissions du type Fréquenstar, où on peut y reconnaître n’importe quel chanteur du patrimoine (tel Johnny, tel Claude François, tel Sardou, tel Delpech, tel Aznavour, tel Dutronc).
    Plus proche de ce que sera « Aline » (la gêne au premier degré), mais avec un jeu sur l’identité et l’imposture qui devient vertigineux : Alex Lutz jouant entièrement (au présent) maquillé en vieux, Tom Dingler lui-même fils de chanteur resté sur de vieux tubes, des chanteurs se jouant eux-mêmes ou bien jouant des chanteurs fictifs, Bruno Sanchez venant jouer une scène étant l’antithèse absolue de « Catherine et Liliane »… Même Michel Drucker est là (forcément), mais dans un rôle de léger « variant ».
    Mais moins une comédie qu’un joli film tendre et mélancolique sur une recherche obsessionnelle de paternité, d’un côté comme de l’autre.

    « Le Lion »
    Ça pourrait bien être une commande algorithmique de Netflix : mélanger du Pierre Richard/Francis Veber avec un peu de « Die Hard » 1 et 3. Avec assez de pognon pour une séquence d’action en ouverture, et le reste pour les salaires des acteurs, et une photo bien belle.
    Ça reste du produit en mode automatique, embryon d’une autre inspiration (sûrement involontaire), vers laquelle on n’aura pas assez de temps pour y arriver : « Fisher King ». Dommage, car ça aurait été ainsi une meilleure occasion pour sortir un chouia ces comédiens de leur zone de confort de prédilection.
    Pas mal pour un passage télé par contre… Évidemment.

    Lu :
    Le troisième tome Deluxe des Runaways, roublard et dramatique. Dommage que la couv’ reprenne celle du tome US, qui ne couvre pas le même nombre de numéros.

    Spider-Woman – King in Black (enfin non, ça se passe en parallèle, mais sans trop d’impact). Drew hyper vénère, malgré elle, dans un arc narratif qui encore une fois trouve sa petite saveur quand on passe la première moitié.

    Fantastic Four – La Fiancée de Fatalis, où Victor se bouffe toute la famille, en majesté (même s’il a l’air de se faire humilier). C’est à croire qu’il a tout prévu de A à Z.

    Thor, Spider-Man, Iron Man, ça va…

    Début de World War She-Hulk, l’arc consacré de Jen Walters (enfin), pas si mal que ça, au delà du Fun bourrin habituel.

    • Maldone pour un espion c’est tout de même assez spécial. Je l’ai très moyennement apprécié. Je leur préfère largement les films noirs/policiers réalistes des débuts de mann, ses westerns avec ses héros au passé trouble ou ses péplums.

      • … Normal s’il ne l’a pas fini (c’est son acteur principal, Laurence Harvey, qui s’y est collé).
        En même temps, son générique de début est mortel (le symbole du pantin et la typo du titre seront quasiment repris pour « Le Parrain »), sa photographie Clean (avant que ça devienne souvent assez moche dans les 70’s), son scénario est un piège mortel. On croirait voir la même chose que pour « Blow Up », c’est à dire un cinéaste non-anglais investissant les swinging sixties brittish, dans un exercice gratuit, insensé et flirtant avec le surréalisme.
        Non seulement il n’y a rien à comprendre (mais tout à ressentir ?), mais on y voit surtout le triomphe des puissants manipulateurs cette fois-ci. Alors que la plupart des films de Mann ont longtemps montré l’inverse, surtout dans ces derniers (chute de Rome, du Reich au profit de l’espoir dans « Les héros de Télémark »…).
        C’est pour ça que je me demande si Mann n’allait pas explorer par la suite des zones encore plus noires et désespérées qu’à ses habitudes.

  6. Je suis en train de découvrir « From », diffusée sur Epix, avec Harold Perrineau (Michael de LOST). Ya une ambiance indéniable à cette série qui rappelle LOST mais avec un fond oppressant.
    Le pitch de base rappelle plusieurs trucs déjà fait: Une famille en voyage arrive dans un village dont on ne peut plus sortir. A la nuit tombée, tous le monde se réfugie dans sa maison, car des entités monstrueuses sortent la nuit. Une seule règle: ne jamais leur ouvrir.

