Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
2025, l’année où une adaptation de manga a éclipsé toutes les adaptations de comics au box office mondial ? Après le démarrage historique de Demon Slayer : Kimetsu no Yaiba – La Forteresse Infinie aux Etats-Unis (70 millions), c’est une quasi certitude ! Cumulant déjà 469 millions de dollars dans le monde (Superman : 615.1 millions), l’adaptation du manga culte de Koyoharu Gotouge débarquera donc mercredi dans les salles françaises. Peut-être avez-vous déjà participé à l’une des avant-premières organisées dimanche ? Sur le petit écran, Starz offrira vendredi une cinquième série à l’Univers Télévisuel Spartacus avec Spartacus : House of Ashur. Et le même jour, Disney+ repoussera les limites du délire avec LEGO Star Wars : Reconstruire la galaxie – Les pièces du passé (ft. Jaxxon T. Tumperakki). Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu ces derniers jours ? A vos claviers et belle semaine à tous !
Tanjiro Kamado : un jeune garçon qui, suite à la transformation de sa petite sœur Nezuko en démon, a décidé de rejoindre une organisation spécialisée dans la chasse aux créatures démoniaques appelée l’Armée des pourfendeurs de démons. Devenant de plus en plus fort et proche des autres membres de l’Armée, Tanjiro affronte de nombreux démons en compagnie de ses camarades, Zenitsu Agatsuma et Inosuke Hashibira. Ses aventures l’ont amené à combattre aux côtés des combattants les plus hauts gradés de l’Armée des pourfendeurs de démons, les Piliers, tels que le Pilier de la Flamme, Kyojuro Rengoku, dans le Train de l’infini, le Pilier du Son, Tengen Uzui, dans le quartier des plaisirs, ainsi que le Pilier de la Brume, Muichiro Tokito, et le Pilier de l’Amour, Mitsuri Kanroji, dans le village des forgerons. Alors que l’Armée des pourfendeurs de démons et les Piliers s’exerçaient lors d’une session d’entraînement en prévision du futur affrontement contre les démons, Muzan Kibutsuji fait son apparition au manoir Ubuyashiki. Le responsable de l’armée étant en danger, Tanjiro et les Piliers se ruent vers le quartier général, mais tombent dans le piège tendu par Muzan Kibutsuji et se retrouvent coincés dans les profondeurs d’un espace mystérieux. Tanjiro et le reste de l’Armée des pourfendeurs de démons ont été téléportés dans la base des démons : la Forteresse infinie. C’est là que s’embrasera l’ultime combat entre l’Armée des pourfendeurs de démons et les forces démoniaques.
Je remonte le dernier post effectué aujourd’hui sur l’ancien Bar
MARRAINE OU PRESQUE (Disney )
Demande légère de ma compagne, MARRAINE OU PRESQUE est l’archétype du film familial Disney mais fonctionne grâce a un bon casting. Du moins au début !
En effet, le film semble avoir été pris par la vague wokiste en pleine écriture.
En résulte une fin limite gerbante où l’amour véritable est celui des liens mais, sûrement, pas celui entre un homme et une femme !
Pourtant les 3/4 du film semblait raconter l’histoire d’une femme veuve qui ne voit pas les sentiments de son collègue séparé. Et les deux sont des parents.
En clair ? La base etait simplissiste et vu mais pas mauvaise en soi pour un bon moment. Sauf que la fin gâche le petit plaisir.
Vraiment dommageable. Et pourtant je ne suis pas un anti-wokiste dur de base.
Ptite pensée à Emmanuel karsen..🙏
Slaytacus Wars !
Vu et revu :
– Fin de l’intégrale « Mad Men »…
– Saison 1…
Imaginez un générique à la Saul Bass, où une silhouette d’homme sans visage tombe indéfiniment autour d’immeubles et de publicité vantant l’American way of life. Puis il se retrouve assis, dans une pose terriblement décontractée… était-ce un cauchemar ? Hitchcockien à mort, il n’y a qu’à voir le look de Betty Draper dans la série.
Une agence de pub dans les années 60, nous vendant du Rêve Américain alors que cette décennie ne va être composée que de Montagnes russes, de moments d’espoir qui seront anéantis quand ils ne seront pas un écran de fumée – quand on s’occupe des cigarettes Lucky Strike (si l’agence Sterling Cooper est fictive, il y aura beaucoup de vraies marques là-dedans) pile quand les études médicales ont prouvé que c’était cancérigène, et qu’on a alors comme idée de se concentrer sur la qualité du papier, des champs de tabac, peu importe tant que les gens continuent à acheter…
Parti-pris de la série : que des entretiens entre ceux qui (se) vendent et leurs clients/employeurs, entrecoupés de séances de brainstorming. Mais jamais on ne verra le tournage de ces pubs, ni même de retour auprès des spectateurs. Que du virtuel. Du Rien.
