Le bar de Galactus #91 : Shadow and Bone ~ Godzilla vs. Kong

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Au programme cette semaine… Netflix continue d’adapter tout ce qui bouge avec Shadow and Bone, première incursion dans le Grishaverse de Leigh Bardugo. Quelqu’un connaît ? Sur le papier, cela ressemble à une énième série de fantasy lambda produite pour satisfaire les algorithmes de la plateforme… mais il faut avouer que c’est un poil plus stylé que la moyenne. Et fidèle au genre, il y a l’incontournable et talentueux Ben Barnes (Le Septième Fils, Le monde de Narnia : Le Prince Caspian) ! Du côté du MonsterVerse, Warner Bros. Pictures a annoncé il y a quelques jours que Godzilla vs. Kong suivra le même chemin que Wonder Woman 1984. Le combat entre ces deux titans sera donc disponible en achat digital dès jeudi. Allez, plus que quelques semaines/mois avant de pouvoir se rendre en pèlerinage dans une salle IMAX…

Des forces obscures conspirent contre la cartographe orpheline Alina Starkov, mais son pouvoir extraordinaire pourrait changer le destin de son monde en guerre.

27 COMMENTAIRES

  1. J’ai lu toute la trilogie et c’est vraiment une bonne saga ! Effectivement ça a un air déjà vu mais c’est prenant et y a moyen d’en faire une série qui en met plein la vue. D’ailleurs la série va mélanger les intrigues de la trilogie avec celle de Six Of Crows qui est une duologie située dans le même univers. Les personnages sont cool, l’action claque bref au vu de la bande annonce ils ont mis du budget et ça promet !

  2. Je me prépare pour Godzilla vs Kong. J’ai loué Godzilla 2 hier.

    Certes, l’ambiance est beaucoup plus blockbuster comparé au 1er où l’action était plus terre à terre avec les humains. Malgrès quelques perso assez caricaturaux et des passages mal exécutés (j’explique mon plan diaboliques et mes actes en vous mettant des jingles de vidéos composé d’archives de notre société pour illustrer mon propos pendant mon Facetime), le film est un bon divertissement.

    Comics: j’ai repris le tome 2 de Dark Vador (2015)

  3. Godzilla vs Kong est assez inédit dans le sens sans la pandémie il aurait été un échec. déjà dés qu’on voit le film on s’aperçois qu’on est devant un film ficelé pour durée 2h avec des coup de ciseaux dans le montage de partout. et oui ça rappelle la Josstice League normal il faut rappeler que le dernier Godzilla a déçu au box office du coup ça m’étonnerait pas de savoir que le studio voulait un film qui dure heure pile avec le scénario le plus simple et pété possible histoire de faire tourner le disque le plus longtemps possible et faire plusieurs projection par jour.
    Du coup c’est bien la situation avec l’envie de retourner dans les salles et HBO Max qui fait que le film se retrouve dans la position du sauveur du cinéma.

  4. Godzilla vs Kong, grosse déception. Moins grosse que KoM mais tout de même … Le scénario est complètement aux fraises. Monarch est devenu une société complètement futuriste (c’était déjà trop futuriste dans KoM). Je retiens que le combat final qui est dantesque avec enfin le sentiment de gigantisme qui est de retour (ça manquait depuis le godzilla de Gareth Edwards). Visuellement c’est dingue, presque du niveau de Pacific Rim. Dommage que tout le reste soit bâclé.

    Sinon je commence Sleeping Beauties de Stephen King.

    • Je me suis lancé dans un marathon Monsterverse pour préparer Godzilla vs Kong, et effectivement Monarch qui passe d’agence à SHIELD avec héliporteur et hélisousmarin Action Man m’a vraiment pas plu. Ca boumboume de partout pour rien, c’est épuisant.
      En fait, on aurait carrément pu couper 15 minutes de film de King Of Monsters, parce que les déboires familiaux humains etc, on en a juste rien à faire! Le Godzilla de Edwards avait su mettre en scène un humain qui se débat au milieu des monstres, mais c’était littéralement un symbole de l’impuissance humaine face aux Monstres.
      Par contre je suis pas d’accord sur le gigantisme, je le trouve mieux foutu chez Edwards, même si le 2 privilégie les gros plans.

      Et quand je vois que tout le monde dit de GvsK « les humains sont pénibles, le scénario est troué de partout », ça me rassure pas. La saga aurait gagné à gardé la simplicité franchement symbolique de Godzilla et Skull Island.

      Sleeping Beauties…moué. Je te laisse juge.

