Le bar de Galactus #205 : Indiana Jones et le Cadran de la Destinée

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Entre un Star Wars et un Marvel, Harrison Ford continue de revisiter ses plus grands hits avec… Indiana Jones et le Cadran de la Destinée ! Et c’est donc James Mangold, le réalisateur en passe de devenir le meilleur finisseur des grandes sagas hollywoodiennes, qui prend la relève de Steven Spielberg. Alors, comment sentez-vous cet ultime épisode ? Êtes-vous plutôt Arche Perdue, Temple Maudit ou Dernière Croisade ? Peut-on vraiment survivre à une explosion nucléaire enfermé dans un frigo ? A vos claviers, bon courage aux collégiens qui passent le brevet et très belle semaine à tous ! PS : promis, on se garde la saison 3 de The Witcher pour le B.d.G. #206.

1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l’estimé Docteur Jones, professeur d’archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles. Tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d’un artefact rare que son père a confié à Indy des années auparavant : le fameux cadran d’Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. En arnaqueuse accomplie, Helena vole l’objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n’a d’autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée…

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61 COMMENTAIRES

  1. La scène du frigo est assez marrante car c’est peut-être LA scène la plus critiquée de la franchise alors que c’est peut-être l’une des plus scientifiquement possibles lol, la seule chose irréelle dans cette scène était le fait que le frigo dépasse la voiture je crois, mais Indy aurait totalement survécu, après pour ce qui est niveau radiation tout ça je sais pas, mais chaque film a toujours montré Indy dans des situations dont ils n’auraient normalement jamais pu sortir vivant, le premier film commence littéralement sur Indy qui reçoit une flèche en pleine tête bloquée par un bout de bois qu’il tenait devant lui, et que dire du deux ou une bande d’indigènes n’arrivent pas à le toucher à 50 archers contre un mec immobile lorsque le pont s’effondre. C’est comme ça, il s’en sort toujours, et si ça pose seulement problème dans le 4 c’est car le film avait la volonté d’être un hommage aux séries B

  2. Enfin vu Spider-Man Across the spider-verse.
    Sans être catastrophique, je n’ai pas trouvé que c’était le banger que tout le monde annonçait. En fait, j’ai préféré le premier.
    J’ai trouvé le film assez long (et lent), surtout tout le début avant qu’il ne change de Terre.
    Un peu dommage, c’est le même problème que j’ai avec tous les films coupés en deux parties, j’ai l’impression. Comme le sentiment qu’ils auraient pu enlever facilement 30 à 40 minutes du film et à la place mettre l’acte final. Et du coup, pas besoin de couper le film en deux.

    • Tout comme toi. Il est très bien mais lent à démarrer. Et quand ça démarre vraiment, le film est fini. Dommage car sur la forme ça reste extraordinaire, et quelle bande-son ! Comme a dit le Boss dans sa critique je pense que quand le prochain film sera sortira on y verra plus clair.

      • Oui. Ah ! et j’ai oublié de mentionner, mais le son !!! C’était obligé de mettre aussi fort ? J’ai cru que les enceintes allaient m’exploser les tympans. C’était tellement fort que ça en devenait inintelligible. Alors voix + musique + arrière fond sonore, c’était presque de la torture

    • Idem, j’ai même trouvé que le ton de la 1ère partie était parfois lourdingue dans l’humour (là le 1er était une merveille de justesse).
      Au delà de l’espect surprise/1ère fois, j’ai trouvé le 1 bien plus mémorable et mieux équilibré.

        • Hé ouai Marseille c’est la jungle !!!

          Une vieille de violée toutes les 45 secondes, un chien se fait voler son cartable toutes les 1:30 minutes, un combat d’enfants toutes les 2:05 minutes. Le règlement de compte fait partie des sports locaux au même titre que la sieste et la grève du ramassage des ordures. Sans compter les rats, les cafards et les touristes qui grouillent de partout.

          Un conseil restez chez vous !!! Ou allez vous faire une patrouille comme on dit chez nous.

          Bises de Marseille

  3. Mon classement des Indy : 3, 2, 1 et 4. Le 4 reste dans la même veine que la trilogie, c’est juste que l’acte 3 est tellement rushé…

    Rick et Morty saison 6 : toujours étonné que les scénaristes trouvent encore des idées farfelues après plusieurs saisons.

    Le Hobbit 1 (version courte) : était-il vraiment possible de faire plus court, de ne pas en faire une trilogie comme ce qui a été critiqué à l’époque ? J’ai pas lu le bouquin mais j’ai l’impression que c’est compliqué vu que chaque péripétie du film apporte un élément important (l’épée de Bilbo pour les trolls, lire la carte à Focombe, l’anneau pour la caverne des gobelins).
    Ok, peut-être enlever l’intrigue autour du Nécromancien (apparement pas dans le livre), les géants de pierre, et la dernière traque avec les loups sur les arbres qui est peut-être un peu de trop…
    À moins que ce soit les deux autres films qui allonge artificiellement l’histoire ?

    • Y’avait sûrement un équilibre impossible à avoir entre Indy et la SF, alors dès que le croisement se fait, 5 secondes plus tard plus d’alien c’est fini, et Indy le voit même pas de ses propres yeux. L’acte final aurait mérité d’être un-peu plus assumé, mais sinon oui on est clairement sur un film de la même trempe que le reste, c’est juste que Marcus n’y était pas car l’acteur était mort et que ceux de Sallah et Jones Sr ne voulaient pas apparaître en caméo, mais dans tout les cas y’avait la jurisprudence Indy 2 ou à part Indy y’avait aucun acteur en commun avec le premier donc y’a vraiment pas mort d’homme

    • Pareil que Pirail, 3 > 2 > 1. J’ai longtemps cru que le 2 était le 1er et le 1, le 2e 😅
      J’ai eu beaucoup de mal à regarder le 4e, pas seulement à cause des extraterrestres mais parce que c’était bizarre de voir un Indy si vieux. Et c’est pour cette raison que je ne suis pas/n’ai jamais été chaud pour voir le 5e.

      • En faites quand Le Temple Maudit est sorti, il s’agissait d’un Prequel aux Aventuriers de l’Arche Perdue.

