Le bar de Galactus #320 : The Conjuring – L’heure du jugement ~ Downton Abbey III – Le grand final

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Un énorme démarrage plus tard (194 millions), The Conjuring : L’heure du jugement sort enfin en France ! Rendez-vous compte : à l’international (110 millions), cette ‘modeste’ production horrifique a fait plus que Thunderbolts* (86.2 millions), Captain America : Brand New World (92.4 millions), Superman (95 millions) et Les 4 Fantastiques : Premiers pas (99.1 millions). Mercredi, Patrick Wilson et Vera Farmiga vont donc vivre leur ultime dossier Warren. Y a-t-il des fans du CCU initié par James Wan dans la salle ? Plus reposant pour les nerfs, Downton Abbey se conclura le même jour avec un troisième film, Downton Abbey III : Le grand final. Mine de rien, une série qui arrive à se transformer en trilogie à succès, ce n’est pas un mince exploit ! Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu en cette période de reprise ? (Pour ma part, Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski.) A vos claviers et belle semaine à tous !

Alors qu’ils espéraient une nouvelle vie, Ed et Lorraine Warren se voient impliqués dans une dernière enquête…qu’ils n’auraient jamais dû accepter. Dans la maison de la famille Smurl, un mal ancien les attend. Un ennemi qu’ils croyaient à jamais enfoui… Découvrez comment les Warren ont affronté le cas le plus maléfique de leur carrière, inspiré de faits réels qui ont terrorisé l’Amérique.

60 COMMENTAIRES

  1. Je suis pas particulièrement fan de Conjuring. Mais ma femme oui. Typical nana qui écoute des podcasts horrible sur des tueurs en série avant de s’endormir. Aha

    Donc oui, je vais surement faire un passage en salle pour le voir. J’aime beaucoup les deux premiers malgré tout. Même si je préfère largement les sinister.

    Mon weekend a surtout été occupé avec le zevent en fond. Un rendez vous annuel que je ne loupe jamais. Donc félicitations a eux et aux donneurs, aux hommes de l’ombre, aux équipes techniques et aux associations pour le travail de fond.

    L’épisode 3 de peacemaker. Évidemment. Ou j’ai écris sous le post en question.

    Bonne semaine boss, et a toutes et a tous.

    • C’est bien Conjuring? Les films d’horreur c’est vraiment pas ma tasse de thé. C’est comme beaucoup de films comiques, ça n’atteint pas son but sur moi. Je ne ressens jamais d’angoisse ou de frissons. Cette série de films a-t-elle d’autres qualités?

      • J’aime pas les films d’horreurs. Même j’aime plutôt bien ce qu’on a vu ces derniers temps côté auteur.
        Les Conjuring font quand même parti du haut du panier. Ne serait ce que le le casting.
        Mais comme je l’ai dit. Je leur préfère sinister.

        Sans parler des spin-off. Tu devrais essayer de regarder les deux premiers de ces deux licences. Tu verras bien si ça te plaît.

      • @Garyus : autant je n’ai jamais (enfin très très rarement) d’angoisse ou de frissons devant un film d’horreur, autant j’adore en regarder. De tout le ConjuringUniverse je te conseillerai uniquement les deux premiers Conjuring si tu veux tenter et parce que, à mon sens, ce sont les deux plus angoissants. (Je viens de lire le com de Benj’ qui va dans le même sens ^^)

        En film d’horreur très efficace (entre le malaise et le sursaut), je conseille Oddity que j’ai découvert il y a peu (me semble que j’en parlais dans le Bar de la semaine dernière) !

      • Je rejoins ce qui a été dit, les deux premiers Conjuring sont plutôt efficace.
        Tentes avec le premier, tu verras vite si ça marche sur toi.

        @Benj, j’ai également passé une bonne parti du week end devant le Zevent. C’était fou !

          • Après si tu veux une petite listes de films ‘horreur’, jpeux t’en conseiller quelques uns. J’ai ecumé tout ce qui pouvait se faire de la nouvelle vague un peu ‘arti’ et indé.

            Jpense pas que tout te fera frissonner. Mais après tout. Dans notre société actuelle et avec nos habitudes. Ya très peu de films qui arrivent a procurer des angoisses profondes. Mais au moins certains sont vraiment intéressants dans leur démarche.

