Le bar de Galactus #151 : For All Mankind ~ First Kill

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Forcément, après Jurassic World : Le monde d’après et avant Buzz l’Éclair, petite plage de calme… Malgré l’annulation de Raised by Wolves, la science-fiction est à la fête cette semaine avec le lancement de la saison 3 de For All Mankind sur Apple TV+ (ft. Joel ‘Rick Flag’ Kinnaman). Des fans dans la salle ? Et dans un tout autre registre, les algorithmes de Netflix ont concocté avec First Kill une histoire d’amour impossible entre une vampire et une chasseuse de vampires. On ne sait jamais, pour celles et ceux qui trépignent d’impatience en attendant Blade… Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu récemment ? A vos claviers et bon courage à tous en cette semaine de canicule !

Imaginez un monde où la course à l’espace n’aurait jamais pris fin. Cette série dramatique de Ronald D. Moore (Outlander, Battlestar Galactica) suit le parcours d’astronautes de la NASA, héros et superstars de leur époque, et plonge au plus proche des espoirs et des rêves d’une génération.

36 COMMENTAIRES

  1. Je viens de me repasser agents of Shield et je trouve cette série vraiment bonne. Elle vaut (pour ma part) largement les nouvelles productions de Disney plus. Les personnages sont vraiment attachants et je trouve que le lore Marvel est assez bien exploité. J’espère vraiment qu’on les retrouvera dans un futur agents of Sword ….

    • Agents of shield c’est l’une des meilleurs choses qui soit arrivé au mcu.

      Des saisons 2-3-4 qui étaient au top niveau qualité, une grosse mythologie, des personnages originaux d’autres mineurs qui ont été sublimé (Quake en tête évidemment). Une ambition dans les intrigues, une capacité à susciter de l’émotion très forte. Une vrai connexion au mcu sur ses 5 saisons [y a qu’à voir dernièrement l’importance qu’a pris le darkhold, introduit dans la série à l’occasion de la sortie de Doctor Strange 1]

      Poir un fan de comics, voir une construction de semaine en semaine, d’années en années, c’est aussi beaucoup plus proche des sensations qu’on connaît en papier.

    • Le pb c’est que vous comparez une série de 7 saisons de plus de 100 épisodes face à des mini-séries de 6-8 épisodes…
      Pas très équitable.

      Et même si je suis d’accord que Agent Of Shield est une bonne série, la 1ère saison n’était pas très ouf. Ça s’est bien rattrapé après.

      • Il faut voir à l’époque. Les gens n’étaient pas aussi élogieux sur la série. A part la saison 2, les autres étaient quand même largement conspuées, allant jusqu’à demander l’arrêt de la série parce que « c’est pas lié au MCU, gneu-gneu ».
        Je crois que le pire, c’était la saison 3 et les saisons 6-7

        Ça montre bien qu’avec le temps, les avis et les opinions évoluent grandement.

        • Mais si certaines saisons étaient moins bien, ils savaient si faire. C’était prenant, bien écrit et bien interprété.
          Je trouve que c’est au moment de la sortie de Cap 2 et la Révélation de Hydra que la série a commencé à être plus cool.
          Des la saison 2 le ton de la série change et pour moi, c’est là qu’elle est devenue Kiffante.
          Et La fin de saison 2A avec la révélation des pouvoirs de Daisy, holala mais quel gros kiff.

          J’espère à chaque foi qu’ils apparaissent dans un nouveau film ou une nouvelle série du MCU.
          Mais Feige ne veut pas je crois bien.
          Et puis avec la révélation sur la femme de Hawkeye, il a tout tué (elle serait Mockingbird). Maintenant s’ils reviennent, se sera avec une histoire de Multivers.

          Pourtant je trouve que la série a toujours respecté l’univers dont elle est issue.
          Aller Feige, dit nous qu’ils proviennent de l’univers Ultimates, au pire, et ramène les nous.

  2. Fini la saison 3 de Barry pratiquement la seule série selon moi qui rivalise avec Better Call Saul. La encore une saison 3 magistrale. J’espère qu’on attendra pas longtemps pour la saison 4.

    Le flambeau : je sais beaucoup on dit que la flamme était meilleure mais pas pour moi. J’ai ris comme jamais c’est tellement con et puis rien que le duo Merad- Darmon au top. parodier Kohlanta très bonne idée comme par hasard

    Vu aussi Hustle film sur un chercheur de talent de NBA qui déniche un pur pépite espagnol au passé trouble. Adam Sandler quand il ne fait pas ses comédies crasseuse et dépassé, montre encore une fois qu’il a du talent a en revendre. En plus le film a une flopée de guest du NBA normale il est produit par LeBron James.

