Le bar de Galactus #241 : Megamind 2 ~ Code 8 ~ Spaceman ~ Imaginary ~ Extraordinary

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Dans l’ombre des succès de Dune 2 et Shōgun ? Plein de petites sorties ! Et on commence avec la plus improbable, à savoir la suite de Megamind, qui arrive avec une bonne décennie de retard sur Peacock. Le film Megamind contre Doom Syndicate sert d’ailleurs de pilote à la série Megamind Rules, qui a été mise en ligne le même jour. Comme quoi, les voies des algorithmes des plateformes de streaming sont vraiment impénétrables ! L’autre suite du moment, c’est Code 8 : Partie II sur Netflix, où les cousins Robbie et Stephen Amell évoluent dans un monde où l’utilisation des super-pouvoirs est prohibée. Toujours sur Netflix, Adam Sandler a une araignée au plafond en pleine mission spatiale dans Spaceman. Est-ce un nouveau film Spider-Man sans Spider-Man sur l’astronaute John Jameson, produit en cachette par Sony Pictures ? On s’y tromperait presque. Enfin, mercredi au cinéma, Imaginary n’aura rien à voir avec Imaginary Friends (IF, la future comédie familiale avec Ryan Reynolds). Mais la saison 2 d’Extraordinary aura tout à voir avec la première, toujours sur Disney+. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu récemment. A vos claviers et très beau mois de mars à tous !

L’ancienne équipe de méchants de Megamind, The Doom Syndicate, est de retour. Notre héros bleu nouvellement couronné doit maintenant conserver des apparences maléfiques jusqu’à ce qu’il puisse rassembler ses amis pour empêcher ses anciens coéquipiers maléfiques de lancer Metro City sur la Lune.

29 COMMENTAIRES

  1. Le versant « mélancolique » de la filmographie d’Adam Sandler a toujours quelque chose de très séduisant.

    Vu et revu :

    – Toujours la spéciale Henri Verneuil, curieux de plusieurs styles mais encore trop impersonnel…
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    – Madame Web »… Analyse complète sur la page critique dédiée.
    Une bonne surprise que ce film du Spider-Multivers, qui a déjà l’avantage de ne pas avoir d’interprète principal aussi pénible que Tom Hardy ou Jared Leto. Ça repose.
    Malgré l’absence d’explications cohérentes pour le pseudo futur des filles (d’où viennent leurs pouvoirs ? pourquoi sont-elles des tueuses ? pour venger Cassandra ?), elles sont assez fidèles aux caractères des personnages originaux : le côté sensible et responsable de Julia, le côté casse-pied espiègle de Mattie (qui est bien la nièce de Jonah Jameson) et le côté maligne de Anya.
    Et puis on ne peut pas vraiment détester un film qui fait fi des années 2000, pour terminer sur Dreams des Cranberries… ce qui est très joli et reste bien en tête.
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    – « Amants »…
    Dans sa carrière de réalisatrice, Nicole Garcia n’a jamais vraiment fait de thriller. Elle a néanmoins joué dans « Péril en la demeure », il y a peut-être un peu de ça dans son film, racontant des histoires liaisons dangereuses et de crimes.
    Sur une photo trop désaturée, Stacy Martin et Pierre Niney y sont un peu trop tendres, surtout quand on connaît le talent du deuxième à créer des individus obsessionnels.
    Mais heureusement que Benoît Magimel est toujours en état de grâce, son personnage de cocu ambigu, jamais montré comme un pur salaud écrasant, est le plus intéressant.
    Un film un peu trop classique et feutré.
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    – « Le Royaume des Abysses » et « Dune – deuxième partie »… Analyse complète sur la page critique dédiée, au Bar #240.
    Il est conseillé voir ces deux films à la suite, dans leur ordre de sortie, car ils sont aussi opposés qu’ils sont complémentaires.
    Le premier a beau être en images de synthèse, il déborde de vie, de passion, de colère, de couleurs etc… Il lui manque juste une ligne narrative claire, une façon de poser son récit pour empêcher les spectateurs de décrocher.
    Le deuxième a cette fameuse ligne narrative (pas toujours joyeuse), il sait prendre son temps, il sait où il va et comment mener son récit au bout… Il manque tout de même de surprises, de cœur, d’excitation.

