Le bar de Galactus #324 : Tron – Ares ~ Good Boy

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Mais ce ne serait pas le premier blockbuster depuis Les 4 Fantastiques : Premiers pas ? Quinze ans (!) après la claque Tron : Legacy, Tron : Ares débarque dans les salles du monde entier, avec Jared Leto – qui a décidément un très bon agent – et Nine Inch Nails à la musique. Bien sûr, on aurait surtout aimé une suite directe avec la même équipe (ft. Daft Punk), mais il faut faire avec… Du coup, qui retrouvera le chemin de la Grille mercredi ? Dans un autre registre, le film d’horreur Good Boy adoptera le point de vue du chien de la famille, ce qui ne manquera pas de raviver des souvenirs chez les lecteurs du comics Stray Dogs. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu ces derniers jours ? (The Witcher : Le temps du mépris terminé. Plus que trois tomes de la saga principale à lire avant le retour de la série !) Combien de premiers ministres la France connaîtra-t-elle d’ici la sortie d’Avatar : De feu et de cendres ? A vos claviers et belle semaine à tous !

L’étonnante aventure d’un programme hautement sophistiqué du nom de Ares, envoyé du monde numérique au monde réel pour une mission dangereuse qui marquera la première rencontre de l’humanité avec des êtres dotés d’une intelligence artificielle…

52 COMMENTAIRES

    • Autrement dit, quelle chute par rapport à Avatar : La voie de l’eau ? Vu l’absence assez ahurissante de concurrence, je pense qu’elle ne sera pas trop élevée. A Noël, ‘tout le monde’ va au cinéma, ce sera le choix par défaut. Donc un prono classique à 2M$ qui ne brille pas par son originalité ?

    • L’occasion va être donnée de vendre des places premium pour Avatar à 30 dollars et compagnie, cela va faire vite monter l’addition, même si les entrées ont fortement chuté entre le 1 et le 2.
      En France le 1 a fait 14 millions d’entrées et le 2 a fait 13 millions stupéfiant pour un film qui m’a ennuyé au possible. Techniquement c’est mortel mais qu’est ce que l’histoire est conne (avis tout à fait personnel)
      Avec le public français il serait capable de passer la barre des 10 millions d’entrées encore une fois…
      La cela ressemble à un mix des 2….mais bon….
      Perso je ne crois pas une seconde aux 2 milliards car j’ai vu beaucoup de déçus du 2 quand même…
      Mais comme dit le boss la concurrence sera inexistante….Je pense même que Zootopie 2 ne sera pas si loin de Avatar 3 en terme de box office mais on verra…

  1. Tron : Ares, sans avoir à parler qualité ou fans qui se rueront day 1 en salles, ça sent encore le plantage au Box Office.
    Pendant ce temps là , surgi de nulle part, Demon Slayer dépasse un paquet de monde à ce même B.O ….

      • Je ne suis pas un fan du premier, je ne me souviens plus du second mais je suis bien intéressé par ce troisième opus. La bande-annonce m’a convaincu, j’aime beaucoup Jared Leto et j’adore NIN, je serais donc au rendez-vous mercredi ou jeudi.

        Par contre, le succès de Demon Slayer aux US me fait tellement marrer. Quelle leçon pour les Américains ! Le manga se vend mieux que le comics sur leurs propres terres et maintenant c’est aux films d’animation.
        Et encore Nezha 2 n’est pas sorti chez eux 😅

        • Ce qui est impressionnant avec Demon Slayer c’est qu’on est juste sur l’adaptation d’un arc du manga au ciné. Sachant que le manga est terminé depuis 2020 je crois.
          Je ne pensais qu’un tel succès serait possible au cinéma pour ce type de production.
          Après ce manga reste un phénomène … je me souviens avoir dévoré les scan dès que j’étais à court d’épisodes d’animés.
          Comme quoi pas besoin d’avoir une adaptation live action ou une nouvelle histoire original pour attirer du monde en salle.

          • c’est une année folle … Minecraft, avec des « fans » qui crache sur la bande-annonce, et flirte pourtant pas loin du milliard, Lilo & Stitch et Dragon qui sont des copiés-collés (surtout Dragon) des animés et qui fonctionnent plutôt bien, tous ces films qui se ramassent, le leader qui fait un carton seulement dans son pays et tient la place n°1 depuis des mois, Superman, le plus successful des Sup’héros cette année, qui va finir par sortir du top Ten (on causera pas des autres …

            dans tout ça, on a un peu l’impression que seul la licence Jurassic a affiché une certaine constance …

            Sur cette base, j’ai même plus de mal à imaginer l’an prochain, Supergirl qui se ramasse et ClayFace qui cartonne (pour rester dans le Genre qui nous concerne)

  2. Vu les 9 premiers épisodes de To Be Hero X, l’une des meilleurs séries de super héros pour l’instant et je comprends la hype autour. Un excellent rythme, des histoires intéressantes avec leur touche de tragédie, une animation excellente. Cela fait longtemps que je n’ai pas vu une série d’animation hors japon de ce niveau.