      • Ah mais je suis d’accord, il était bien mieux foutu chez Edwards. C’est par rapport à KoM que je le trouve mieux réussi. C’était une catastrophe dans le 2, entre Ghidora qui change de taille selon s’il est face à des humains ou a Godzilla, le fait que l’échelle des monstres ne soit jamais respecté …

        De toute manière, le contrat avec la Toho se termine avec ce film. Il y a franchement peu de chance qu’il soit reconduit même si il y avait un léger mieux sur GvsK …

        Pour Sleeping Beauties c’était censé être mon dernier livre de mon marathon lecture de Stephen King, me fait pas regretter mon choix ^^ (après je passe a Tom Clancy, avec un peu d’appréhension)

        • Ah ouaaais j’avais mal lu, « depuis le Godzilla de Edwards », pas « dans le […] »

          Ouais je trouve qu’il s’use un peu le King, je te rassure Sleeping Beauties est pas une purge, il y a de bonnes choses et il tente l’essai féministe « réaliste ». Mais je trouve que ses derniers que j’ai lu (Revival, L’Outsider, Sleeping Beauties) manquent un peu de souffle…

          • J’ai bien aimé Si ça saigne, mais je reconnais que la portée est faible. Tu sens qu’il l’a écrit en vu d’en faire une saison de Outsider ou de Mr Mercedes.
            Tu as lu l’Institut ? Typiquement dans la catégorie « fait pour être adapté au cinéma ». Je trouve ça un peu dommage cette manière de faire chez lui dernièrement.

            D’ailleurs c’est amusant, j’ai découvert il y a peu que ses romans écrit sous le pseudonyme de Bachman était assez méprisés par ses fans. Et pourtant j’ai tendance à les trouvés plus punchy et rythmés que ses romans écrits sous son véritable patronyme. Par exemple je sors tout juste de Marche ou crève et Running man. Ba ça m’a donné l’impression d’avoir lu deux mini blockbuster. Déprimants certes, mais quand même … Le parallèle qu’on peut faire d’ailleurs sur ses romans sous pseudonyme et « La part des ténèbres » est d’ailleurs amusant, mais je digresse a mort là … Faut que je me trouve un forum de lecture ^^

          • J’allais exactement te faire le parallèle avec la Part des Ténèbres, effectivement Bachman était un peu son exutoire, comme le pseudo dans le roman^^

            Tu soulèves un point intéressant sur le fait que ça semble directement adaptable au ciné, dans le contexte où ses œuvres plus ou moins récentes sont adaptées sur Netflix (Jessie, 1922 et surtout Dans Les Hautes Herbes), sans parler de Mr Mercedes….
            Entre le fait qu’il partage l’écriture avec Joe et Owen, et ça…ouais j’y crois assez qu’il se fait un petit capital d’histoires facilement transposable à la télé.
            Après tout, ça a toujours été son rêve, de faire pour la télé.

  5. Il était sympa ce combat de titan. Les persos sont toujours débiles mais on est pas venu pour ça, on est venu voir un gros singe et un lézard géant se mettre sur la tronche et c’était très satisfaisant surtout pour le combat final, certains des meilleurs moments de Kaiju du MonsterVerse. Pour revenir aux personnages c’est dingue à quel point certains sont de véritables cartons juste là pour servir l’histoire (Eiza Gonzalez ? Millie Bobby Brown ? Le fils de Serizawa ?). Pauvre Kyle Chandler, sans doute raccourci au montage, quel merde ce gosse sinon pas drôle, Brown et Henry auraient très bien pu faire le travail ensemble sans ce « comic relief ».

  6. Kong VS Godzilla était bon, ni plus ni moins. Sauf le combat final, c’était vraiment un beau spectacle

    Niveau lecture, j’ai enfin commencé Red Hood and The Outlaws de New 52. Ça change de la suite dans Rebirth mais quand-même cool surtout sur la vraie origine de Jason ainsi de savoir un peu plus se qu’il s’est passé entre sa mort et le moment où il devient Red Hood

    Et niveau série, j’ai encore remater Young Justice, et ça reste la meilleure série de SH tout Univers confondus, même meilleure qu’Invincible qui est énorme ! (Allez regarder) d’ailleurs, y’a toujours pas de news sur la saison 4 ? Puis j’ai aussi remater la web-série Noobs, un pur plaisir cette série. Drôle, du drama, d’l’action etc…

  7. Russoooooo!!!!

    Curieux cet oubli de LTH dans la filmo de Ben Barnes. C’est peut-être aussi parce que je viens de finir la saison 2 de Punisher que j’ai adoré!
    J’espère vraiment voir Jon Bernthal revenir dans le rôle tellement il était habité par lui.
    Par contre la série de fantasy pour ados là… je passe. Trop déjà vu.

    Quant à Godzilla vs Kong, je l’ai déjà dit: Tout ce qui concerne ces deux monstres est excellent, tout ce qui concerne les personnages humains est nul à chier. Et le film est bien trop science-fiction pour être crédible.

    • « Et le film est bien trop science-fiction pour être crédible. » En même temps à quel moment un film où un gros singe et un lézard géant qui s’affrontent est crédible ? Au contraire je trouve que pour ce genre d’histoire et d’univers ils peuvent faire ce qu’ils veulent en terme de SF, surtout que la théorie d’une Terre creuse est réelle, un peu tiré par les cheveux mais pas inventé pour le film. Après j’ai pas compris pourquoi Kong devait habiter là-bas alors qu’il avait déjà Skull Island. Ils pouvaient pas le laisser tranquille sur son île ? En plus c’est pas comme si il avait des semblables dans la Hollow Earth.