    La série a une ambiance sombre, et un rythme lent. On ne vit pas toutes les nuits des habitants, mais lorsque l’action se concentre sur la nuit, la menace est constamment palpable, même lorsqu’elle avance lentement. En écho à Lost, il y a beaucoup de mystères, et mêmes les personnages semblent avoir conscience des anomalies qui existent dans leur situation.

    Je n’arrive pas vraiment à dire pourquoi j’accroche à cette série, mais elle me plaît beaucoup, avec son horreur étrangement dosée, qui ne joue pas trop sur les jumpscares. Les menaces ont quelque chose de familier, un peu déjà vu, et en même temps, on n’y comprend rien, et ce avec un certain plaisir.

  7. Je viens de voir la série Mare of Easttown, encore une masterclass par HBO après Succession et dans une moindre mesure Peacemaker. Kate Winslet est incroyablement juste et l’histoire m’a scotché durant les 7 épisodes avec une ambiance a mi-chemin entre True Detective et Prisoners. HBO c’est tellement au-dessus de la concurrence c’est dingue leur savoir-faire en la matière. HBO Max je m’abonne day one quand c’est dispo.

    Sinon hâte de voir Ambulance car j’aime beaucoup Michael Bay même si ses derniers films étaient bien nazes (les deux derniers Transformers et Six Underground). Avec ce nouveau film j’espère retrouver le Bay des The Rock/Bad Boys avec de l’action plus terre à terre. J’ai jamais vu Jake Gyllenhaal dans un film moyen alors je le sens bien. Verdict dans la semaine.

    • « J’ai jamais vu Jake Gyllenhaal dans un film moyen » t’as pas dû voir Velvet Buzzsaw, quel déception du réal après avoir fait Nightcrawler.

      • Tiens moi je pensais au film d’Antoine Fuqua, où il joue un boxeur… Le nombre de clichés dans ce truc ont fait que j’ai pas pu le finir. Rien à voir avec les acteurs mais plutôt la direction, l’écriture et la façon de filmer.

        • Pas vu Velvet Buzzsaw, j’évite un peu les films de plateforme qui sont souvent très mauvais. J’ai pas mal aimé La Rage au Ventre cependant Green-Hylian, c’est très cliché en effet (comme pratiquement tous les films de boxe je trouve) mais assez efficace.

          • Je garde un bon souvenir de La Rage au Ventre moi aussi. Je me souviens avoir été vachement touché par le drame du héros et sa lutte pour sa fille.

          • Moi j’ai vraiment détesté, à cause de la réal tape à l’œil et du scénario stéréotypé à mort (n’est pas Rocky qui veut, 30 ans après, et justement j’avais trouvé le premier Creed bien mieux pensé, dans le genre boxe). Mais je vous comprends 🙂

          • Ouais moi aussi je trouve que Creed est bien au-dessus. C’est probablement mon film de boxe favori.
            Mes souvenirs de la Rage au Ventre sont lointains. Je me le referai sûrement à l’occasion, voir si mon avis évolue. ^^

        • Ah perso j’avais bien aimé  »la rage au ventre ». Je ne l’avais pas du tout trouvé cliché, au contraire je l’avais trouvé touchant et efficace.

          Ah creed était super réussi. D’ailleurs je n’ai tjr pas vu le 2 il est comment par rapport au 1?

          • C’est une excellente suite au même niveau du 1, le traitement de Ivan Drago était génial j’ai trouvé, très fan pour l’instant de ces « films héritages ».

          • Personnellement je le trouve au-dessous du premier, mais très satisfaisant malgré tout. J’ai beaucoup aimé la façon dont ils ont ramené la famille Drago dans la saga. Ca ne semble pas du tout forcé, ce dont j’avais un peu peur avant de voir le film. Fonce !

          • J’ai adoré. Michael B. Jordan s’impose vraiment comme une superstar et l’histoire du fils de Drago est tout aussi touchante à celle de Creed dans le premier film.

  8. Je me suis maté Wizards : Tales of Arcadia et Troll Hunter : le réveil des titans. Franchement les 3 séries et le film animé sont d’un qualité vraiment au dessus! Je me suis régalé perso. En JV je finis God of War sur PC et j’en chie ma race contre les Valkyries. J’enchainerai avec SW : Fallen Order ou Elden Ring je verrai.