        Donc techniquement, oui le 2 est le 1, et le 1 est le 2 mdr…

        Comme il n’y a pas de Numérotation, tu peux ranger sans problème tes blurays dans l’ordre chronologique.

  4. J’ai un amour un peu fou pour LA DERNIERE CROISADE. L’alchimie entre Connery et Ford est tellement jouissive. J’adore notamment la façon dont l’ancien 007 s’amuse et reste un grand enfant. Et les réparties…
    Pour le reste je trouve juste dommageable que certaines idées soient restées sans lendemain côté cinéma : l’Atlantide aurait été une idée avec plein de possibilités par exemple.

  5. Me suis refait toute la saga, me manque uniquement le quatrième pour ce soir avant le cinquième demain après le taf’ (vindiou que j’ai hâte) ! Le second a pris un p’tit coup de vieux, mais tout fonctionne toujours.

    Et y a rien à dire, mon favori reste « Indiana Jones et la Dernière Croisade » pour le duo de JONES, Marcus et Sallah, et tout le mythe du Graal !!!

  6. La dernière croisade reste mon préféré, et a bercé mon enfance avec ces scènes cultes (l’intro du train, la poursuite en moto, le combat avec le tank, les énigmes à la fin) et ce duo Ford-Connery.

    Débuté « La Flamme » avec jonathan cohen. J’aime beaucoup. Hyper bien pensé, dosé, écrit et bien sûr interprété. Pour l’instant la vanne qui m’a le plus fait rire : « j’ai hâte que tu me racontes l’origine de l’univers, car tu y étais XD)

    Sinon, relu « World War Hulk ». Event détonnant et parfois jouissif niveau action. Mais je n’arrive toujours pas à digérer la façon dont Black Bolt se fait battre par Hulk au début (tellement incohérent qu’il se contente d’un cri et qu’il tourne le dos à Hulk, sachant très bien quel type de perso c’est, et c’est tellement incohérent que les scénaristes ne montre pas la suite du combat..). Dommage, pck j’aurais vraiment voulu voir un combat ou Black Bolt pouvait se déchainer face à Hulk (comme Sentry le dit et fait par la suite d’ailleurs).

    Je commence « Annihilation Conquest » : super kiffant de découvrir la « naissance » des gardiens de la galaxie en version comics. hyper bien amené.

  7. J’ai commencé par voir la dernière croisade au cinéma, avant les 2 autres.

    Pleins d’étoiles dans les yeux.
    Ça voyage, pleins d’énigmes, de cachettes, mélange d’histoire, de mythologie, de croyances.
    De l’action incroyable, Indiana Jones et sa relation avec son père, entre sentiment d’infériorité et besoin de reconnaissance.

    Un bijou culte.

  8. Quoi, Indy n’aura même pas droit à une page dédiée ? Dommage…
    Le premier film reste toujours le meilleur, les autres forment une courbe décroissante, un par un.

    Vu ou revu :

    – Bientôt la dernière ligne droite de Douglas Sirk, avec les analyses de profs et autres réalisateurs réputés – Kathryn Bigelow, carrément !

    – « Braqueurs d’élite »…
    De l’or pour les braves de l’Agence tout risque… Si ça n’était pas une prod EuropaCorp, où les scènes d’action ont peu de vitalité et d’originalité, ça aurait pu faire un très bon film de Cinéma, qui aurait fait quelque chose de son contexte de conflit bosniaque des années 90, avec de meilleurs climax (le méchant, traqueur des héros, est complètement snobé). Il aurait fallu un Matthew Vaughn pour ça.
    Sur un petit écran par contre, ça passe bien, ces protagonistes sans stars (et surtout JK Simmons, toujours prêt à les engueuler tout en protégeant leurs fesses) un peu attachants. Mais inoffensifs.

    – « Mademoiselle Chambon »…
    Avant d’aller vers des combats sociaux de travailleurs, Stéphane Brizé et Vincent Lindon montraient juste des travailleurs sans problèmes matériels. Uniquement sentimentaux, une autre Brève Rencontre avec adultère contrarié (et aussi pudique que gênant, surtout avec son ex Sandrine Kiberlain). Comme remède passager à la morne banalité du quotidien… mais où, finalement on n’échangerait de vie pour rien au monde.
    Déjà la peur de la précarité, en fin de compte.

    – « Mon Inconnue »… C’est ton Destin !
    Dur de faire un nouveau film de paradoxe temporel, surtout quand on n’a pas les moyens de créer un vecteur de Science-Fiction tangible (une machine, une faille cosmique), et qui n’aurait pas été déjà vu 100 fois.
    Alors on se repose sur un parti-pris poétique : l’Inexplicable, quoique énoncé par des personnages Enfin conscients de ces codes narratifs (merci le Cinéma)…
    Et qui fonctionne seulement à partir d’actes égoïstes qu’il faudra démêler.
    Peu importe le peu de cohérence ici – pourquoi des lycéens des années 2000 sont fringués comme si on était dans les années 70/80 ? existe-t-il un double qui aurait changé de place ? peut-on recommencer une nouvelle vie en occultant éternellement tout ce qui a précédé ?…
    Ce n’est qu’un prétexte. Car ce qui compte avant tout c’est l’alchimie entre les trois comédiens principaux – le héros avec sa belle, et avec son pote.
    François Civil n’est certes pas Bill Murray, un peu trop tendre pour apporter du contraste à sa quête impossible pour recréer des moments amoureux, et évoluer au passage.
    D’autant que Joséphine Japy est si idéale qu’on comprend vite que les enjeux sont tout à son profit, qu’elle ne peut faire aucun pas en arrière.
    Et que Benjamin Lavernhe va effectivement leur voler la vedette à chacune de ses apparitions (c’est même dit de manière méta, lors d’une scène de dîner).
    Oubliée la SF, qu’on entraperçoit de temps en temps dans les scènes de roman (c’est pas non plus du niveau du « Magnifique » de De Broca)… C’est la comédie tendre, féministe mais aussi très bien dialoguée, qui emporte complètement le morceau.
    C’est déjà une très bonne chose.

