C’est toujours un plaisir de retrouver une série de qualité comme The Sandman… mais on ne répétera jamais assez à quel point cette nouvelle norme qui consiste à attendre trois ans entre deux saisons est une plaie. A petit feu, les séries de prestige tuent ce qui fait le charme et l’intérêt du format sériel, et ce n’est malheureusement pas le récap’ officiel ci-dessous qui permettra d’apprécier toutes les nuances de cette ultime saison découpées en trois parties (3 juillet, 24 juillet, 31 juillet). Allez, sans plus attendre, on attaque !
Après des retrouvailles fatidiques avec sa famille, Dream des Infinis doit faire face à une succession de décisions impossibles pour se sauver, sauver son royaume et le monde éveillé des conséquences tragiques de ses méfaits passés. Pour se racheter, Dream doit affronter amis et ennemis de longue date, dieux, monstres et mortels. Mais le chemin du pardon est semé d’embûches et la véritable absolution pourrait bien tout lui coûter.
[SPOILERS – Commentaires au fil des épisodes – SPOILERS]
The Sandman – Saison 2 – Episode 1 – ‘Season of Mists’ : The Sandman ou l’art de faire de l’exposition une exposition, avec des tableaux-portails et des décors toujours aussi somptueux… Avec son look de Volturi échappé d’un épisode de Twilight, Dream n’est-il pas en train de se mortifier pour rien ? Ce n’est pas lui qui a exigé de Nada qu’elle aille en Enfer, la proposition – et la culpabilité qui va avec – venait d’elle. Mais bon, peut-être qu’il y a quelque chose d’ineffable dans ces choix impossibles imposés aux mortels (#GoodOmens). Il faut juste se laisser porter, sans chercher la logique. Comme devant ce Wakanda onirico-préhistorique qui n’est nulle part à sa place dans le continuum spatio-temporel ! Réflexions du jour ? Délire a la même énergie que Duela Dent dans Gotham Knights et chaque mention de Mazikeen ne manque pas de nous ramener au souvenir de la série Lucifer.
The Sandman – Saison 2 – Episode 2 – ‘The Ruler of Hell’ : Attendez une seconde, cela veut dire que… 9 ans après le lancement de Lucifer, nous assistons en quelque sorte à la préquelle de la série grâce à cet épisode ? C’est génial (rappel : le comics Lucifer est un spin-off du comics Sandman). Et Gwendoline Christie s’est donc transformée en Tom Ellis ! On aime ou on aime pas, mais personnellement, j’adore ces rencontres métaphysiques entre entités primordiales, dieux, anges et démons. Thor fait sourire avec son tout petit marteau. Et Odin fait très Terry Pratchett ! Alors, qui héritera de la clef de l’Enfer ? Le choix de la raison (Susano-o-no-Mikoto) ? Le choix de la famille (Odin) ? Ou le choix du cœur (Azazel) ? Joli dilemme…
The Sandman – Saison 2 – Episode 3 – ‘More Devils Than Vast Hell Can Hold’ : Les flashbacks du fameux épisode ‘The Sound of Her Wings’ étant l’une des meilleures choses de la saison 1, on ne boudera jamais notre plaisir devant de nouveaux retours en arrière mêlant Histoire et influence de Dream sur notre monde. Surtout quand cela donne naissance à de très belles scènes sur le pouvoir de l’imagination : « Contes et rêves sont les vérités fantômes qui perdureront quand les faits ne seront que poussière et cendres, voués à l’oubli. » Nada est libérée de ses tourments éternels, c’est le principal. Mais ses interactions avec Dream montre malheureusement à quel point ce dernier n’est pas fait pour entretenir une histoire avec une mortelle. En revanche, avec Nuala… Il y a peut-être un triangle amoureux à jouer ? A chaque fois, elle le dévore des yeux ! Enfin, j’espère que nous verrons un jour à quoi ressemble l’Enfer administré par ses nouveaux gardiens.
