Le bar de Galactus #165 : Don’t Worry Darling ~ Code Quantum ~ Fullmetal Alchemist

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Qu’avons-nous de beau cette semaine ? Ce soir, la série culte Code Quantum renaît de ses cendres sur la chaîne NBC, avec un ‘revival’ où Ben Seong (Raymond Lee) va chercher à comprendre ce qui est arrivé au héros Sam Beckett (Scott Bakula) trente ans plus tôt. Si le succès de cette série peut ramener à la vie Sliders ou Stargate SG-1, on signe tout de suite ! Mercredi, la réalisatrice de Spider-Woman (Olivia Wilde) plonge Black Widow (Florence Pugh), Eros (Harry Styles), Steve Trevor (Chris Pine) et Sersi (Gemma Chan) dans un thriller inspiré de The Truman Show, Matrix et Inception. Il s’agit bien sûr de Don’t Worry Darling, présenté en avant-première à la Mostra de Venise au début du mois. Enfin, pour les fans de mangas, Netflix mettra en ligne samedi le film conclusif Fullmetal Alchemist : The Final Alchemy. Alors, de quoi sera fait votre semaine ? Pourquoi Lucasfilm n’a pas organisé une avant-première d’Andor à Andorre ? Jean-Luc Godard ou François Truffaut ? A vos claviers et très belle semaine à tous !

Alice et Jack ont la chance d’habiter dans la communauté idyllique de Victory, petite ville expérimentale de l’entreprise qui loge les hommes travaillant pour le Projet ultraconfidentiel Victory et leur famille. L’optimisme des années 50 qui traverse la société est totalement partagé par le PDG de la société, Frank – à la fois dirigeant d’entreprise visionnaire et coach de développement personnel – et imprègne le moindre aspect du quotidien dans cette bulle utopique en plein désert californien. Tandis que les hommes passent toute la journée au sein du QG du Projet Victory, en travaillant sur le ‘développement de matériaux de pointe’, leurs femmes, à l’image de Shelley, épouse élégante de Frank, vivent dans le luxe et l’oisiveté. La vie est parfaite dans cet environnement où le moindre désir des résidents est satisfait par l’entreprise. En échange, ils s’engagent à garder une discrétion totale et à faire preuve d’une adhésion inébranlable à la cause Victory. Mais lorsque des failles commencent à se manifester, révélant une sombre réalité au-delà d’une façade séduisante, Alice ne peut s’empêcher de se poser des questions : pourquoi Jack et elle sont-ils là ? Quel est le véritable objectif du Projet Victory ? Mais Alice est-elle prête à tout perdre pour découvrir l’envers du décor de son ilot paradisiaque ?

45 COMMENTAIRES

  1. « Oh Bravo ! », un « …Quantum » qui va jouer avec la possibilité de retrouver Sam Beckett, alors que Scott Bakula n’est nullement impliqué. Et en voyageant dans une temporalité (si le concept de la série est toujours respecté) moins intéressante que la période des années 50 à 80 de l’originale.
    Pas sûr que ça dure bien longtemps ça.

    Pas sûr non plus que Olivia Wilde, de plus en plus identifiée à Hollywood et dans l’opinion publique comme une personnalité un peu antipathique (son rôle de journaliste cynique chez Eastwood, ses problèmes relationnels avec ses acteurs et sa vie privée) finisse par faire un « Spider-Woman ». D’autant qu’il y a déjà « Madame Web ».
    Mais bon, on ne crachera peut-être pas sur la vision de son film à la Stepford Wives. 😋

    Vu :

    – Des Henri Decoin inédits. Grand plaisir des acteurs, et de thématiques régulières autour des mensonges, de l’estime de soi et des crimes. Dont il retourne le sens plusieurs fois – peut-on faire rimer méfaits parfaits et supériorité intellectuelle, avec la modestie des petites gens de villages ?

    – « De Rouille et d’os »…
    Regarde les hommes violents.

