Le bar de Galactus #123 : S.O.S. Fantômes – L’héritage

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Cinq ans après le bide de la version féminine, voici la version nostalgique… La saga S.O.S. Fantômes est donc de retour sur les écrans mercredi avec S.O.S. Fantômes : L’héritage. Vraie question : à quand Paul Rudd (52 ans) en vampire immortel ? Sans transition, Netflix mettra en ligne vendredi la saison 3 de Perdus dans l’espace. Des fans dans la salle ? Disons que cela permet de patienter en attendant la conclusion de The Expanse… Enfin, dès maintenant, vous pouvez voir la scène post-générique de l’ultime épisode de The Walking Dead : World Beyond. Cela annonce du très, très lourd pour la trilogie cinématographique The Walking Dead (et/ou les futurs spin-offs). Sur ce, bonne semaine à tous et vive la France !

Le réalisateur Jason Reitman et le producteur Ivan Reitman nous offrent un nouveau chapitre de S.O.S Fantômes. Dans S.O.S. Fantômes : L’héritage, une mère célibataire et ses deux enfants s’installent dans une petite ville et découvrent peu à peu leur relation avec les chasseurs de fantômes et l’héritage légué par leur grand-père.

twd : world beyond series finale post credit scene from thewalkingdead

20 COMMENTAIRES

    • c’est une boule de pétanque, peut être une métaphore avec un jeu de mot employé à la pétanque, pour annoncé un coup de théâtre ^^

      « Une boule zombie est une boule qui meurt puis revient à la vie et attaque les vivants. C’est une boule qui est sortie des limites, heurte quelque chose, rebondit sur le terrain, puis déplace ou dévie ou arrête des boules encore vivantes (boules ou le jack). « 

  1. On sent quand même l’influence Stranger Things tout de même… Les gens ont l’air d’y avoir mordu à l’hameçon…

    Je suis toujours étonné du status culte de SOS Fantomes. C’est divertissant oui. Mais de là à m’avoir marqué… pas franchement.

    • La faute à la présence de Finn Wolfhard et l’absence de grande ville. C’est comme si ça se mordait la queue avec les productions plus récentes qui ont été influencées par le film originel – marquant parce-que cool et avec du second degré viril et malin.

  2. Vive le Canada/Québec plutôt ? 😙

    Ce « SOS Fantômes » risque d’être un peu déchiré entre plusieurs voies différentes. Celui de Feig au moins était clair dans l’idée de faire la même chose mais à notre époque et au féminin, ce qui était moins de la trahison qu’un autre point de vue.

    Vu deux inédits de Henry Hathaway, dont Enfin « Peter Ibbetson », le film chéri des Surréalistes – si Jean Cocteau, Terry Gilliam, Christopher Nolan ou Zack Snyder ne l’ont jamais vu, c’est alors qu’ils ont juste creusé le même thème.
    Et « La Fureur des hommes », un western-revenge qui va à contre-courant de tout ce qui se fait, à la recherche de Paix dans une sorte de conte cinématographique

    Re les films des Studios Ealing, à l’esprit anglais flamboyant.

    « Jusqu’à la garde » :
    Effectivement un film de genre, Thriller/un peu Horreur, au service d’un sujet sociétal pas bien joyeux, et aussi à la gloire de la fonction de la police.
    Tellement du genre avec ces acteurs centraux à la limite de la caricature dont un Denis Menochet trop évident, par son allure d’ogre dévorant (et chasseur bourru en plus). Et une Léa Drucker naturellement plus frêle et discrète, quoique avec une ambiguïté des réactions assez subtile (idem pour les enfants). Son César de la meilleure actrice récompense peut-être plus la cause que le film lui-même, définitivement une œuvre très cinématographique :
    Le travail sur le danger est total, absolument toutes les scènes sont menées par un suspense menaçant constant via les hors-champs, le son (ou son absence), les digressions sur lesquelles on peut y projeter ce qu’on veut, les non-dits et les interrogatoires intimidants, l’intelligence aussi bien des protagonistes qui veulent s’esquiver que de celui qui domine, bref les (mauvais) jeux de pouvoir.
    C’est à la fois simple et complexe, c’est au fur et à mesure tétanisant.