    • Pour une fois on est d’accord Angyo. Qui l’eut cru ! 😅
      Profite bien de la suite de la saison. Tu n’es pas prêt pour l’entrée en scène DU personnage central de cette histoire… 😮

  3. Mais Jared Letron n’est pas vraiment un good boy, non ?

    Vu :

    – Fin de la deuxième saison de « Arrow », formant un diptyque cohérent.
    Et suite du Arrowverse, au nombre de deux séries maintenant.
    Analyses sur les pages dédiées

    lestoilesheroiques.fr/films/dc/arrow

    lestoilesheroiques.fr/2014/10/page/11
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    – « En eaux très troubles »… Dans la très très grosse mélasse
    Est-ce parce que ses derniers films ont suscité de l’indifférence que le réalisateur Ben Wheatley a décidé de se défouler en acceptant de réaliser un blockbuster aussi bas du front que codifié ? Qui plus est la suite de « En eaux troubles », une Stathamerie à moitié chinoise, 100 % opportuniste – en gros du « Dent de la mer » sous stéroïdes, plus destructeur que horrifique (pas avec un monstre aussi maousse, qui peut avaler trop de personnes d’un coup), mais sans jamais atteindre la folie d’un Michael Bay aka le vrai Spielberg speedé – le seul qui peut d’ailleurs rivaliser avec la folie de certaines grosses productions asiatiques.
    Ici une séquence introductive ironique, sur les petits qui se font manger par les plus gros et ainsi de suite, nous révèle la note d’intention : ça va être une parodie. Ou, pour rester chez Spielberg, l’équivalent de son « Temple Maudit », ou de « Gremlins 2 » pour Joe Dante. Un épisode 2 qui est conscient de succomber à la tentation de la surenchère, et en profite pour être plus dingue et méchant pour annihiler toutes les attentes, nous choper par le colback et nous secouer dans tous les sens.

    Las, le film se plante dans les grandes largeurs, et reste donc un produit divertissant assez sympa, sans prise de tête, très codifié puisque tout ce qu’on y voit à déjà été fait cent fois ailleurs :
    Statham en éco warrior, qui se chronomètre avant une baston (« Le Transporteur »), qui fait des plongeons (sa carrière sportive), avec la caméra qui s’arrête devant son visage vénère (un de ses gimmicks)…
    On nous dégaine des exosquelettes, un Meg domestique malin comme un raptor, des personnages du premier qui ont disparus hors-champ… on croirait qu’il manque un ou deux épisodes intermédiaires, qui justifieraient ce virage vers de la mini SF, jusqu’à même avoir une course en vaisseaux spatiaux entre des astéroïdes – mais sous l’eau.
    Clairement, ça lorgne aussi bien sur les « Jurassic World » que sur le Monsterverse de la Warner, en passant par « Fast and Furious » et même « Bad Boys » – le seul noir du casting s’appelle DJ, se prend pour Roman Pierce, puis nous fait un tir sauté latéral au ralenti.

    Car malgré une ambiance claustrophobe dans la première moitié du film (« Abyss » etc), avec quelques morts sales et injustes, même pour des personnages secondaires dont c’est la fonction…
    La tentative de prendre le contre-pied du premier film tourne court.
    La faute à des rebondissements débiles (personne n’a vu le bouton vert ?), et des personnages encore plus caricaturaux. Avec des héros qui font régulièrement n’importe quoi (Melissanthi Mahut qui détrousse les adversaires morts de leur fric, Wu Jing qui fait tellement le risque-tout qui essaie de voler la vedette à Statham – le héros chinois local quoi – la petite qu’il faut toujours protéger)… des méchants pollueurs grotesques, parce que les bestioles féroces à démastiquer, c’était pas suffisant (et elles sont cette fois innombrables)… des scènes d’action qui sont elles aussi du n’importe quoi (trop de sauvetages in-extremis)… des effets spéciaux qui alternent entre le brouillon sous l’eau (normal) et l’excès de visibilité…

    Et des occasions manquées, comme d’utiliser Statham comme le seul personnage un peu plus premier degré au milieu de tout ce fatras, athlète invincible à la Tom Cruise (il fait de l’apnée à 7000 mètres, ce genre)… et finalement il alterne le portnawak avec le sarcasme, on dirait Dwayne Johnson – il customise un hélicoptère…
    Ou bien de créer une vraie rivalité entre lui et Wu Jing, à la fois pères de substitution de la petite Meiying, et symboles d’une prod bicéphale…
    Ou encore – mais là c’est le lot de tous les films bourrés de monstres en images de synthèse – s’ils avaient pu assumer la cruauté, éviter que le petit noyau de héros survivants finissent le film sans avoir perdu une main ou une prunelle.
    Bref arrêter d’avoir des créatures aux grandes dents qui sont aussi véloces, malgré leur masse… pour les rendre aussi inefficaces à part pour les trois sacrifiés de service, les vilains très bêtes et une poignée de badauds qui ont eu le tort d’être beaufs. Pour finir sur une île, qu’ils auraient pu se réapproprier pour en faire un nouveau Skull Island.