    • « j’en chie ma race contre les Valkyries »
      Contre un et surtout la dernière, je suis passé en facile. De mémoire la dernière est quasi imbattable si ce n’est pas en facile

      • Me semble que je l’ai vaincu en difficulté normal… après un nombre incalculable d’essais…

        Mes conseils : augmente au maximum le niveau des armes et compétences dès que possible (Limite réserve la reine pour l’ultime tâche pour atteindre le 100% du jeu). Observe bien le pattern des Valkiries, tu verras ça passera mieux une fois avoir compris. Pour la reine, elle a tous les mouvements de chacune des valkyries affrontées, une astuce est d’esquiver vers la droite quand elle te fonce dessus (elle est droitière, donc l’arme t’atteindra pas), à moins que c’est l’inverse…

        • Merci des conseils, il ne me reste que celle du royaume de la brume avant la reine. J’ai un peu de mal avec ce royaume, tendance à vouloir trop bourriner pour avancer vite et jme fais tuer betement à chaque fois mais bon ca enlève rien au fait que ce jeu est phénoménal!

          • Seuls bémol je trouve :
            – Manque de « gigantisme » dans les décors, propre aux autres opus
            – Trop peu de bosses
            Mais sinon, oui, phénoménal lui correspond bien 🙂

  9. Vu :
    – Notre-Dame Brûle : étonnamment plutôt bon en tant que film catastrophe, surtout quand on sait que Jean-Jacques Annaud jure que chaque anecdote est vraie. L’aspect foi et ferveur chrétienne des spectateurs du drame m’est passé au-dessus de la tête, mais j’ai quand même passé un très bon moment. Ai été très surpris de voir Anne Hidalgo reprendre son propre rôle le temps d’une courte scène à l’hôtel de ville.
    Attention : ne pas voir ce film la vessie pleine. Les pompiers travaillent beaucoup.

    – Once Upon a Time : ma chérie me fait découvrir cette série qui n’est plus très récente, mais qui vaut le coup d’œil pour son pitch, ses acteurs (Robert Carlyle !) et ses multiples références aux anciens comptes version Disney (j’étais étrangement heureux de voir un balais s’animer façon Apprenti Sorcier de Fantasia). Il y a quand même des longueurs et des résolutions extrêmement faciles, mais je pense aller au bout des 7 saisons.

    Lu :
    – 813 de Maurice LeBlanc : une excellente aventure d’Arsène Lupin. Plus je lis les histoires originales de ce personnage, plus je le préfère à son rival anglais Sherlock Holmes !
    – plusieurs volumes de Spider-Man édités récemment par panini a 6€99 : Spider-Man n’est plus, la Naissance de Venom, la Mort de Gwen Stacy et la Dernière Chasse de Kraven. C’est toujours un plaisir de découvrir quelques classiques rétro de l’histoire des comics et des récits centraux de la carrière du tisseur, même si je suis largement plus orienté DC Comics.

    • Il faut surtout considérer la dernière saison de « OUaT » comme un (long) épilogue, pour mieux finir conclure l’histoire de tous les personnages.

      • Merci ! Pour l’instant je suis pile au milieu de la série, moitié de saison 4, lorsque l’arc narratif « Reine des Neiges » est conclu (de façon un peu facile je trouve). J’ai hâte de savoir la suite.

        • …on va dire que c’était pour ne pas empiéter sur une suite future du film d’animation de la Reine des Neiges (détail amusant : les comédiens y ont la même VF que dans le film).
          Après, il y aura certaines moitiés de saison qui seront bien moins inspirées. Donc ne pas hésiter à binger et prendre son mal en patience pour être récompensé avec les meilleurs moments.

  10. Ambulance : Hé bien j’avais une certaine impatience à l’approche de ce Bay plus terre à terre mais je ne m’attendais à y voir l’un de ses meilleurs films (top 3 si j’y pense). Sans doute l’un de ses films les plus retenu et moins bombastique qu’à l’accoutumé. Le film m’a pas mal fait pensé à Unstoppable dans ce genre de situation « tout les hommes sur le pont pour arrêter ce véhicule », c’est un véritable enchaînement de nouveaux personnages introduit dans le film, les chirurgiens pendant l’opération était assez limite mais c’est le style un peu fou de Bay. On a ici une excellent relation entre deux frères incarné par Gyllenhaal et Mateen II, on sent dès l’ouverture que leur relation va être importante et elle l’est, c’est certains des meilleurs persos que Bay a eu et cerise sur le gâteau il a un perso féminin enfin acceptable en Eiza Gonzalez qui retrouve un peu de la superbe après des rôles oubliables dans Hobbs & Shaw et Godzilla vs Kong.
    Evidemment la comparaison à Heat est là, c’est essentiellement le braquage de fin étendu en un film, Wrath Of Man plus récemment est également un bon compagnon du sous-genre de braquage de banque à L.A. Bay est définitivement fan des drone au passage, il en abuse pas mal comme souvent dans l’action chez lui, mais l’action du film est justement moins explosive.