    « Hostiles » :
    De Scott Cooper, qui est plus un directeur d’acteurs (ce qu’il est lui aussi) plutôt qu’un metteur en scène virtuose, même s’il ne galvaude pas les moyens qu’il a à disposition.
    Mais encore (pour lui) pour un film sur un esprit américain aussi passionné que violent, en remontant plus loin dans le temps… Sans rien en réinventer, en explicitant à peine ce qu’on en connaît – Christian Bale y est à peine plus « salaud » qu’un John Wayne, par exemple.
    Tout y est clair dans ce film. S’il est intérressant d’y montrer qu’on peut être encore capable d’avoir de la haine envers ceux que l’on connait suffisamment pour parler la même langue et culture, tout le reste y est symboliquement explicite que ce soit une double scène d’ouverture renvoyant deux camps opposés à des actes barbares – enfin, plus humiliants et moins violents pour l’un d’entre eux, obligeant à des excuses contrites…
    Ou bien que l’on y comprend vite que tout ce beau monde est traumatisé, fatigué, un tantinet suicidaire…
    Que tout ceux qui, au fur et à mesure du voyage, rentrent dans le groupe (toujours remplacement de ceux qui en sont sortis drastiquement) ne sont là que pour servir à soutenir le propos du film – le Vivre Ensemble ou la Mort…
    Et que donc oui, à force de faire route sans se battre entre eux, ils se connaîtront cette fois hors du contexte de guerre et formeront une famille recomposée – d’ailleurs Eastwood n’est pas seulement cité à travers le similaire « Josey Wales hors-la-loi », mais aussi littéralement par une réplique de « Impitoyable », dite par Rory Cochrane sur un ton inversement las.
    Au constat que la Violence ne cède jamais un pouce de terrain (bien sûr, chaques personnes n’évoluent pas au même rythme que les autres), il en ressort une résignation faussement douce, juste pragmatique.
    Beaucoup de calculs dans ce film, mais peu de concessions. Bon Classicisme.

    « La Femme au tableau » :
    Ryan Reynolds encore duo, mais plutôt qu’avec un grand costaud brutal dans une comédie d’action qui gueule, c’est avec une Helen Mirren pinçante dans une histoire sérieuse et réelle sur les spoliations par les nazis.
    En conséquence, il nous y fait sa plus belle tête de grand gamin naïf mal dégrossi… On n’y gagne peut-être pas au change en le voyant aussi contenu, pas toujours crédible, pas du tout l’attraction principale du film par rapport aux deux actrices (à travers le temps) Tatiana Maslani/Mirren.

    « Tout le monde debout » :
    Où la confirmation que Franck Dubosc peut être l’équivalent français de Adam Sandler. C’est-à-dire que, sans être exactement dans le même registre de héros beauf un peu pathétique, le fait est que quand ils arrêtent tout les deux de faire des comédies facilement grasses avec leurs potes respectifs (et souvent en vacances) ils utilisent leur talent pour des opus un peu plus surprenants. Surtout quand ceux-ci sont plus offensifs.
    Ici, Dubosc (réalisateur) pousse les blagues sur les handicapés jusqu’à l’extrême limite, pendant vraiment tout le film… Et si le chemin de son héros est balisé avec une évidente tendresse (et que son héroïne est extra), ce qui compte le plus c’est le chaos formidable qui vient se mettre en travers, à chaque fois de manière impossible à prévoir – un coup il nous la fait à l’envers, puis encore, puis plus du tout, puis d’une autre façon, puis il nous balance un gag hommage à « Police Squad »… On ne sait jamais à l’avance ce que vont faire les personnages, tout y donne l’impression d’être imprévisible.
    Sans participer au jeux de mots douteux, c’est comme si ça n’avait pas de colonne vertébrale… Mais que c’était alors un ver qui avançait en se tortillant dans tous les sens.
    Drôle d’animal en tout cas !