Des hommes et femmes au « travail », émules des « Soprano », dont venait le créateur Matthew Weiner. Soit la chronique ordinaire d’une « famille », son chef/Don/mâle-alpha à la psyché trouble… ses hommes pas très malins, machos, envieux, puériles jusqu’au comique (chacun son style, que ce soit le côté pourri gâté de Pete Campbell, l’insolite Bert Cooper et le classe et fainéant Roger Sterling trônant au centre de ces joyeux drilles)… ses femmes en quête d’indépendance et de pouvoir (la petite souris Peggy Olson et l’impressionnante Joan Harris), ou bien figées dans des postures (femme au foyer ou séductrices – Betty et toutes les autres)…
Et donc un peu de « Desperate Housewives » (on y retrouve d’ailleurs certains acteurs), son Amérique normée, bien lisse bien que gangrenée de l’intérieur, mais sans les nombreux rebondissements grotesques (à part une mini intrigue avec une fat suit, ici ça sera des histoires d’imposture qui sont très périphériques, pas du tout un enjeu).
Sans compter un tas de références cinématographiques (et « Ma sorcière bien aimée »), c’est comme du Douglas Sirk mais sans romantisme, et avec la même exigence formelle colossale, d’une classe folle, à la reconstitution hyper précise, même dans les défauts qui font mine de rien Rétro (vilains écrans verts qui ressemblent surtout aux rétroprojections d’antan). Jusqu’à la VF, extrêmement posée.
Et entre deux standards de l’époque (ou non, la série ne rechignant pas à être anachronique), une musique splendide de David Carbonara, donnant l’air d’un soap opera en bien plus tragique.
C’est beau, solide, souvent drôle et en même temps ça traine une impression incroyablement morbide… Toute cette rétention !
« Mad Men » ça sera exactement ça pendant 8 ans, sans trop changer mais en restant toujours passionnant, stimulant, envoûtant. Symbolisée par le Don Draper de Jon Hamm, homme érectile (charmant tout le monde, l’adultère étant rarement punie ici), carrure de super-héros, bouche pincée à la De Niro, vrai-faux criminel (la scène à suspense du tiroir), rêveur angoissé, amoureux déçu. L’incarnation de l’expression « tempête sous le crâne », et des envies furieuses d’évasions, de liberté. L’homme qui a tout ce qu’il veut, et se sent pourtant si vide, si honteux.
La chute, et ses rebonds, prendra son temps pour se faire…
– Saison 2…
On a beau avoir entamé l’ère Kennedy avec toutes ses promesses progressistes (et toutes les hypocrisies de ceux qui prennent le train en marche), l’effondrement commence à prendre forme, et les avions et les stars en sont l’un des premiers signes…
D’un côté un deuil inattendu pour Pete Campbell un des personnages les plus tête à claque (une vraie tronche de smiley), premier signe de complexité pour lui – Harry Crane lui commence sa longue montée en puissance d’imbécile parvenu…
De l’autre Marilyn Monroe, marqueur premier marqueur temporel majeur, première idole déchue dans une saison où un acteur comique sera un des pires éléments perturbateurs du couple Draper.
Et après une des plus longues escapades de Don (l’Ouest, terre promise), faisant un virage inattendu vers un des rares tendre épisode de son Passé, on se dirige ensuite vers ce qui aurait pu être une bonne conclusion apocalyptique à la série via la crise des missiles de Cuba. Il aurait suffit de tordre l’Histoire (après tout, la chanson Temptation Is Hard to Fight date de 1996), mais « Mad Men » est très loin d’avoir dit son dernier mot…
Pour une poignée de personnages satisfaits dans leur vie, d’autre n’ont pas fini de déprimer en silence et dans les ombres.
Desperate Working People.
– Saison 3…
Puisqu’on sait qu’on est en 1963, on a déjà un compte à rebours qui s’est enclenché dans notre cerveau. Celui qui mènera à l’assassinat de vous-savez-qui, et de la fin officielle de l’âge de l’innocence.
En conséquence, la série n’a pas besoin d’en rajouter dans la noirceur et semble même aller dans une direction opposée, avec des évènements professionnels et intimes plutôt amusants… Illusion encore.
