Doom Patrol : Votre avis sur l’épisode ‘Fame Patrol’ [4×03] + le teaser du prochain épisode !

1

Arf, encore un épisode de Doom Patrol qui se déroule dans un paysage mental… mais comme l’angle est original, on passe l’éponge pour cette fois ! N’empêche, utiliser dans le même épisode deux personnages qui génèrent de la fumée est un choix scénaristique étrange. (Qui est capable de retracer de mémoire ce qui est arrivé à Shelley Byron/The Fog ?) Après Heroes et The Flash, Sendhil Ramamurthy poursuit donc sa carrière super-héroïque, dans un rôle étonnamment secondaire (nos excuses les plus plates au fanclub de Mister 104). Enfin, il faudrait réserver les ‘F***’ à Robotman et Crazy Jane. Dans la bouche des autres, cela devient un poil trop artificiel pour être honnête. Alors, qu’avez-vous pensé de cette rétrospective cinématographique entrecoupée d’une molassone partie de laser game ? Et sommes-nous d’accord sur le fait que Rita Farr est bien plus drôle et sympathique quand elle soliloque ? A vos claviers et n’oubliez pas de soutenir la sortie du DVD/Blu-ray de Spartacus 452 !

Doom Patrol – Saison 4 – Episode 3 – ‘Fame Patrol’ : Larry et Jane cherchent un nouveau but en l’absence de Keeg et Kay. Vic tente de renouer avec son ancienne équipe. Une mystérieuse invitation à une rétrospective arrive au moment idéal pour une Rita fraîchement évincée.

————————————————–

Doom Patrol – Saison 4 – Episode 4 – ‘Casey Patrol’ : Synopsis inconnu.

﹡﹡﹡﹡﹡

﹡﹡﹡﹡﹡

La série Doom Patrol est diffusée chaque jeudi sur la plateforme HBO, avec Brendan Fraser (Cliff Steele/Robotman), Matt Bomer (Larry Trainor/Negative Man), April Bowlby (Rita Farr/Elasti-Woman), Diane Guerrero (Crazy Jane), Joivan Wade (Victor Stone/Cyborg) et Michelle Gomez (Laura De Mille/Madame Rouge).

1 COMMENTAIRE

  1. Pour The Fog, il me semblait qu’elle s’était enfui à la fin de la confrontation avec la Sisterhood of Dada, juste après avoir bien flirté avec Jane. Fait étrange (mais pas tant que ça avec Doom Patrol), aucun orgasme produit par les personnages ne semble directement relié à une scène de sexe. Cela étant, Jane rappelle que son rapport avec les hommes (et avec le sexe) a toujours été perverti par une certaine brutalité, ou plutôt la sensation de toujours subir, là où The Fog se montre tendre et gentille avec elle. Dans la mesure où protéger Kay découlait du rapport de Kay et Jane avec les hommes (et surtout le père de Kay), si Jane veut se trouver un nouvel but, il apparaît évident avec cet épisode que son lien avec Shelley pourrait l’aider.

    Je doute que ça soit la fin de Monsieur 104 (qui a donné pour indice le tableau périodique des éléments. Donc j’ai voulu regarder, et l’élément 104 est le Rutherfordium « Rf ». Donc il s’appelle Rutherford? perso, si j’étais scénariste dans Doom Patrol, je pousserais le vice jusqu’à l’appeler Ruther Ford.) Dans la mesure où Keeg semble s’être lié à 104 sur la fin du monde virtuel du Dr Janus…

    Quand bien même j’ai eu l’impression que la scène de Spartacus 452 prenait un malin plaisir à s’attarder sur le décolleté d’April Bowlby, on a aussi eu droit à une bonne caractérisation de Rita, qui est connu pour être extrêmement narcissique, mais son attachement pour la Doom Patrol dépasse son amour pour elle-même, et ça a le mérite d’avoir son importance dans l’histoire.

    J’aimerais que Larry se plaigne moins, ou tout du moins, arrête de se complaire dans son malheur et se mette un véritable coup de pied au cul. Peut-être qu’un retour de Mister 104 pourrait l’y aider…

    Les deux trucs hyper-positifs à mes yeux dans cet épisode:
    – Madame Rouge qui se prend une cuite. Michelle Gomez habille une scène à elle toute seule avec son excentricité. On en vient presque à se dire parfois « ah oui c’est vrai qu’avant y avait Niles Caulder, j’avais oublié ».
    – Le duo Jane/Cliff est toujours une dynamique vraiment agréable à regarder. On sait pas trop si ils ressemblent à un frère et une soeur fouteurs de merde, ou à deux potes dégénérés, mais ils étaient et demeurent la relation la plus forte et agréable de Doom Patrol.

    Je pense qu’à ce stade il faut accepter le fait que Doom Patrol est et demeure une éternelle épopée introspective. Toute la série est constituée ainsi depuis le début, et je crois qu’il faut interprété ça comme le point culminant de l’histoire de la Doom Patrol: ils sont prisonniers d’eux-mêmes, de la même façon qu’ils sont isolés de la société, reclus dans le Doom Manor, n’en sortant que pour tenter vainement de jouer les super-héros. Ce sont des gens qui sont éternellement bloqués dans leur souffrance, et ça s’illustre par cette éternelle quête intérieur, qui passe par différents schémas: mondes intérieurs, mondes subconscient, monde microscopique, monde parallèles, monde onirique, monde virtuel, rue mouvante et autres repères secrets du gouvernements… leur marginalité les enferme dans leur tête, et je crois que toute la série n’est au final que leur recherche à sortir de cette prison mentale qu’ils se construisent.

    C’est un peu pour ça que je maintiens, persiste et signe, que Doom Patrol a une grosse différence avec le reste des séries adaptés de DC, c’est que celle-ci joue la carte de la métaphore et de la quête initiatique. Ils représentent tout ce qu’une personne peut considérer comme ratée ou cassée chez elle-même, pour pousser le spectateur à suivre la même épopée mentale. C’est chelou, c’est toujours what-the-fuck, c’est parfois longuet, mais ça semble surtout être un éternel recommencement, parce que dans la réalité, on ne cesse jamais d’avoir à se remettre en question et à chercher qui on est.

    Mais faut avouer que pour le premier épisode de la saison sans Culs, celui ci était un peu plus mous que les précédents. Quoique toujours bien fendard pour moi xD

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here