      • Dans les films horrifique, on a plusieurs niveaux.
        Pour ma part, les slashers me lassent rapidement. A l’opposé j’apprécie ceux qui mélangent des genres ou sont plus dans une atmosphère lourde. Et CONJURING est dans cette catégorie.

        • @Benj’: En vrai, je suis pas du tout fan de films d’horreur car comme je le disais ça ne me faisait rien.
          Je kiffe juste les Vendredi 13 parce que c’est fun et parce que Jason 😅
          Les seuls films que j’apprécie dans le genre c’est ceux avec une atmosphère angoissante comme Darkkane, genre: Alien 1, Les Dents de la Mer, Duel ou L’Exorciste.
          Ca remonte quoi.
          Je trouve très rarement des films de ce niveau aujourd’hui.

          • Du coup écoutes. J’te fais une liste non exhaustive de films, tu en auras peut être vu certains. D’autres te paraîtront peut être nanardesque.
            Mais qui selon moi, sont de bons films. Bien fait. Avec une intention autre que faire sursauter les ados. Tu vois le genre.

            Hérédité, it follows, it comes at night, sinister (oui je l’ai déjà dit, mais c’est un bon film. Puis c’est le réalisateur de Dr strange aha), martyrs, mister babadook, eden lake (parce que clayface), mama, dans le noir.

            J’ai tout fait de mémoire. Yen a sûrement d’autres que j’ai oublié. Et j’ai pas fouillé dans mon tiroir de films coréen obscur. Dernièrement j’ai beaucoup apprécié la proposition de talk to me. Mais jsuis pas sûr que ça te plaise vraiment.

  2. La conjuration des milords – c’est sûr que les films horrifiques ont eu beaucoup de succès cet Été, par rapport aux blockbusters d’action habituels.

    Vu :

    — Suite des adaptations DC/Vertigo…

    – Fin de l’intégrale de « Sweet Tooth »…
    Une des plus belles réussites sous Netflix, analyses complètes des trois saisons sur les pages dédiées :

    lestoilesheroiques.fr/2021/05/le-bar-de-galactus-97-sweet-tooth.html

    lestoilesheroiques.fr/2023/04/le-bar-de-galactus-196-sweet-tooth-peter-pan-wendy-thomas-bergersen.html

    lestoilesheroiques.fr/2024/06/le-bar-de-galactus-254-bad-boys-ride-or-die-sweet-tooth.html

    – « DMZ »…
    Démolition Manhattan

    L’adaptation du comic-book de Brian Wood, variation sur les cités-prisons des films de John Carpenter dans une Amérique tellement interventionniste qu’elle a ramené la guerre chez elle, va essayer de retenir l’essentiel de l’œuvre originelle tout en s’attachant à un point de vue restreint. Comme une variation et une sorte de complément au comic, sans le personnage ronchon, faussement cool et poissard de Matthew Roth, subissant les évènements plutôt que les rapportant – ce qui est toujours rasoir quand il s’agit d’un journaliste, obligé d’être neutre ou bien alors de passer de l’autre côté de la barrière (et normalement, on n’en revient pas).
    Finis les looks caricaturaux et improbablement inamovibles (la dégaine de skateur au nez coupé de Roth), avec comme protagoniste principale un personnage en partie similaire à Zee Hernandez, ici nommée Alma Ortega, et à l’allure sobre – Rosario Dawson, élément perturbateur par excellence. Y compris Wilson, plus du tout un chinois perfide à moustache fine (Hoon Lee, plein de sang-froid)…

    Se concentrant sur l’intrigue électorale autour du populiste Parco Delgado (un Benjamin Bratt carnassier comme une panthère), le résultat ressemble à un film dramatique entre personnes matures, se passant dans une atmosphère faussement calme du simple fait que Manhattan n’est pas seulement devenue une Zone Démilitarisée, dans cette dystopie où l’île est maintenant un territoire convoité par deux Amériques en pleine guerre civile… c’est aussi un endroit sans policiers où tous les citoyens, majoritairement issus de la diversité et laissés à l’abandon, n’ont pas à craindre à n’importe quel moment une arrestation arbitraire et injuste. C’est le seul endroit libre en Amérique, mais par contre gare aux gangs, surtout si on s’éloigne de son quartier : c’est tout de même la loi du plus fort qui domine ouvertement ici, et c’est une mort rapide qu’on peut craindre avant tout… mais n’est-ce pas aussi le cas près et à l’extérieur des check-points ?