    Sinon Mercredi Obi Wan Miss Marvel Superman and Lois
    Jeudi Star trek Strange new worlds
    Vendredi The Boys.
    Franchement on se moment on mange bien

    • Je rajouterais Atlanta dans les séries qui rivalise Barry. Mais oui c’était encore une grande saison, Bill Hader est en feu et en plus il va réalisé tout les épisodes de la 4.

      • Atlanta j’ai plus préféré les épisodes anthologique que celle sur le groupe. Du coup je place Barry au dessus même si Atlanta aussi est très bonne.

  3. J’ai enfin trouvé quelques épisodes d’la saison 4 de Young Justice en VF (le 13 et 14) et c’est incroyable comment une série qui était de base pour enfant peut être bien plus mature que les séries qui se veut Dark et sérieux comme Titans et Moon Knight par exemple. Il parle de racisme, politique, des LGBT (des lesbiennes, des gays, des polycouples, des non-binaire) de religion sans prendre 6 heures pour dire « EH REGARDEZ ! ON FAIT D’LA DIVERSITÉ ! VOUS AVEZ VUS ??? » nan, juste ils montrent qu’il en a sans s’attarder dessus pour montrer que c’est normal. Marvel et DC/CW (même si la série est DC) apprenez

  4. Vu Top Gun. Le 1er. Un des très rares films de Tom Cruise que je n’avais pas vu. C’est fou comme 36 ans après, les films en CGI font pâle figure à côté. Et dire que TG: Maverick semble être encore plus sensationnel, j’ai hâte de pouvoir me libérer pour le voir!
    Sinon, je reprends la 3è saison de Cobra Kaï avec un William Zabka toujours aussi touchant en loser.
    Ca fait beaucoup de mémo-myrtilles mais peut-être que comme moi, le grand public regrette cette époque où les choses étaient simples, sans artifice (CGI et fonds verts) et sans message politique progressiste matraqué à tout bout de champ.

    Sinon First Kill, c’est une parodie de Buffy ou bien? Comme dit Jaybird, pas besoin d’afficher ça comme élément de langage. Buffy mettait déjà la part belle aux lesbiennes bien avant toute cette idéologie forcée.

    • Pour ma part, je me suis forcé a ller voir Maverick en 4DX.. . heureusement, j’ai failli m’endormir. Bon, pas ma tasse de thé ce genre de film ou alors, je vieilli

  5. @LTH : Le milliard pour Dr Strange 2, c’est possible ou a priori, ça sera compliqué selon toi ?

    Et au niveau de Thor 4 et Black Panther 2, tu les vois à quel niveau au niveau du box office mondial ? Même question pour Black Adam et The Flash.

    • Ce n’est pas compliqué, c’est juste mathématiquement impossible. Comme anticipé il y a un mois, il va doucement finir autour de 950m$.

      Pour le reste… Thor devrait logiquement démarrer moins fort que Doctor Strange, mais mieux se maintenir sur la longueur. Black Panther, sachant qu’on a encore rien vu, grosse inconnue ; mais il y aura forcément une certaine forme de déception après le score hallucinant du premier aux USA (700m$ soit plus qu’Infinity War). Black Adam, score solide du milieu, genre 600-700m$. Et difficile de ne pas envisager un bide pour The Flash, entre les scandales à répétition autour d’Ezra Miller et l’attraction Michael Keaton qui ne doit pas intéresser grand monde en dessous de 40 ans. // Mais comme on ne sait même pas si ces films sortiront en Chine, cela devient un peu vain de pronostiquer aussi en amont.

      • @LTH : Merci pour ton analyse ! C’est vrai que le score US de Black Panther rappelle un peu le score ahurissant à l’époque de The Dark Knight (+ de 500 M $ sans 3D et score quasiment inatteignable à l’époque hors Titanic et Avatar). D’ailleurs, question subsidiaire : Avatar 2, tu penses qu’il va atteindre les 2 milliards au box office mondial ou tu penses qu’il sort bien trop tard après le 1er opus ?