    Uncharted 1 : La sortie du film m’a donné envie de me refaire les jeux, ce qui ne va pas arranger mon impression du film. Le 1 était le dernier que j’avais fait vu que j »y avais pas joué avant les suivant. Moins palpitant et a très peu de scènes d’actions marquantes mais il permet d’introduire les bases du jeu comme il faut avant le 2 qui dans mes souvenirs est le meilleur.

  11. Hier, profitant de la réduction de 4€ pour le retour du printemps, je suis allé voir The Batman, après avoir visionné Joker sur TF1, y a deux dimanche. Que du monde dans la salle !

    J’ai rien senti la longueur du film. Sa registre était une vraie fraîcheur, ça change des propositions des films précédents de Batman. Il n’a rien à voir avec Batman Begin. Gotham pluvieux, crasse et corrompu est bien réalisé et on y sent une certaine nervosité. Y a enfin une enquête mêlée d’action, de temps en temps. On voit bien que Batman n’est pas aguerri. La colorimétrie rouge comme la chaleur se démarque avec la froideur de la pluie. La lumière constamment rouge avec la nuit dans la ville, c’est comme si on se promenait dans les Enfers.

    Au début, j’avais peur pour l’acteur mais finalement, Robert Pattinson est convaincant. Idem pour Jeffrey Wright, en James Gordon, qui est un bon alchimie avec l’autre. J’avais l’impression que le majordome Alfred était un ancien militaire qu’un ancien agent britannique, vu son apparence. Matt Reeves proposait un autre lore intéressant de Catwoman, démystifiant sa résurrection avec 9 vies comme un chat. Certaines de ses déclarations du pourquoi elle fait ça, m’ont fait un peu tiqué. Pour Riddler, Paul Dano est parfait dedans avec sa bouillie faussement infantine et ses motivations me font penser au jeu Batman Arkham Origins où il éparpille des dossiers corrompus sur les personnalités connues, allant les révéler au monde. Il joue bien en face de Batman en prison quand son ego est touché. Ça m’a surpris de voir le Pingouin jouer des gros bras. Je vois l’utilité de son propre spin-off pour raconter son ascension en un roi du racket.

    La course-poursuite est pas mal avec vroum vroum et boum, sous la pluie battante, ce n’est pas si évident. Par contre, le cadrage sur Batman s’approcher du Pingouin, c’est beau ! Le final contraste avec tout le film sur un touche doux-amer. C’est comme si les Watchmen ont gagné à moitié contre un méchant super intelligent.

    En gros, c’est un régal mais je me suis dit que The Batman serait dû être un préquel de Batfleck. D’ailleurs, on dirait que l’univers de Battinson cohabite presque avec celui de Joker, même registre, même ambiance que ce serait un rêve de les voir s’affronter.

    Pour la suite, si ça continue avec le ton réaliste, je miserai sur Hush, Hugo Strange ou l’Épouvantail pour exploiter davantage la psychologie de Batman ou sur Black Mask ou Scarface pour plonger dans la mafia, peut-être en guerre contre le Pingouin. Même si on est presque sûr que vu le teaser à la fin, ***** sera de la partie aussi.

    • Le film semble indiquer que Bruce Wayne va collaborer avec la nouvelle mairesse de Gotham pour améliorer les choses. Ca me semble être le meilleur moment pour introduire Harvey Dent, qui pourrait tenter de leur mettre des bâtons dans les roues pour tirer la couverture à lui. Et pourquoi pas Scarface oui, excellente idée ! J’adore ce personnage. ^^

      • Hush? Un peu grillé son histoire avec ce The Batman, non?
        L’Epouvantail? Redite de Nolan
        Harvey Dent? Pareil. Sérieux Archer, tu imagines un The Batman 2 avec Harvey Dent et le Joker?
        Black Mask? Ridiculisé dans BoP. Trop récent.

        Je pencherais plus pour un Hugo Strange ou la Cour des Hiboux.