    C’est aussi comme une descente aux enfers pour Alma, en pleine quête Orphéesque pour retrouver son enfant, jadis perdu alors que des bombes allaient pleuvoir sur l’île. Quitte à se faire absorber elle-même par la DMZ – c’est même littéralement ce qui se passe, quand elle doit faire demi-tour sous des lumières rouges, se fait rebaptiser Zee, voit la mort de la seule médecin du coin et se voir obligatoirement destinée à la remplacer… tout en devant également s’impliquer dans une élection presque fantoche, seul moyen pour elle de se rapprocher d’un fils transformé un tueur impitoyable.
    Et en même temps, c’est l’histoire de gens qui se retrouvent à l’heure du bilan, alors qu’ils ont vieilli, qu’ils sont devenus ce qu’ils détestaient (Delgado), où bien comme ceux qui les méprisaient (Wilson), et où une mère et un père se disputent la garde de leur fils… pour finalement le pousser à faire preuve de libre-arbitre et prendre son indépendance.

    Tout ça en posant la question du rachat de l’un pour ses actions impardonnables (Freddy Miyares mêle allure intimidante avec sensibilité artistique et romantique)… Tandis que en aparté, un petit orphelin pas très stable mentalement fait les 400 coups dans les rues avec sa copine, et se place d’emblée comme un fils de substitution pour Zee (c’est même lui qui lui donne son surnom).
    Devra-t-elle choisir entre l’un des deux ? Existe-t-il une solution plus avantageuse ?
    Oui, au détriment de la tragédie, mais donc au bénéfice de l’espoir, de la solidarité et du changement dans la DMZ, ce qui était souvent le cas dans les comics.
    Dommage que ça soit raconté en seulement 4 épisodes, même d’une heure chacun (le premier par Ava DuVernay, tous les autres par Ernest R. Dickerson). Car si les deux premiers ne nous font pas lambiner, en entrant d’emblée dans le vif du sujet, les deux derniers se précipitent trop vers la conclusion. Il aurait fallu quelques opus intermédiaires pour raconter un peu plus la vie de la communauté, celle de l’hôpital avec Zee, explorer les coins de New-York transformés par la destruction etc… Ne subsistent justement que les apartés avec les enfants, dont une belle scène avec des œuvres d’art sauvegardées (tirée des comics).

    Un peu d’inspiration, pas beaucoup de respirations.
    _

    – « Je verrai toujours vos visages »…
    Noublions pas les paroles.

    En un certain sens on peut considérer le troisième film de Jeanne Herry comme un remake de son « Pupille », à la différence que l’un tournait autour de la naissance d’un enfant et de sa future mère… tandis que là il s’agit de l’interruption de plusieurs vies, par un traumatisme mais c’est presque comme si c’était une mort.
    Quoiqu’il en soit il sera toujours question de main tendue, d’accompagnement bienveillant par des professionnels et bénévoles, dans un dispositif verrouillé au maximum sous l’égide de la Justice Restaurative. Ce qui est est plus difficile à appréhender qu’avec des bébés tous fragiles, parce que ça fait ici appel à la notion de compassion, de dialogue, d’empathie et peut-être de pardon, là où pour les spectateurs on devrait plus aisément associer des délinquants à l’opprobre, la misère sociale, le danger ethnique et autres fautes d’un État trop laxiste.

    Et si on pensait autrement, que risquer ? La peur de faire face au déni des malfaiteurs ? Ça ne sera pas trop le cas dans le segment du film se passant dans un atelier, où un groupe strictement bien choisi entre victimes et condamnés, tous volontaires et ne se connaissant pas, vont se donner rendez-vous cinq fois dans l’année rien que pour discuter de ce qui leur est arrivé, de ce qu’ils ont fait, de là d’où ils viennent… et de comment le fait d’en parler entre eux peut les aider à guérir ou évoluer. Herry utilisant à nouveau des pointures de comédiens servis par des dialogues forts – mais qui coulent naturellement dans leur bouche. Presque une expérience théâtrale où on nous y raconte des films (de terreur), via la colère sourde de Leïla Bekhti, les yeux doux de Gilles Lellouche, une Miou-Miou à fleur de peau…

