Le bar de Galactus #159 : Nope ~ Locke & Key

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Tandis que The Sandman et Prey se disputent l’attention du public, une nouvelle semaine commence. Mercredi, Jordan Peele fera son grand retour dans les salles françaises avec Nope (Ben non au Québec). Après Get Out et Us, on dirait que Peele a décidé de faire un tour au Skinwalker Ranch… même s’il ne faut jurer de rien. Le même jour, vous aurez peut-être rendez-vous avec la troisième et ultime saison de Locke & Key, l’adaptation de la série fantastique signée Joe Hill et Gabriel Rodriguez, que vous pouvez retrouver chez HiComics dans une superbe intégrale de 976 pages (commander). Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu récemment ? Combien de jours avant que Dan Trachtenberg – le réalisateur de Prey, 10 Cloverfield Lane et du pilote de The Boys – reçoive un coup de téléphone de Kevin Feige ? Et surtout, êtes-vous plutôt sorbet ou crème glacée ? A vos claviers et très belle semaine à tous !

Les habitants d’une vallée perdue du fin fond de la Californie sont témoins d’une découverte terrifiante à caractère surnaturel.

43 COMMENTAIRES

  1. Crème glacée ou sorbet ? Les deux. Quand ça m’arrange.

    Ciné : Bullet Train. J’ai passé un super moment. La salle a bien ri entre les situations cocasses, les dialogues et les twists qui n’en finissaient pas.

    Série : je viens de commencer Sandman, Prey sera le prochain.

    Comics : Dark Maul Fils de Dathomir. Rhaa ! Pourquoi n’ont-ils pas achevé cet arc et l’intégré dans la dernière saison ou l’avant-dernière ? C’est dommage, ça éclairci un point manquant de la série, le sort d’un personnage de la série, et avec en prime la réunion de tous les méchants de la prélogie (Maul, Dooku, Grievious).

  2. « Nope », un titre qui ressemble surtout à une blague pour les spectateurs :
    « – Salut, tu viens pour voir un film ?
    – Nope.
    – Ah bon ok, bon ben au revoir… (?)  »
    Un peu comme quand Vincenzo Natali a sorti le film « Nothing » (« Hey, tu viens voir quoi ?… ») 😆

    Mais les films de Jordan Peele sont déjà pas loin d’être des blagues eux-mêmes, avec trop de trucs Arty et pas assez de moments effrayants…

    Vu :

    – Finir André de Toth avec un film (anti) guerre britannique qui a la même force que les meilleurs Peckinpah, avec un casting de mercenaires qui semblent plutôt débarquer des meilleurs Bis italiens – même si pas aussi bien caractérisés que les bêtes féroces de sa « Chevauchée des Bannis », et avec Michael Caine dans un rôle assez ingrat.
    Un titre aussi cool en VO (« Play Dirty ») qu’en VF (« Enfants de Salauds »).

    – 3 petites comédies assez inventives de Charles Walters (« Entrons dans la danse », « Haute Société » et « Rien ne sert de courir »), qui ont la particularité d’être la der des der de certains de leurs acteurs.

    – Mais oui… mais je le savais que TF1 allait bousiller la diffusion de « Superman et Lois », en bazardant plus vite les épisodes. Le genre Super-Héros, SF et Action en prime time, pour eux c’est plus pour des films sortis en salles avec succès, et pas pour des séries censées être plus pépères que ça (quotidien de flics, médecins, bref de gens ordinaires).
    N’empêche, 3 h et demi de Superman d’affilée, avec autant d’idées scénaristiques kitsch que de bonnes qualités visuelles et interprétatives, ça le fait mais à mort. On le voit pas passer.