    Un film qu’on peut difficilement détacher de la filmographie de Jacques Audiard, sous peine de passer pour un beau drama un peu cru, au service de la star Marion Cotillard.
    Mais ce serait plutôt l’inverse : comme toujours d’ailleurs, on prend plaisir à voir Cotillard s’injecter en une fois dans la filmo d’un auteur, dans son rôle de prédilection de femme dure et énigmatique auquel elle apporte à chaque fois de nouvelles variations.
    Elle s’y retrouve à égalité d’importance avec Matthias Schoenaerts dans un rôle de bête humaine, qui lui a collé beaucoup trop à la peau… Mais qui serait ici plutôt un automate, agissant sans réfléchir et sans conscience, l’enjeu du film étant de le voir enfin se mettre du plomb dans la tête sans que ça ne paraisse trop forcé.
    On est donc toujours bien chez Audiard, et ses moments suspendus « aux yeux mis-clos » : son adaptation avec Thomas Bidegain de diverses nouvelles de l’écrivain Craig Davidson a beau mettre en avant sa vedette féminine et son cheminement rédempteur, ça se met quand même à égalité, puis au service, de l’itinéraire de son anti héros simple et primaire, véhicule d’une masculinité agressive ordinaire des basses classes. Sans jugement aucun.
    Mais pour devenir un homme (un vrai), on a souvent besoin d’une femme, d’échecs terribles et de cicatrices profondes… Jusqu’à fendre enfin l’armure, montrer sa part de vulnérabilité pour rattraper au vol ses protagonistes (Audiard ne va jamais trop loin avec eux, il s’y attache autant que nous).
    Il y avait déjà ça d’ailleurs dans « Sur mes lèvres », la femme au handicap et la brute épaisse érotisée… Qui serait ici délocalisé dans le Sud de la France, où l’imagerie ensoleillée devient brûlures aveuglantes, sans annihiler l’ambiance Noire dangereuse, polardeuse.
    Le film rebondit aléatoirement de son histoire à elle, puis à lui, puis aux deux… Ça alterne les instants extrêmement attendus (on voit venir à des kilomètres la scène sur la glace), et d’autres nous prenant complètement par surprise.
    C’est Imprévisible, et en même temps d’une évidence folle.

    – « Les Apparences »…
    Un film étrangement insaisissable. Karin Viard y joue à nouveau une bourgeoise coincée dans une vie (de couple) guindée, mais trop confortable pour la quitter…. Mais dans laquelle elle intrigue pour garder son statut, avec une touche de perversité.
    On connaît. Chez des français expatriés certes, mais qui ont réussi sur tous les points – l’enjeu étant juste de consolider cette réussite.
    Toujours à l’aise dans des histoires flirtant avec le thriller, l’actrice n’y coupe pas ici aussi.
    Et le film de rater une bonne occasion de se transformer in fine en Comédie du Remariage parfaitement amorale… Pas quand son Benjamin Biolay de mari s’amuse à jouer autant les lâches blasés, et qu’on suit également le parcours d’amants instables, servant de déclencheurs à la crise du couple.
    On en reste alors au titre du film, les apparences et comment vivre avec le regard inquisiteur des autres sur vous, quel que soit le milieu dans lequel vous évoluez.
    Ainsi qu’un énigmatique regard face caméra en calèche, qui peut évoquer lointainement l’émancipation de la « Madeleine » de David Lean. Il fallait juste que la prise de conscience de cette femme passe par les aveux que lui font ses proches, et non par un cheminement intérieur.

    Lu :

    – Cataclysme dans les comics Star Wars La Haute République, et son trio décidément fascinant et complexe de la surdouée Keeve Treenis, du grave Sskeer et de la grande Avar Kriss. Touchant.

    Suite intrigante de Crimson Reign, faisant monter le suspense. l’histoire de Madelin Sun est intéressante.

    – Surprenante nouvelle série Alien chez Marvel… Si on accepte le style très « roman photo » des dessins de Salvador Larroca… et l’ambiance nihiliste et désespérée qui existait sous la surface des deux premiers films, et est devenue plus forte ensuite (surtout chez Fincher et Scott)…
    Eh bien c’est très satisfaisant.
    Cet univers est remis sur la carte, explorant et prenant en compte tous les films (y compris d’autres créations de Giger). Philip Kennedy Johnson, lui même ancien soldat, le raconte à travers le drame d’un vétéran militaire sec et corporatiste, maudit via les membres de sa progéniture – mort, mortel ou conflictuel.
    Aucun espoir de rédemption affective dans cette histoire d’Horreur(s), trop tard. Ne reste que le récitatif du protagoniste, un dialogue qu’il n’aura le temps de partager avec personne sauf sa propre conscience.
    Car la noirceur surnaturelle est ici envahissante, sous le verni glacé et industriel… Même en n’étant pas bien généreux en instants de tension et d’action habile, c’est l’un des meilleur moyen pour commencer une saga, en attendant des jours meilleurs où il y aura plus de beauté graphique, et où l’Humanité retrouvera de l’Espoir.