    Manque juste une part de frisson aventureux et de soif de pouvoir chez les prisonniers lorsque ceux-ci racontent tout de leur propre point de vue – le sang-froid de Dali Benssalah, la maladresse répétée de Birane Ba, la fragilité droopyesque de Fred Testot… Ainsi que la loufoquerie, les coups du sort et le suspense qu’il y avait dans « Pupille », mais ça ça vient de la nature même du dispositif, qui empêche tout débordement en étant préparé et checké bien à l’avance et hyper bien encadré par Suliane Brahim et Jean-Pierre Darroussin. À part l’absence momentanée de l’un des délinquants, tout se fait comme sur du papier à musique, tous les dérapages seront contrôlés. Cette absence de gros rebondissements étant le seul moyen de garantir la continuation de ce modèle de justice.
    Le seul gros Gros suspense se trouve plutôt dans le deuxième segment parallèle du film, mais parce que là il s’agit de la préparation d’un entretien formelle entre une victime et son propre bourreau, qui plus est d’inceste. Du très costaud, pour lequel les superviseurs Élodie Bouchez et Denis Podalydès marchent sur des œufs, où Adèle Exarchopoulos alterne entre explosions et résilience, et où Raphaël ne fait pas son Quenard (limite si on n’y critique pas sa tchatche inquiétante).

    Encore une fois on a comme dans « Pupille » des professionnels au travail, qui connaissent leur boulot et essaient de faire les bons choix, même si ici ils s’effacent plus derrière ceux qu’ils aident (on n’a qu’une petite poignée de scènes entre eux hors du dispositif).
    Et c’est toujours Bien quand un Système moderne arrive à marcher comme sur des roulettes, et permet même de créer des liens qu’on croirait miraculeux.
    Mais revenir vers l’Humanité, c’est peut-être un plus dur travail pour certains.
    _

    Lu:

    – Thor en mauvaise posture face à des vilains de Midgard qui l’ont déjà fait souffrir par le Passé…

    – Miles Morales avec Spider-Man et contre le Vautour et contre ses mauvais instincts…
    Spider-Boy trop rigolo dans un tournoi, ce qui confirme que Daredevil est irresponsable avec les enfants…
    Spider-Man se fait piéger par Fatalis…

    – Les Vengeurs se font troller par Fatalis…

    – Les X-Men sont simultanément tous en mauvaise posture…

    – Moon Knight tâte la température chez les criminels…

    – Deadpool peut être fier de sa fille…

    – Wolverine : Vengeance…
    Eh ben Jonathan Hickman ne s’est pas foulé du tout, à croire qu’il a tout fait par ChatGPT – mélangeant des arcs narratifs comme Colossus chez les Acolytes, Wolverine en Enfer, Old Man Logan, ainsi que des extraits des films solo du mutants.
    Tout ça se limitant à Wolverine allant tuer un par un des salauds qui ont pété le monde, y compris des héros qui sont censés être plus forts que ça. Et raconter ensuite que la vengeance se nourrit d’elle-même ? Ou plutôt que Logan est plus fort que le diable.
    Bref, on est à mille lieues de l’Ère Krakoa, et Greg Capullo revient chez Marvel pour pas dessiner grand chose d’intelligent.

  3. Je me suis fait (presque) toute la saga Alien cette semaine. C’est très intéressant de voir à quel point cette saga traverse les décennies avec leurs travers et leurs qualités et comment ces réalisateurs de renom ont imposé une patte qu’on retrouvera dans leurs films suivants.

    – Alien le 8e passager: Le meilleur évidemment, son ambiance oppressante unique, ses thématiques qui ont influencé tellement d’œuvres du cinéma, des séries et du jeu vidéo.

    – Aliens: Mon préféré. La bagarre. Une Ripley exceptionnelle. Un Cameron qui nous fait du Terminator avec une héroïne badass qui sauve le monde face à un monstre increvable, épaulée par un Michael Biehn et dans un décor rappelant fortement le futur de Terminator. J’ai adoré la relation Ripley/Newt/Hicks.

    – Alien³: Celui que j’aime le moins. Malgré une ambiance poisseuse à la Fincher (on se croirait presque dans Seven) et une Ripley encore plus iconique, certains moments ne passent pas: Newt et Hicks à la poubelle dès le début du film, Ripley qui fait n’importe quoi (se pavaner seule face à des délinquants sexuels hyper dangereux, la scène d’amour entre elle et le médecin) et les effets spéciaux numériques qui ont plus que mal vieilli (cet Alien ridicule).
    Mention spéciale au doublage français qui te colle des voix différentes pour les scènes supplémentaires. Ca fait bien sortir du film.