    – Fin de la saison 2 de « Yellowstone »…
    Où on voit à quoi à servi le personnage de Dan Jenkins pendant tout ce temps… C’est à dire à rien : trop rond de cuir, trop faible, trop étranger à ce monde.
    Pendant que Jamie et Jimmy (!?) ne servent qu’à être des souffre-douleurs.
    Et les frères Beck d’y servir surtout à être des adversaires plus tarés (comme le montrent bêtement leurs bureaux remplis à ras bord d’animaux empaillés), permettant de faire oublier que les personnages principaux sont déjà de vrais salauds. Même si cette saison s’est permis d’avoir de beaux moments allégés et sympathiques, dont les scènes de dortoir des cowboys. Voir même d’un comique plus réussi (Costner râlant sous l’eau, on ne peut pas ne pas penser à « Waterworld »), essayant d’égaler des moments du quotidien banals ou imprévisibles qu’on pouvait trouver dans « Les Soprano », par exemple.
    Seuls héros identifiés dans cette série, Monica, fragile aussi bien physiquement que sentimentalement, mais qui essaye malgré tout de résister et de rechercher sa propre indépendance…
    Et surtout Rip (« Rest in peace »?). Avec un Cole Hauser méconnaissable (déjà qu’il n’est pas très connu), épaissi et noir comme un grizzly, mais dont la détermination à protéger le ranch coûte que coûte, d’une fidélité sans faille, d’un romantisme presque pudique et sans le moindre orgueil, en fait un brave (mais violent) chevalier des temps modernes. C’est pour lui qu’il faut rester.

    – « Pop Redemption »…
    Une comédie qui a de bonnes idées thématiques, avec une analyse musicale étonnante qui, au cours d’une virée champêtre française, fait émerger une « régression » à partir du Black Metal vers la Pop et l’Histoire personnelle des Beatles. Pour ensuite remonter à nouveau le courant et mêler toutes ces influences en une.
    La participation au film du mélomane Alexandre Astier n’empêche pas le tout d’avoir du mal à trouver une cohésion, chaque partie ne fonctionnant qu’individuellement.
    Dans l’un de ses rares rôles d’acteur, Julien Doré convainc assez avec un personnage évoquant celui de Simon Pegg dans « Le Dernier Pub avant la Fin du Monde » (sorti toutefois plus tard) : celui d’un pur et dur sans autre perspectives, qui refuse d’évoluer contrairement à ses amis, et bataille pour les entraîner dans une dernière grande aventure qui ne sera pas si vaine que ça.

    – Jimmy et Jessica dans « NCIS » ? Bonne idée, surtout en n’evoluant pas chacun dans les mêmes services. Pas sûr que ça dure (toujours le même soucis dans cette série), mais ça serait dommage de ne pas aller plus loin pour une fois, ils le méritent.

    Lu :

    – Dragon Ball Super tome 15…
    Enfin fini avec le persistant Moro, dans une histoire qui a beaucoup lorgné sur Cell, mais a surtout fait gagner en cohésion de toute l’équipe, enfin. Avec Végéta en son centre d’ailleurs.
    Et l’attribution des maîtres respectifs entre lui et Goku a quelque chose de savoureux. Même si la suite qui s’annonce semble rester encore du côté des aventuriers galactiques, et moins chez les maîtres des arts martiaux.

    – Encore quelques bouts de l’Intégrale collector de Spawn, ses histoires individuelles (osées) étant un atout majeur.

    – Fin de l’intégrale 6 de Invincible. Ça y est là, les auteurs sont vraiment retombés en adolescence ! Beaucoup des retournements de situation étant très alambiqués, grossiers. Et il faut aussi s’habituer au nouveau style des dessinateurs.

    – Le premier tome de The Resistance, la série qui avait tout prévu, de la Pandémie à l’agression opportune russe ! Bluffant, mais d’une simplicité logique.
    Dommage que le tout soit très précipité (enchâssé en à peine quelques mois d’intrigues), que J.Michael Strackzynski nous refasse un peu la même chose que pour Rising Stars et Supreme Power, que les dessins de Mike Deodato Jr soit souvent très ternes, et que cette chronique ne permet pas de s’identifier à un seul des personnages. Surtout quand l’un porte un catogan à la Steven (??!).
    Beaucoup de réflexions intelligentes, beaucoup d’impasses à prévoir, car ce n’est pas l’unanimité gentille que risquent de connaître nos jeunes révolutionnaires – ça aussi, ça semble évident.