    Mais après tout, l’auteur Wheatley n’est pas l’initiateur de ces films, et il aurait peut-être été plus enthousiaste s’il avait dû briser en mille morceaux sa propre œuvre.
    Par contre on attend toujours de voir David Fincher s’attaquer à la franchise d’un autre, lui qui avait souffert sur celle de Alien, échoué à reprendre « World War Z », et qui va normalement s’attaquer à Tarantino.
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    – Début de la huitième saison de « SWAT »…
    Incroyable, la série arrive à se relancer, avec une nouvelle recrue sortie de nulle part, dont l’historique personnel va mettre David 20 en difficulté, a priori. Laquelle équipe va aussi faire face à un Antigang digne de la brigade de choc de « The Shield », comme si Shawn Ryan soldait définitivement ses comptes avec son ancienne série…
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    – Fin de « Magnum » (2018)…
    La série conclut comme elle a commencé, et comme l’était la version originelle des années 80 :
    Tout est inoffensif, voir même soporifique à force, alors que c’est une série avec plus d’action brutale (comme pour le reboot de « Hawaii 5-0 ») que de polar. Et ce malgré la voix off de Magnum.
    Les traumas de la guerre viennent de temps en temps hanter les héros, mais ils s’en sortent parce que ce sont les meilleurs et qu’ils ont grand cœur.
    Alors pendant 96 épisodes Jay Hernández jouera énormément le détachement (et en VF Axel Kiener ajoutera quelques rires nasillards à la Francis Lax)…
    Perdita Weeks, et son étrange physique d’athlète adolescente, jouera à « Clair de lune » et c’est elle qui placera deux fois un « p’tit bonhomme »…
    Rick sera plus costaud, T. C. plus nounours, la Ferrari résistera à tout, ils auront plein d’amis (tellement inamovibles qu’un flic remplaçant sera sacrifié sans beaucoup d’égards)… Et des arcs narratifs qui se régleront sans trop de problème, tandis l’identité réelle de Robin Masters ne sera même pas un fil rouge (et si c’était Thomas ici ? puisqu’il sait si bien baratiner, utiliser des subterfuges…).
    Il y aura toujours un méchant qui les menacera – il y en a même un qui ruminera sa vengeance à la fin – mais quoi qu’il arrive il sont assurés de gagner, et d’évoluer un peu.
    Ainsi une demande en mariage anticipée aura valeur de confirmation, sans qu’on ait besoin de la voir dans un futur proche.
    La série s’arrête, mais les personnages continuent…
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    Lu et relu :

    – Intégrale Captain America 1964 – 66…
    Stan et Jack y vont plein gaz, d’abord à taton dans le Présent, puis avec des missions flashbacks dans les 40, et enfin retour au Présent en trouvant un bon rythme – et déjà le Cube Cosmique.

    – Le prequel comics des « 4 Fantastiques : Premiers Pas »…
    Un bon petit produit publicitaire (il y a justement des fausses pubs dedans, ainsi que des articles et interviews des Fantastiques), contenant plus de détails similaires aux comics originaux – mais dans leur univers, c’est déjà une adaptation.

    – La vie de Dr Strange…
    Un petit bijou, surtout l’arc du Général, le tout magnifié par les dessins de Pasqual Ferry… Jed MacKay est vraiment meilleur sur les séries solo.

    – Namor commence à manquer de temps alors qu’une tonne de batailles vont débuter…

    – Fin du Captain America de JM Straczynski…
    Juste un intermède dixit l’auteur, en profitant pour corriger une décision controversée (Broxton, la faute à Donny Cates), et revenir voir des personnages qu’il a radicalement réinventé dans les années 2000… ce qui ne sera pas le cas de ce Cap, définitivement incompatible avec la Magie.

  4. Civil War (comics Marvel) : Enfin lu ! Eh bé… il y en a des super-héros de secondes zones… en fait il y en a très peu que je connaisse. En tout cas c’est un récit efficace et marquant. Je vais donc m’attaquer aux 5 autres tomes.

    C’est moi où la relation entre Xmen/Avengers semble tendue ? Entre les mutants qui sont surveillés en permanence par des sentinelles, et Emma Frost qui envoie un peu boulet Iron Man. Comment se fait-il que les mutants soient aussi mal accepté alors que les autres (Avengers, les Hulks, les Marvels, Spidey, les 4F, Black Panther) n’ont pas ce problème ?