  6. J’ai matté le 1er épisode de la saison 3 de All for mankind et ça déchire.
    Jme lance sur Star Wars Comics avec la Quête de Vador, je verrai ensuite 😉

  7. Jamais entendu parlé de For All Mankind, mais par contre carrément deg pour l’annulation de Raised by Wolves ! J’ai pas encore finit la saison 2, mais du coup je sais pas si je vais aller jusqu’au bout maintenant… 😞

  8. Vu:
    – The Boys: La reprise fait plaisir, c’est toujours autant de qualité et ça y est le protecteur et les scénaristes n’ont plus aucune limite.

    – Outer Range: Une série western/SF qui mise bien plus sur l’ambiance que sur l’intrigue. C’est vraiment très très bon même si il va falloir accélérer un poil sur la saison 2. (et le casting est ouf)

    – Obiwan: J’aime bien McGregor, mais c’est chiant.

    Lu:
    – Rorschach: Tom King fait du Tom King, c’est très bavard, mais Tom King fait du Tom King, c’est captivant. Les dessins sont époustouflants dans leur respect du travail de Gibbons tout en donnant pas mal de modernité, un mélange très classe. Et je suis pas très partisan des suites de Watchmen, mais entre la série de Lindeloff et ça, je suis assez rassuré qu’on puisse en faire quelque chose de cool.

    – Toutes les morts de Laila Starr: C’est incroyable, cette oeuvre fera date. Les dessins sont magistraux, le propos est parfaitement raconté et les couleurs, tout est parfait. Je voudrai ne jamais l’avoir lu pour la découvrir de nouveau.

  9. For All Mankind saison 3, premier épisode vu… les deux premières saisons étaient clairement plus dans l’uchronie que la science-fiction, mais avec cette nouvelle entame, clairement la série se dirige vers de la pure science fiction. Aller sur Mars en 1996… il fallait oser ! J’aime cette série pour sa lecture historique très particulière, qui prend le contre-pied de la plupart des autres séries sf : on est pas au troisième millénaire ou je ne sais quelle date, on est bien à notre époque, et l’humanité est en avance « simplement » parce que les russes ont posé le pied les premiers sur la lune… une série américaine sur une NASA fictive qui ose mettre en évidence les contradictions de sa propre société, avec subtilité, sans outrance, et avec intelligence… Un must.

  10. Vu :

    – Décidément j’en aurai jamais fini avec John Ford… Taaant mieux.
    Et puis coïncidence, deux films à rattraper qui ont des points communs, à 12 ans d’intervalle : « Les Hommes de la Mer », et « L’Homme tranquille », deux opus qui tiennent lieu de chroniques dans la grande Histoire (en parallèle de guerres), se racontant sans avoir une ligne narrative classique allant d’un point A à un point B.
    Et surtout, des films super Irlandais, donc aussi super braillards et alcoolisés.
    Toujours Barry Fitzgerald, toujours Ward Bond, et la curiosité de passer d’un John Wayne 1.0 (naïf et volontairement effacé dans l’un) au 2.0 qu’on connait tous (droit dans ses bottes et un peu couillon dans l’autre).

    – Enfin vu « Duel au soleil » de King Vidor – et surtout, vanity project de David O. Selznick à la gloire de sa Jennifer Jones… cousin dégénéré de « Autant on emporte le vent » allant encore plus loin dans l’exagération, sans garde-fou de type « gentilhomme du Sud et Hattie McDaniel ».
    Sexe et sadomasochisme (plus que suggérés) à tous les étages, visions expressionnistes pouvant même transformer les plaines du Far-West en planète Mars… Le chaînon manquant entre « Le Banni » et « Johnny Guitare », voir même un Lucky Luke pour adultes.

    – Et début d’une série de diverses comédies anglaises des années 40 à 60, du studio Ealing ou pas.

    – La trilogie tarée « Jurassic World », voir au précédent Bar.

    – « Rocketman »…
    Tous les codes du biopic musical hollywoodien classique sont là, avec l’enfance, le talent, les traumas, la gloire, la chute, la rédemption, les cartons de fin…
    Mais, là où le réalisateur Dexter Fletcher terminait un « Bohemian Rapsody » hyper timoré, mais tenu par le côté super galvanisant de Queen… Ici le biopic se travesti, à l’instar de Elton John, en une petite comédie musicale joyeuse et explosée autant que rude.
    Tout n’y est pas toujours réussi, le procédé étant rationalisé par son introduction via une confession du chanteur – montrant que tout ce qu’on y voit n’est que son point de vue…
    Certains effets étant également didactiques (il y devient littéralement le Rocketman)…
    Les chansons correspondant aux épisodes de sa vie ne nous prennent pas toujours par surprise, si ce n’est par l’identité de certains de leurs chanteurs. Et évidemment que « I Still Standing » sera là à la fin, mais dans un mélange entre (clip) réel et acteur qui permet la transition de la Fiction à la Réalité, donc à la Conclusion. Mettant de côté les chansons suivantes, un peu moins fortes alors qu’il commence à devenir clean.