    – Fight Girls…
    Du Frank Cho simple, efficace, et complet. Pas bien original, juste du Hunger Games avec des candidates sculpturales et athlétiques en action, des monstres géants et préhistoriques, des retournements de situations et références SF…
    Et du plaisir, contenu en une seule mini-série/album.

    Grenadine.

    • « The Resistance, la série qui avait tout prévu »
      Oui clairement ^^
      Du pur Strackzynski dans les thèmes et le rythme. J’ai bien aimé les dessins de Deodato dessus en ce qui me concerne.

  3. Vu Prey : Vraiment pas foufou mais meilleur que l’opus précédent. L’idée de faire ca chez les amerindiens etait un bonne idee de depart, mais 1 ca n’apporte pas grand chose au developpement, 2 la geographie entre foret, plaine et clairière ne donne pas un environnement très etouffant et dangereux d’où le predator pourrait surgir . Le film n’est pas spécialement woke comme craint par beaucoup, on a juste une Mary Sue version Canada Dry ( elle est sauvée in extremis par la magie du scenario et quand elle rate un truc c’est pas de sa faute ) . D’ailleurs la camera adopte trop son point de vue quand dans les moments avec le predator . Par exemple la scene avec l’ours je voulais voir le predator contre un ours pas l’heroïne fuyant le combat entre les 2 ; d’autant qu’on nous amenait a croire à ca en voyant le predator dézinguer un serpent puis plus tard un loup ( petit set up ).
    Un predator au design original qui meme si il est moche sans masque ben c’est d’un autre acabit que le Super Predator en CGI degueu de 2018 .
    Je peux continuer comme cette version n’est pas prete de detroner McT et meme le Predators avec Adrian Brody .

    Sandman : j’ai voulu commencer mais je me suis endormi du coup j’ai bon ?!

    BD j’essaie de completer mon Mignolaverse

    Literratur je viens d’apprendre qu’un Fight club 3 existait .

  4. ^^ le titre Québécois de Nope
    Comme Peele ne choisit pas ses titres au hasard (surtout pour « Us »), je pense que « Nope » a aussi un double sens (je n’ai pas vérifié), et du coup la traduction est vraiment malvenue ^^

    Prévu de mater Prey dans la semaine (super qu’il soit sur D+), et pour Bullet Train, je le materai quand il sortira en VOD.

    En lecture de Injustice année 4 => vraiment en dessous des précédents, l’écriture est bâclée et les événements sont parfois incohérents. On perd l’intelligence des récits de l’année 1 et 2 je trouve. J’espère que l’année 5 remonte le niveau.

    • Haha. Les titres de film ne sont jamais choisis au hasard… Et les traductions de titre quebequoises sont toujours malvenues! Donc rien de nouveau sous le soleil… Je me remet toujours pas de « Fiction Pulpeuse »!

    • Pour info , si tu n as pas vu la chose depuis NOPE est en plus de son sens sens littéral, l’acronyme de: « Not Of Planet Earth »

  5. Team glace à l’italienne fraise/chocolat….

    Sinon en ce moment je m’emm….. devant FF7 remake, mais bon heureusement 35 heures .
    En tous cas semaine sans les ptits , donc pause taf et va binge watch (finir sandman, BCS, Band of brother (du coup) etc …)

  6. Fini Black Bird série avec Taron Egerton , Paul Walter Hauser et le regretté Ray Liotta.
    Egerton joue un jeune dealer de drogue qui se prend dix ans ferme et qui pour réduire sa peine accepte d’être envoyer dans une prison de haute sécurité a fin de devenir ami avec un tueur en série et lui soutirer une confession. La série est tire d’une histoire vrai.