    – Dragon Ball Super tome 16…
    Alors on reste encore sur la chasse aux criminels extraterrestres, Goku et Végéta apprenant un peu plus à devenir un duo de justiciers nec plus ultra (bon et avec à la clé une récompense et le plaisir de la baston élitiste, faut pas déconner).
    Ça change un peu, et c’est plutôt agréable.

    – Première mini-série de Space Usagi dans l’album Intégral…
    Qui ne change pas grand chose, le côté médiéval étant encore présent. Stan Sakai n’était peut-être pas complétement à l’aise avec la pure SF, et lorgne classiquement vers du Star Wars (forcément).

    – Fini l’Intégrale collector des débuts de Spawn…
    Mis à part l’épisode revendicatif et terminal écrit par Dave Sim, la suite est assez adolescente, avec abus de crossovers Image et de digressions pas très utiles (les gangs de cyborgs et le double épisode avec Violator).

    – Première moitié de la septième Intégrale de Invincible…
    Toujours le côté obscur de Image Comics, à savoir du Porn Destruction et des tas de gerbes de sang. Malgré tout, le fait de se fader encore des affrontements peu de temps après la Guerre des Invincibles et l’attaque de Conquest puis des Kalmars (qui ont bien bouffé du temps quotidien à Mark et Eve, avec pour but de fragiliser la psyché du héros) n’empêche pas le récit d’apparaître mieux maîtrisé ici.
    Car la Guerre des Viltrumites, même en n’étant répartie que sur 8 numéros et demi qui passent très vite, est assez prenante et bien épique… même en flirtant beaucoup avec du Dragon Ball Z. Et il s’y ménage surtout beaucoup de plages de tranquilité, où les personnages pensent à se poser suffisamment. Pour laisser retomber la pression, ou bien réfléchir à leurs actes.
    Avec une conclusion très maligne, qu’on peut deviner à l’avance plutôt facilement.
    Il était temps que cette série retrouve un peu de son intelligence d’écriture.

  2. Film : Predator 2
    J’avoue l’avoir préféré au 1er (Prey > Predator 2 > Predator). Si les clichés des personnages du 1er film m’avaient un peu géné durant le visionnage, le 2nd est passé plus facilement. Il y en a ! Je ne réfute pas. Doivent être content les Jamaïquains… sans parler des gens du métro qui sortent tous des flingues (d’ailleurs c’est un métro ou un RER ? Non parce qu’il en met du temps pour arriver à la station suivante… et encore il s’arrête en urgence…). De l’ambiance du commissariat en passant par l’éternel conflit entre flics et fédéraux.

    Mais j’ai compris que cette surenchère de violence justifie en fait la présence du Predator. Ce dernier cherchant la proie la plus dangereuse. Transition bien trouvée entre jungle et jungle urbaine au début.

    Point interessant, le film apporte du lore concernant l’alien et son fonctionnement. Très agréablement surpris de la référence du xénormorphe et de l’objet aperçu dans Prey.

    Une idée du pourquoi ça se passe en 1997 alors que le film est sorti en 1990 ?

    Série : Je me prépare pour Andor.

    Comics : Après le tirage estival des Batman, je fais une pause pour le moment.

    • 1997 pour mieux faire croire à une flambée de la température et du crime, qui serait devenue si forte et quotidienne à Los Angeles, qu’un Predator voudrait en faire un jour son terrain de jeu.
      Ou bien pour en faire un équivalent du Détroit futuriste de « Robocop ».
      On peut même penser que c’est quelque chose qui couvait déjà, vu les émeutes qu’il y aura dans cette ville quelques années après.
      À rapprocher également du début du film « Demolition Man », puis de « Strange Days » de Kathryn Bigelow et du « Los Angeles 2013 » de Carpenter.

  3. Quelqu’un peut me dire ce que c’est que cet Full Metal Alchemist: the final alchemy ?? C’est un film fan made, hein? Qu’on me rassure ! C’est véritablement moche, mal joué (et surjoué ou pas joué du tout) et ça va faire de la mauvaise pub au manga et a l’anime qui sont incroyables ! A ceux qui n’ont jamais lu et vu FMA, ne commencez pas par ce « film », ne vous fiez pas a « ça ».
    Moi qui suit gros fan de l’anime (des 2 versions), je m’attendais a un autre film d’animation … et à la place je vois « ça » … j’ai cependant bien rit je dois l’avouer.
    Sinon, je poursuis les épisodes de Scandal. J’en suis a la saison 6 ep 13. La série décline de saison en saison, mais ça reste intéressant a poursuivre. Reste juste que le trio amoureux Olivia-Fitz-Jake est vraiment saoulant et irritant a la longue (heureusement qu’on peut accélérer-zapper ces passages) et que tous les personnages sont tous sous dopant, ils ne font que se gueuler dessus touuuut le temps, c’est a celui qui gueulera le plus fort.