    « Encanto : la Fantastique Famille Madrigal »
    Un petit Disney, présenté comme un non-événement – c’est à dire conscient de sa modestie, et donc peu promu (juste José Garcia comme star connue dans la VF).
    Mais le fait de ne pas être défini comme Exceptionnel n’en fait pas un produit anecdotique. Les idées révolutionnaires ne sont pas une obligation à tout prix dans l’industrie. Ça vient ou ça vient pas lors de la conception, c’est tout.
    Seul compte la qualité générale, le travail bien fait (ici la culture colombienne, la splendeur des couleurs, l’animation des cheveux et vêtements, utilisation de plusieures types de techniques cinématographiques, scénario drôle et mystérieux à la fois), ce qui garantie suffisamment qu’on prenne plaisir lors de la séance en salle, et éventuellement qu’on n’en sorte pas la tête vide. C’est justement l’un des sujets du film

    De retour dans l’Amérique du Sud, qui a beaucoup fasciné Walt Disney par sa diversité, on n’a pas vraiment là un cousin du « Coco » de Pixar. C’est une vraie comédie musicale, intemporelle, émaillée des loufoqueries habituelles et salvatrices, ayant toute sorte de rythmiques et toute entière menée par l’omniprésent Lin-Manuel Miranda (qui y joue aussi un rôle crucial).
    Plutôt une version inversée de « La Reine des Neiges », où le mouton noir (gênant) de la famille et du pays n’est pas celui qui a des super pouvoirs extraordinaires… Mais celui qui n’en a pas. D’où une hypocrisie sourde chez tous les protagonistes extra-ordinaires, méprisants malgré eux.
    Là où l’héroïne ordinaire elle-même a beau être gentille et en quête de sens, elle supporte de moins en moins la situation et n’en est pas non plus immédiatement sympathique.

    Tout ça se raconte, sans antagonistes méchants basiques, à travers le thème du Foyer associé à des traumatismes :
    En danger jadis lorsqu’on en a été chassé pour devenir des déracinés – on dit aussi migrants, avec tout le péjoratif qu’on peut y accoler.
    En danger aujourd’hui de l’intérieur à cause de préjugés conservateurs.
    Cette maison qui se fissure devient également le Studio Disney lui-même, qui en a vu d’autres. La manière dont il est présenté évoque le fameux château magique autant qu’une maison de poupée.
    Chaque membre de la famille représentant les diverses productions de prédilection de leur studio ou de Pixar – à Isabela les princesses « parfaites », à Antonio les drôles d’animaux parlants, à Luisa les super-héros Marvel, à Bruno l’Aventure/SF (incluant Star Wars donc), aux autres les productions d’envergure moindre…
    Mais rien ne doit être si facilement acquis, tout peut être remis en question à un moment donné, pour que la maison revive en se redéfinissant, en évitant la sclérose.
    Et qui mieux que le public ordinaire lui-même pour donner un coup de main, en travaillant lui aussi, en mettant la main à la pâte plutôt qu’en restant passif.

    Ce ne sont pas seulement ceux qui ont les moyens et qui donnent qui font que ça tienne… Ce sont aussi ceux qui n’ont pas grand chose, mais qui savent le rendre à la mesure.

    Relu avec plus de précision Les Éternels de Jack Kirby.
    Où ce que le film a gardé – un récit de présentation des personnages et de leur univers, qui sont des figures historiques, mené par un héros particulier et assez fixe (Ikaris chez Kirby, donc plus par l’action, Sersi pour Zhao, donc plus par l’empathie). Et des concepts de dieux cosmiques monumentaux prêts à juger la Terre.
    Et ce qu’ils ne pouvaient bien sûr pas garder : les humains qui sont aussi créés par les Celestes, l’inclusion problématique de l’univers Marvel (pourtant hors continuité à l’époque), la répétition d’archétypes ultra rebattus…
    Tout se tient jusqu’à ce qu’on arrive à l’Annual de la série (pas bien placé dans l’Intégrale, ça devrait se passer quelques temps après la séparation de l’UniMind). Il manque ensuite une direction claire et nette, qui inclurait les moments de pugilat sans casser le rythme de la narration.
    Mais le rythme de l’action, lui, est incomparable. C’est même plus ça qui est fascinant à lire, l’histoire elle-même étant plutôt en pilote automatique, en réaction aux planches dessinées.
    Donc totalement une belle œuvre graphique, où l’on peut ainsi y projeter tout ce qu’on pense… Absolument impensable à faire sur grand écran dans un divertissement à gros budget – même « Mad Max Fury Road » contenait des phrases explicatives, c’est pour dire.