      • Oui c’est sûr le singe, le lézard, toussa toussa mais c’est le pitch.
        Avaient-ils besoin de rajouter la voiture qui vole et qui sert de défibrillateur, le contrôle par la pensée d’une certaine machine, les tunnels « magnétiques » a grande vitesse, etc…
        Est-ce-ça que le spectateur veut voir quand il va voir un film appelé Godzilla vs Kong?

        Et puis c’est pas forcément la théorie de la Terre creuse qui m’a gêné. On est autant dans la science-fiction que dans la fantasy, ça m’a rappelé Les Mondes Engloutis. On reste dans la thématique des monstres: plus fantasy que science-fiction. Bon à part le dernier tunnel où les deux monstres se causent là… ça c’était ridicule.

        Pour Skull Island, oui, c’est pas évident à comprendre. Ce film a trop d’incohérences malheureusement.

        • Oui disons qu’il y a pas mal de facilités pour certains trucs. J’ai plus vu l’excuse de la Terre creuse pour fournir sa hache à Kong qu’autre chose.
          Et je ne parlais pas du film Skull Island mais du fait que Kong devait bouger de son île dans Godzilla vs Kong. En quoi ça posait problème qu’il reste sur son île ? C’est une île inconnu pour le reste du monde et inaccessible.

        • J’ai décroché quand il y a eu cette histoire de « Terre creuse », je me suis demandé si The Rock allait faire un cameo (Voyage au centre de la Terre 2).
          Mais bon, si c’était le cas, le film aurait duré 1 minute, c’est juste le temps dont il a besoin pour botter les fesses de Godzilla et King Kong avec une noix de coco

  8. Ça aussi c’est (plus que) pas mal :
    https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Bande-annonce-somptueuse-pour-la-saison-2-de-Love-Death–Robots-sur-Netflix

    À conseiller dans les Classiques, « Picture Snatcher » de Lloyd Bacon (1933). Avant l’invention du terme « paparazzi » grâce à « La Dolce Vita », il y avait donc ce terme de Picture Snatcher (« voleur d’image » en gros) même si ici ça s’adresse plus à la Presse sensationnaliste des faits divers.
    Mais surtout, il s’agit d’une des premières comédies sarcastiques féroces du cinéma, osant des choses pas banales et même un peu tabous pour l’époque, dans un mélange à la fois de « The Front Page » (1931)…
    Mais aussi, comme un film de gangster déguisé, de « Scarface » (1932) et de « L’Ennemi Public » (1931)… Normal, il y a le fantastiquement survolté James Cagney dedans. Dont le personnage se distingue aussi comme étant un homme de parole… Même si cette parole d’honneur finit souvent par se retourner contre ses proches, d’une manière aussi amusante que grinçante.

    Lu le deuxième Tome de Promethea d’Alan Moore (Urban), et tous les doutes sur sa pertinence n’ont plus lieu d’être – contrairement à la petite déception du deuxième Tome (Urban) de Tom Strong, qui avait bien peu de scénarii écrits par Moore.
    Ne pas trop se fier à l’iconographie « sataniste » de cette fort belle édition… Même s’il y a des démons à affronter dans ce volume, ils sont périphériques à un long arc de 11 numéros en forme trajet spirituel.
    Toujours un hommage à Wilson McCay (riche onirisme graphique et robe pour dormir), mais aussi aux récits de voyage dans l’Au Delà, niveau par niveau, de La Divine Comédie de Dante aux Thanatonautes de Werber.
    Ici, en utilisant l’Arbre de Vie Kabbalistique, diverses icônes des Mythes et de la Culture, et surtout une liberté graphique qui est aussi foisonnante que les dialogues qui composent l’histoire.
    Avec quelques intermèdes un peu super héroïques pour alléger tout ça (et un personnage qui serait à Promethea l’équivalent de Jean-Paul Valley/John Walker/Eddie Brock etc), on a à nouveau droit à un bouquin extrêmement prenant et rempli, à mettre quelques bonnes heures à lire… Et encore plus Beau que le précédent en plus.
    OK, on peut alors se dire maintenant que Si vous ne deviez lire ou garder que Deux seul comic « de super héros »… c’est celui-là, et le précédent.
    En attendant le Tome 3 final. 🤩

  9. vu Godzilla vs Kong (et tout le Monsterverse pour l’occasion), alors visuellement c’est assez fou, les combats et les environnements sont magnifiques mais pour le reste c’est quand même très moyen, les nouveaux personnages sont sans intérêt, l’intrigue est complètement WTF et bourrée d’incohérences, alors c’est sure qu’on attend pas une qualité d’écriture à la Scorsese quand regarde un tel film mais il y a minimum, Godzilla de Gareth Edwards se voulait très réaliste dans son approche, là on part dans des délires SF qui vont beaucoup trop loin pour moi et qui déservent la cohérence de cet univers, on se retrouve avec un produit Warner complètement calibré et marketé comme ils en ont l’habitude dernièrement, bien loin de l’approche d’un vrai réalisateur comme Edwards, le parallèle avec Zach Snyder me semble évident mais ce modèle de cinéma est il viable a long plus terme ? j’en suis moins sûre…

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