    S’il manque des moments référentiels autour des autres artistes sexués contemporains à Elton John (Liberace est une brève évidence) ainsi que, comme toujours avec les films musicaux, le rapport avec le public (une jolie communion lors du concert au Troubadour, une mise à nue face à des addicts anonymes, et c’est tout)…
    Le portrait égocentrique mais touchant du bonhomme n’a de place que pour traiter tout simplement d’une énorme carence affective, venant contrebalancer le fait qu’il soit artistiquement et physiquement béni (malgré ses divers excès).
    Carence qui concerne ses plus proches, déceptions totales. Pour mieux mettre en valeur un amour amical concret avec son parolier Bernie Taupin, et la recherche d’une acceptation personnelle.

    Accessoirement, la conclusion d’une trilogie « fantôme », où Taron Egerton se confond une ultime fois avec Elton John après « Tous en scène » et le deuxième « Kingsman ».

    – Grand plaisir à revoir « Bad Boys for Life », seul film de la franchise à savoir construire des éléments de scénario aboutis, et une des meilleures suites « nostalgique » faites. Bien plus convaincante même que « Top Gun ».

    – « J’ai perdu mon corps »…
    Étonnant exercice filmique pour la France, surtout en long-métrage (on aurait plutôt imaginé le Japon ou l’Espagne s’y atteler).
    Un pari exceptionnel qui, pour sous-tendre une histoire mélancolique (très française elle aussi) devient surtout un grand film de mise en scène :
    Par ses cadrages – la Main plusieures fois mise au centre…
    Par l’animation – l’anthropomorphisme de la Main, ce qui est l’une des obsessions récurrentes des dessins animés, depuis leurs origines…
    Par ces diverses strates temporelles – dialoguant souvent les unes avec les autres…
    Par le rythme cinématographique – les péripéties qu’on y voit sont autant de références aux grands films d’aventures, qu’ils soient ou non lilliputiens…
    Par le son – suppléant au côté tactile de la Main, participant aussi bien à un sentiment de peine isolante, qu’à des interactions à caractère romantique…
    Et enfin par la musique, élevant le tout à des sommets sensitifs.

    Tout cela aidant à faire passer une animation (et un doublage) des personnages assez sommaire, un parcours narratif rempli de mal-être existentiel, une étrange présence animalière accrue (notamment la mouche, à la symbolique insaisissable), une conclusion abrupte…
    Et un Surréalisme pas toujours confortable pour les esprits les plus cartésiens, à qui on pourrait dire que tout le film n’est qu’une vue de l’esprit de son protagoniste, cherchant à retrouver son courage en inventant cette épopée fantastique, puis à aller vers la résilience en faisant le deuil définitif de ce(ux) qu’il a perdu.

    Peu importe, c’est un film fait avant tout pour ressentir, pas pour réfléchir. S’y abandonner est une tâche tout aussi ardue que la quête, réelle ou non, de cette Main.
    Mais ce que le film laisse en vous, ça en vaut largement la peine.

    Lu :

    – Star Wars La Haute République, et sa cool mission d’infiltration chez les Nihil.

    – Dragon Ball Super Tome 14 et la routine habituelle – Vegeta rate encore la première marche du podium, pour donner le temps à Goku, après un sacrifice, de etc etc… Même Moro se la joue multi pouvoirs évolutifs.
    En plus, pour une fois que Goku s’interroge sur la rédemption de ses ennemis, il se contredit là dessus d’un épisode à l’autre. Heureusement, ça reste Fun.

    – Début de l’Intégrale de Spawn, avec les épisodes manquant de jadis et des bonus. Le bon moment, et puis qu’est-ce que c’est introspectif et Millerien. Bavard, mais pas trop, ça ne bouge pas.

    – Par contre, début de la sixième Intégrale de Invincible… Et là, on tombe dans « le côté obscur » de Image comics. De la baston qui tâche, bravache et ne s’arrête jamais, jusqu’à un « Abracadabra ! » émaillé de Sexy. Y a intérêt à se calmer là !

