Le bar de Galactus #333 : Percy Jackson et les Olympiens ~ Wake Up Dead Man ~ Tomb Raider

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Grosse semaine en perspective, avec les bandes annonces d’Avengers : Doomsday et Supergirl… et derrière, les plateformes de streaming continuent d’aligner les blockbusters pour les Fêtes ! Mercredi, Disney+ dégainera les deux premiers épisodes de la saison 2 de Percy Jackson et les Olympiens, l’un de ses plus gros succès en dehors des shows Marvel et Star Wars. Y a-t-il des fans du RiordanVerse dans la salle ? Vendredi, le détective privé Benoit Blanc mènera une nouvelle enquête dans Wake Up Dead Man, le troisième ‘murder mystery’ réalisé par Rian Johnson, avec toujours un casting XXL (Josh O’Connor, Glenn Close, Josh Brolin, Mila Kunis, Jeremy Renner, Kerry Washington). Et pour les fans de jeux vidéo des années 1990 et de Hayley Atwell, signalons la mise en ligne jeudi de la saison 2 de Tomb Raider : La légende de Lara Croft, toujours sur Netflix ! Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu en ces premiers jours de décembre ? A vos claviers et très belle semaine à tous !

Un an plus tard, Percy retourne au Camp des Sang-Mêlé pour découvrir que son monde a été complètement bouleversé. Son amitié avec Annabeth est en train de changer, il apprend qu’il a un cyclope pour frère, Grover a disparu, et le camp est assiégé par les forces de Kronos. Le périple de Percy pour rétablir l’ordre va l’entraîner hors des terres connues, jusqu’à la dangereuse Mer des Monstres, où un destin secret attend le fils de Poséidon.

13 COMMENTAIRES

  1. FUTURE MAN (NetfFlix)

    3 petites saisons pour une serie SF totalement folle et qui a, en prime, le mérite de montrer des univers vraiment différent et similaires a la fois.
    Les limites du budget ont permis a l’audace et aux idées de s’exprimer de façon ingénieuse.
    Un vrai petit bijou

    ESPION A L’ANCIENNE s2 (NetFlix)

    Une S2 tout aussi rafraîchissante que la S1. On sent une vraie osmose dans le casting et l’idée géniale de confier a Mary Steenburgen le role du love interest du héros vu que c’est la femme de Ted Danson dans la vraie vie !
    J’adore surtout que la série fonce sans se prendre la tête avec les va et viens amoureux : Quand il s’aiment, ils le montre directement.
    Idem en amitié

    INSAISISSABLES 2.

    Revu avec son passage sur M6.
    L’histoire est plus brouillone que dans le 1er et Mark Ruffalo peine a trouver sa place tout au long du film. Et le twist de fin concernant Morgan Freeman est plus que mal amené…
    On prend toutefois un plaisir fou tant les cavaliers sont sympathiques et que les antagonistes, Daniel Radcliffe en chef, s’en donne a cœur joie.
    Mention spéciale a Woody Harrelson et son double rôle de folie pure

  2. Terminé La sculpture du vivant : Le suicide cellulaire ou la mort créatrice de Jean Claude Ameisen (https://amzn.to/44gyOEe), un bouquin passionnant sur le suicide cellulaire qui est en quelque sorte le mode par défaut des briques de la vie, ce qui amène à une vision contre-intuitive du vivant, au même titre que la physique quantique mène à une compréhension contre-intuitive de la matière. Faudrait juste un livre plus récent sur le sujet avec toutes les découvertes actuelles car celui-ci commence un peu à dater, mais le sujet est trop rare et trop intéressant pour faire l’impasse.

  3. Ah c’est prévu cette semaine la BA de Doomsday? Je croyais que c’était prévu avec la sortie d’avatar.
    C’est prévu quel jour ?
    Même question pour supergirl.