    – Alien 4 La Resurrection: Un bon moment malgré que Ripley ne soit plus Ripley (Sigourney Weaver quel charisme!) gâché par une fin avec un Xeno-humain ridicule (mais touchant bizarrement).

    – Prometheus: Je m’étais tellement fait chier au ciné que je n’ai pas osé m’infliger ça une seconde fois pour dix secondes d’un truc qui ressemble à un Xeno à la fin.

    – Alien Covenant: Un très beau film dont j’ai apprécié la première heure mais après… je ne suis pas du tout convaincu par l’explication des origines du Xeno ni par le besoin de tout expliquer, de tout démystifier d’ailleurs, un produit de son époque. J’en garde comme souvenirs de très beaux plans et un Fassbender toujours aussi génial.

    – Alien Romulus: Clairement le plus beau visuellement, j’ai pris une gifle forcément accrue par le visionnage des épisodes précédents plus ou moins datés tehcniquement.
    Par contre, je n’ai ressenti aucune angoisse, aucun frisson. Je n’ai pas aimé cette manie du copier/coller de scènes ou de phrases issues des précédents opus. Aaah le Fan-Service, ce produit lui aussi de son époque.
    Je n’ai pas accroché au casting de post-ados. C’est quoi ce film Destination Finale vs Alien?
    L’héroïne principale qui dézingue une bonne douzaine de xénomorphes toute seule avec un pétard plus avancé que ceux des Marines qui galèrent vingt ans plus tard? Elle n’a jamais mis les pieds dans l’espace mais gère les caissons d’hypersommeil ou la navigation du vaisseau spatial. Bref la Marie Sue version Alien…quand je dis chaque film porte son époque.
    Ah et comme pour le 4, on a droit à un Xeno-humain tout moche🤦‍♂️

    Bon du coup, je pense qu’il faudra se tourner vers le jeu video pour replonger dans cet univers et trouver de la qualité. J’ai commencé Aliens Dark Descent, jeu de stratégie qui oppose des Marines aux Xenos comme dans le 2 puis je passerais à Alien Isolation, jeu d’horreur (et canon?) avec la fille de Ripley à la recherche de sa mère.

    Sinon j’ai vu Red Sonja (2025). A part la scène dans l’arène proposée ici même, il n’y a pas grand chose à tirer de ce film. Matilda Lutz s’en sort bien et c’est tout. Les autres acteurs sont à chier, l’écriture est à chier. Un direct to dvd oubliable et oublié.

    Maintenant que j’ai fini la saga Alien, je vais me mettre à la saga Resident Evil qui est excellente. En jeu video bien sur pas ces nanars absolus que sont les films de Paul W. S. Anderson 🤣

    • Pour les films Alien, tu as regardé les versions cinéma ou les cuts qui diffèrent assez je trouve pour les films 2, 3 et 4 ?

      J’ai juste revu Romulus récemment que j’aime vraiment beaucoup, entre le film hommage et le film somme de toute la franchise, malgré ses défauts (dont ceux que tu soulèves). Je ne suis toujours pas convaincu par la série Alien – Earth en revanche, à voir une fois les trois derniers épisodes diffusés.

      Le jeu vidéo Alien – Isolation est considéré canon par les fans et aucun élément du jeu ne vient créer d’incohérences avec les films ; néanmoins il n’a jamais été officiellement annoncé comme canon (ou comme non canon)… Vu son succès à l’époque et a posteriori (un second opus a été annoncé il me semble ?), il y a tout intérêt à le considérer comme canon par les architectes de la franchise ^^

      • J’ai vu les « cuts », ça apporte pas mal de scènes intéressantes mais… j’aurais du les regarder en VO si je n’avais pas été autant attaché à la VF de Sigourney Weaver.
        Pour Romulus, copier/collé ou hommage, tout dépend comment on regarde le verre.
        Pour ma part, ça ne m’a pas gâché totalement l’expérience car sur la forme, ce film tabasse.
        C’est juste qu’en voyant tous les films de la saga d’affilée, ces scènes hommage/copiées sautent littéralement aux yeux comme un facehugger sur la gueule d’un personnage chair à canon.