    Egerton est très bon et passe vite de petite frappe qui se croit tout beau tout fort à quelqu’un qui rencontre le mal et la noirceur incarné et qui se fait démolir par cette rencontre.
    Paul Walter Hauser lui est glaçant dans son rôle de tueur , on ne sait jamais s’il est juste un attardé ou bien démon.
    Franchement très belle serie appart la fin qui m’a semblé bâcler car la série avançait lentement jusqu’à ce qu’elle bascule et se précipite vers la fin.
    Je suis aussi entrain de me refaire « the league » pour une troisième fois. Série humoristique sûrement méconnu en France où on suit une bande d’amis qui s’affronte dans leurs fantasy league de foot américain et ne se gêne pas de faire les pire coup pour gagner.
    Même si on ne connait rien au foot américain la série est tellement drôle qu’a la fin la fantasy league n’est qu’un prétexte pour suivre cette bande aussi déranger et qui adore s’entre déchirer juste pour pouvoir rire au dépend des un des autres. Kiffant .

  7. Vu Prey sympatique série B qui revient aux origines du principe. C’est bien. De bonnes intentions. J’adore les amérindiens en plus, ma femme qui a été en voyage aux USA m’a dit que pour elle les amérindiens, les indiens donc, sont les personnes les plus belles qu’elle a vu…
    J’ai vu les débats sur Sandman qui ne m’inspirent pas sur le forum..En plus Netflix c’est vraiment une plateforme que j’évite. J’ai été étonné par les dizaines d’articles sur Sandman sur toutes les plateformes pour jeunes branchés…Toutes reprennent les mêmes éléments « j’ai été surpris de la qualité de Sandman » etc, avec à peu près les mêmes arguments, voire des textes copiés collés…Je suis étonné que tous les rédacteurs ont vu les 10 épisodes en 48 heures mais bon…
    Il y a tellement de séries que 99% des séries passent sous les radars…l’audience ne doit pas être fameuse pour beaucoup. C’est comme pour les films français au cinéma, peu de gens vont les voir on ne peut pas tout voir….
    Donc en dehors des grosses machines Netflix genre Sandman ou Prey qui a bénéficié d’un nombre d’articles énormes sans doute grâce à Disney derrière j’ai regardé ces derniers temps quelques séries passées sous le radar,
    « Station eleven » reste pour moi la plus grande mini série de l’année, j’ai chialé tout ce que j’ai pu…Himesh Patel et MacKenzie Davis sont fabuleux…
    « Dark wind » un polar se déroulant dans les années 70 dans une réserve indienne.
    ‘ Black Bird » où Taron Agerton doit arracher des aveux à un sérial killer en prison
    Mais aussi « The old man » avec Jeff Bridges, « sous les ordres du Seigneur » avec Andrew Garfield flic mormon qui enquête dans sa communauté, et dans le mormon tout n’est pas bon, « for all man kind », etc…

  8. Semaine pro, j’espère que le Bar parlera de la fin de saison 4 de Westworld, qui est exceptionnelle, et bien sûr de la fin de la sixième et dernière saison de Better Call Saul, un chef d’œuvre !

    • Triste à l’approche de la fin de BCS. Ca fait un moment qu’il y a eu autant d’anticipation à la fin d’une série pour moi. L’avantage de la diffusion semaine par semaine aussi. Pas sûr que le boss regarde la série par contre.

      • JE m’étais binge watch les 5 saisons très rapidement, et là j’attends le 16 aout (je crois) pour me faire la dernière .
        En tous cas j’ai hâte, surtout vu les retours, mais bon j’avais peu de doutes quant à la qualité .

        Et snifff on en aura définitivement fini avec cet univers…sniffffffffffffffff

        • Après deux séries et un film ça va me manquer cet univers, tellement de qualité. Breaking Bad reste après tout la première série acclamé que je me suis fait. Et Better Call Saul est l’un de ces rares spin-offs de série qui est au même niveau que son prédécesseur.

          • « Et Better Call Saul est l’un de ces rares spin-offs de série qui est au même niveau que son prédécesseur. »

            Avec même quelques fulgurances qui dépassent l’original.
            Il y en a beaucoup mais le coup contre tessa verde GÉNIAL

            Et Vince Gilligan nous propose enfin un bon perso féminin…parceque bon Skylar et sa soeur, c’était pas trop ça

          • C’est sûr Breaking Bad était un show plus masculin avec Walt, Jesse, Mike, Hank, Todd. Là au moins Kim est devenu l’un des meilleurs personnages.