    Fantastic Four le portail omniversel… Le plaisir inventif est bien là, c’est toujours sympa (preuve que ces personnages sont loin d’être obsolètes)
    Même si les ficelles sont bien visibles : ce qui a été créé est défait, untels personnages reviennent et amènent des problèmes, et l’Élégie doit aller où on l’attend le plus logiquement à la fin – Reed met un peu de temps à trouver une solution aussi évidente, et qui peut donner un crossover avec le Hulk immortel.

    Tiens lui justement, ce Hulk peu ragoûtant… Au dernier tome vf (Le Gardien de la porte), la série de Al Ewing n’a pas échappé à des automatismes narratifs, on a pu le voir depuis longtemps même si les idées et réflexions profusent toujours. Mais avec une ou deux scènes gores chocs à chaque album, et une histoire au long cours où tout est entièrement lié, il y a moins de réelles surprises.
    Encore moins quand un personnage finit par se la jouer « It’s Agatha all along »… Oui, on en est encore là. Mais avec du body horror.

  3. Alors, effectivement, dans la saison 1 de TWD Jenner dit que les français sont ceux qui étaient le plus proche de trouver un remède. Franchement je m’attendais pas au retour de cette intrigue, ni même au retour de Jenner, mais ça changera rien au fait que l’épisode 5 de la saison 9 est selon moi la véritable fin de la série… avant le film. J’avais bien aimé le reste de la saison 9, mais la fin nous fait revenir pour la saison 10, qui est acceptable mais sans plus, avant de devenir horrible dans les épisodes bonus covid. Puis la saison 11… la série n’a littéralement plus rien à part de bon acteur (pour la plupart) c’est triste, mais si on regarde du côté de World Beyond et de Fear on dépasse le stade du triste pour rentrer dans le consternant…

  4. SOS-fantome l’héritage … meilleur qu’un certains film SOS-fantome dont nous ne parlerons pas … mais un peu fainéant sur le scénario.
    Pas passé un mauvais moment, mais pas de fois mes yeux ce sont levé au ciel … j’explique pas pourquoi pour ne spoilé … mais disons que c’est lié à un petit sentiment de fan-service/plagiat vis à vis des films originaux.

  5. Le film de Feig est un pur ratage, sauf pour les fx qui étaient forcément meilleurs que les films des 80s. J’ai hâte de voir cet héritage dirigé par le fils d’Ivan Reitman et tant pis si je suis déçu, perso dans ma filmothèque je n’ai que le 1er film, je n’ai jamais acheté sos fantômes 2 qui est une pâle copie du 1er et qui ne se distingue pas du tout. J’espère que celui la se distinguera et, de plus, j’adore Paul Rudd, ce qui va aider 😊😊😊

    #WhoYouGonnaCall

    • Snifff pourtant le 2 a quand même des passages cultes… Murray qui insulte le tableau, La statue de la liberté, j’avais même avant mon dernier visionnages des ligne de texte en tête « Mais c est vigo, le roi des carpates, le fléau de moldavie »

      En tous cas je me suis refait le 1 et 2 cette année, et franchement j’ai repassé un super moment, le film survit bien aux FX datés à l’instar d’un retour vers le futur (1 et 2 bien sûr)

      • « Mais être un sale con et traiter son voisin comme de la merde est le droit que Dieu a donné à tous les New-Yorkais! »

        Quelle réplique, mes aïeux…

      • Le passage du Titanic est marrant mais c’est surtout dans la construction et le cahier des charges que le 2e film est une copie du premier, je lui reproche aucune prise de risque justement. Je dis pas que c’est un mauvais film mais un film sans pertinence que j’ai moins aimé

  6. Purée il faut vraiment qu’ils arrêtent de faire jouer des français par des québécois mal dirigés ! (qu’on ne vienne pas me redire après ça que les films/séries sont forcément meilleurs en VO)
    Et je ne parle pas du magnifique « Labo de Biomédicine » écrit en grand sur la porte à la fin.

  7. Saved by the bell saison 2 : comme pour Cobra Kai , cette série qui fait suite a la série culte des années 90 arrive a être très fidèle tout en étant plus mature mais surtout très moqueuse envers la série original. C’est se coté autodérision qui la rend très fun a suivre. Et puis le cast original a bien vieillit (Kelly Kapowski a toujours dans mon cœur). Il y a dans la série deux grande piques , une envers Joss Whedon et une autre envers JK Rolling trés très savoureuses (surtout celle sur Whedon).
    Labrea: c’était censé être la grande série de la rentrée coté NBC, au final c’est un peu Lost trés très low cost. bien que divertissent on peut comprendre pourquoi les chaines traditionnelles soufrent face au streaming. le bon point reste le nombre limité d’épisode, et oui on se dirige lentement mais surement vers la mort du forma 22 épisodes.