    • Espèce concurrente vs. quelques super-héros isolés + Magnéto et l’appellation Homo Superior y sont sans doute pour beaucoup. Et faut pas oublier qu’on est juste après House of M et le ‘No More Mutants’ de Scarlet Witch. Les mutants sont passés de plusieurs millions à 200 individus en quelques années, de quoi être sur la défensive.

    • Les Hulks ne sont pas trop aimés non plus pour les dégâts qu’ils peuvent causer.
      Et Spidey, ça dépend des fois. Mais le public new-yorkais trouve parfois qu’il cause du dégât et fait peur aux gens + les invasions symbiotes auquel il est assimilé qui n’aident pas.

      • Encore que les symbiotes sont plus associés à Venom, puisque tout le monde ne sait pas forcément que Peter a ramené le premier sur Terre.
        Sinon contre lui il y a la propagande au long cours du Bugle, ainsi que son allure effrayante, son attitude trop désinvolte, ses erreurs catastrophiques, le sale caractère des new-yorkais…

        Bon ça concerne aussi les autres héros Marvel, imparfaits et créés à une époque de paranoïa (post seconde guerre puis en pleine guerre froide, peur des radiations), de remise en cause de l’esprit américain et de changements sociétaux.
        À la fois représentants d’une élite et outsiders, tous étaient souvent mal vus. C’est juste que pour ceux qui étaient les plus « différents », c’était pire.
        Et ça n’a pas complétement changé aujourd’hui.

        • Allure effrayante ? C’est un gus en pyjama rouge et bleu.
          Les symbiotes sont certes plus associés à Venom, mais lui-même ayant une grosse araignée blanche tatouée sur le torse, est associé à Spider-Man. La roue des associations !

  5. De retour en France après une petite semaine à Djerba en Tunisie pour les vacances ^^

    J’ai pu visiter Tataouine et quelques décors de Star Wars (j’ai partagé des photos sur mes réseaux si jamais), à la fois conquis en tant que fanboy et un peu déçu tant c’est plutôt à l’abandon et « quelconque » au milieu d’une ville assez polluée (bouteilles et verres partout dans la nature).

    J’ai profité de la fin de mes congés pour rattrapé l’intégralité de la deuxième saison des Anneaux de Pouvoir (en allant lire la critique du Boss religieusement après chaque épisodes et les commentaires de l’époque – il y a un peu plus d’un an). J’ai à peu près le même avis que la première saison : c’est beau, c’est superbe et c’est magnifique ! MAIS… rythme toujours aussi étrange, casting fortement inégal, écriture semi-convaincante parfois. Mi-figue mi-raison donc mais j’ai adoré les deux derniers épisodes, un peu plus épique (mais pas encore assez) et qui rattrapent ceux d’avant.

    On continue The Paper, pas encore aussi drôle et touchant que The Office (c’est son spin-off) mais très chouette quand même ! De même, on poursuit au rythme hebdo Daryl Dixon, qui reste sympa et on rattrape les saisons deux de Shrinking (feelgood doux-amer, vraie réussite !) et Severance (je me force un peu, j’ai du mal à rentrer dedans)… Après on attaquera sans doute Succession !

    Côté cinéma, vous pensez qu’il faut avoir en tête le Tron : Legacy avant ce nouvel opus ? J’en ai peu de souvenirs (même si j’écoute souvent la BO), ça m’avait moyen convaincu à l’époque (et toujours pas vu le Tron originel qui a du méchamment vieillir…).

    Enfin rattrapé l’Aronofsky (Pris au piège), excellent film qui rappelle plutôt un Guy Ritchie/Tarantino light qu’un Aronofsky mais dans mon Top de l’année, assurément ! Toujours pas pu voir la palme d’or et le PTA, peut-être mercredi ou jeudi…

    Lecture : terminé le manga Liar Game, ça date un peu, sorte de Battle Royale light avec des jeux et, surtout, des mathématiques. La série a 5/6 volumes de trop (sur 19 1 dérivé inutile). Les personnages jamais réellement caractérisés et la fin complètement lunaire et abrupte. Plutôt déçu… J’attaque Wilderness dans la foulée (mission : terminer les lecteurs des séries d’il y a 20 ans dont j’ai enfin acquis les derniers tomes !).