        • La Cour des hiboux, ce serait top. Surtout que la famille Arkham est entrevue et que l’Homme-Mystère « debunk » Wayne, ce qui serait un excellent début pour s’intéresser aux familles riches de Gotham…
          Et puis ce serait de l’inédit sur grand écran (je ne parle pas de la série Gotham).

        • J’imagine totalement un Harvey Dent dans l’univers de The Batman. Crier à la redite c’est oublier que beaucoup faisaient pareil avant de voir The Dark Knight en ce qui concerne une nouvelle version du Joker.

          Je tiens à dire que si Nolan a proposé un excellent Harvey Dent, la partie double face va très vite, trop vite pour exploiter tout le potentiel de cet incroyable personnage.

          Sans parler que je trouve ce méchant complètement incontournable à la partie mafieuse de la mythologie Batmanienne. A la limite comme arc mafieux qui me plait vraiment sans lui, il y a Red Hood mais là l’univers de The Batman n’est clairement pas en place pour le proposer.

          • Je crie pas à la redite mais ça serait dommage vu l’univers gigantesque de Batman d’encore et toujours tourner autour des mêmes vilains.
            Perso, je fais partie de ceux qui détestaient le Joker de Tim Burton alors ça m’a pas dérangé qu’on essaie une nouvelle version. ^^

          • Ça tourne déjà autour des mêmes vilains. Tous ceux présents dans The Batman on les avait déjà vu au cinéma. Falcone, Riddle, Le Pingouin…

            Si je fais la liste, en enlevant les purs mafieux :

            Joker x3
            Le pingouin x2
            L’homme mystère x2
            Bane x2
            Double face x2
            Poison Ivy
            L’épouvantail
            Ra’s al ghul
            Talia al ghul
            Mister Freeze
            KGBeast
            (Catwoman x3 voire x4)

            On peut compter ceux présents dans la franchise Suicide Squad / Bird of Preys. Black Mask, Killer Croc, Deadshot, Harley Quinn…

            Bref pas impossible de ne pas faire redite, mais je trouve c’est se mettre une contrainte qui n’a pas lieu d’être. Je pense qu’il vaut mieux penser d’abord le ton et le thème du film, et ensuite le méchant qui est le plus adapté, qu’il soit inédit à l’écran ou non.

        • @Garyus
          Ben c’est à dire que j’aimerais bien qu’on laisse le Joker de côté, on l’a trop vu, sous plein de facettes très différentes. Par contre pour Dent il y a un truc à faire en jouant sur la maladie mentale du personnage, ce qui est totalement absent de The Dark Knight (je ne parle même pas de la version Schumacher pour des raisons évidentes xD). En plus son dédoublement de personnalité pourrait être un lien thématique intéressant avec la dualité Batman/Bruce Wayne qui me semble être teasée dans The Batman. Et comme l’a dit WeaponX Two Face colle parfaitement à l’ambiance mafieuse du film de Reeves.

          Mais bon après je reste ouvert à tout. La Cour des Hiboux me botte bien également. Et globalement je suis prêt à donner une chance à n’importe quel personnage Gothamien interprété par Matt Reeves. On en reparle dans quelques mois. ^^

          • Je comprends ton point de vue mais j’aimerais vraiment de la nouveauté. De toute façon, le débat semble déjà tranché…

    • Harvey Dent ? Pourquoi pas ? Il peut faire la guerre contre le Pinguoin avant d’être défiguré par un des sbires de celui-ci. Y a aussi le méconnu Great White Shark. Scarface avec Joker comme ventriloque, ce serait rigolo. Hormis la série Gotham, on peut mettre le Chapelier fou, les cousins Tweedledum et Tweedledee et Humpty Dumpty et en faire un gang « Wonderland » au grand écran. Pour une nouvelle enquête, on peut continuer avec Calendar Man. Prometheus pour rivaliser le statut de justice avec Batman. Y a tellement de choix de vilains de Gotham, jamais vus dans un film de la chauve-souris.

      • « Scarface avec Joker comme ventriloque »

        Hmmm…. Ca me tente moyen. Si l’image peut être drôle, ce qui m’intéresse dans le personnage de Scarface c’est justement qu’il est l’incarnation de la part d’ombre du petit vieux en apparence inoffensif qui le tient dans ses mains.