    • Pour Full Metal Alchimist ça fait quelques années qu’ils se sont lancés dans cette série de film. Vraiment ratée. Mais bon comme lui il coûte pas cher, on a eu des suites contrairement aux lives Alita ou Ghost in the shell

        • ah mais je pense pas qu’ils perdent de l’argent avec justement. ça doit avoir son public au Japon (où ils sont beaucoup moins sévères que nous sur le live action) et puis Netflix passe à la caisse pour garnir son catalogue avec.

  4. LOL Full metal alchemist on dirait les FX de Volcano high.. bref ce sera sans moi, bien sûr

    Vu : Uncharted : Bon une fois ici j’avais éspèré un God of War en film et un des memebres m’avait fait comprendre à quel point c’est inutile tant les jeux (uncharted, resident evil, gow etc…) sont déjà tellement bien narrés et mis en scène . Bon ben là encore ça n’a pas loupé , j’ai trouvé ça nul, mal écrit, j’étais en malaise de Sully/Mark Walberg , et Nathan n’a pas son carnet relié en cuir bref plus jamais je ne demanderai d’adaptation de jeu en film .
    Pour moi, seul mortal kombat 1 et les sonic ont réussi l’exercice .

    House of the Dragons, j’ai craqué et donc vu les 5 épisodes . Verdict, si je n’avais jamais vu GOT je lui mettrais 10, mais malheureusement là ce sera un 9 , un peu comme je noterais moins bien un better call saul à cause de BB . Mais ça reste des séries exceptionnelles .

    Bref je pense qu’un peu comme vous, quand je voie un perso dans HoD je me dis c’est le …. de GoT . Donc allons y… lol

    SPOILERS HoD

    Le Roi : Vyseris vs R Barathéon : Bon ben ce dernier l’emporte haut la main et j’ai hâte que Vyseris meure, il est gentil et aime sa fille, mais bon, il n’ai définitivement pas sa place dans le game

    L’aspirante au trône : Rhaenyra vs Daeneris : bon à la base je n’ai jamais trop aimé Daenerys et John snow , jelui préfère donc Rhaenyra, je la trouve trop charismatique et je sens que ce perso a un gros potentiel dans la série

    L’homme de la cour pour qui le bien être du royaume est la priorité absolue : Varys vs Lyonel Strong : Match nul, les deux sont très bons . Varys est devenu un de mes persos préféré dans GOT, mais je dois faire abstraction de ça et me rappeler mes 1ères impressions .

    Le magouilleur : Littlefinger vs lord larys : J’ai d’abord pensé à Otto Hightower, mais non le comploteur de l’ombre sera lord larys et gros gros potentiel aussi, donc match nul aussi pour la première impression .

    La reine qui va tout dégomer : Cercei VS Alicent Hightower . J’ai failli ne pas la citer tant elle est osef dans les 4 premiers épisodes, mais bon son entrée dans la cérémonie avec sa robe verte laisse présager du bon, mais peu de chance qu’elle arrive à damner le pion à Cercei

    Le gentil chevalier : John snow vs Sir Criston Cole : Ce dernier l’emporte haut la main, j’adore son perso, mais bon comme dit plus haut, John Snow n’a jamais été ma tasse de thé

    Le père qui place ses pions : Twinn vs Otto : J’ai préféré Twinn au début de Got par sa présence sa froideur, son charisme, mais wait and see, gros potentiel chez Otto aussi .

    Voilà c et à peu près tout pour les comparatifs . Sinon trop trop deg que Rhea du Val soit morte, elle était trop belle et badass, je ne la voyait pas mourir si vite. Dommage

    Sinon Daemon trop trop stylé et j’adore aussi la famille Velaryon (purée les noirs et métisses rendent trop bien en blonds dans la série) .

    En tous cas je suis 100% conquis et compte les jours qui me séparent du prochain épisode .

    • C’est sûr que les adaptations de jeu sont plus pertinentes pour des jeux qui n’ont pas de base une narration cinématographique. Warcraft c’était parfait pour être adapté : une histoire de dingue mais qui jusqu’ici n’avait été raconté qu’en version rts.

  5. Toujours bloqué à la fin de la saison 11 de Doctor Who, je cherche l’épisode « Resolution » en VF mais rien à faire. Quand je vois que pendant ce temps, NRJ12 va diffuser les nouveaux épisodes spéciaux. Trop triste.