            Je trouve même qu’en terme de réalisation BCS est supérieur vu que Gilligan, Peter Gould et le reste ont pris plus d’expérience. La réal et la composition des plans met à mal le reste des séries actuelles.

          • Mince, je n’avais pas vu toutes ces réponses ! (Pas moyen d’avoir des notifications d’ailleurs ?)

            Je vous rejoins sur la mise en scène, la « forme » de BCS, ça fait quelques saisons que c’est magistralement réalisé. Le sens du détail, le montage qui accentue la tension. La photographie hyper soignée. C’est clairement un sans-faute dans le registre thriller/drame/humour noir !

            J’aurais toujours une préférence pour Breaking Bad que je trouve plus addictif, mieux rythmé et prenant. Les débuts de BCS étaient un peu laborieux pour ma part (la première saison notamment, un peu moins la deuxième), je trouve d’ailleurs que c’est une des rares séries où chaque saison surpasse la précédente.

            Je ne pense pas qu’on serait aussi fan si on n’avait pas vu BB avant BCS. D’ailleurs, les connexions plus nombreuses à partir de la saison 4 puis surtout dans la 5 et la 6 – dont la seconde partie est carrément la prolongation inédite de l’univers « dans le présent/futur de BB » – seraient probablement moins passionnantes pour ceux qui n’ont pas vu BB (ne serait-ce que l’arc sur Gene).

            Les showrunners ont dit qu’ils en avaient terminé avec cet univers pour l’instant mais qu’il ne faut « jamais dire jamais ». Je fantasme sur un retour de Jesse dans 10 ou 15 ans, le temps de laisser mûrir la fiction sans nous, accueillir de nouveaux passionnés et laisser le temps au temps (de nouvelles histoires dans le passé ne fonctionneraient plus trop, tout le monde a bien vieilli…).

            (Et tout comme vous, ça faisait très très longtemps qu’une série ne m’avait pas remis dans cet état. Je me lève religieusement plus tôt le mardi pour la regarder dès 9h avant d’aller bosser, j’en dors « mal » la nuit tant j’ai envie de voir la fin et je sais d’avance qu’il va m’être très très difficile de dire adieu à cet univers…)

          • @Thomas « Je ne pense pas qu’on serait aussi fan si on n’avait pas vu BB avant BCS. D’ailleurs »

            Pour le coup j’envie grave les rares qui ont vu BCS sans voir BB et qui le découvriraient après .

            J’aimerais tellement trouver le temps de me rematter BB dès le début, mais «  »malheureusement » » avec cette cadence de sorties films/séries ça devient compliqué si t’as une vie à coté .

            « Je fantasme sur un retour de Jesse dans 10 ou 15 ans, le temps de laisser mûrir la fiction sans nous, accueillir de nouveaux passionnés et laisser le temps au temps »

            LOL je signe pour dans 10 ans, mes ptits monstres seront assez grand pour découvrir cet univers .

            Archer si tu passe par là, mais P***** file regarder BB et BCS.

            « je sais d’avance qu’il va m’être très très difficile de dire adieu à cet univers… »
            Ce sera la larme à l’oeil et le sentiment de vide, comme à la fin de BB…sniffff

            Et oui chaque saison meilleure que la précédente . J’ai découvert BB après la fin , et les saison 4 et 5 il fallait que je tombe littéralement de sommeil pour finir mes sessions de binge watching et j’ai du les voir en 2/3 jours

          • Pareil BB j’ai tout binge-watche juste avant le final de la dernière saison, j’étais à peu près sûr d’aimer, du coup d’un côté j’ai regretté de ne pas m’être plongé dedans plus tôt, d’un autre je n’ai eu aucune attente/frustration c’était agréable ^^

            « j’envie grave les rares qui ont vu BCS sans voir BB et qui le découvriraient après »

            => Oui et non car du coup cette saison 6 de BCS te spoilent pas mal de choses sur BB + le destin/suite de Saul un peu bordélique à suivre/comprendre je pense.