    • J’ai fais un road trip Tunisie special Star Wars l’année dernière et j’arrive toujours pas a comprendre comme un fan riche n’a toujours pas racheter tous ces lieux délabré pour en faire des sites touristiques bien fan service… en plus l’hôtel situé sur la Ferme des Lars fait peur de ouf, et avec mon pote on a eu un « accrochage » avec le gérant qui voulait absolument nous faire payer pleins de trucs qu’on voulait pas

  6. j’ai DÉVORÉ la saison 1 de The Pitt sur HBO Max ce week-end. Y a 15 épisodes et c’est la série médicale la plus réaliste qui ai été créer jusqu’à présent. Les anciens fans de 24 y trouveront leur compte car chaque épisode compte une heure réelle dans la série, on suit des médecins urgentistes dans leur journée de 7h à 21h. Le rythme est infernale, ça ne s’arrête jamais, chaque début d’épisode reprend la fin quelques secondes après de l’épisode précédent, on est vraiment immergé dans l’hôpital. On passe par toutes les émotions, et les récompensent aux derniers Emmy n’ont pas étés volées, c’est amplement mérité ! Pas de romance inutiles, on se concentre uniquement sur la médecine, et je déconseille de regarder la série en mangeant, y a vraiment des cas horrible !
    La saison 2 arrive dès Janvier 2026, on sera visiblement sur une saison par an comme à la belle époque ! (un seul décor, ça va vite)

    FONCEZ !

  7. Tron en IMAX pour moi lundi.

    Vu hier  »Une bataille après l’autre ».
    Super film, bien écrit, super bien réalisé et interprété, hyper complet, avec un rythme captivant (pas du tout senti la durée du film).
    Mention spéciale à Sean Pen (énorme) et Chase Infinity (qui crève l’écran et qui confirme son grand talent après sa performance dans la série présumé innocent).
    Un bon 4/5

  8. Je viens de finir Marvel Zombies. J’ai trouvé que ça se laisse regarder, mais sans plus quoi.
    Pas simple de faire quelque chose avec ce casting d’après Endgame imposé, déjà très controversé.
    Je réalise que le MCU pourrait très facilement enchainer les succès unanimes: Il faudrait qu’ils ne se limitent qu’aux Bandes Annonces.

  9. Découvert le premier Tron hier soir, ça a (évidemment) très mal vieilli mais ce côté cheap/kitch a quelque chose de touchant (et je n’ose imaginer la révolution pour l’époque, au même titre que d’autres métrages tous les 4/5 ans qui tendaient à bouleverser le médium, à minima sur la forme).

    Revu dans la foulée Tron : Legacy, c’est toujours aussi moyen que dans mes souvenirs. L’univers numérique et la direction artistique sont globalement chouettes (la musique des Daft y contribue grandement) mais pas mal d’effets visuels sont affreux aussi, à commencer par le De-aging de Jeff Bridges. Le souci majeur, à mon sens, reste la prestation de Garrett Hedlund dans le rôle principal (Sam Flynn) avec son faible charisme et l’écriture en sentier plutôt convenu. J’avais oublié le petit rôle de Cillian Murphy au tout début.

    Fin prêt pour Tron : Arès demain soir donc !

    Parenthèse #StarWarsienne (poke Boss) : le second opus de la BD Les Guerres de Lucas sort aujourd’hui. C’est toujours aussi excellent, lu d’une traite, rythme haletant, écriture limpide, fourmille d’anecdotes que même le fanboy aguerri (que je suis) ignore sans doute, dessins élégants, exercice de vulgarisation parfait. On en redemande ! J’ai trouvé la parenthèse sur Indiana Jones un peu moins fourni mais c’est compréhensible.

    • En même temps dans le deuxième, c’était moins un De-aging qu’un fac-similé du vrai Kevin Flynn d’autrefois – lui pour le coup il fait bien artificiel par rapport aux habitants de ce monde, comme un vilain avec une sale tête.

        • Oui, c’était juste pour préciser que comme ça n’était pas un rajeunissement de Flynn mais la reproduction de son avatar CLU, c’est comme si Bridges jouait un autre personnage. Pas besoin de s’appliquer autant pour le De-aging, ça sert d’autant mieux l’intrigue.

  10. Avec un peu de retard. Le dernier PTA pour moi.

    Je jette rien dans sa filmographie. Encore moins celui ci.
    C’est fou parce que j’y suis allé sans rien voir. A peine savoir pour une histoire de di caprio qui cherche sa gamine.
    Et bah c’etait tout simplement scotchant. Rythme effréné tout le long du film. C’est long oui, mais on voit pas réellement le temps passer.
    Les 3 blocs que composent le film s’enchaînent parfaitement. Tantôt on ri, tantôt on angoisses avec et pour nos personnages.
    C’est caricatural parfois, grotesque aussi, mais tellement vrai par moment.

    Un super film, sur un super pari assez osé de la part de la Warner. Que c’est bon quand le cinéma fait ce qu’il sait faire.