    Sinon à lire :
    – Devil’s Reign 1
    – Reign of X 19 et 20
    – Crimson Reign 3
    – La Haute république : la chute de l’étoile

    Et à voir :
    – j’ai commencé la saga des films G.I. Joe avec le Réveil du Cobra, plutôt satisfaisant, c’est rigolo, pas trop focus sur les États-Unis comme dans le comics. Là, l’organisation est internationale, je préfère ça.
    Du coup, me reste Conspiration et Snake eyes à voir.
    – Destin : la saga Winx saison 2 commencée, ça a l’air mieux que la saison 1
    – Toujours She-hulk (bouargh), Stargirl (ouiiii) et bientôt Andor (pitié faites que ça soit bon)

  6. Numéro Treize a fait de jolis progrès depuis Booksmart. 🙂
    Ce nouveau Code Quantum, en revanche, je le sens pas. De plus, j’ai été tellement sensible à l’original que j’ai envie de garder sa magie en mémoire et de ne plus revenir à ce récit. Et puis, Code Quantum sans Scott et sans Dean, c’est plus pareil, ma bonne dame 🙂

  7. Le cinéma de ma ville ne passera pas « Don’t worry Darling », car le cinéma de ma ville n’aime pas… le cinéma. (ils ont déja fait l’impasse sur « Everything Everywhere… » le mois dernier)

    Vu:
    Les anneaux de pouvoirs : Ici on aime globalement ce qu’on voit. Pas une révolution mais c’est très beau, ça prend le temps de construire des trucs et les acteurs sont pour la plupart assez convaincants. Je ne rentre pas dans les débats débiles et les superfans qui sont choqués à la moindre incartade, ça fait un travail d’adaptation, on accroche ou pas, moi j’accroche. Bien sur que ce n’est pas la trilogie originale en terme de qualité mais toucher à ce point au miracle c’est normal que ce soit exceptionnel.

    La maison des dragons: C’est pas mal, mieux que la série mère dans laquelle je détestais en tout points de nombreux acteurs (Kit Harrington l’homme au charisme d’huitre, Emilia Clarke l’actrice qui a décidé de jouer encore moins bien que Sophie Turner). Par contre ça parle quand même beaucoup et ça gagne du temps assez artificiellement sur l’intrigue je trouve. Tout en allant beaucoup trop vite à d’autres moments.

    Heels: P’tite série drame familial et social sur fond de catch. C’est cool, ça se veut pas plus gros que ça n’est et ça redonne du crédit au mec de Arrow que je trouvais particulièrement mauvais et qui ici se démerde plutot bien (par contre Bjorn joue toujours aussi mal)

    lu:
    Je suis en plein dans « A short story », c’est passionnant tout simplement. Retour sur l’affaire du Dahlia noir dans un ouvrage mi-BD mi- documentaire. C’est super, c’est beau, c’est top.

    Invincible intégrale t7: C’est toujours génial, Y a rien à redire.

    • « Kit Harrington l’homme au charisme d’huitre, Emilia Clarke l’actrice qui a décidé de jouer encore moins bien que Sophie Turner »
      LOL tellement ça 🙂

    • Pas autant que Buffy ou Charmed mais j’aimais bien. J’ai vraiment commencé à regarder à partir de la saison 7 (je sais c’est tardive mais avec les rediffusions j’ai rattrappé) et en même temps que Stargate Atlantis dont j’ai une petite préférence.
      J’ai vu Stargate Universe aussi. Concept original. Dommage qu’il n’y ait pas eu de fin.

    • Perso, je suis un fan et je suis passé à autre chose.^^
      Qu’est-ce que je peux rajouter ?
      Les Oris n’ont pas été très intéressants, Atlantis s’est enfoncé au fil des saisons et Universe était assez différent.

    • Un univers génial, dont personne ne s’est rendu compte à quel point il a posé les bases de la SF moderne plus terre à terre… C’est à dire se passant au présent, avec l’omniprésence des militaires des USA (pour la puissance de feu stratégique), des scientifiques utilisant toutes les théories du genre, et… des héros conscients de la Pop Culture et capables de second degré loufoques. Il y a un peu de Marvel Comics là dedans, c’est évident.
      Ainsi, « SG-1 » serait un remake terrien de « Star Wars », « Atlantis » son équivalent de « Star Trek », et « Universe » lorgne beaucoup sur le « Battlestar Galactica » moderne.
      On y retrouve les mêmes archétypes de personnages que leurs modèles, mais en plus décontractés, plus proches de nous.

      S’il y a bien des franchises qui mériteraient de revenir, celle ci est l’une des meilleures candidates.

