Obi-Wan Kenobi : Un zapping galactique à base de Lucasfilm, Vanity Fair, Volkswagen et Fortnite !

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Plus qu’une petite semaine avant la mise en ligne des deux premiers épisodes d’Obi-Wan Kenobi… C’est donc l’heure d’un zapping galactique composé d’un reportage dans lequel Ewan McGregor se souvient de ses premières fois dans le rôle, d’une interview Vanity Fair avec les quatre acteurs principaux de la série, d’une publicité Volkswagen bien fichue qui permet de faire connaissance avec le droïde-star du show, des images de l’arrivée du Maître Jedi dans Fortnite, sans oublier – pour la postérité – quelques photos de la tournée promotionnelle. Ewan McGregor et Hayden Christensen, dix-sept ans après Star Wars : La Revanche des Sith… la classe !

L’histoire commence dix ans après les événements dramatiques de Star Wars : La Revanche des Sith, dans lesquels Obi-Wan Kenobi a fait face à sa plus grande défaite : la chute et la corruption de son meilleur ami et apprenti Jedi, Anakin Skywalker, qui s’est tourné vers le côté obscur et est devenu le maléfique Seigneur Sith, Dark Vador.

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La série sur Obi-Wan Kenobi sera diffusée à partir du 27 mai 2022 sur Disney+, avec Ewan McGregor (Obi-Wan Kenobi), Hayden Christensen (Anakin Skywalker/Dark Vador), Joel Edgerton (Owen Lars), Bonnie Piesse (Beru Lars), Indira Varma, Moses Ingram, Kumail Nanjiani, Rupert Friend, O’Shea Jackson Jr., Sung Kang, Simone Kessell et Benny Safdie

12 COMMENTAIRES

  1. Bien entendu, passer du Obi-Wan guerrier fortiche du III au vieux sage menteur du IV… La transition était trop brutale pour qu’il n’y ait pas un segment central montrant son basculement.

  2. Ça fait tellement bizarre de revoir Hayden, je crois que je l’ai pas vu en itw depuis Jumper.
    Il vieillit bien et je suis content qu’il ai l’occasion de refiler le costume de Vador.

    • Jamais comprit pourquoi on a jamais eu de suite à Jumper, c’était un petit film sympathique qui devait pas demander beaucoup d’argent à réaliser

      • Budget : 85 millions de dollars.
        Recettes : 225 millions.

        Donc bénéfice… pas fou mais bénéfice tout de même. Il y aurait pu avoir une suite, en effet. Ca se tentait.

        • Le budget à 85 m$ est sans le marketing et la promo. Donc le « vrai » budget est au-dessus de 100m$.

          Les recettes à 225m$ sont les recettes à l’international, il faut regarder les recettes « domestiques », c’est-à-dire sur le territoire nord-américain (Canada + US) qui sont celles qui rapportent le plus. Et elles ne s’élèvent « qu’à » 80 m$ donc c’est très faible…
          Sur le reste du monde ça avoisine les 145m$, faudrait voir si y a la Chine dans le lot (un ticket à 10$ en Chine doit rapporter « que » un tiers à la prod, un autre en Europe à peine la moitié, et ainsi de suite).

          Je ne me souviens plus des détails ni de l’article qui expliquait cela très bien mais c’était hyper enrichissant 🙂

          Et bref, pas assez de recettes « domestic », tout simplement… Le film s’est remboursé mais c’est tout. Et ce qu’il y a à l’international n’a pas été jugé suffisant pour enclencher une suite (de mémoire les critiques n’étaient pas dithyrambiques non plus, ça n’a pas aidé).

      • Ça n’a jamais réussi à devenir une priorité, surtout avec d’autres franchises en production plus poussées chez le studio Fox : trop Young Adult, pas assez super-héros, trop SF et… Quoiqu’il en soit, dans cette histoire les Jumpers y sont bien plus dangereux pour le Monde que ceux qui les chassent. Ça devient un problème pour faire en sorte qu’ils restent les héros titre de cette histoire, qu’on ait plus d’empathie pour eux.

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