        • Moi j’ai encore énormément d’affection pour le 3. Difficile de choisir entre celui de Cameron et de fincher pour établir mon préféré.
          Après j’adore véritablement ces 4 films. Et j’apprécie énormément le fait qu’ils aient été fait par 4 réalisateurs différents.

          Pour le reste des spin off/suites/prequel et j’en passe. C’est de la daube complet.

          • @Benj’: Je plusssoie sur l’usage de réalisateurs différents (et quels réalisateurs!). Chacun apporte sa patte, son univers, sa colorimétrie. Ca devrait être montré dans les écoles de cinéma.
            On a bouffé tellement de blockbusters fades ces dernières années que ça remonte le moral de voir autant de talent.
            Et j’ai adoré la quadrilogie aussi pour Ripley. Quelle héroïne badass! Elle en impose, elle galère mais elle triomphe. Ca tranche avec toutes les Marie Sue de ces dernières années également.

    • Je pardonnerai jamais le 3 d’avoir envoyé boulet le 2 (tout ça pour ça).

      Je ne trouve pas les créatures finales de Résurrection et Romulus ridicules. Au contraire, je vois ça dans la rue, je fuis à toute vitesse. La part d’humanité du Xéno-Ripley (j’ignore son nom) est interessante en lui donnant des yeux et des « émotions mère-enfant» qui donnent un peu de peine lors de son élimination. Le Xéno-Ingénieur, lui est malaisant.

      • @Pirail
        As tu regardé le documentaire autour de la pré production ? Ca donne de nombreuses explications sur les raisons de cette vraie fausse suite

        • @Darkkane, tu parles du 3 ? J’ai vu un reportage bien des années après où effectivement c’était chaotique. Le scénario sans fin et ré-écrit chaque jour PENDANT le tournage. Délai hyper-court, etc…

          Le réalisateur lui-même renie le film.

      • Au moins avec Fincher c’était un choix dramatique cohérent avec la noirceur de la Saga, là où Cameron tombait trop dans le beauf cucul la praline.
        Et le Alvarez, dans l’imitation artificielle – https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Alien-change-de-realisateur-Fede-Alvarez-passe-le-flambeau

        • @Pirail: Effectivement, même si j’ai tiqué sur le Xeno-humain, j’ai ressenti la même chose que toi à cause de son regard. J’ai eu pitié de lui au final.

      • @ayorsaint: J’avais fait à leur date de sortie les épisodes 1 (plusieurs fois), 2, Code Veronica, 4, 5 et une partie du 6. C’est une licence que j’adore et j’ai récupéré le bundle des remakes du 2, 3 et 4 en promo la semaine dernière. Je viens de finir le 2 et franchement je kiffe.
        Je ressortirais le 5 que j’adore sur PS3. Une honte qu’il ne soit pas refait mais on sait pourquoi .
        Dommage que cette licence n’ait eu droit qu’à des adaptations de qualité médiocre en films et séries. Le potentiel est là pourtant.

        • Pour l’instant les épisodes qu’ils ont remaké, date de la période PS1/PS2.
          Peut être qu’après ils feront les épisodes 5 et 6 de l’époque PS3.

        • Moi aussi grand fan de RE! Au vu de la fin du remake du 4 et sans entrer dans les détails pour éviter le spoil, le 5 arrivera aussi en remake! Mais les prochains sont Resident Evil Requiem en fevrier. Puis il y aura un remake du code veronica en 2027 puis du 0 en 2028. Tout ca pour réintroduire Albert Wesker qui devient le principal antagoniste dans le 5, si tu vois ou je veux en venir 😀 . La source c’est DuskGolem qui est hyper bien placé pour tout ce qui est Resident Evil. Si vous êtes fan de RE, suivez aussi Biohazard Ultimate sur Facebook, il est en relation avec DuskGolem et a plein d’infos pratiquement tout le temps bonnes!

        • Le remake du 2 est vraiment excellent une pure pépite et une redécouverte j’ai adoré
          Pour le 4 ça ressemble plus au jeu d’origine mais il est tellement exceptionnel que le refaire aussi beau j’ai.kiffe

  4. Je me suis refait les 3 Conjuring sur ces deux dernières semaines histoire de me rafraichir la mémoire avant d’aller voir le dernier, et j’ai regardé pour la première fois « La Nonne » « Annabelle 1 et 2 ».
    J’aime bien les Conjuring, par contre pour les 3 spin off cités, c’était pas fou fou.