  8. Oh oui le retour de Sliders un jour je dis un grand oui. Stargate je pense qu’il faudrait rebooter le tout et repartir sur quelque chose de plus moderne. D’ailleurs pour Code Quantum je trouve ça bête qu’ils partent à la rechercher du personnage, il aurait fallu partir sur de nouvelles bases car bon Scott Bakula n’étant pas impliqué dans la série…

    • Mais à la fin de la série, Al devait continuer à rechercher son meilleur ami après que celui-ci change sa vie en permettant son mariage avec Beth…
      Ce sans quoi Janice Calavicci n’existerait pas, et ne serait pas maintenant en contact avec Ben Song.
      À moins que le but du voyage de Sam et maintenant Ben est de faire en sorte que toute l’Histoire, faisant partie de leur propre culture, aille dans la bonne direction. Que ces voyageurs soient surtout là pour réparer des erreurs qui n’auraient pas dû exister.

      • @ Flo : je n’ai pas encore vu la nouvelle mouture, mais il me semble qu’à partir du moment où Al peut épouser Beth, il ne sera jamais impliqué dans le Projet Quantum. Si je me souviens bien, c’était le sens du dernier épisode, car c’est à cause de cet échec personnel que Al s’est indirectement lancé dans ce projet. Je dis ça en complément de ton propre commentaire, j’ignore totalement comment ils auront tortillé tout ça. En principe, après le dernier épisode, Al n’a jamais rencontré Sam. J’en suis quasi sûr. Ils auront tortillé 🙄

        • C’est à dire que la série s’est arrêtée inopinément, mais qu’un épilogue devait à l’origine montrer Al et Beth au présent, avec la promesse qu’il finirait par retrouver son meilleur ami.
          Signe qu’il ne l’a pas oublié (ça serait tout de même dommage).
          Signe aussi que : soit Al a quand-même rejoint le programme Quantum dans cette nouvelle réalité, pour d’autres raisons si ce n’est l’amitié ou le devoir.
          Soit il ne l’a pas rejoint, mais il se souvient d’absolument tout de la réalité où Beth l’a cru mort et s’est remariée (et lui aussi, mais avec plein d’autres femmes par contre 😁 ).
          C’est plausible : dans un des épisodes, quand Sam a indirectement sauvé le programme de l’annulation en aidant une jeune femme, qui deviendra plus tard une sénatrice en faveur de la poursuite du programme grâce à son influence, Al a vu le changement se faire en un clin d’œil. Tout étonné d’écouter d’abord un homme se prononcer Contre, puis à la place l’apparition d’une femme qui soutient les Pour.

          En attendant, à l’instar du 2015 de « Retour vers le Futur 2 », le 1999 assez futuriste de la série a normalement disparu, puisque n’ayant rien à voir avec celui que nous connaissons tous.
          Ou bien c’est que ce type de 1999 ne devait pas exister.
          On peut alors projeter cette théorie, non décidée par les scénaristes mais plutôt par ce que la série a créé d’elle-même : Donc Sam voyage dans sa propre temporalité de sa naissance dans les années 50 jusqu’à la fin du siècle et toujours dans l’histoire de l’Amérique ou d’américains, en dehors de quelques exceptions, car ça fait partie de sa culture, de ce qu’il connait intimement de son pays.
          Aucunes coïncidences au fait qu’il y ait plusieures fois des histoires militaires (il est aussi directement lié à l’Armée, mais le producteur Donald P. Bellisario y est aussi très attaché dans quasi toutes ses séries)…
          Ni même à ce qu’on y retrouve des histoires ayant trait à la lutte contre la xénophobie (Sam est un homme plutôt ouvert sur les autres), au féminisme (sa sœur a eu un mariage très malheureux), ni qu’il devienne une fois un pianiste (il sait en jouer), ni qu’il se retrouve dans la peau d’un jeune homme trisomique alors que Al a vécu le traumatisme de sa cruelle séparation d’avec sa sœur Trudy elle même trisomique…

          On sent que toutes ces destinations particulières, c’est lui qui les a voulu inconsciemment – sans prendre en compte tous ses trous de mémoire dus à ces sauts temporels.
          Mais en même temps, s’il arrange les choses, en espérant que ça influe très indirectement sur l’avenir… Pourquoi le faut-il ? Qu’est-ce qui a capoté à l’origine et qui nécessite son intervention ?
          Probablement un adversaire qu’il va croiser sous différentes formes à certaines reprises : le Mal Absolu et incarné. Prenant la forme de Al (l’épisode avec Stephen King), ou envoyant ses propres agents temporels concurrents, pour empirer les choses et faire advenir un Futur sombre…
          Ainsi Sam ne serait pas tel un dieu, créant des moments heureux chez des anonymes, ou bien « faisant » des personnalités célèbres (de Buddy Holly à Elvis Presley)… Mais un rectificateur, qui intervient pour « réparer le Temps », lui et d’autres anges gardiens dans son genre qu’il a pu croiser. Dont ce qui semble être le propre oncle de Al dans le final, où on a aussi l’impression qu’il n’est pas le seul à se « réincarner » d’époques en époques (quelques acteurs ont joué plusieurs rôles dans la série).