    – « Élémentaire »…
    Analyse complète sur la page consacrée, au bar #204
    Sensible mais pas vain, un petit Pixar est toujours aussi bon qu’un grand film d’animation survendu.

    Lu :

    – Intégrale Dr Strange 1968 – 69…
    Du très classique dans les scénarios (sectes, démons, dulcinée à sauver), Roy Thomas s’orientant de plus en plus vers le confort des super-héros.
    Mais il y a les dessins superbes de Gene Colan, intérêt premier du volume.

    – Début du deuxième tome de la dernière série She-Hulk…
    Tout en douceur et en maturité, bien que lente.

    – Début de Edge of Spider-Verse…
    Enfin le retour d’une antagoniste, et de nouveaux variants intéressants – cool cette Spider-UK.

    – Invincible Iron Man #1 de Gerry Duggan…
    Similaire aux obsessions actuelles envers les super-héros super riches (les faire descendre dans la rue, plus vulnérables)… Mais c’est moins froid que chez Cantwell, plus rythmé.

    • Le petit défaut du premier, qui a excellemment bien vieilli, est la tournure de l’histoire. Tout ça pour ça.
      Peut-être, sans Indiana Jones, ils auraient quand même trouvé l’arche avec plus de temps, l’auraient ouvert sur l’île et seraient de toute façon tous morts. C’est peut-être voulu…
      Comme on dit, quelques fois, ce n’est pas la destination le plus important, mais le voyage pour y arriver.

  9. Je me suis refais la saga entière en attendant de voir le nouveau. « La Dernière Croisade » est toujours mon préféré, par contre je gardais un meilleur souvenir du « Temple Maudit ». Là si je dois être honnête, j’ai eu un peu du mal. Alors je sais pas s’il a vieilli ou si c’est moi, mais du coup c’est une saga pour laquelle j’ai deux très bien, et deux sans plus. En attendant de voir dequel côté penchera le 5ème donc … Sachant qu’il n’aura pas le bonus nostalgie qui aide toujours un petit peu.

  10. Vu Knights of the Zodiac. 2/10 en tant qu’adaptation d’un anime légendaire. 4/10 en tant que film si on ne connait rien à Saint Seiya. C’est pas si pourri que ça, y’a quelques bonnes idées, quelques jolis coups, quelques jolis plans sans fonds verts, c’est-à-dire, dans la vraie vie, un bon cast pour Seiya, tout les autres étant à jeter à la poubelle à part peut etre Dacascos qu’on se demande ce qu’il fout là.
    Je me moquerais bien des CGI dignes d’une PS4 mais The Flasque avec ses CGI dignes d’une PS2 est passé avant! 🤣

    Pour Indy, jamais été un grand fan ni du perso, ni du film, ni des acteurs. J’ai bien aimé le 3 que j’ai regardé à l’époque car adaptation de l’énorme Quackshot sur Megadrive et j’avoue en avoir gardé un très bon souvenir.
    Puis j’ai vu le 4 avec ses 4×4 qui flottent, ses frigo qui volent et ses aliens… 😅
    J’ai perdu la foi en Spielberg ce jour là. Donc cette version Disneyoke non merci.
    Je vais aller rejouer à Quackshot moi tiens.

    • Et si tu devais donner une note /10 pour l’intérêt de mater Saint Seiya live ?
      Pour le cast de Seiya, chai pas trop, il fait vraiment chanteur Kpop (je ne disais pas ça pour vanner, c’est ce que je pense vraiment).

      Sinon, j’ai vu le trailer de One Piece Netflix, je ne suis pas du tout fan de la licence mais ce que j’ai vu m’a vraiment rendu curieux ! Il y a que Nami qui fait cosplay sinon le reste, ça va. On sent le budget quand même.

    • T’es dur avec Spielberg : juste avant le mec venait d’enchaîner en 3 ans minority report, arrêtes moi si tu peux, la guerre des monde et Munich (avec le terminal que je n’avais pas aimé au milieu) en gros 4 films excellent voir des quasi chef d’oeuvres pour 2 d’entre eux…il en aurait fallu bien plus pour que je perde foi en lui. D’autant que depuis, ne serait ce que pentagone papers vaut pour moi mieux que toute la filmo de Gunn et Snyder reunis (pas de jaloux).

      • @Lambda: Tout dépend d’où tu te trouves par rapport à St Seiya: Connaisseur ou non.
        Si on connait la licence le seul intérêt est la curiosité donc 1/10
        Si on ne la connait pas, je dirais 2,5 point pour le film d’action, une note variable selon qu’on soit fan de Mackenyu (donc 0 pour toi), et 1 point pour découvrir de très loin St Seiya. Donc 3,5/10.
        Mackenyu est le fils de la légende japonaise Sonny Chiba et est surtout connu pour avoir joué dans l’adaptation live de Chihayafuru, un anime romance célèbre sur le karuta (jeu de cartes).
        Dommage que tu ne l’apprécies pas, car tu le retrouveras dans le rôle du très célèbre Zorro Roronoa de One Piece!

        @Rom: J’exagère évidemment, Spielberg est pour moi le meilleur cinéaste vivant (pas mon préféré ceci dit) et c’est surtout en partant de ce principe que j’ai été déçu.
        Comment peut-on se planter à ce point en ayant excellé autant sur d’autres films (dont Indy 3)?

        • Que le 4 a été décevant ça oui. Après j’aimes beaucoup les 3 premiers mais faut aussi raison garder. Parfois j’entends parler des meilleurs films d’aventure de tous les temps et là je fais des bonds ( si si). Rien que le trésor de la Sierra madre et l’homme qui voulut être roi de John Huston sont 3 coudées au dessus. Et il y en a d’autres. La nostalgie doit pas non plus nous faire idéaliser certains films.