  12. Cc all
    Svp pour les possesseurs de playstation avez vous deja acheté des jeux via des comptes
    exemple https://www.buygames.ps/fr/
    car les prix sont extra mais bon sur les forums c est plutot déconseillé et pourtant le site a 9.5 trustpilot sur 9k avis.
    du coup si quelqu’un passe par ce genre de plateformes j’aimerai avoir son retour 🙂 Merciiiii

    • Moi j’ai essayé une fois mais avant de passer au paiement, le vendeur m’a dit que son père était gravement malade et avait besoin de + d’argent pour lui payer une opération très rare…
      J’ai pas su dire non mais ça fait cher payé le God of War….

    • @green 😂😂😂😂😂😂😂😂😂 LOL ça va là ça a l’air plus sérieux, j’ai vérifié ce n’est pas basé en Afrique 😂😂😂😂😂😂😂

      @Garyus : Je débute Heavy Rain , j en suis à 2h30 de jeu et merrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrci du conseil, en 2 eme partie de soirée je continue et j’ai trop hâte, même si pour le moment mon coup de cœur émotionnel reste Détroit, mais bon verdict en fin d’enquête

    • Les mecs faites comme moi: compte psn turc + cb cryptopay. Les jeux vous couteront 50% moins cher minimum avec la livre turque au plus bas actuellement. Un récent exemple exemple: Fifa 22 PS5 moins de 13€ sur store turc contre 28€ sur store france. Il y a des tutos sur internet, je fais ça depuis 2-3 ans, aucun risque de ban, foncez.

        • De rien Captain, Heavy Rain est une pépite qui aura marqué au fer des millions de joueurs. Il reste N°1 dans mon top des polars tous supports confondus.
          Tiens, je vais aller me ré-écouter sa BO magistrale avant de me coucher ^^

  13. Vu le premier épisode de Halo. De la SF sympa avec une histoire et un univers qui semblent intéressants et un charisme de ouf du Masterchief et des Spartans… jusqu’à ce qu’il enlève son masque. Effet Kylo Ren garanti 🤣
    L’acteur choisi est pas très télégénique et encore je suis gentil.
    En voulant savoir ce qu’en pensaient les fans (je suis Playstation depuis la 1 et je n’ai jamais joué à un Halo), j’ai vu que ça faisait polémique avant même la sortie du pilote, une belle levée de boucliers des fans. Une vingtaine d’années que les créateurs du jeu vidéo avaient gardé le mystère de son visage et voilà Hollywood en mode tranquille le fait. Normal qu’ils hurlent au scandale.
    Pour les effets spéciaux, y’a du bon et du moins bon: les armures des Spartans sont magnifiques mais l’incrustation des Covenants dans les scènes d’action passent beaucoup moins bien. Idem pour les scènes dans le labo qui puent le fond vert.
    Quant à l’histoire, je ne sais pas si c’est fidèle au matériel d’origine mais ça reste assez prenant quoique cliché vers la fin de l’épisode.
    Ah! Et pour une fois pas trop de forcing woke!! On voit très peu la minorité blanche à l’écran et c’est très bien comme ça. J’imagine que c’est pareil dans le jeu.

  14. « … Eh oh, Ambulance ça s’écrit à l’envers, on m’la fait pas à moi ! »

    Ce qu’il y a avec le cinéma de Michael Bay, et qui provoque si souvent de la déception, voir de la colère, c’est que le potentiel derrière son type de mise en scène est très grand, et pourrait être très signifiant par le biais de l’image et du rythme, de ses vignettes dignes d’une bande dessinée sous acide… mais que toutes les idées qui auraient pû s’incarner dans ses réalisations sont des promesses qui seront toujours lettres mortes.
    Comme si Bay ne croyait pas en ses chances nous donner sciemment encore plus de Qualité, plus de Sens, sans avoir à rogner sur ses goûts assez déviants et enfantins, à l’hysterisation des acteurs etc…
    « The Island » symbolisait déjà cela, gâchant son scénario complexe dès sa promo, en le soumettant aux exigences pyrotechniques.
    Ce film là n’échappe pas à ça lui aussi… Mais ses qualités sont à chercher ailleurs :