    • Et c’était aussi un pari pour Paul Thomas Anderson, qui n’a jamais fait de films aussi « musclés »… Tout en ayant une forme ne ressemblant à aucun autre – si ce n’est aux frères Coen peut-être.
      Une proposition originale au sein de Hollywood, comme l’était « Sinners » plus tôt dans l’année. Pas assez pour égaler les nombreux bons films d’auteurs existants dans le monde et sans gros budgets, mais l’exception est souvent synonyme de qualité.

  11. Vu Tron : Ares hier soir et c’était vraiment cool, j’ai trouvé que ça faisait bien avancer l’univers, des petites refs aux deux premiers (ainsi qu’un teasing intéressant à la fin, en particulier la scène après le premier générique, ça serait bien de ne pas attendre quinze ans pour avoir la suite, bien que ce Arès n’était pas le Tron 3 initialement prévu mais bon, voilà).
    Comme espéré, la BO de NIN déchire, y’a de super visuels, j’aime beaucoup cette DA rouge et noir, ce qui fait qu’on a quand même trois films à l’esthétique totalement différente, ce qui est assez rare je trouve dans une saga, et encore plus de nos jours.
    L’histoire, que je vois souvent se faire défoncé dans les critiques, ben oui ça peut paraitre un peu confus alors qu’au final on est sur des thématiques assez classiques, mais j’ai envie de dire c’est du Tron, ça n’a jamais été incroyable niveau histoire et on s’en fout un peu, enfin moi perso je m’attends pas à avoir une révélation métaphysique devant Tron, faut arrêter cinq minutes.
    Un scénario classique mais qui a fonctionné sur moi
    Comme dit dans un commentaire plus haut, je pense qu’il va se planter, parce qu’au delà qu’il y a peu de promo, que Jared Leto a la poisse en ce moment et qu’il sort au mauvais moment, il faut se rendre à l’évidence d’une chose : tout le monde s’en fout de Tron. C’est à la fois une licence de vieux et de niche, pire combo. J’entendais des conversations de spectateurs en sortant de la salle, qui devait être en début de vingtaine, dire qu’ils n’avaient rien compris, mais ont ils seulement vu les deux premiers ? C’est pas un film que tu peux aller voir en mode « le film de SF random du mois », c’est un délire particulier, et c’est vraiment dommage que ça ne prenne pas (Disney avait essayé de pousser à l’époque de Legacy avec série d’animation dérivée, jeux vidéo, ça n’a pas fonctionné), c’est dommage, il y aurait de quoi faire mais si ça n’intéresse personne…

  12. Vu TRON Ares hier en normal, ni Imax ni 4DX.
    Et le résultat est mitigé. J’avais aimé TRON l’héritage pour l’atmosphère, la bande son évidemment, mais aussi pour l’esthétique sublime du film. C’était une de mes attentes, et je ne l’ai retrouvé que très partiellement malgré les grands noms associés au montage et à la photographie. Ça piquait un peu les yeux avec beaucoup de gros plans.
    La majorité des personnages sont un peu trop caricaturaux à mon goût. Le seul qui s’en sort bien c’est Jared!
    Dans les points positifs, le film cumule un paquet de références aux deux premiers films! Pour les fans c’est très appréciable! J’ai trouvé la musique inégale, les premières notes avec un sentiment qu’on essayait de copié le travail de Daft Punk, puis plus les scènes avançaient et mieux c’était.
    Le résultat final n’est pour moi pas à la hauteur des deux premiers films alors qu’on voudrait que cela monte en puissance.
    J’aurais envie d’un deuxième visionnage pour revoir mon jugement mais ça se fera pas au ciné!

    SPOILER
    Assez curieux du retour du public au box office pour savoir si cette fin ouverte a des chances de voir le jour, mais si c’est pas le cas, cela n’offrira pas de conclusion contrairement au numéro 2 qui bouclait l’histoire.
    SPOILER

  13. Vu Tron : Arès hier soir, j’ai bien aimé – j’avais peu d’attente et aperçu quelques bribes de critiques négatives. J’hésite même à y retourner en IMAX 3D. C’est un très joli spectacle visuel et sonore, ébouriffant et parfois époustouflant, avec des séquences dingues !

    Le film a plein de défauts (casting inégal – Leto est clairement OK –, caractérisation des personnages un peu cliché, dialogues parfois nazes…) MAIS le « divertissement » est là, on y va davantage pour la forme (moins révolutionnaire que ses aînés) que le fond. J’ai trouvé l’histoire globalement limpide malgré ce que j’appellerai « sa fausse complexité » et j’aimerai bien une suite ou expansion d’univers.

    Je n’ai pas trouvé le métrage « accessible » si on n’a pas vu les deux premiers films, auxquels cet Arès se réfère beaucoup (j’aurais aimé davantage sur un sujet en particulier qu’on aperçoit furtivement à la fin).