          Par ce moyen, on peut ainsi justifier même les contradictions de la série, à savoir que Sam ait pu quand-même sauver son frère au Vietnam (et influer aussi sur le personnage de Magic ?).
          Ou bien ce double épisode avec Lee Harvey Oswald, opportuniste à cause du « JFK » d’Oliver Stone (même s’il est sûr que Bellisario en aurait forcément parlé à un moment donné) et semblant privilégier la théorie du tueur unique… Mais qui paraît trompeur quand il laisse croire que Sam pourrait empêcher ce meurtre. Alors que, in extremis, sa mission sera de sauver Jackie Kennedy.
          La mort d’un Président Et aussi de sa femme… À quoi aurait ressemblé l’Amérique si ça c’était passé comme ça ? Peut-être au monde d’où vient Sam, et c’est ça qu’il fallait éviter. Faire en sorte que ce monde soit le plus proche du notre.
          Imparfait, avec des cicatrices terribles, mais où il reste plus d’espoir.

          Le monde d’où vient Ben Seong et Janice ?

  9. Severance.
    Des individus décident volontairement de dissocier leur mémoire en deux (dissociation) : celle de leur vie personnelle, et celle de leur vie professionnelle. Dès qu’ils entrent dans le bâtiment de Lumon, ils oublient tout de leur « Outsy » (= leur soi de l’extérieur). Et dès qu’ils sont dehors, ils ne peuvent pas dire un mot de leur travail… faute de s’en rappeler.

    Du génie, qui pousse au paroxysme l’inhumanité qui peut se dégager aujourd’hui du marché du travail. Réalisé par Ben Stiller.

  10. c’est dingue comme les anneaux de pouvoir divise!
    c’est pas une référence mais Écran large déteste ( bon ils aiment pas grand chose ), le boss a l’air de vraiment apprécié, cap popcorn est plus mesuré dans ces critiques etc etc etc ….
    Moi j’aime beaucoup, pas facile de ne pas faire de rapprochement avec la trilogie de jackson mais j’essaie de pas y penser ! On a la chance de voir cette série, autant en profiter, pour l’instant c’est tout à fait valable.

    Vu l’intégrale de « la flamme » c’est con ( parfois trop) mais ça me fait rire !

    Revu « équilibrium » et «  le règne du feu » …. le premier a vieilli et n’est plus aussi kiffant. Le deuxième est encore pas mal, un remake avec une exploration de son univers ne serait pas de refus.

    Et du basket toute la semaine ( Rip les bleus, espagne encore trop forte pour nous )

    • Pour ton intégrale de « la flamme », tu comptes aussi la saison « les aventuriers de Chupacabra? » Je confirme que c’est con (très con), ça devrait pas me faire rire, mais j’y peux rien, ça me fait marrer quand même xD du coup je comprends le com’.

    • Ecranlarge déteste ? On a pas du lire les mêmes critiques 🙂

      L’avis de Lino Cassinat sur les premiers épisodes est quand même assez élogieux, et la critique du dernier épisode est plus mesurée, mais le rédacteur reste assez enjoué.

  11. Avec le Multiverse comme concept du moment un retour ou reboot de Slider ne serait pas de refus
    Sinon arrêtez de faire croire que vous n’avez pas passé votre weekend a bing Fate the wing saga vous êtes griller #team Stella.

  12. Une petite question concernant House of Dragon

    Vu que comme pour GOT je ne vais pas attendre 5 ans avancer, je pense me prendre l’intégrale « Feu & Sang » qui si j’ai bien compris couvre l’ensemble de la saga .

    Je n’ai pas trop fait de recherche mais ça me semble bizzare car pour GoT j’avait lu les 3 premières intégrales et de mémoire ça couvrait 3 saisons (l intégrale 3 je l’ai lue 4 fois lol mais n’ai jamais poursuivi)
    J’ai un peu la flemme de chercher mais est ce qu’un lecteur peut m’aiguiller à ce sujet.

