Joker : Le premier poster du film… à la veille de la bande annonce !

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Décidément, entre [Birds of Prey], Gotham et Joker, le Clown Prince du Crime est sur tous les fronts cette semaine ! Voici donc le premier poster – garanti sans silhouettes photoshopées et autres têtes flottantes – de Joker. Et surtout, « préparez votre plus beau sourire », car la première bande annonce du drame intimiste de Todd Philips sera mise en ligne demain !

Joker est centré sur l’iconique némésis, c’est une histoire originale, autonome, jamais vue sur grand écran. L’exploration d’Arthur Fleck par Philips, un homme méprisé par la société, n’est pas seulement une étude de caractère crue, mais aussi et plus largement une histoire édifiante.

Joker est réalisé par Todd Phillips et sort aux Etats-Unis le 4 octobre 2019, avec Joaquin Phoenix (Arthur Fleck/le Joker), Robert De Niro (Murray Franklin), Zazie Beetz (Sophie Dumond), Bill Camp, Frances Conroy (Penny), Brett Cullen (Thomas Wayne), Glenn Fleshler, Douglas Hodge, Marc Maron, Josh Pais et Shea Whigham.

22 COMMENTAIRES

  1. C’est bien… mais c’est toujours Todd Philips qui réalise… et c’est toujours avec une politique du studio qui joue plus ouvertement le Free-Style plutôt que l’Autonomie réduite (fallait y penser à l’époque de Snyder, les mecs)…
    Bien sûr qu’il y aura des trucs qui déplairont Vraiment dans ce film, surtout les (jeunes) fanboys « à qui faut expliquer l’eau chaude »…
    Mais tant que ce sont des tentatives pour lesquels ils auront jusqu’au bout, et qui ne s’annuleront pas à coup de grosses scènes d’action à CGI ou de blagues rigolotes, désamorçant ainsi les enjeux… Ben ça sera alors justifié totalement. Et peut-être même que ça sera bon.
    Mais pas pour les Kids et les Timorés… âme sensibles, passez votre chemin très vite !

    • Vous petez les roustons avec « les blagues qui détruisent les enjeux »…..
      Non, des traits d’humour ne détruisent pas les enjeux faut y arrêter..
      Et une situation grave et urgente n’as jamais empêcher de balancer des traits d’humour, même dans la vrai vie en fait..

      • Sauf quand il y en a beaucoup trop, et que le sujet et le ton du film ne s’y prêtent pas (Suicide Squad reste le meilleur exemple de déséquilibre).

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