        • @Garyus ok, j’essaierai de mater un de ces 4 (si je lâche un peu street 6, et ouais, c’est vraiment prenant). Je connais Chihayafuru, il est dans mon top 3 anime, depuis le temps que j’essaie de le vendre ici 😅 je le mettrais pas du tout dans la catégorie romance, c’est vraiment en background, mais vraiment vraiment vraiment vraiment en background.
          Ouais, j’étais déjà au courant pour son rôle de Zorro, dans le trailer, il n’y a pas de soucis, il est bien grimé, dans Saint Seiya ou les promos de One Piece, il fait vraiment chanteur Kpop 😅 après je demande à voir niveau acting, pas encore vu.
          Et pour Spielberg, j’espère bien que tu exagères, il t’a quand même fait ton film « La liste de Garyus », espèce d’ingrat.

          @Rom wow
          les connaissances des personnes ici me sidère des fois (quand t’as balancé les 3 films du réalisateur sur 3 ans), des wiki sur pattes. Ça doit être pratique quand on est à côté de toi, ça fait des économies de 5G/wifi/batterie 😂

          • Surtout que le Rom, ou le Garyus, ils sont capables de te balancer des classiques ! Moi aussi, ça force mon admiration très souvent ! 😀

          • @Rom: Je suis plus marqué par A la Poursuite du Diamant vert de Zemeckis, que j’avais adoré gamin, ainsi que sa suite. Faudrait que je les revoie d’ailleurs. Pour voir si j’aime toujours autant.
            Et plus récemment, j’avais beaucoup aimé la Momie (1999). J’aime bien ce côté aventure, humour, action.

            @Lambda; Chihayafuru, j’avoue avoir décroché. Pas assez fan de l’univers jeu de cartes japonais.
            Pour Street Fighter 6, je m’y mets et j’avoue que c’est super bon!
            Quant à Spielberg, la Liste de Garyus date d’avant Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Garyus. Je n’ai vu ensuite de lui que Ready Garyus One que j’ai trouvé très décevant.

            @Rom: Les classiques sont sont souvent insurpassables!

          • @Ready Garyus One
            Je peux te spoiler la fin de Chihaya alors : elle met le gant de l’infini, claque des doigts, puis bat Thanos au Karuta ✌️
            T’as vu pour SF6 ? Je t’avouerai que j’ai lâché le 5e au bout de 2-3 jours.
            T’as testé le World tour ? J’étais très septique au début, je me disais « c’est quoi ce wannabe GTA où tu tapes des mamies ? ». Alors qu’en fait, c’est un vrai RPG, les mecs ont assuré, c’est super fun de custom ton perso et faire des combos de fou.

            Euuuh… La liste de Garyus est sorti en même temps que The Flash. Je te rappelle le plot : il sauve/empêche des personnes de voir The Flash.
            Pourquoi t’as pas aimé Ready Garyus One ? C’est parce qu’ils ont whitewashé le perso ? En vrai, j’ai bien aimé le film, seul un pote qui a lu le bouquin a dit qu’il le trouvait nul, il a vraiment dit « nul ».

  11. C’est quoi cette question?? L’Arche Perdue, Le Temple Maudit et La Dernière Croisade sont trois chefs d’œuvres du cinéma (et c’est probablement à cause d’eux que le 4 est autant décrié, car il est vrai que Spielbeg n’avait plu la même gouaille).

    Quant à la scène du frigo, je trouve que les gens sont un peu à l’ouest non?? La saga est remplie de scènes improbables (la scène des chars dans le 2 notamment), mais là, ça pose problème. Comme j’ai vu le film le jour de la sortie avant la polémique, cette scène m’avait fait sourire.

  12. Vu Indiana Jones et le Cadran de la Destinée hier soir, et j’ai beaucoup aimé !

    Aimant le personnage depuis bientôt 30 ans, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, et c’était réussi. Le rythme est très bon, l’action est au rendez-vous, même si c’est souvent sous la forme de poursuites véhiculées/à cheval, ce qui est un bon moyen de contourner l’âge de Jones qui ne peut plus se balancer au bout d’un fouet ou se battre debout sur un tank. Tous les personnages, même les plus secondaires, sont réussis et attachants : aucun d’entre eux ne fait lever les yeux au ciel ou semble de trop. Et leurs arcs sont réussis, et même inédit et touchant dans le cas d’Indy. Être conscient de son âge et ne pas faire semblant qu’il puisse encore tout faire était le bon choix. L’humour est dans la veine des Indiana Jones et n’est ni lourdingue ni forcé. L’aventure, le jeu de pistes d’artefacts et la découverte d’anciennes merveilles marchent toujours aussi bien. Le dernier arc aurait pu se casser la figure comme dans le 4 (selon moi), et au contraire il tient parfaitement la route et est vraiment fun.
    La réalisation de Spielberg m’a manqué un peu, parce que j’adore son style, mais Mangold s’en sort très bien. Le film est globalement joli, lisible et avec de jolis plans. Il ne tombe pas non plus dans la nostalgie forcée avec un trop plein de références et a son identité propre. Par exemple, les séquences « voyage avec carte et trait rouge représentant le chemin » est actualisé et n’est pas une simple copie de ce qui se faisait dans les années 80. C’est tout bête mais c’est un détail important.
    Le rajeunissement de Ford a toujours un effet « vallée de l’étrange » mais ça, je pense que c’est inévitable quelque soit l’amélioration de cette technologie, et c’est tout de même assez réussi. Et n’oublions pas qu’écouter du John Williams sur tout un film est toujours un plaisir !

    Une bien belle fin pour notre aventurier au chapeau, du moins au cinéma. Je recommande et j’y retournerai pour une deuxième séance ! Surtout que c’est la fête du cinéma.

  13. « Sa place est dans un Mu-sée..!
    À s’amuser »

    Clairement, la Saga Indiana Jones fait partie d’une catégorie où, artistiquement, les deux premiers opus peuvent suffire. Le Parrain, Star Wars, Terminator, Spider-Man…
    Au delà, c’est juste de la continuation, avec quelques jolies idées et variations intéressantes.