    Et sinon, est ce que c’est aussi écrit du point de vue de chaque personnes ? car j’adorais cette façon de narrer, et je crois que c’est pour ça que je n’ai pas lu l’intégrale 4 de GoT car ce procédé, me semble t il avait été abandonné .

    Merci si quelqu’un a des infos 😉

    • Feu et Sang couvre 150 ans de l’histoire de Westeros. C’est une petite bombe à lire, ultra dynamique, tu enchaines les générations, les guerres civiles, les mariages, les naissances… le tout en étant concentré quasi exclusivement sur une unique famille. Donc rien à voir en terme de narration avec le rythme du Trône de Fer.

      L’histoire, ou devrais-je dire l’Histoire, nous est racontée par un mestre. Donc non, nous n’avons pas du tout le point de vue des personnages par chapitre. Nous avons une immense fresque qui se déploie sous nos yeux, avec son lot d’incertitudes historiques, de sources contradictoires, d’éléments dont la véracité est invérifiable, etc

      House of The Dragon n’adapte « que » la seconde moitié de Feu et Sang. Je n’ai pas encore vu la série, mais je pense qu’elle essaye de mimer au moins en partie son aînée télévisuelle. Alors qu’en romans, G.R.R. Martin proposait justement deux œuvres très différentes.

      Personnellement j’ai adoré lire Feu et Sang. Le mieux serait que tu le feuillettes un peu avant de le prendre, pour voir ce que tu penses de la forme. Sur le fond c’est pour le coup du grand Martin, mais la forme est si spécifique qu’elle ne peut pas plaire à tout le monde.

      • Merci weapon, tu m’a ultra motivé et démotivé…fkkkkk

        Du coup je ne comprends pas la 1ere partie de feu et sang (500 pages si j ai bien compris), se passe avant ce que je suis en train de regarder snifff (edit ok… en fait ce ne sont pas les mêmes persos dans les 2 parties si j’ai bien déduit)

        Par contre GOT c’était environ 1000 pages par saison TV et pour HoD, ce sera 500 pages (la partie 2 de feu et sang) pour 5 saisons ?

        Pardon je ne sais pas si je suis bien clair .

        • Si si très clair, et tu as bien compris : un épisode de House of the Dragon ne doit pas dépasser la dizaine de pages dans Feu et Sang.

          La partie 1 est certes totalement inutile si tu veux juste lire ce qu’adapte la série, mais elle est tout aussi intéressante. Et je pense que tôt ou tard, nous la verrons à l’écran (ce sera donc le prequel du prequel ! Je me demande quel nom ça prendra alors : Birth of the dragons ? House of the Dragons : The conquest ?)

          Par ailleurs, Feu et Sang aura aussi un tome 2, qui comblera le gap de 150 ans entre la fin du premier tome et le début du Trône de Fer.

          • Merci pour ta réponse

            « Si si très clair, et tu as bien compris : un épisode de House of the Dragon ne doit pas dépasser la dizaine de pages dans Feu et Sang »

            OMG ok pas de pages inutiles donc 🙂

            Bon de toute façon vu qu’il y a l’intégrale regroupant les 2 parties, je ne vais pas tergiverser et en plus je ne lis rien en ce moment .

            Bon ben novembre je me lis tout ça .

            Merci pour tes précisions limpides en tous cas, je sais je suis un fainéant de google LOL

        • « Par contre GOT c’était environ 1000 pages par saison TV et pour HoD, ce sera 500 pages (la partie 2 de feu et sang) pour 5 saisons ? »

          En fait, les quatre premières saisons de GoT recouvre les trois premiers romans intégrales du Trône de fer et l’histoire de HoD racontant la fameuse Danse des Dragons, dont j’ignore combien la série va s’étendre, recouvre presque la deuxième tome de Feu et Sang.

          • Merci pour la réponse Mrs

            En tous cas ca fait vraiment une énorme différence de ratio pages/saison pour la «  » »même » » » œuvre

  13. SUPERIOR ( Comics, Mark Millar )
    Trouvé en brocante, SUPERIOR est un petit bijou.
    L’histoire conte la transformation d’un enfant atteint de sclérose en plaque en super héros.
    Hommage au Superman de Richard Donner, SUPERIOR s’avère limite obligatoire pour tout fan du « S » version Christopher Reeves.

    4€ tres bien investi.

  14. Et sinon y en a-t-il qui sont aller voir la ressortie de « Avatar » (faite pour être aussi plus homogène avec la suite) ? Y en a-t-il qui ont ainsi pu le voir sur grand écran pour la première fois ?

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