            Tu sais d’avance que Walter est mort, que Jesse reste en vie, tu sais que Gus est bien derrière un trafic (tout l’épisode de BB où Walter attend dans le fast-food et ça sème le doute c’était brillant), tu sais que ça se finira globalement mal dans BB, incluant pour Saul vu que tu le vois en Gene, etc. Je pense que ça gâcherait un peu le truc… Mais bon, vivement le marathon BCS/BB/EC 😀

  9. @MrLTH : on pense quoi des déclarations de Rosario Dawson ?

    Elle n’est pas liée à Marvel Studio, et si elle l’avait été elle n’aurait rien pu dire à cause de son contrat donc comment a-t-elle pu savoir ça ?
    Via Disney et son implication dans Star Wars ?

    Si la théorie du retour du Punisher se confirme et si celle sur le retour de Jessica Jones se confirme aussi (DD à la recherche de JJ dans Echo), est-ce que Born Again ne serait pas en réalité une sorte de Defenders 2 ?

  10. Vu Black Bird :
    trop lent, l’histoire aurait pu être tournée en 3 épisodes au lieu de 6. Rien d’extraordinaire; Le final est plat. Passer votre tour. On a déjà vu bien mieux.

    Vu Sandman ;
    Encore une série encensée par les milléniales. A mi chemin entre super héros et fantasy mais lorgnant plus fantasy. Vraiment ne mérite pas les critiques positives. Ennuyant, lent, caricatural.

    Par contre, j’ai une bonne nouvelle Brandon Sanderson est en train de négocier avec Hollywood pour faire adapter une de ses œuvres en série. Vous imaginez Stormlight Archive en série ? ça va dépoter !

  11. J’ai tellement de séries à rattraper : Westworld, The Boys, Sandman, Miss Marvel, We Own This City… alors que She-Hulk et Le Seigneur des Anneaux arrivent

    Sinon en jeu, j’ai fini Stray qui est vraiment très très bon, un excellent jeu qui amène beaucoup de fraîcheur

  12. Je viens de finir les comics Locke and key.

    Du coup avec la promo de la saison 3 je me suis penché sur la saison 1.

    Et c’est tellement fade comparé aux comics. On est loin du ressenti à la lecture…

    Si j’ai un conseil à donner, lisez le comics plutôt que la série. Elle se laisse regarder c’est sur mais l’œuvre originale est tellement mieux…

  13. Prey : Le meilleur film Predator depuis l’original. Enfin une bonne suite, le 2 est appréciable mais celui-là est d’un autre niveau. Enfin un film Predator qui se situe dans une période historique au lieu du présent. C’est simplement du retour au basique, cela fait du bien après le dernier qui s’était tellement embrouillé dans l’histoire.
    Avant tout le film est excellent sans le Predator, on suit l’évolution d’une jeune Comanche qui veut prouver sa place, le film marche très bien sans la créature et c’est ça que beaucoup de film Predator ont oublié, de créer une bonne histoire et des personnages qu’on veut voir survivre quand le Predator les affronte. Amber Midthunder assure.

    Bullet Train : C’est correct, juste un autre film de David Leitch rempli de néon, de blagues, de chamailleries et de scènes d’actions bien filmé. Mais pour l’action ça reste assez oubliable, quelques bons moments mais rien de bien marquant. Pareil du côté de l’humour. C’est un peu la même chose que Hobbs & Shaw, rien de vraiment mémorable, trop de gras dans l’ensemble. L’histoire repose sur un MacGuffin, une série de flashback et de révélations. Brad Pitt ici est un peu comme si son perso de True Romance était devenu un Hitman, au moins il a l’air de s’amuser. En soit ça reste un « Crowdpleaser » correct mais qui tire sur la fin et qui va vite être oublier pour ma part.