  4. Percy se réveille, avant de retomber de sommeil ?

    Vu

    – Toujours le Arrowverse, au début des saisons 2017 – 18 (petite récurrence avec les prisons), jusqu’à la pause hivernale…
    Tactique de la légèreté pour « The Flash », jusqu’à ce que les héros en payent le prix face à une machination diabolique…
    Presque pareil pour « Arrow », sauf que là c’est du scénario un peu lâche, n’arrivant pas à rendre plus charismatique son équipe…
    « Legends of Tomorrow » reste la meilleure adaptation non officielle de la Justice League de Giffen et deMatteis…
    Et « Supergirl » s’envole plus haut, plus loin… trop tôt, jusqu’à gâcher des toutes ses munitions ?

    Analyse sur les pages consacrées :

    lestoilesheroiques.fr/films/dc/arrow
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/flash
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/legends-of-tomorrow
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/supergirl
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    — (Petite) Spéciale Yórgos Lánthimos :

    – « Pauvres Créatures »…
    (Pauvres ambitions ?)

    Après 5 ans tranquillou et une pandémie, Yórgos Lánthimos se lance dans une frénésie de mise en scène avec sa nouvelle « muse hollywoodienne », Emma
    Stone – comme DiCaprio pour Scorsese, ça aide à débloquer plus de budget.
    Adaptant le roman Pauvres Créatures d’Alasdair Gray, pour un film féministe sur l’émancipation qui n’y va pas avec le dos de la cuillère.
    Avec ses 3 personnages principaux tels des variations se partageant les caractéristiques de Frankenstein – Willem Dafoe, littéralement comme si la créature avait repris le métier de son créateur… La Fiancée – une Emma Stone, aux longs cheveux plats, qui serait ici une poupée vivante bloquée dans un cycle pervers (elle est à la fois l’enfant et celle qui devait l’engendrer)… Et il y a même un peu de Dracula, l’assistant que joue Ramy Youssef étant pas loin d’être un Jonathan Harker – histoire de bien appuyer l’ambiance fantastico-gothique, cette partie est en noir et blanc.

    Toujours avec du Fish eye et des plans à l’œilleton, Lánthimos enfonce des portes ouvertes (et c’est pas toujours agréable à regarder, ni même utile) pour bien montrer que l’héroïne n’attend que la libération, encore faut-il qu’elle en ait conscience. Un peu aussi comme dans une « Favorite » mais à l’envers (qui faisait penser au film « Eve », donc à Anne Baxter, et hop voilà Bella Baxter). Puis. Mark Ruffalo fait son gros chat matois et pousse le personnage à partir à l’aventure, explorer cruement le plaisir – oui puisque comme on a pû l’imaginer, l’histoire de Frankenstein se confond facilement avec celle de Pinocchio, la créature devant faire un parcours qui la verra suivre son propre chemin, affronter la laideur et la cruauté du Monde tout en découvrant sa part de bonté, avant de retourner vers son créateur et se confronter à la notion de mortalité.

    Visuellement un peu Toc quand on se retrouve sur un paquebot en route vers Lisbonne, nous sommes moins comme dans un conte que dans un film des années 90-2000 aux effets spéciaux numériques aussi laids que dorés, sans être pour autant dans une ambiance orientale.
    Et il faut pouvoir supporter que Stone joue Bella avec l’excuse d’un personnage au cerveau enfantin, ce qui la fait passer pour une fille attardée alors qu’elle est juste « née hier » – aussi improbable que ce soit, à la limite du cartoon.
    Héroïne aux réactions répétitives, sans filtre et impulsives, parlant comme un Hulk – amusant puisque a avec Ruffalo, lequel se plaît encore à incarner les êtres veules, hypocrites, en surjeu, et même pas invité à la conclusion du le film, alors qu’il n’a cessé de pointer le bout de son nez tout le reste du temps.

    Comme toujours chez Lánthimos, tout le monde est moyen, puis au détour d’une scène on leur trouve des circonstances atténuantes ou aggravantes, et c’est de cette façon peu subtile que se crée des caractères supposément denses : par la contradiction – Godwin compréhensif, puis créant une nouvelle poupée (dommage pour Margaret Qualley, sous-utilisée)… Ruffalo soumis à l’étiquette, puis se joignant à une jolie danse désordonnée…
    Bien aidé toutefois par le contexte du film (finalement plus proche de la réalité historique – une autre contradiction) où les personnages sont tous des outsiders dans la société victorienne, tentant d’aller à contre-courant des normes tout en étant effrayés par le trop plein de liberté d’une Bella qu’ils aimeraient garder rien que pour eux.