The Sandman – Saison 2 – Episode 4 – ‘Brief Lives’ : Le très sérieux Dream embarqué dans une enquête avec la très enthousiaste Délire, cela ne peut que fonctionner ! Concrètement, cet épisode est une voie de garage puisque Destruction reste aussi bien caché qu’au premier jour… mais il a au moins le mérite d’approfondir les relations entre les différents membres de la famille des Infinis. Deux petites curiosités : Dream – décidément pas très coopératif – ne mentionne pas le fait qu’Odin a peut-être une piste concernant Destruction, tandis qu’Ishtar meurt alors même qu’elle est vénérée comme rarement elle l’a été (d’après la tête des hommes qui ont assisté à sa danse). Meilleure réplique : « Il n’y a que 60 hommes et femmes sur cette Terre qui possèdent des souvenirs personnels des mammouths et tigres à dents de sabre. » (Mine de rien, cela fait du monde !)
The Sandman – Saison 2 – Episode 5 – ‘The Song of Orpheus’ : Les millénaires passent, les mythes restent… Magnifique épisode, avec la magnifique scène de la catabase d’Orphée ! En grec dans le texte, en plus. (Cela permet de pardonner les si reconnaissables côtes anglaises qui servent de décors à la Grèce du XVIIe siècle avant Jésus-Christ. Tellement incongru que cela fait sourire.) Après avoir décroché le titre du pire amant de l’Histoire, Dream enchaîne avec celui du pire père. Pauvre Orphée. J’ai toujours rêvé d’un truc : si on invente un jour le voyage dans le temps, ce serait génial de pouvoir montrer certaines œuvres cinématographiques aux gens du passé, pour qu’ils découvrent à quel point ils ont inspiré les gens du futur. Quelle serait la réaction des Athéniens à cet épisode de Sandman ? Celle des Romains à Gladiator ? Que penserait les habitants du Royaume d’Angleterre de certaines adaptation du Cycle Arthurien ? Bref, tout cela pour dire que ‘The Song of Orpheus’ s’inscrit dans une belle tradition de réactualisation mythologique qui dure depuis des siècles. Et voir cela avec les moyens modernes mis à disposition, c’est beau.
The Sandman – Saison 2 – Episode 6 – ‘Family Blood’ : Et nous terminons forcément en beauté avec Jenna Coleman, de retour en Lady Johanna Constantine ! Pauvre Orphée (bis), j’espère que pour s’occuper, il avait au moins accès à Netflix dans son petit temple. On pouvait lui souhaiter une mort aussi douce qu’une dématérialisation sableuse… mais le destin n’a malheureusement pas été aussi clément. Merci à lui pour la scène des têtes chantantes ! (Question : pourquoi les Erinyes seraient-elles en mesure de représenter une menace pour Dream, alors qu’il est bien au-dessus d’elles en terme de hiérarchie divine ? Qui plus est alors qu’elles font partie d’un panthéon qui n’est plus vénéré ? Réponse partielle : apparemment, elles étaient en charge des parjures et des homicides familiaux, donc le geste de Dream tombe sous leur juridiction, mais cela reste à expliciter plus en détail.) C’est fascinant de voir à quel point Tom Sturridge peut être intéressant alors qu’il arbore la même expression 99% du temps. Chapeau au casting, tout le monde ne pourrait pas en dire autant. A mi-parcours, le bilan est plus que positif : la série The Sandman est au meilleur de sa forme quand elle se concentre sur sa mythologie, ce qui n’était pas vraiment le cas quand on l’a quitté (cf. l’arc du Corinthien en saison 1). Donc vivement la suite dans deux semaines !
The Sandman – Saison 2 – Episode 7 – ‘Time and Night’ : Mazette, cela devient dense, difficile de ne pas croire que plusieurs arcs n’ont pas été cramés en un seul épisode ! On retiendra bien sûr la visite de Dream à son père, Time/Saturne/Chronos, incarné par le toujours impeccable Rufus Sewell. (Un acteur qui mériterait d’être encore plus connu et qui est incroyable dans la série Le Maître du Haut Château.) Le livre de Destiny est-il une fraude ? La tête de Dream quand il est découvre que les pages sont vierges était impayable. Pendant ce temps, Loki et Puck manigancent autour de Lyta et Daniel Hall. Je dois avouer que j’ai complètement oublié ces personnages, ainsi que Gilbert, le gentleman incarné par Stephen Fry. Maudite coupure de trois ans entre les deux saisons ! Enfin, comment ne pas ‘shipper’ Dream et Nuala ?