    J’ai été voir quelques critiques, que je trouve injustement sévères. Ce n’est pas mieux, ce n’est pas pire qu’un énième blockbuster SF sans âmes, sauf qu’ici il y a une véritable direction artistique et patte singulière qui sort du lot, bien aidé aussi par la BO de NIN, davantage assommante que celle des Daft mais convaincante pour autant.

    Clairement imparfait (impossible à l’être) mais pas la bouse annoncée pour ma part ^^

  14. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Les-Legendaires-passent-au-cinema-la-bande-annonce-du-film-d-animation

    Une petite page BD consacrée sur le site, peut-être..?

  15. « Euh, quelqu’un a déjà vu « Tron » ?
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Non
    – Oui !.. euh non, j’veux dire non. »

    Pas une franchise « Tron »… juste une expérience cinématographique, surtout pour ceux qui conçoivent ces films. Enfin, surtout le premier de Steven Lisberger, petit trip hallucinogène par des boomers cherchant à repousser les limites techniques. Et se mettant dans les pas des obsessions de Walt Disney (l’inclusion d’humains dans un monde fantasmagorique), pour ce qui reste une fable moderne – donc où il faut accepter d’emblée l’existence d’un téléporteur de matière, la transformant en informations numériques avant de la restituer telle qu’elle.
    Trop curieux et exotique pour le large public, énormément avant-gardiste (ou inspirant ?) pour tout ce qui concerne les mondes virtuels, les avatars et doubles numériques, les IA… trop film de/pour geeks, petit culte quand-même.
    Sa suite 28 ans plus tard fera presque de même, mais comme un bon élève : quasi remake et pas beaucoup de prédictions (le rajeunissement numérique était déjà en cours d’exploitation), du lissage un peu sophistiqué, des champions de l’Électro (Daft Punk après Wendy Carlos), du fan service, engager le malléable Joseph Kosinski comme réalisateur – c’est le seul à qui ça profitera, puisqu’il y concevra une partie de son style personnel (tout en épures kubrickiennes, lignes et circuits).
    Et même sentence que son aîné : c’est pas mal, d’ailleurs là ça a plutôt bien marché… Mais de là à en faire un grand succès, et en réaliser un autre tout de suite en faisant fi des obstacles, pas du tout.
    Pas une franchise… Juste le fantôme (dans la machine) d’une autre époque, resurgissant de temps en temps, pour disparaître très vite.

    C’est un peu vers ça qu’on se dirige avec ce troisième film, « Tron : Ares », film d’Action/SF bien calibré, et prêt à subir une indifférence polie pour diverses raisons.
    Et dont le concept est aussi simple que le scénario de ces films : prendre le deuxième, et en faire une sorte d’Antithèse… qui contient aussi une Synthèse.
    Donc passer d’un voyage exploratif du monde réel vers un étrange monde numérique… à l’inverse, avec des entités venant s’incarner chez nous (dans la lignée de la fin du 2… et du premier « Jumanji »).
    Reniant leurs créateurs, on a eu un combattant du Bien devenu un ennemi autoritaire… et ici, un Maître Contrôle Principal refusant de tuer pour le profit.
    Et on passe d’une dominante bleue, douce, avec les Daft… à une dominante rouge, belliqueuse, avec Nine Inch Nails… Encore eut-il fallu embrasser complètement le potentiel hargneux et sombre du film, travailler la menace que représente l’invasion de notre réalité par les être du monde de Dillinger, virtuels et donc sans limites.
    Et non… Ni une expérience ludique un peu héroïque comme le premier volet, ni une histoire de recherche de (Dieu le) père comme le deuxième. Juste une extension très détaillée de l’histoire (trop, car on n’oublie pas les anciens héros), toujours une rivalité entre entreprises de la tech, également un manifeste pacifiste (ces ennemis caricaturaux qui passent leur temps à militariser n’importe quelle invention, sans qu’on ne voit de menaces pour le justifier), louant le libre-arbitre, prônant l’utilisation de la technologie la plus avancée pour aider à la survie de l’Humanité. Sans diaboliser l’Intelligence Artificielle, bien que dans le contexte de « Tron », on soit à un autre niveau que dans notre monde actuel.