Et alors que l’agence perd une part de son indépendance à cause de propriétaires anglais, et que les personnages se trouvent dans des situations angoissantes ou pathétiques, l’un d’entre eux représentera une opportunité gâchée (pauvre Salvatore, l’homosexualité ne sera pas un grand sujet de discussion dans « Mad Men »). Et Betty « la méchante » (malgré une confession déchirante de la part de Don) en aura marre de passer pour une poire, quitte à aller se réfugier dans les bras d’un sosie de Michael Rennie avec la VF de Ned Flanders.
Enfin le choc de Dallas (et tout ce qui s’ensuit), nouvelle apocalypse de fin de saison, triomphe aussi de la télévision comme vecteur rassembleur – épisode mené de main de maître par Barbet Schroeder, qui a pu s’autoriser quelques effets de mise en scène jusque là ouvertement rares dans la série (il y a bien quelques épisodes conceptuels de temps en temps).
Mais le dernier soubresaut de la saison sera un inattendu acte de piraterie, mené par un noyau dur de personnages anciens et nouveaux (dont celui de Jared Harris, Lane Pryce), qui brisera toute la dynamique de la série pour mieux la reconstruire autrement. Séquence très cool, qui génère même de la sympathie envers les plus idiots…
Mais non dénué d’une touche finale de mélancolie – une famille de substitution pour Don Draper ? Pas quand on déménage dans un quartier assez triste.
– Saison 4…
La nouvelle agence, au titre à rallonge, semble être en plein boum, et Don Draper est poussé vers la lumière à son corps défendant. Normal puisque c’est un « Martin Guerre », la question de son identité pouvant être problématique. Pas toujours heureux, et en ne sachant même plus « boire comme un homme », le célibat ne lui sied guère pour l’instant.
Heureusement qu’il a Peggy comme confidente, sa Judy Garland – génial épisode nocturne où ils se parlent à cœur ouvert, tout en se marrant de la nouvelle lubie de Roger (avec Miss Blankenship, la série va se permettre plus de scènes comiques).
Néanmoins tout ce beau monde subira encore des désillusions, la petite Sally Draper aussi, Kiernan Shipka étant la seule enfant à ne pas être recastée, on aura donc régulièrement le point de vue de la jeunesse (les Beatles arrivent mais, disciple de David Chase oblige, Matthew Weiner fera passer d’abord les Rolling Stones).
Don Draper surtout, toujours incapable de fréquenter des femmes sans faire une distinction entre amitié, séduction et aisance au foyer. Ce qui se fera au bénéfice du personnage de Megan, pièce rapportée tardive, seule apparemment à remplir les « bons » critères.
Alors que l’agence commence à se planter sévère, de petits espoirs permettent de tenir le coup – ou bien de s’enfoncer dans le déni.
– Saison 5…
Marié et fidèle, Don oublie sa dépression et est devenu Mr Propre, l’Histoire des droits civiques se joue encore plus près des fenêtres de l’agence (ou d’une autre, fait réel), la libération sexuelle qui commence à peine et fait ricaner les bourrins (ce qui donnera un dialogue de sourds gaguesque entre le piquant Roger Sterling et le lourdingue Harry Crane), Megan se révèle être un personnage bien écrit contre toute attente (mais attention au français de ses parents), ce sont les fat suits, le Vietnam et des crimes traumatisants dans les rues, Pete qui s’obstine à se prendre pour Don, le LSD (mais depuis sa crise cardiaque, tout glisse sur Roger), Crane qui fera la seule bonne action de sa vie, la course aux clients automobiles…
Et les auteurs qui se rendent compte enfin qu’ils ne savent pas quoi faire de Lane Pryce (encore plus dur à garder que Betty). À moins de l’utiliser pour être le symbole de ces hommes essayant tant qu’ils peuvent de se réinventer, ce qui ne va finalement pas se finir très bien, pathétiquement – et même tragiquement, ce qui est tellement inhabituel dans cette série.
Tandis que les femmes stagnent malgré elles, jusqu’à ce que…
Belle conclusion sur une chanson de James Bond, légèrement anachronique, le supposé dernier de Connery, même si ça aurait peut-être été plus pertinent post Lazenby. Mais surtout ça aurait pu être une fin parfaite à la série, brillante dans sa composition (le passage d’un plateau de tournage aux ombres, puis à un bar… le défilé de personnages… le regard figé du seul Don), à la fois ultra classe et très mélancolique.
– Saison 6…
L’entrée dans une ère plus psychédélique pousse-t-elle la série à « jump the shark » ?
Parce qu’on a de plus en plus d’épisodes qui alternent la noirceur avec le délire surréaliste, surtout avec des épisodes sans contexte (le camp de vacances), ces changements de looks, certains ayant lieu en pleine saison (l’amaigrissement express de Betty… après avoir lancé une intrigue qui n’aboutira jamais).