The Sandman – Saison 2 – Episode 8 – ‘Fuel for the Fire’ : Ah, Johanna Constantine qui asticote Dream, cela fait toujours son petit effet ! Mais attendez une seconde : Orphée était le grand amour de Lady Johanna Constantine ? Vous l’aviez compris comme ça ? Donc quand sa descendante demande « Vous lui avez donné son grand amour ? » et que Dream répond par l’affirmative, ils parlent bien du souhait de l’épisode 2×05 : « Peut-être un peu de temps auprès d’Orphée. » ? Eh bien, quelle drôle de relation (à sens unique ?)… Pour en revenir à notre histoire de bébé enlevé, la conclusion est bien évidemment sombre, très sombre. Forcément, on se dit que cela ne peut pas finir ainsi. Sinon, le Corinthien est de retour. Pas mon personnage préféré, mais c’est sympa de la part de Boyd Holbrook d’être venu, malgré sa notoriété grandissante.
The Sandman – Saison 2 – Episode 9 – ‘The Kindly Ones’ : Et le prix de l’épisode le plus drôle de la saison revient à ‘The Kindly Ones’ ! Il y a bien sûr le team-up complètement inattendu entre Johanna Constantine et le Corinthien, même s’il donne l’impression injustifiée que Constantine n’est pas capable de remplir seule sa mission. Et les Bienveillantes ne sont pas en reste avec cette superbe réplique : « Mais mon enfant… Il a tué son propre fils ! » Lyta Hall est vraiment le dindon de la farce. Cela paraît artificiel d’en faire un instrument de vengeance pour la mort d’Orphée alors que Calliope est dans les parages et que nous n’avons toujours pas vu sa réaction aux derniers événements. Avec le recul, le plan Dream-Loki est assez nébuleux (notamment à cause de l’ellipse dans le 2×07) : l’idée était vraiment de kidnapper Daniel Hall, de le diviniser et de l’envoyer dans le royaume des songes, alors même que cela allait entraîner une réaction vengeresse des Furies ? Dream aurait du se douter que confier une telle tâche à Loki allait se retourner contre lui, comme une prophétie auto-réalisatrice.
The Sandman – Saison 2 – Episode 10 – ‘Long Live the King’ : Ce massacre et cette destruction gratuites… Mais pourquoi tant de haine ? Les Furies ont clairement outrepassé leurs prérogatives, vous ne trouvez pas ? Le décor du face à face final était magnifique, entre Le Hobbit et Matrix, avec ces tours qui faisaient penser à Dol Guldur et l’inimitable long manteau noir de Dream partagé avec Neo. Est-ce la dernière fois que nous voyons Tom Sturridge en Dream ? Si c’est le cas, c’est vraiment dommage, car il reste encore un épisode (+ l’épisode-bonus sur Death). J’imagine que les fans de Doctor Who sont habitués au procédé après plusieurs régénérations… mais ce n’est pas le cas de tout le monde ! Des fans de Jacob Anderson (Entretien avec un vampire, Game of Thrones) dans la salle ? Meilleure réplique : « Je suis une citrouille avec une sulfateuse. »
The Sandman – Saison 2 – Episode 11 – ‘A Tale of Graceful Ends’ : Une heure hors du temps… Magnifique series finale. Bien sûr, nous sommes comme Matthew au début, réfractaire au changement. Mais cet épisode en forme de cérémonie funèbre était tellement bien écrit et bien joué qu’on se laisse rapidement prendre par les émotions et le message de la série : même si cela paraît paradoxal, la plus immortelle des entités mérite elle aussi de connaître une fin à son histoire. L’éloge funèbre prononcé par Delirium était particulièrement touchant (coup de chapeau à Esme Creed-Miles). Et le flirt entre Johanna Constantine et le Corinthien absolument irrésistible. Dans un monde idéal, ces deux-là auraient droit à un spin-off ! Seul bémol, encore et toujours l’absence de réaction de Calliope à la mort d’Orphée. PS : ne loupez pas la scène post-générique. / A l’heure du bilan, cette saison 2 est une franche réussite qui a su garder de bout en bout une saveur mythologique fort appréciable, le tout sublimé par la partition de David Buckley et les chansons d’Orphée. Même si personne ne regarde, même si personne n’en parle, merci à Netflix d’avoir produit ce petit bijou. Enfin, on souhaite le meilleur à Tom Sturridge pour la suite de sa carrière !