    C’est au milieu de ce canevas très usité que le film trouve un chouia d’intérêt, toujours avec plus de curiosité que de qualités concrètes… Puisque film vraiment inoffensif, encore une fois. Réalisateur efficace mais sans grande personnalité ni style – Joachim Rønning. Quelques acteurs charismatiques bien que peu médiatisés (Greta Lee en belle idéaliste, Jodie Turner-Smith en guerrière impitoyable), avec tout de même des faire-valoir plus ou moins comiques, du cameo en pantoufles, et un Jared Leto qui fait de la résistance.
    Mais au niveau des idées, celles-ci s’entrechoquent tout le temps, le concept du film ne cessant de créer des réflexions étonnantes bien que volatiles.
    Déjà, le fait qu’on ait des entités uniques (trop complexes pour les cloner simultanément ?), portant le nom de divinités grecques, et qui révèlent leur humanité et s’affranchissent de leurs fonctions unidimensionnelles (enfin, deux d’entre elles) à cause de défauts de conception. Ce qui permet de complexifier indirectement leur créateur, homme cupide et arrogant, mais Dieu par accident. On se rapproche à peine du côté mystique et mythologique de Lisberger, où divins et humains peuvent ainsi permuter leurs places. Ça aurait pu être vertigineux si ça avait été central au récit.
    Au jeu des inspirations cinématographiques, l’idée d’un guerrier refusant de tuer une femme parce que celle-ci a allumé une étincelle en lui, c’est « Le Samouraï » de Melville, c’est du John Woo, c’est « Man on fire », bien sûr sans être à la hauteur de ces exemples. On pense aussi à Arnold Schwarzenegger dans « Terminator 2 » pour le côté « courses-poursuites effrénées » et apprentissage express de ce que c’est de ressentir et, tel Pinocchio (ouvertement cité ici), rendre ça pertinent en devenant mortel – on pourrait même ajouter « Last Action Hero », variation lourde qui incluait… le passage du virtuel au réel.

    Évidemment le visage et le regard ingénus de Leto ne sont pas vraiment ceux d’un combattant (peut-être d’un ange exterminateur ?), et d’ailleurs à aucun moment il ne tue d’humains. Encore un lissage peu pertinent, car ça lui enlève toute ambiguïté – le programme vient à peine de se mettre en route, les seuls combats meurtriers ont eu lieu contre des programmes dans l’espace virtuel.
    Tout au plus l’acteur fait penser à « Ulysse 31 » qu’à Arès, c’est à dire un guerrier en armure avec une tête de Jésus/Bee Gees… un air très « années 80 » plane sur ce film, avec un Evan Peters sosie du cabotin Malcolm McDowell, sans compter une virée fan service dans le programme de 1982.
    Mais la logique de l’histoire (chaque matérialisation ne dure que 29 minutes, d’où courses continuelles pour accomplir les missions, presque en temps réel) pose problème tant l’efficacité dont doivent faire preuve les entités leur enlève du poids, ainsi que le temps de l’apprentissage.
    L’avantage du Terminator, c’est qu’il était aussi organique que machine, et avait des interactions avec John Connor. Arès, lui, est rapido imprimé 3D, a un programme qui détecte l’empathie (donc s’il l’a comprend, il la ressent aussi), digère à grande vitesse des informations sur les réseaux sociaux (est-ce un signe que toutes vies, toutes personnalités, sont absorbables par le Net ?), et ça lui suffit pour tout apprendre de Eve Kim, de ses traumas, pour vite choisir son camp, se chercher une personnalité (celle de l’acteur en fait, aïe !) et modifier progressivement son phrasé.

    Trop de rapidité enlève de la tension, d’où divertissement typiquement calibré, où on ne laisse pas le temps au public de réfléchir, de contempler, de ressentir… c’est un comble compte tenu de ce qu’on y raconte.
    Et encore, niveau baston c’est pas loin d’être décevant avec une poursuite en motos et des attaques urbaines qui ne tiennent pas toutes leurs promesses : dans l’univers de Tron, ces engins laissent une traînée solide, ce qui est inspiré du jeu vidéo Snake. Même s’il est toujours agréable de voir les scènes caractéristiques de Tron, ces vues en plongées avec des tracés qui se dessinent, il devrait en résulter bien plus de monde en panique, de destructions, même fun… et ce n’est pas trop le cas. En comparaison le film « Pixels » avait les Space Invaders et Pac-Man… c’était con mais c’était sympa.
    Mais étant donné que NIN a un crédit de producteurs sur le film (tout comme Leto, partie prenante du projet depuis des années), prenons le alors comme une sorte de clip géant, où musique (formidable), rythme, esthétique et designs prédominent au détriment d’une meilleure ambition scénaristique – des fois, on ne peut pas tout avoir. Ça restera encore un conte très enfantin, alors que paradoxalement, il est censé s’adresser à des spectateurs plus adultes.

    Toutes les pistes que le film peut évoquer comptent plus que leur aboutissement même si, Synthèse oblige, ce troisième volet peut aisément se voir comme une conclusion, optimiste et suffisamment définitive, à cet univers – oui, il reste quelques éléments laissés de côté, mais vous avez vraiment envie de voir ces individus en remettre une couche ? Sont-ils si attachants ?
    De toute façon on n’est pas loin de se retrouver avec un nouvelle catastrophe industrielle de Disney. Lesquels films, quand on les revoit avec du recul, quand ils ont bien décanté, ont toujours de beaux restes…

    Alors, Tron : Arrêtes ?
    Ou Tron : Après ?

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