    Carter : Il n’y aura pas de film d’action plus ambitieux, créatif et indulgent cette année. Les scènes d’action de The Villainess mais dans l’intégralité du film ici. J’ai perdu le nombre de fois où je me suis demandé comment ils ont filmé ça. Une vraie prouesse en terme de cascades et de prise de vue. Beaucoup de CGI évidemment, mais c’est époustouflant en terme de réalisation.
    Aucun besoin de personnage, de rythme ou de scénario qui a du sens quand ton film est cette expérimentation qui défie la physique chaque scène d’action. Bourré d’action à la minute, une sacré expérience pour sûr. Un film que certain haïront et que d’autre trouveront fascinant.

  14. Vu Prey.
    Très bon film, une série B haute qualité, intelligente, dépaysante, avec des scènes d’action très bien pensées ET chorégraphiées, un prédator badass et innovant (au-delà de son « nouvel » attirail, j’ai bien aimé certaines de ses réactions au combat : j’ai d’ailleurs le sentiment que c’est un jeune prédator qui à l’instar de l’héroïne, a été déposée sur terre pour faire ses preuves, avec sa 1ère chasse peut-être).
    La réalisation est vraiment intéressante, les scènes d’actions sont super bien filmées, les vfx passent pour la plupart très bien (à part la scène avec le cerf je dirais, et un peu le loup VS lapin), et le rythme est équilibré.
    Le meilleur film Prédator depuis le 1er, et je dirais même qu’il est aussi bien voir meilleur (avec une autre approche).

    ps : Regardez la toute fin du générique animé/dessiné : on voit ce qui se passe après la dernière scène du film.

      • Le duo Kaley Cuoco/ Lake Bell au doublage est assez drôle, et on est beaucoup dans la caricature des super-héros… dans la caricature de tous le monde, en fait, ce qui me laisse à croire que c’est le ridicule avec lequel Harley voit tout le monde autour d’elle xD mais c’est malgré tout hilarant. Même les persos comme Clayface et King Shark.

        Et puis bon, l’anime vient juste de nous donner sa version d’un Herogasm… hoot hoot, quoi.

        • Cette intro avec le film porno j’ai hurlé de rire ^^

          J’ai toujours du mal avec le doublage de Cuoco, non pas qu’il soit mauvais mais j’ai religieusement suivi au rythme de sa diffusion Big Bang Theory pendant 12 ans donc j’entends toujours Penny haha

          • Je suis aussi de l’époque de la diffusion de TBBT, et j’avoue avoir accordé mon intérêt pour l’anime en premier lieu parce que « Penny double Harley Quinn, dafuq? »

            D’ailleurs, dans l’un des derniers épisodes, j’ai trouvé ça HYPER COOL que Matt Ryan vienne doubler Constantine.

  15. Vu Elvis…Qui aurait pu s’appeler  » Le Colonel et Elvis » (A la fin du film on en sait plus sur le colonel que sur Elvis) …
    Super Réa, mais pas compris pourquoi les 2 acteurs ont été encencés, j’ai même trouvé que Tom Hanks jouait l’une de ses pires prestations, et cet Elvis lisse au possible qui surjoue trop.
    Pour ceux qui auraient aimé ce film (et Elvis) , allez voir le téléfilm (2005) « Une étoile est née » Jonathan Rhys-Meyers EST Elvis et Randy Quaid EST le Colonel . Ce téléfilm supplante tellement cette version 2022 avec bien moins de budget

  16. Vu dans l’avion: Adieu les Cons et Deadpool.
    Le premier m’a un peu déçu car je m’attendais à un film caustique et drôle alors qu’il est caustique certes mais surtout dramatique. Sinon Virginie Effira est impeccable dans le rôle, quelle actrice. J’ai beaucoup aimé ce film très touchant.
    Le second m’a surpris par son fun, son humour méta, sa musique et ses super scènes d’action. J’aimerais bien qu’on revoie un jour le perso de Gina Carano, elle était énorme!
    Je me rappelle maintenant pourquoi ce film a tant marché et pas sa suite. Définitivement dans mon top 5 du genre.

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