The Sandman – Saison 2 – Episode 12 – ‘Death : The High Cost of Living’ : Cette fois, c’est vraiment la fin… Alors, avez-vous été convaincu par ce bonus, qui souffre forcément de la comparaison avec l’excellent ‘The Sound of Her Wings’ ? Death a trouvé un humain de compagnie en la personne de Sexton, mais le fait est que sa personnalité dépressive n’offre pas matière à un épisode d’anthologie ou a des scènes marquantes, comme c’est le cas à chaque fois que Hob apparaît. A ce titre, la séquence dans la boîte de nuit était juste in-ter-mi-na-ble. On retiendra donc le développement de Death et quelques échanges sur le libre arbitre. Et dans quelques années, peut-être qu’on se refera avec plaisir les saisons 1 et 2, sans attendre trois ans entre les deux !
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La série The Sandman revient à partir du 3 juillet 2025 sur Netflix, avec Tom Sturridge (Dream), Vivienne Acheampong (Lucienne), Mason Alexander Park (Desire), Gwendoline Christie (Lucifer), Adrian Lester (Destiny), Esmé Creed-Miles (Delirium) et Barry Sloane (The Prodigal).
Entre l’attente et la division, je me demande s’il n’est pas préférable d’attendre la fin d’une série dorénavant pour la voir correctement.
Le coup de COBRA KAI S6 en 3 parties…. et ce n’est clairement pas le seul cas de figure mais celui ci ma marqué au vu de la durée des épisodes
@Darkkane
Au-delà de l’attente c’est surtout la pertinence du découpage qui me semble important.
Récemment Squid Game a diffusé sa saison 3 qui n’est en fait que la seconde moitié de la saison 2. La fin de la « saison 2 » ne ressemble pas à une fin de saison, et le début de la « saison 3 » ne ressemble pas à un début de saison. Dans un cas pareil ça fait sens de tout regarder d’un bloc.
A contrario Arcane diffusait ses saisons par groupes de 3 épisodes formant un arc narratif à chaque fois. Et si dans ce cas-là on n’avait qu’une semaine à attendre pour avoir la suite ça n’aurait pas été très gênant de faire des pauses plus marquées puisque chaque trio d’épisode formait un tout avec un début, un milieu et une fin.
Voyons dans quel cas de figure cette saison 2 de The Sandman se positionne. ^^
Arcane le decoupage était bien mais la durée d’attente entre la saison 1 et 2 était assez saoulante.
A faire de tels écarts entre deux saisons (que ce soit Arcane, Ring of Power, Sandman, et en fait de plus en plus toutes les séries), ça devient plus exigeant de se réimmerger dans une nouvelle saison.
Exemple personnel tout bête : Carnival Row saison 1 est une de mes séries modernes favorites… mais je n’ai pas encore réussi à regarder la saison 2 tant elle a tardé à sortir (4 ans !)
Donc je comprends la remarque de Darkkane comme quoi c’est désormais plus agréable d’attendre la fin d’une série pour se lancer. Ça ne veut d’ailleurs pas dire qu’on va regarder toutes les saisons à la suite, simplement qu’on sera maître sur les temps d’attente qu’on voudra avoir pour digérer entre deux saisons.
Je comprendrai jamais cette impatience, que ce soit pour Arcane 2, Beyond the Spiderverse ou The Batman 2. Perso je passe pas mon temps à attendre. Je regarde/fais autre chose et à aucun moment je me dis « fait chier, faudrait que ça sorte maintenant ». Ça arrive quand ça arrive, et ça me va très bien. Après j’ai aucun souci à me remettre dedans, quel que soit le temps passé entre deux saisons/films. Alors c’est peut-être pour ça qu’on vit le truc différemment.