    Un diptyque, créé par Steven Spielberg, George Lucas, Harrison Ford et John Williams à partir d’une envie de faire du bon film d’aventure à l’ancienne.
    Des serials, du John Ford, Howard Hawks, de la comédie romantique, de la comédie musicale, David Lean, Fritz Lang, James Bond, l’Asie, des bandes-dessinées, des ombres chinoises, du Grand-Huit, du Cartoon, du jeu vidéo.
    Du rythme, de l’action, de la terreur (le thème musical de l’Arche est un sommet), de l’humour et des ruptures de ton (qui vont loin)… le triple nunchaku qui fait cintre a beau avoir été recyclé du film « 1941 », cette idée reste un des gags les plus drôles du monde.
    Où un héros habile, viril et séducteur a le droit de s’en sortir avec des coups de chance, qui vous donnent la même tête de couillon qu’un personnage secondaire. Et avec beaucoup de brutalité masochiste. L’ombre de Bogart et John Huston plane sur lui… Après tout, l’une des règles principales de ces films, c’est que personne ne puisse abuser d’artéfacts puissants (Indy sera là à chaque utilisation pour veiller à ce que ça ne tombe pas entre de mauvaises mains, pas même les siennes), mais que seules les rencontres pendant ces voyages comptent.
    Que des échecs formateurs. Très Hustonien ça.

    Des femmes-enfants, garçonnes qui cognent ou chochottes à martyriser (inspirées des sœurs de Spielberg – on les vit enfin dans « The Fabelmans »).
    Intemporel, sans âge – des nazis à faire fondre oui, mais d’avant la Guerre. Ou bien les oubliés Thugs. C’est l’autre règle importante : ne jamais avoir d’interaction directe avec la Grande Histoire, toujours garder les mythes à distance.
    Même pas cohérent dans sa continuité puisqu’on passe de 1936 à 1935, sans que ça ne soit un prequel. Et de Claude Giraud à Francis Lax à la VF…
    C’est ça, « Les Aventuriers de l’Arche perdue » et « Le Temple maudit ». Ce ne sont que des exercices de style. On s’en fiche ! On se défoule ! « Anything goes ! » (en cantonais).
    Y compris pour exorciser des drames, dans la fureur du deuxième film – des morts d’enfants sur le tournage de « La Quatrième Dimension », adaptation filmée de la série télé d’antan, et produit par Spielberg.

    La télé alors, qui a formé Spielberg et vers laquelle il est revenu vers la fin des années 80, pour produire des séries encore aujourd’hui pas toujours convaincantes, surtout quand les hôpitaux et Tom Hanks ne sont pas dans le coin.
    Et « La Dernière Croisade », en plus de raconter directement des époques (la jeunesse scout de Spielberg, le début de la Guerre), de démystifier le héros en racontant en grande partie comment et à cause de qui il est devenu Indy (et brisant la règle de l’échec pour la Croix de Coronado, succès finalement sans grande joie)… c’est un film qui semble avoir été fait pour être adapté à de multiples diffusions télé.
    C’est simple, on croirait assister à une rediff’ de « La Grande Vadrouille », avec peu d’ampleur cinématographique : des vieux encore classes, qui partent à l’aventure en se chamaillant, proches aussi bien du pathétique que de l’attendrissant. Sean Connery a beau venir faire le lien entre Bond, « L’homme qui voulu être roi », « La Rose et la Flèche » et ce film-ci… les choses sont maintenant établies : Harrison Ford a un certain âge, porte dorénavant une cravate et la voix française de Richard Darbois. Et tout le monde ne peut plus faire des têtes d’ahuris au milieu de l’action sans que ça ne flirte avec de la parodie – même une blonde hitchcockienne est là pour servir de gag sexuel.
    Il y a toutefois beaucoup de savoir-faire là dedans, on ne s’y ennuie jamais – mais chez Gérard Oury non plus.
    Cette Trilogie peut même se targuer d’avoir une identité visuelle spécifique pour chaque épisode – orange pour l’Arche, rouge pour le Temple, blanche pour la Croisade.
    Une série télé du jeune Indy viendra encore combler plus de trous inutilement (la marque de Lucas), avec un petit intérêt pédagogique (le côté professoral de Spielberg). Après avoir croisé Hitler dans le 3, finie la règle de non-interaction avec la Grande Histoire.
    Tout ça était-il bien nécessaire, alors que le personnage se racontait déjà très bien rien qu’en agissant, tout en gardant sa part de mystère et son Passé hors-champ (tous ces alliés dont on ne verra jamais la rencontre) ?
    Le voilà maintenant confiné dans de petits écrans.

    « Le Royaume du Crâne de Cristal » était une suite tardive, trop attendue comme pour Star Wars. D’ailleurs la même année (1999) que l’Épisode I, « La Momie » était une première réactivation à succès du genre aventureux, dans un monde numérique. Soit un très grand écart entre l’époque où se passe le film, et celle dans laquelle il est conçu.
    À la bourre Indiana Jones ? Un peu en avance en fait. Car la structure de ce film en fait le précurseur des blockbusters qui vont émerger dix années plus tard.
    Ceux qui sont tiraillés entre plusieures envies, sans choisir lesquelles garder et en refaisant les mêmes scènes que leurs aînés, sans les égaler et en étant à peine drôles (l’abus de chiens de prairies).
    On voit bien que Spielberg est plus intéressé par la reconstitution d’une époque passée, comme c’est devenu systématique depuis dans son cinéma… Mais à peine vues ces années 50 évoquant son enfance et celle de Lucas, on partira dans une direction plus classique, sans explorer à fond les préoccupations d’époque… puisque de toute façon, Indiana Jones n’a jamais eu que faire de la Politique actuelle, comme Bond. Des russes un peu fantasques à castagner, ça c’est mieux !

    Certes la scène du frigo est marrante, et enchaîne surtout sur un super plan iconique où la silhouette de Indy se découpe devant un champignon atomique… mais le premier film finissait déjà par une scène évoquant le pouvoir nucléaire, d’une façon métaphorique (le déchaînement de l’Arche). Ça n’est pas original.
    C’est même un peu artificiel d’introduire Shia LaBeouf en mimant Marlon Brando (dommage qu’on eût pas encore Chris Pratt à disposition), oubliant que Indy a déjà un quasi fils, Demi-Lune. Pas plus que les scènes avec les greasers, les rebondissements grossiers avec le personnage de Mac, un scénario qui repompe deux albums de Tintin (Le Temple du soleil et Vol 714 pour Sidney) avant que Spielberg fasse son Vrai Tintin, autrement plus virtuose.
    Même les scènes bouclant la boucle avec les précédents volets, ou inversant leur sens (Indy à la place du père grognon) manquent de finesse, et sa SF un peu Multiverselle est hors de propos dans une saga qui parle originellement de Surnaturel (on évite maintenant les religions, c’est plus sûr).
    Ce film a là aussi trop peu d’ampleur, déjà prêt à de futurs streamings sur de plus petits écrans.
    Bien que visuellement neutre, il y a toutefois beaucoup de savoir-faire là dedans, on ne s’y ennuie pas trop.