    Au départ, on pourrait penser de ce remake qu’il s’agirait plutôt d’une simple comédie d’action trash et dingo, détournant à sa sauce le film danois originel, à peine tenue par une caractérisation dramatique lambda : des personnages n’ayant pas beaucoup d’espoir, dont un vétéran de l’Armée Américaine pris au piège administratif (ça touche une fibre populaire), ainsi qu’un certain jeu sur les apparences – qui tient de son frère ? qui tient de son père ? qui n’a pas de nom latino, mais a un prénom qui évoque une caméra ?
    Surtout que Bay y enchaîne les auto-références à ses films. Et nous présente des trognes d’acteurs, composés d’une flopée de sosies – de Mel Gibson (non!), de Sal Mineo, de Rutger Hauer, de Jonathan Majors, de Dwayne Johnson (si si, vite à la toute fin)… Ou de Val Kilmer, mais fringué comme le Dude Lebowski, pas comme dans « Heat » (alors qu’on a une séquence de braquage cruciale pendant le premier tiers du film).
    Ce n’est pas le seul retour aux années 90, puisque le trio principal de personnages est quasiment le même que dans… « Money Train » :
    Jake Gyllenhaal égale bien Woody Harrelson en Chien Fou entraînant son frère adoptif dans un sale plan criminel…
    Yahya Abdul-Mateen II n’égale pas autant Wesley Snipes comme frère charismatique et plus sérieux – mais les deux pourraient aussi bien passer pour une version plus extrême de Riggs et Murtaugh…
    Et Eiza González fait plus qu’égaler Jennifer Lopez en bosseuse dure à cuire, et peu fétichisée.

    Ça s’arrête là puisque, heureusement pour la qualité de la mise en scène, le postulat du film est surtout le même que dans « Speed » (ou même « Rock »… de Bay). C’est à dire être un film qui ne s’arrête jamais, fonce à toute allure et en faux « Temps Réel » avec son unité de lieux mobile, bien que entrecoupé de brefs moments calmes. Où même les incohérences, faux raccords, et autres idées incongrues (pourquoi un clin d’œil à Watchmen ?) ou régressives, sont avalées par le tonus et la viscéralité de la Forme – tournée le plus possible en dur et à l’économie, et ça se voit. C’est vraiment un film fait pour le grand écran.
    Postulat respecté jusqu’au bout ici, même si Bay ne peut s’empêcher de sur-scénariser encore son film en plaçant des ramifications secondaires qui allongent la durée (mais avec un générique de fin paradoxalement ultra court).
    Là où un huis-clos resserré majoritairement sur l’ambulance et ses occupants aurait été tout autant marquant et remuant… et épuisant, mais c’est une bonne fatigue.

    Pour ce film, son utilisation de drones-cameras pour avoir régulièrement des plans rapides et dynamiques, qu’il équilibre en les coupant d’abord très vite, puis en en allongeant légèrement la durée, est une signature visuelle inédite qui sert bien ce dont va parler le plus le film :
    D’abord, un nouveau genre d’immersion dans une ville de Los Angeles, sûrement post-pandémie, que l’on parcourt à travers le propre regard de Bay, loin de sa chère Miami.
    Et avant tout le principe de la Loi de Murphy, où tout doit finir par aller de mal en pis, dans une frénésie chaotique et plus drôle du tout, faisant s’entrechoquer sans fin policiers brutaux malgré eux (beaucoup de leurs voitures sont explosées sans pitié) et truands impulsifs et revanchards (aux plans de bataille insensés).

    Plus le film avance, plus la Rage et la Mort planent de manière de plus en plus insistante, faisant que l’on n’est finalement pas tant dans un divertissement qui soit décérébré et pubard, ni même qui pourrait être un exercice visuel qui amènerait à des pistes narratives très intelligentes…
    C’est plus le Quotient Émotionnel qui domine, dans une fuite en avant désespérée traduisant bien la déception du Rêve Américain, et ses perspectives de richesses totalement inaccessibles à la plupart des prolos – sujet déjà de son « Pain and Gain ».
    C’est vers le Pardon, pour n’avoir pas été à la hauteur, pour avoir cédé à la facilité et à la violence, que s’achemine l’histoire à mesure que la fatigue se fait sentir, que toutes les défenses tombent pour absolument tous les personnages, tous les camps. De l’humanité est présente, tout en gardant quand même sa part iconique.

    Ne pas nécessairement y voir un pardon de la part de Bay lui-même, envers ses excès passés (et à venir)…
    Mais plutôt l’affirmation inconsciente que… Il est comme il est, il paiera peut-être le prix de ses actes fous (sauf qu’il n’a causé aucune mort lui)…
    Quand il arrivera au bout de la ligne d’arrivée.

    En attendant, il fonce et ne s’arrête pas. 🚑💥

Répondre à Archer Annuler la réponse

Please enter your comment!
Please enter your name here