« Après j’ai aucun souci à me remettre dedans, quel que soit le temps passé entre deux saisons/films. »
Forcément si tu es immunisé contre l’inconvénient majeur que tu ne te plains pas.
Après me concernant c’est très spécifique aux séries ce probleme. Par exemple un roman, c’est quelque chose de bien plus doux pour reprendre. L’immersion se fait plus naturellement. Là je peux attendre une décennie entre deux tomes ça ne me dérange pas. Les films et les bd aussi je m’y mets tranquillement pour reprendre. Les séries c’est pas la même affaire…
Idem pour ARCANE s2. Impossible pour moi de m’y mettre comme si j’avais perdu le fil avec l’attente..
Et meme en film, ils font le meme coup : THE OLD GUARD 2 ?!?!
Le problème de certaines séries est qu’on perd le fil après plusieurs années.
Soit on regarde de nouveau la saison précédente, il faut du temps, je n’en ai pas.
Soit on a une très bonne mémoire.
Soit on oublie certains éléments de l’histoire, l’évolution d’un personnage, et l’attachement
d’un personnage a disparu.
Alors il y a des rappels en début d’épisodes, mais ça peut faire effet de spoil.
J’avais adoré la saison 1 de Arcanes. Pour la saison 2, je l’ai regardé avec plus de difficulté, l’histoire est dense.
Pour Squid Game, ça fonctionne mieux, car l’histoire est assez creuse ^^
Je vais attendre mes vacances pour bien regarder ça posément et peut être me refaire la saison 1 que j’avais vraiment apprécié.
Série finie et malgré un goût de rush : en même temps, rien que la saison des brumes compte 400 pages. Aussi, transcrire cette saga en 3 épisodes… Malgré tout, cela restera une superbe série liée aux jeux des acteurs et fait clairement le job. Aussi, je ne suis plus si sûr quant au fait qu’il devait y avoir une troisième saison. En deux saisons, l’un des chefs d’oeuvres du comic book est parfaitement transposé (tant dans la forme que l’aspect poétique et philosophique). Spécial dédicace pour Hob Gadling qui est un personnage puissant aussi dans le comic et qui est parfaitement interprété (ce n’est qu’un homme qui refuse de mourrir…). Brilliant !
C’est vraiment dommage qu’une série de ce calibre ne fasse pas plus parler. Quand tu vois le nombre de clics qu’engendrent des merdes comme les séries star Wars, les squid game et autre produit aussitôt consommé, aussitôt oublié.
Ça me rappel vraiment ce qu’a subit legion. Vraiment pas mérité.
En tout cas. 3 ans après la 1er saison, j’avais encore des marques concernant certains épisodes vraiment émouvant et où bluffant. Et cette Saison 2 n’aura pas a rougir. Je m’en souviendrai longtemps.
Fuck gaiman et sa toxicité. Il nous prive d’une sacrée dose de bonheur quand même. Pour une des rares fois où Netflix fait les choses correctement.
Quel ironie…
Merci boss d’avoir continué d’en parler malgré le peu de clics qu’engendre ce genre d’article.
j’ai trouvé la saison 2 nettement meilleur que la première, mais les livres audio de audible sont pour moi, bien meilleur
Faudrait vraiment que j’essaie. Je viens de finir mon énième marathon du seigneur des anneaux. J’allais commencer un king. Mais je vais peut être partir la dessus tiens.
Pour rester sur le sujet d’audible, parce que c’est rare de trouver des afficionados, j’ai fais lenfeust en audio aussi récemment. Et même si ça vaut pas les bouquins. J’ai trouvé l’adaptation vraiment impressionnante. Le casting vocal est sympathique et l’ambiance est palpable.
Oh
C’est vrai que ce dernier épisode semble moins intéressant que les autres. Mais j’aime toujours autant death.
Je sais pas si je regarderai la série une deuxième fois. Quand j’apprécie vraiment beaucoup une œuvre au premier visionnage. Je n’y retourne pas pour ne pas en trouver des défauts.
Surtout pour les films sur toile d’ailleurs. Yen a plein que j’ai pas revu depuis, parce que l’expérience cinéma, ça donne toujours une bonne tolérance aux films. Et du coup j’ai pas envie de gâcher ça.