    Mais alors ce « Cadran de la destinée » ? Hélas, la même chose que le quatrième mais en pire.
    George a laissé tombé depuis longtemps, Steven n’est plus là et se refuse surtout à parler de la vieillesse dans ses propres films, aux castings toujours bien jeunes.
    Ford a 80 ans, ça se ressent, et ça doit donc forcément être un film prêt à pousser les spectateurs dans l’inconfort, à briser facilement toutes les règles… James Mangold s’y connait là dessus, y compris en jouant avec les icônes et se les réappropriant. Encore faut-il pouvoir construire une narration qui nous mène naturellement vers son sujet…

    Déjà, même plus de début ayant une transition à partir du logo de la Paramount. Le film commence par enchaîner le logo Lucasfilm avec… un verrou ? Comprenne qui pourra la symbolique.
    Puis dès le prologue, bien vendu au préalable, on a tout compris sur ce que ça va être : Indy présenté de façon cavalière, sans iconisation (finies les silhouettes bien dessinées) ? Un excès de pudeur formelle, qui crée de la dévitalisation.
    Encore des nazis ? On court encore après la nostalgie grâce à des ennemis bien idéaux.
    Du rajeunissement numérique bien perfectible (ça jure toujours légèrement avec les autres visages) ? Un étalage de gros budget.
    Des répliques de beauf limite réac ? Un manque de subtilité continu.
    C’est nocturne et avec beaucoup trop de plans serrés ? C’est peu lisible, et ça a peu d’ampleur.
    Thomas Kretschman et Mads Mikkelsen en méchants ? Vu, revu, trop vu (Boyd Holbrook lui aussi, plus tard).
    Et ça dure vingt longues minutes, alors qu’il y avait de quoi faire en juste 8-10 minutes, bien serrées et coriaces… Avant d’enchaîner sur la vision « choquante » du corps de Ford, âgée, lent et… gras.
    Et tout le film sera à l’image de ça, accumulant grassement les scènes échouant à émuler l’action trépidante des précédents (une poursuite entre un cheval et une moto, même dans l’énergique « True Lies » ça n’arrive pas à être excitant). Ce qui ne permet pas de créer un contraste suffisamment fort avec un scénario carburant à la mélancolie et au désespoir.

    Encore une fois, on y a un contexte historique net, avec des oppositions entre générations, contre la Guerre, pour la Science, pour la réussite financière sans pitié… Cette fois on fait même le grand écart entre les années 60, les années 30-40, les années 2020 (et encore une autre aussi). C’est trop d’un coup.
    Est-ce que Mangold va parler un peu de lui, puisqu’il était enfant dans l’Amérique de 1969 ? Non, on ne voit pas trop.
    Est-ce qu’il va mettre en compétition Indy avec les astronautes de la mission Apollo (façon Woody et Buzz, le Passé contre le Futur) ? Non, même s’ils se croisent brièvement.
    Est-ce qu’il va détourner l’image de Indy à la manière de son « Logan » ? Non, on serait plus proche de « Night and Day », tentative ratée de mélanger Mission Impossible avec « Vanilla Sky »… car les stars ont toujours le dernier mot.
    Est-ce qu’il va critiquer la récupération des scientifiques nazis par les USA ? Non, c’est tout à fait accessoire à l’intrigue. Pas beaucoup de CIA, aucun communistes.
    Est-ce que le personnage que joue Shaunette Renée Wilson va se rendre compte avec qui elle travaille, et tout ce que ça peut signifier de terrible pour elle ? Non, et c’est scandaleux !
    Est-ce que Lucasfilm, et surtout Katherine Kennedy, vont réussir à faire un passage de relais aussi sophistiqué et féminin que dans les derniers « Star Wars » ? Non, car le titre reste « Indiana Jones », ça ne serait pas logique.
    Mais Phoebe Waller-Bridge donne le change, en ce qui concerne son personnage, ayant comme mission (habituelle) de « corriger » le traitement cavalier des héroïnes depuis le deuxième film. Surtout quand elle doit secouer le héros bien comme il faut.
    Comme dans « Mourir peut attendre », ça a toutefois ses limites (on a vraiment besoin d’une séquence avec un amant collant ?).

    Le quatrième film a beau être honni par beaucoup de gens, dans l’inconscient collectif… le fait est qu’on l’y cite, de façon un peu cynique via un acteur encore plus gênant aujourd’hui.
    Que l’on y fait la même erreur de sous-employer des acteurs (Jim Broadbent hier, Antonio Banderas là), de rendre faibles d’autres (John Hurt hier, Toby Jones et John Rhys-Davies là), qu’on y insère encore un enfant perdu mais débrouillard, qu’on se court après de manière désordonnée, qu’on a encore de la SF incongrue dans un final encore plus gênant tellement il tire en longueur – étrange concordance de ce film avec « The Flash ».
    Tout ça en ayant une longueur d’avance sur le scénario, pour le spectateur dans la salle qui en a déjà vu d’autres… Avec des réponses qui se révèlent bien maigres, surtout pour l’antagoniste principal.
    Et des références filmiques insérées vite fait, y compris au « Fugitif » de Ford…

    Stop ! Il s’agit bien là d’un énième film conçu malgré lui comme un futur produit de plateforme, qui a les yeux plus gros que le ventre et ne sait pas condenser son histoire, voilà.
    C’est propret (plus une seule scène horrifique, plus du tout de religions), c’est générique, ça n’a pas une identité visuelle trop marquée, ça coche des cases, John Williams est en mode automatique, ça pense à l’image que la Saga et les acteurs renvoient. Et ça malaxe un peu de ceci, un peu de cela pour tenir longtemps, mésestimant l’attention du spectateur, et croyant qu’un film long est forcément bon. Le temps est d’ailleurs très long à la vision de cet opus (traitant lui-même du Temps), on n’en peut plus d’attendre l’annonce d’un spin-off avec l’héroïne, comme ça ce sera fait !