  8. Un peu plus de stabilité cette semaine (retour au boulot, snif).

    Vu: Venom – Let There Be Carnage
    1h25 de film. Voilà. Comment développer sur ce temps autre chose qu’une histoire minimaliste? On ne peut pas, on peut se contenter d’avoir une histoire plus « carrée », mieux gérée, ce qui donne la surprise d’avoir un film mieux foutu que le premier.
    Mais. Le méchant apparaît au bout de 40 minutes (tout comme Venom apparaissait au bout de 40 minutes dans le 1), l’aseptisation de la violence qui pouvait passer pour Riot (il n’avait que le temps de s’enfuir) est inepte pour Carnage (deux, trois morts hors champ bien sûr), la relation Eddie-Venom qui remplit l’espace parce qu’il faut bien qu’il se passe quelque chose et mettre de la « tension » en vue du combat final.
    Et un revirement dans le combat final que je ne m’explique que par des coupes sauvages et tardives (mais pourquoi?! Le film est si court!).

    Lu: Alphabet Squadron – Tome 1
    Tout simplement un des meilleurs livres du canon Disney. Alexander Freed n’est pas facile à suivre, mais son écriture de la Rébellion sent la crasse, la sueur, la guérilla, les coups tordus, dans la droite ligne de Rogue One (dont il a été en charge de la novélisation, comme quoi). Le propos sur une Rébellion en perte de repère dans sa transition vers la Nouvelle République, devenant progressivement la force dominante dans la galaxie; les coups d’éclats suicidaires et les dommages collatéraux de la guérilla sont scrutés et ne peuvent plus exister dans un régime en voie de légitimation. C’est EXACTEMENT ce qu’on veut voir!
    Je m’attendais à une overdose de post-Endor-pré-Jakku, mais le livre s’intègre à la perfection, avec des liens clairs et logiques avec le jeu Squadrons, et surtout des PERSONNAGES. Ca suppure la dépression, la colère, la jalousie, le ressentiment, c’est HUMAIN. Bien mieux que l’équipe agaçante de Riposte. J’ai hâte de lire la suite.

    Je finis les DLC d’Assassin’s Creed Odyssey (au secours), et je viens de commencer KOTOR sur Switch. Le système de pause active pour que ce soit jouable à la manette est réussi. Je sens que ça va me plaire! J’ai déjà commandé un jeu de paazak!

  9. J’ai vu Resident Evil au cinéma. Pour un fan des jeux c’est du bonheur : décors repris très fidèlement, l’histoire est un habile mélange entre les 1 et 2, Code Veronica potentiellement adaptable en second film, bonne ambiance et bestiaire correcte, tous les personnages sont là. Je suis plus dubitatif sur le niveau intrinsèque du film, mais en grand amateur de la licence j’ai vraiment apprécié.

    • En l’état actuel du développement du TWD Universe, la trilogie de films est la seule qui est en mesure de s’intéresser à des zombies rapides + à l’origine du virus. Tous les autres spin-offs racontent des histoires à l’échelle locale, or il s’agit de grosses nouveautés.

  10. « Le dernier duel »
    Bon ben vu et très plaisant, surtout la narration, mais je voulais poser une question car j’ai peur de n’avoir pas compris l’essence du film.

    Edit : Garuys ne regarde pas ce film, il va t énerver, c est meetoo version moyen age XD

    SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER

    Bon tout d’abord, sniff j espérais un beau twist final à la « L’illusionniste » car je trouve que le film fini de façon assez plate.

    Bref ma question : Si j’ai bien compris le film nous montre le point de vue de chaque protagoniste
    Jean de carrouge à vraiment l’impression d’être bon avec sa femme etc… et Jacques le gris pense vraiment que Marguerite (Jodie plus belle femme au monde 😉 ) était consentante
    Ou bien est ce que les 2 premières histoires sont juste mensonge (donc inutiles au final) et seule la 3 eme histoire compte au final

    Et au final que de Jean ou Jacques a sauvé l’autre en fait ?

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