      • Oui Conjuring 3 c’est vachement moins bien. J’espère que le nouveau est plus proche des deux premiers.

        Hier soir j’ai regardé Annabelle 3, et si c’était pareil pas fou fou, j’ai plutôt apprécié. Les jump scare ont plutôt bien fonctionné sur moi. Je pense que c’est celui que j’ai préféré des 3 mais ça reste moyen quand même.
        Le 1 j’ai bien aimé le couple que l’on suit, je les ai trouvé attachant, mais le film ne m’a pas fait peur une seule seconde.
        Le 2 réussi un peu mieux à distiller la peur (bien que très très loin des deux premiers Conjuring), mais par contre les perso ne m’ont pas intéressé.

  5. Godzilla x Kong New Empire : je mentirais en disant que j’ai pas aimé. Ça se regarde, en laissant le cerveau de côté. Les scènes de baston sont bien dynamiques.

    Je sais que Godzilla est le protecteur de l’humanité contre les titans, mais bon sang… les dommages collatérals qu’il crée. Un moment donné ou un autre les gens finiront par dire « stop ».

    Quelqu’un a compris comment la p’tite fait pour réssuciter (spoiler) ?

    • Non c’est Kong le protecteur de l’Humanité (et maintenant d’un peuple primate, comme lui), tandis que Godzilla est plus le maître des Titans et surtout protecteur de la Nature, souvent malmenée par l’humain… c’est pourquoi il n’apprécie pas toujours Kong.
      Mais les humains sont habitués à se mettre vite à couvert maintenant, ils ont plein d’abris adaptés aux monstres.
      Et Jia est devenue la grande prêtresse de son peuple, elle représente les derniers survivants de l’île du Crâne, alors bon ça a son importance pour permettre la résurrection de (Spoiler)…

  6. A la base godzilla n’est pas le protecteur de l’humanité mais une punition pour leur utilisation du nucléaire, si tu ne l’as jamais vu je te conseille godzilla minus one , en ce qui me concerne godzillaxkong quelques scènes sont sympas mais c’est con comme un manche à balai et j’ai de mon côté beaucoup de mal avec le fait de « poser son cerveau » devant un film

  7. @LTH

    Variety rapporte aujourd’hui que le film Superman qui comptabilise presque 615 millions de $ au box office a engendré un bénéfice net de 125 millions de $ pour sa sortie au cinéma.

    Ça te paraît plausible ?

    • Bof, c’est difficile à concilier avec les chiffres avancés par Variety ou Deadline pour d’autres productions super-héroïques. De toute façon, on en saura jamais rien. C’est là qu’on entre dans les calculs d’apothicaire des studios et ils sont capables de tout (cf. le cas fameux d’Harry Potter et l’Ordre du Phénix qui a officiellement perdu 167m$, exemple le plus connu de la comptabilité créative hollywoodienne).

      https://www.reddit.com/r/boxoffice/comments/1nbrwvj/how_is_it_possible_for_superman_to_make_125m_in/
      https://en.wikipedia.org/wiki/Hollywood_accounting

    • @Chanelet
      Le plus important pour la Warner avec SUPERMAN était de rivaliser avec le MCU et refaire parler de DC positivement.
      Le bilan me semble largement positif
      En plus, au dela de la sortie en salle, il ne faut pas oublier la seconde vie en digital et bluray + le merchandising autour. Dans mes posts autour du film, je ne cesse de répéter que le partenariat avec FORTNITE a du rapporter gros. Si quelqu’un a des chiffres…

      • pour Fornite c’est de la promo, ça rapporte en visibilité, et ça rapporte plus à fornite.
        et puis ça ne rentre pas dans les caisses du film, pour marvel par exemple ce qui a rapporté c’est l’event Galactus, mais les personnages c’est pratiquement de l’échange.
        au passage superman dans deux ans passe dans le domaine public.

        • « au passage superman dans deux ans passe dans le domaine public »

          C’est réelle ça ? ça veut dire que dans deux ans n’importe qui pourra faire un film Superman sans l’accords de Warner ou DC ? Comme on a eu avec les films d’horreur Winnie L’Ourson ?

          • Je crois pas pour l’adaptation de comics books. Mais par contre. L’utilisation du nom, et du personnage. C’est certains.