    – Et enfin le douzième tome de Black Lagoon, plus Tarantinien que jamais, enfoirés et goûts douteux par paquet.
    Par contre, Dutch et Benny, c’est complètement fini depuis belle lurette là, il n’y a plus que Rock et Revy qui comptent.
    Mais comme il paraît qu’il s’agit du début de la Fin…

    • Ford est de loin mon réalisateur favori et pourtant je sais que j’ai le temps avant d’en voir la fin (je ne compte même pas les dizaines et dizaines de films malheureusement perdu, à jamais, pour la majorité). Ces 2 films sont tous deux excellents mais bien sûr, l’homme tranquille…
      Pour ces comédies anglaises, je m’y suis mis récemment, surtout celles d’Alexander mackendrick et je ne le regrette pas. L’ombre de Ford n’est d’ailleurs pas si loin même si on n’est pas du tout dans le même type d’humour. Même humanisme et regard tendre mais sans angélisme vis à vis du prolétariat, surtout dans the Maggie et l’homme au complet blanc.
      Sinon de mon côté, je me suis farci la série des thin man avec William Powell et mirna loy qui s’étale entre le milieu des années 30 et la fin des années 40. Clairement pas des chefs d’œuvre mais beaucoup de charme (un peu désuet) dans les aventures de ce détective fainéant et alcoolique créé par Dashiell hammet. Le duo d’acteurs vedettes est parfait.

      • Et bien il y a une particularité certaine dans ces comédies (je les ai en grande partie en coffrets), c’est d’abord le contexte d’après-guerre avec les dégâts et rationnements qui vont durer longtemps. Et infuser de manière différentes selon le studio producteur (chez Ealing c’était assez conservateur, ailleurs moins et plus joyeusement agressif).
        McKendrick sera capable d’aller plus loin en tournant même au dehors du Royaume Uni.

  11. Vu la saison 4 (partie de 1) de Stranger Things (je le remets là tant j’ai kiffé) :
    la série a monté le niveau d’un cran. Un vrai kiffe cette saison. Et la révélation de fin est vraiment intéressante. Hâte de voir la suite.

    Fini la série Ozark.
    La fin est assez mitigée j’ai trouvé. La fin d’n certain personnage important est assez décevante, et la dernière scène est contestable, un peu facile en comparaison de l’excellente écriture des persos jusqu’ici.
    Mais cette série reste dans le haut du panier largement. Bravo à Netflix et à toute l’équipe derrière (ça fait bizarre de devoir leur dire « au revoir » .. chnif)

    Vu la nouvelle partie de Love Death and Robots :
    au-delà des visuels qui sont sublimes, et de certaines idées vraiment intéressantes, cette série est trop violente et vulgaire dans l’ensemble. je vais donc m’arrêter là (ayant déjà sauté quelques épisodes).

    Enfin, vu Top Gun Maverick :
    très bon film. Pas non plus le film de l’année selon moi, mais une belle claque visuelle et sonore (à voir au ciné !). Les scènes aériennes sont impressionnantes, et le film s’apprécie bien globalement. Je regrette juste un peu l’aspect un peu trop positif/utopique du dernier acte. Une belle expérience de ciné en somme.

  12. Dommage pour Raised By Wolves c’était une série tout à fait unique de SF avec des thèmes intéressant.

    J’attends le commencement de The Old Man avec Jeff Bridges, FX a en général du très bon puis c’est assez court. Impatient pour 1899 la nouvelle série des créateurs de Dark.

    Men : Alex Garland se penche sur l’horreur cette fois après beaucoup de SF, ses oeuvres précédentes avec quelques moments horrifiques mais rien d’aussi perturbant que ce film d’horreur folklorique. Pas spécialement fan de ce type d’horreur assez dégoutant par moment (ceux qui l’ont vu comprendront de ce quoi je parle). Je ne pense pas que le thème de la toxicité masculine et des problèmes des hommes ont été si bien exploré, c’est plus une excuse pour délivrer une oeuvre perturbante et grotesque. Enfin Jessie Buckley prouve à nouveau qu’elle est l’une des meilleures actrices du moment et le Sound Design du film assure.

  13. Merci pour les quelques commentaires de For All Mankind. EnOrme série dont j’ai adoré le traitement saison 1 et 2
    Quand je reprendrai mon abo, je regarderai la suite.

  14. The Boys S03 E04. Toujours aussi bon, percutant sur tous les niveaux: Du BLM intelligent, de l’action, du suspense. Trop pressé d’être à vendredi prochain!

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