On frise le soap opéra naïf avec des amourettes cachées impossibles, et l’incongruité avec Bob Benson le vrai-faux gay, le Draper bis…
Et puis ce Don sombre, engagé dans une relation malsaine et punitive à l’issue terrible… En plus de jouer avec le feu à l’agence, prendre des décisions impulsives et supposément bénéfique (une fusion, mais avec un adversaire), qui retomberont sur une Peggy qui avait pourtant réussi son affranchissement.
Bref le monde ne va pas bien (Luther King, Bob Kennedy), tous sont malheureux, et ça va finir en hara-kiri professionnel, le genre d’idée inattendue à la Don Draper.
Pour mieux se reconnecter avec lui-même, et Sally en particulier.
– Saison 7…
Première partie – drôle d’idée, ça nous donne une saison/année étalée de 2014 à 2015.
Régression pour nos deux héros principaux (le Don qui descend, la Peggy qui monte), pas pour tout le monde (Joan, Dawn – et Shirley). L’envie de tout envoyer paître est là, mais Don nous sort une nouveau coup de théâtre de son chapeau : s’écraser en toute humilité.
Plus facile à dire qu’à faire, le naturel revient vite au galop, et d’ailleurs les mensonges n’ont jamais cessé, on croirait Jean-Claude Romand. Pire quand il redébarque, entre gênances et impression de fantôme errant.
Mais c’est moins le Surnaturel qui va faire péter un ou deux plombs dans l’agence que la Technologie (pas la première fois cela dit), avec l’installation d’un ordinateur, propice à un pastiche du récent « 2001… » de Kubrick. Et une anticipation pas très subtile du remplacement de l’humain par la machine – dommage pour Ginsberg, l’identité juive sera un autre thème à peine effleuré, avec la question noire et gay (on en sera quitte pour une poignée de bons dialogues).
Fin du mariage avec Megan, mais triomphe de Peggy, sauvetage a priori avantageux, et heureux alunissage, phrase choc et grand sourire de Bert Cooper. Ainsi qu’un joli hommage final en chaussettes à la carrière musicale de Robert Morse… en fait une prise de conscience, douloureuse quand vient le réveil.
Deuxième partie…
Encore un petit choc alors que des acteurs se sont fait pousser des bacchantes, ou bien que la VF soit devenue encore plus véloce qu’avant.
Un étiolement se met progressivement en place pour Don : mariage, un peu l’argent, meubles, appartement, statut (c’est à dire duplicable sans peine), voiture, vêtements etc… Et pour l’agence, qui paie les conséquences de son absorption par l’agence McCann Erickson, et manque de réussir un coup de poker similaire à celui de la fin de la saison 3, laissant gagner la corruption, l’appât du gain, la lassitude, au détriment des femmes (ironiquement, c’est Jared Harris lui-même qui réalise cet épisode).
Pendant que des revenants passent une tête à chaque épisode – tous lié(e)s à Don, à part l’inénarrable Glen qui boucle la boucle de sa relation spéciale avec Betty. Laquelle subira une injustice (la faute indirecte au travail de Don avec Lucky Strike ?), qu’elle affrontera avec sa dignité coutumière… il n’empêche, était-ce utile de faire de Don une espèce de « veuf noir », fatal pour toutes ses femmes ? Et de rajouter une séquence avec elle alors que sa sortie dans l’avant-dernier épisode était parfaite ?
La conclusion se fera dans une flopée de scènes au téléphone, et certaines qui sont téléphonées (Peggy et Stan, qui nous offrent le plus grand instant romantique de toute la série), les autres plus surprenantes (les choix de Pete, Joan et Roger, le lâcher-prise ultime de Don).
Indulgente et tendre, la série le droit au bonheur à tous, moins à la famille Draper qui termine dans une légère forme d’ambiguïté : Sally et son frère Bobby semblant condamnés à prendre la suite de leurs parents (espérons que ça ne dure pas.
Et un Don dépouillé, affichant un sourire de Joconde. Alors qu’un vrai spot de pub de la vraie agence McCann Erickson lui passe par la tête (Coca-Cola qui se réapproprie la mode Hippie, un total contresens), faut-il prendre son « à bientôt » à Peggy comme le signe d’un retour en force ?
Ou bien c’est la Réalité qui reprend le dessus sur la Fiction, et il s’agit juste d’une vision ironique de l’avenir par un homme qui en a trop vu pour refaire les mêmes erreurs, et est désormais en paix ?
Allez savoir, avec un mec aussi incorrigible (et Mad).
Le Don savait vous faire des propositions que vous ne pouviez pas refuser…
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— Suite des adaptations DC dites matures…
– La série « Watchmen »….