    L’atterrissage de celle-ci dans un Bordel parisien sera enfin l’occasion de (justement) libérer un peu la mise en scène de ses tics tape-à-l’œil, et faire plus ouvertement du féminisme (très didactique) à base de « mon corps, mon choix, mes directives, mon profit ».
    Il sera temps ensuite de revenir au bercail, avoir un double affrontement paternel nous offrant un réel vilain dangereux. Et révélant, un peu tard, de sales secrets… L’issue finalement est tellement soumise à une certaine logique (faire un nouveau transfert de cerveau aurait voulu dire vivre avec ce visage là ?) qu’elle nous oriente sur une fausse piste et ne nous prépare pas suffisamment à une dernière scène extrêmement touchante avec Willem Dafoe, en forme de sage lâcher-prise.

    Fin de la farce, plutôt optimiste, en tout cas moins misanthrope que la plupart des opus de Lánthimos.
    Vous pouvez remballer la Mariée.

    – « Bugonia »…
    Comme une espèce de synthèse des travaux de Lánthimos avec Stone, allant vers un peu plus de sobriété mais toujours aussi contradictoire et peu optimiste.
    Analyse complète au Bar précédent, le #332.
    _

    Lu :

    – Les Vengeurs doivent trouver leurs marques dans l’Ère de Fatalis…

    – RAS pour Les X-Men…

    – Deadpool et Wolverine ne font plus long feu face aux pouvoirs de Stryfe…

    – Les Thunderbolts de Bucky payent le prix de leur précédente altercation avec Fatalis, lequel lance sa plus horrible offensive depuis le début de son règne…

    – Ultimate Spider-Man et Harry Osborn se prépare à la chasse Zaroffienne..
    Les Ultimate X-Men vadrouillent encore au lycée…
    Les Ultimates rencontrent les GoG de leur univers…

    – Aliens vs Avengers :
    Parmis les travaux Marveliens de Jonathan Hickman en mode « mercenaire » (son Wolverine : Revenge tout.mince par exemple), celui-ci sort du lot tout en restant dans l’une de ses thématiques de prédilection : des héros devant sortir de leur condition, échouer et intégrer un nouveau statu quo, au milieu d’intrigues intergalactiques.
    Superbement dessiné par Esad Ribic, intégrant étonnamment le lore pessimiste de la Saga Alien (en comptant les origines décrites dès « Prometheus »), le résultat est un énième opus apocalyptique, ignorant étrangement les Broods au profit d’une autre race alien Marvel (pas trop compris la transformation finale), donnant aussi une bonne place aux Wakandais et aux krakoans – comme si l’île n’était pas tombée à cause de ORCHIS (dommage, il manque alors Nemrod)…
    Pessimiste, puisqu’on peine à croire que des xenomorphes seraient si durs à tuer pour ces héros.

    – Début de l’Intégrale 7 des Tortues Ninja de IDW…
    L’arc narratif ‘De l’ordre et du chaos’, où certains héros vont aller faire un tour ailleurs alors que Splinter a accepté ce grand changement de statu quo dans leur vie.
    À quel prix ?

  5. Vince Gilligan… Heureusement qu’il reste encore deux ou trois mecs comme lui en Occident.
    Je prends un grand pied à regarder Pluribus.
    C’est original
    Ça questionne
    C’est bien réalisé
    Les acteurs sont bons
    Ça devient tellement rare je pourrais presque crier au génie !

  6. Pour Supergirl, tout premier extrait du teaser (quelques secondes donc) ici : https://x.com/supergirl/status/1997773200202314183?s=20

    Bande-annonce « cette semaine », comme l’annonçait le Boss. À suivre…

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