          • Oui, voilà, seulement avec sa première version de 1933, celui qui ne pouvait que sauter de building en building mais pas encore voler.

          • le personnage est (comme Conan ou Zorro) verrouillé sur tout un tas de points d’exploitation. Il sera très ardu d’en disposer librement en 2034, et il faudra, pour beaucoup, se méfier de bien des procès.

        • 2034 l’entrée de Superman dans le domaine publique. On est plus proche de dix ans que de deux. ^^

          Je lis par-ci par-là que DC Comics aurait « sécurisé » l’appellation « Man of Steel » ainsi que le « S » du logo de Sup’. A priori ils essaient de limiter autant que possible ce qui pourra être fait avec le personnage sans leur accord.

          • Ok, j’ai du mal à imaginer un monde où n’importe qui pourra faire une oeuvre avec ce personnage sans l’accords de DC. Quand ça va arriver, ça va faire bizarre ^^

          • ha oui merci je viens voir que j’ai mélanger les dates avec les ayant droits des auteurs, après mark prépare bien son superman du domaine public

  8. Aucun adepte concernant le documentaire/film sur Elvis ? La première a eu lieu récemment à Toronto. J’attend avec impatience une possible sorti ciné France ou bien en location on verra bien. Ça promet

  9. MERCREDI s2 (Netflix)

    Baisse générale de qualite entre la S1 et la S2.
    La fraîcheur a disparu et on sent dans cette saison des marqueurs obligatoires
    Pire encore, la serie tombe dans l’explicative a outrance autour des Addams.
    Apres cest surtout que la saison est en mode montagne russe a chaque épisode et ca en devient lassant : un nombre d’épisode trop important semble limite finir la saison avant un retournement de situation tiedasse.
    Est ce a regarder ? Je répond quand meme par la positive notamment lors d’un moment important entre Mercredi et Enid (excellent travail d’actrices au passage)
    Reste qu’il faudra redresser la barre pour la S3 pour redynamiser la série. Le « teasing » de fin s’y apparente mais aux décideurs de savoir prendre les bons risques.

  10. Pour ma part j’ai bien aimé cette saison 2, l’ajout de nouveau perso et l’évolution des anciens est le plus de la saison. Pour ce qui est de l’explicative a outrance des Addams, ceci ne me dérange pas (je suis même partant) ,même si je peut comprendre que ça « démystifie » la famille. Le final promet une très bonne saison 3 a mon avis.

    Seul point discutable c’est la séparation en 2 parties de la saison 2, pas sur que ce soit pertinent de le faire, hormis forcer les abonnements sur 2 mois

    • D’accords avec l’avis sur les 2 parties, ça casse le rythme… Vraiment chiant Netflix pour ça…

      Sinon j’ai préféré la saison 2. Même si j’adore la saison 1, le triangle amoureux m’avait un peu soulé, surtout à cause du personnage de Xavier que je trouvais vraiment pas intéressant. J’étais content de pas le revoir en saison 2.

  11. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Jonathan-Cohen-va-bien-realiser-le-prochain-Asterix-au-cinema

    Mais pourquoi..??!!
    _

    https://www.comicsblog.fr/50828-Teen_Titans_GO__lacteur_Greg_Cipes_annonce_avoir_eetee_viree_de_la_seerie_suite_e_son_parkinson

    Faut vraiment être une machine pour faire ça…

  12. Il y a une nouvelle saison de Dexter qui est sortie vendredi dernier. Je l’ai regardé en 2 jours, pas mal mais sans plus. Les acteurs sont globalement bons sauf le gamin qui joue Harrison avec sa mono expression de chien battu.
    Le scénario est moyen comme d’hab avec qqs grosses pirouettes scenaristiques.
    Le cadre de New York est malheureusement trop peu exploité à part ressortir des images de drone de Central park.
    Peu de scènes d’actions car Hall a bien vieilli et s’est difficilement remis de son cancer.
    La fin semble rushee certains npc disparaissent purement et simplement (hello à la cute Latina girl) mais ça permet un meilleur rythme.
    On a également un peu perdu le côté sexy de Dexter, je crois que c’est la seule saison où il n’a pas de love interest.
    Bref moins bien que les 4 premières saisons mais mieux que l’abject original sin et l’affligeant new blood.
    Bref c’est mieux

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