Un peu trop roublarde, mais bien mise en scène. Analyse sur les pages dédiées.
lestoilesheroiques.fr/films/dc/watchmen-serie-tv
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– « Barbie »…
Cette variation de Pinocchio est un bon moyen de comprendre le mal-être féminin et masculin (comment se génèrent les incels, sans en faire des monstres), chacun se nourrissant de l’autre.
Analyse sur la page dédiée
lestoilesheroiques.fr/2023/07/le-bar-de-galactus-208-barbie-oppenheimer.html
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Lu :
– Ultimate Black Panther (et Sorcière Suprême)…
Ultimate Spider-Man déjà dans la grosse panade (on n’a pas beaucoup vu Felicia)…
– Star Wars : La bataille de Jakku Tome 2…
Du renfort au bon moment, mais rien n’est encore joué…
– La Nouvelle jeunesse de Picsou…
Joli exercice complémentaire à Carl Barks et Don Rosa, mais il y a trop de Rapetou et de liens entre les personnages.
Et Mathilda sans ses beaux yeux clairs, c’est incompréhensible.
– Début de la sixième Intégrale des Tortues Ninja IDW : les Mutanimaux existent avec leur propre personnalité, leur belle dynamique de groupe…
Même Seymour Gutts, casse-gueule en tant que créature pathétique.
– Hellboy : Les os des géants…
Adaptation réussie du roman de Mignola et Golden, remplie d’Asgardiens (sauf Odin et Loki).
– Fluff Fairyland à la sauce Endgame, un peu précipité – mais toujours savoureux.
Twelve :
C’est pas une mauvaise série mais c’est pas non plus une bonne série. le fait d’avoir fusionné zodiaque orientl et christianisme plombe la série et le manichéisme fout tout en l’air. La rédemption de Corbeau ne peutse faire que dans la mort. Pas question de créer un Ikki like, ici. Bref on se prive de bonnes idées.
(spoiler).
Ouvrir la bouche de l’enfer pour récupérer leur pouvoir. C’est la pire idée que j’ai jamais vu. Pendant plus de 1000 ans ils ont cherché un autre moyen mais l’on jamais trouvé. 1000 ans c’eest long quand même. D’autant plus que Dragon travaille dans un musée pour justement repérer les artéfact intéressants. L’idée du musée largement sous exploitée. Comme beaucoup d’autres.
Le personnage de Marok est un plohole vivant.
Bref un beau gâchis. Si ils avaient utilisé les croyances chamaniques, on aurait eu une série bien plus intéressante.
Succès amplement mérité pour Demon Slayer. Non seulement Ufotable met encore la barre très haut en matière d’animation, mais le film est également ultra généreux en termes d’action ET d’émotion. Et je parlerai même pas de la musique, Yuki Kajiura = valeur sûre.
Hâte de voir la suite dans deux ans !
Adolescence déchire tout aux Emmy !
Demon Slayer, ce n’est pas ma came, mais il faut avouer que cela confirme que le public ciné aujourd’hui plus que jamais, a besoin d’une grande diversité, entre Ne Zha 2, F1, Minecraft, la surprise Sinners ou le copié-collé HTTYD, plutôt que d’un genre qui envahirait le calendrier avec 6 ou 8 blockbuster par an !
@LTH : Une idée de pourquoi mon message est considéré comme SPAM quand je dis que le film Kimetsu no Yaiba est génial ?
EDIT : Ok, c’est le titre « D*mon Sl*yer » qui ne passe pas en fait 😆
[EDIT LTH : Yup, ça bloquait, j’ai débloqué.]
Bon ben c’était juste pour dire que le film est top. Ufotable met la barre très haut en termes d’animation, beaucoup d’action et d’émotion, la musique de Yuki Kajiura est sublime (normal)… Bref, c’est top tier tout ça.
Vivement la suite dans deux ans !
Hâte d’aller voir le film Demon Slayer, je me les refais en ce moment, et ça se boit vraiment comme du petit lait !
Pas sûr du succès de la maison d’Ashur… Déjà Ashur n’était pas le personnage le plus aimé de la saga Spartacus, mais si en plus on rajoute l’histoire à dormir debout d’une femme de 60kg qui se met à défoncer des golgothe de 100kg… Bon.
Je n’ai lu qu’une dizaine de tomes de Demon Slayer (j’accroche sans plus), apparemment c’est mieux en anime, ne serait-ce que pour les couleurs et la direction artistique au global, vous confirmez ?
Ma question est surtout : puis-je voir ce film sans connaître tout le reste de la série (en manga papier donc) ?
Merci d’avance ^^