    Il n’y a plus autant de savoir-faire là dedans, preuve que la pandémie a bien chamboulé durablement la production de gros films… on n’y croit plus trop. Ironique, alors que c’est justement la Foi qui anime les quêtes dans tous ces épisodes.
    Considérons ça comme une fin alternative, facultative, maladroite.
    Où seules comptent les 10 dernières minutes qui, si on met de côté les lourdeurs qui précèdent ainsi qu’une certaine roublardise, peuvent être considérées comme bouleversantes. Et comme l’ultime façon d’en finir avec le Indiana Jones de Ford :
    en regardant les Mythes les yeux grands ouverts (contrairement à l’Arche), et en humanisant définitivement un héros… pour mieux lui rendre sa liberté.

    « Allons, ces couleuvres à avaler Indy, c’est pas la mer à boire ! »
    🤠

  14. https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Camille-Lou-Constance-Labbe-et-Claire-Romain-seront-les-Cats-Eyes-de-TF1

    Ça a l’air pas mal ça… Mieux qu’avec du comique potache et éternellement régressif.

  15. A noter que Indiana Jones 5 a une note moins bonne que The Flash sur IMDB : 6.9 contre 7.2 pour l’instant. D’ailleurs pour ce dernier je pense qu’une partie des Marvel fans a essayé de le détruire inutilement (certes ce n’est pas un grand film mais comparé aux derniers marvel comme ant man3 ou thor 4 c’est bien meilleur).
    Je vous conseille de faire bien attention à l’identité des gens qui écrivent des critiques pour des journaux du web. Prenons l’exemple du journalgeek. Et comparons les critiques de Ant man et de flash :
    https://www.journaldugeek.com/critique/critique-the-flash-ca-va-trop-vite/
    https://www.journaldugeek.com/critique/critique-ant-man-et-la-guepe-quantumania-fourmi-figue-mi-raisin-%f0%9f%90%9c/
    Nous remarquons que ces critiques ont été écrites par une dénommée Julie Hay. Un peu de linkedin nous donne qu’elle a obtenu son master Nouvelles écritures Médiatiques à Nantes en 2019. En commençant à aller au cinéma voir des films de super héros à environ 10-12 ans cela signifie à partir de 2006-2008. Donc elle a baigné dans la culture Marvel et n’a pas connu les premiers Spider man/Batman/X men/Superman au ciné.
    Pas étonnant dès lors de constater qu’elle est fan de marvel.

    Je ne comprends d’ailleurs pas bien cette gueguerre futile entre marvel et dc fans alors que tout le genre s’essouffle… Pour marvel seul un Avengers bien réalisé relancera la machine, pour dc les films indépendants comme Batman et Joker. C’est pas avec ce guignol de Gunn que dc va s’en sorti ça c’est certain. C’est ce qu’on appelle en anglais un « one trick poney ». Il n’a qu’une recette qu’il applique encore et toujours : un scénario complètement débile (plus c’est loufoque et n’importe quoi plus il est content), des musiques pop rocks que lui seul connaît, de l’humour (parfois noir) décalé, des scenes d’action sans enjeux (jamais personne d’important ne meure), et des membres de sa famille dans le casting (autant pistonner sa famille tant qu’on peut- sa femme était dans peacemaker…).

    • @ Isabelle : Zut ! je m’apprêtais à prendre une grande inspiration pour vous demander en mariage 😍 😍 😍 jusqu’à ce que je lise « des musiques pop rocks que lui seul connait » ! Non mais ho… 🙄 🙄 🙄
      Mon soufflet est retombé. 😳 😳 😳 Vous m’avez brisé le coeur ! 😭 😭 😭
      🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣
      PS : plus sérieusement, Rick Flagg n’est pas en accord avec l’intégralité de votre analyse. 🤪 🙄

      • Je trouve ça inquiétant moi, les gens qui font des recherches sur le net, sur la vie privée de personnes donnant un avis différent du sien.
        Et puis on a pas besoin d’être un fanboy du MCU pour dézinguer The Flasque. Ce film est tellement mauvais qu’on le soupçonne d’être la réelle source des émeutes en France.
        Quant à comparer Ant-Man, Thor 4 et Flash… chacun son truc. Personnellement, j’ai du mal à faire de la différence entre de la merde de chat et de la merde de chien.

        • @ Garyus : Je vois ce que tu veux dire, mais à partir du moment où c’est sur LinkedIn et que cette personne écrit sous son nom, ou donne son nom quelque part, il ne s’agit plus de sa vie privée. Et le fait de comprendre sa formation, ou ses antécédents professionnels peut permettre de mieux décoder ses articles. Je pense que c’était dans ce sens.

          Cela dit, Mlle Hay a bien le droit de ne pas avoir apprécié The Flasque, et on n’a rien à y redire. D’autant que sa critique est certainement argumentée (vais pas m’emm… à aller la lire). Et la déduction que fait Isabelle de son parcours peut aussi être biaisée, car rien ne dit que cette journaliste se soit contentée des films qui lui sont contemporains, par exemple. Archer nous trouverait certainement un biais, sa grande obsession… 🤣 🤣 🤣

          Je suis d’autre part intimement persuadé qu’il existe des boites de « com » qui sont payées par des studios pour influencer les RS, ou qui disposent de leurs propres RS. J’ai déjà cité plusieur fois EvolveMedia, propriétaire de Comingsoon et de Superherohype entre autres. Et je l’avais découvert en suivant quelques liens et en faisant ma petite enquête. Rien de privé à ce niveau-là, mais ça m’a permis d’avoir une vision plus claire de l’un de ces sites que je fréquentais, et que j’ai préféré abandonner au profit de LTH.
          Bon, après, faut dire que je suis un agent secret de l’au-delà, on se refait pas… 🤣 🤣 🤣

          PS ; « Ce film est tellement mauvais qu’on le soupçonne d’être la réelle source des émeutes en France » T’es vraiment un mec marrant, quand même ! 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣

          • @The Ghost: Les infos Linkedin ne sont pas privées, certes mais ça reste malsain pour moi.
            A-t-elle fait les mêmes recherches sur LTH?
            Enfin bon courage à elle, si pour défendre ce film, elle se met en tête d’enquêter sur chaque critique cinéma du net qui l’a descendu. Ils sont légion.
            Quant à l’humour, c’est la dernière chose qu’il me reste je trouve pour faire face à un monde réel et un monde virtuel aussi tendus et agressifs.

          • @ Garyus : Hi hi hi… heureusement que tu ne sais pas tout ce que j’ai pu faire ! 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣
            Pour l’humour, je partage totalement. Il faut aussi s’entourer de bonnes personnes, positives, et se tirer mutuellement vers le haut. 🙂
            Le gros problème du net (et LinkedIn en est devenu un bon exemple), est que c’est le déversoir émotionnel de beaucoup de gens en mal-être. Et ils se montent beaucoup la tête. C’est triste. La réalité n’est pas joyeuse, c’est certain.

          • Moi non plus, pas musicien, et n’y comprends pas grand-chose, alors je me contente de faire plaisir à mes oreilles, et de mettre le plus de jolies choses possible dans le truc qui se trouve entre les deux ! 😀

  16. « Chris Brewster, cascadeur de Charlie Cox, à propos de ‘Daredevil Born Again’:
    « Ils ne veulent vraiment pas que ce soit comme le Daredevil Marvel/Netflix. Alors, mis à part le cast qu’ils font revenir, aucune des personnes qui ont travaillé sur la série originale ne reviennent.»
    « Et je veux dire, il y a avait des personnes réellement incroyables qui ont travaillé sur la série et je pense qu’ils ont participé à la magie de cette série. Et je pense que Marvel fait une grande erreur, mais qu’est-ce que vous voulez y faire ? »

    Comment faire pour se gameller encore pire qu’avec Ms Marvel et She Hulk?
    Prendre une série adorée par les fans et le grand public et en faire un soft reboot version Marvel Comedy Club x Disneyoke x CGI tous pourris.
    Vous le sentez arriver le backlash de la mort?

    • J’ai de la peine pour elle et pour ces acteurs sacrifiés sur l’autel du blackwashing. Certains sont bourrés de talent mais tuent leur carrière en se compromettant dans de tels films. Ils se prennent un retour très violent sur le net et quasi à chaque fois, le film bide.
      Kiersey Clemons n’aura rien apporté à The Flasque, juste un peu de polémique habituelle. Quel gâchis.

  17. INDIANA JONES ET LE CADRAN DE LA DESTINEE

    Franchement ? Ce film va avoir le mérite de réhabilité LE ROYAUME DU CRANE DE CRISTAL !
    J’apprécie le travail de James Mangold et, d’un simple point de vue cinématographique, la réalisation n’est pas mauvaise même si son travail est bien meilleur sur LE MANS 66 ou LOGAN.
    Reste un scénario qui, s’il a le mérite de jouer convenablement avec l’âge d Indy, a l’effet d’un somnifère !
    Les scènes d’actions ne sont pas légions et n’apportent rien au cinéma. Je defie quiconque de se rappeler d’une scène particulière dans plusieurs années alors que même le conspué 4e volet a eu ce mérite ( même si c’est un peu a ses dépends )
    Pire encore, j’ai eu l’impression de copier / coller avec d’autres sagas type MISSION IMPOSSIBLE.
    Et, désolé pour les personnes derrières les effets spéciaux, mais le rajeunissement d Indy, largement meilleur quand même que ceux de STAR WARS, est en deçà des meilleurs. Paradoxalement, je trouve que celui de Robert Downey Jr était mieux réussi alors que le MCU indiquait que c’était une image fausse…

    En fait, on peut résumer a de simples mots : la place de Indiana Jones version Ford est dans un musée. Et je dirai même plus qu’il aurait dû y rester après le 4e opus

  18. J’ai vu Indy 5.

    Spoil

    J’ai passé un bon moment. Il y a tous les ingrédients : de l’aventure, de l’action, un Indy bougon et intrépide, des énigmes, du jargon d’archéologue, des ruines, des personnages secondaires espiègles, de l’émotion, un peu de surnaturel (même si c’est censé être « mathématique »… lol)… de surcroît, Mangold respecte plutôt bien la mise en scène typique de Spielberg, avec des musiques orchestrales au service de l’action, du mouvement et des plans qui racontent des choses, plutôt que de passer par le script et les dialogues à tort et à travers. Mention spéciale à la course-poursuite à cheval dans la parade, un pur moment de cinéma !

    Après, ça reste plutôt sage. Le film ne prend pas trop de risques (le retour des nazis en méchants, pas de lianes en cgi pourries, même l’aspect surnaturel du Mc Guffin est rationalisé scientifiquement) et tout le délire autour du plan d’Archimède ne tient pas debout : s’il ne pouvait vraiment pas prendre en compte la dérive des continents, alors rien ne garantissait qu’ils arriveraient à son époque… enfin !

    Le film offre ce qu’il promet, mais sans plus, et c’est un peu dommage. Pas de raison de bouder cependant, avoir la chance de voir Indy au cinéma, ça ne se refuse pas, et on sent qu’il y a une grosse volonté de bien faire, sans oublier des scènes réussies qui vont me rester un moment.

    Et puis, pour 5 euros, ça vaut quand-même grave le coup !

  19. Je viens de sortir d’Indy 5.

    Bon les leaks étaient vrais… Toutefois je n’ai pas boudé mon plaisir mais je suis assez frustré de la fin.

    Sans spoiler quoi que ce soit, j’aurais préféré que Indy puisse avoir SON choix. Et que sa filleule (insupportable par moments) ne gâche pas tout. Je trouvais que cela aurait été une fin plus cohérente et surtout plus belle…

    Ça m’a rappelé un peu la fin des Derniers Jedi quand Rose s’interpose à Finn…

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