    Par exemple la scène de la première chevauchée du Ver est sans suspense… Déjà qu’elle a été largement divulguée (dans sa version courte) dans la bande-annonce. Et comme Paul est « l’élu qui réussit tout », très bien entraîné, et qu’il n’est pas une seule fois mis en difficulté (glisser sur le côté, se coincer le pied, saigner etc)… les Fremen/ »Free men » sont certes être contents, grâce aussi aux quelques fanatiques dans le rang. Mais nous du public ne sommes pas tenus d’être de vrais croyants, puisque les héros principaux que nous suivons, Paul et Chani, ne le sont pas, eux.
    Certes les scènes d’action sont très très bien, surtout quand on voit les visages des protagonistes – l’attaque de la moissoneuse, où il faut vite se planquer derrière un pied, donc derrière son ombre, ça oui ça donne quelques petits frissons.
    Cependant Paul chevauchant le Ver est entièrement masqué, obligé. La logique imparable de la séquence se retourne contre elle : s’il n’était pas un tant soit peu protégé et avec des yeux bien visibles malgré le sable, ça serait trop gros pour y croire. Mais en étant entièrement couvert, on se prive de ses réactions faciales. Et pas question de le filmer sous le masque, cette licence artistique ferait trop penser à Iron Man.

    Par ailleurs il y a une particularité chez les deux antagonistes du film… C’est qu’ils sont très protégés, ou du moins que leurs mises en danger régulières sont très relatives. Paul, on l’a vu, il peut même résister au venin de Ver (quoique, d’une certaine façon, il est mort… c’est à dire que son ancienne personnalité est morte).
    Et l’impressionnant Feyd dans l’arène se fait plaisir avec des prisonniers… drogués. Et protégé par son bouclier.
    Son oncle Vlad « DraculoJabba » l’intronise chez les hommes en lui offrant un seul adversaire non drogué. Il prend pas trop de risques lui, mine de rien.
    Et heureusement qu’ensuite Feyd coupe son bouclier, sinon quel ennui ce serait, il n’y aurait pas eu la moindre excitation.

    Tout ça pour nous amener, comme dans le premier film, à un duel final décisif… Là on a des enfants devenus adultes, qui savent faire mal et encaisser, sans pitié et c’est génial – et bien sûr l’issue de ce combat a été annoncée dans la première partie, lorsque Paul s’entraîne avec Gurney.
    Mais ce Paul en colère et fédérateur, ce n’est pas un William Wallace, par exemple… C’est quelqu’un qui calcule, et qui a trop pris au sérieux le fait qu’il ait du sang Harkonenn. Comme si la génétique était plus importante que le libre-arbitre.
    Quand vous avez compris ça, vous ne pouvez pas vous réjouir de la même manière. Il y a une bonne part d’amertume. Un peu comme pour « Le Royaume des Abysses ».
    Acceptons-la, en toute conscience.
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    – « Hôtel Transylvanie 2″…
    Genndy Tartakovsky et la bande à Adam Sandler sont spécialisés dans l’humour excessif et incorrect… qui se plante toujours une fois sur deux.
    Dans la continuité du premier film, les monstres étant confirmé comme acceptés par la Société… mais avec le risque de devenir complètement aseptisés, embourgeoisés, comme on le voit dans un camp de vacances cauchemardesque.
    Le film ne se permet pas de renverser la vapeur, prêchant pour le vivre-ensemble, confirmant à peine que l’instinct primaire peut encore subsister – le petit Dennis devenant un enjeu transgénérationnel.
    Reste le rythme supersonique, pas bien subtil (pourquoi citer Mel Brooks si c’est pour être aussi peu transgressif ?), même pas cohérent d’un film à l’autre (Wayne a oublié d’être un chasseur en 5 ans ?). T
    Toujours marrant pour les plus jeunes.
    _

    – Deux films de David McKenzie, cinéaste anglais mais pas spécialement territorialiste – s’il est capable de s’inscrire dans l’histoire américaine avec son « Comancheria »…
    Interressé par des histoires d’amour impossible ?

    – « Perfect Sense »…
    Aussi bien une histoire romantique usuelle et terre à terre, qui commence par de la drague, du sexe, puis ensuite des liens qui se créent lorsque l’on se rend compte qu’on a des choses en commun et qu’on ne veut pas vraiment finir seul. Puis le malentendu, la vie qui vous sépare avant que peut-être…
    Sauf que tout ça est assujetti à un contexte de Fin du Monde, façon « grosse météorite qui vous arrive dessus inexorablement ».
    Film mi écossais, mi danois, un peu mondial (les scènes se passant aux quatre coins de la planète, prises sur le vif ou piochées dans des archives télévisées – un brin manipulatrices)
    En vérité on y voit un effondrement massif en plusieures étapes – un Sens à chaque fois (Odorat, Goût etc), précédé par une vague de comportements émotionnels exacerbés, ce qui est une jolie idée.
    Donc Ewan McGregor en cuisinier, pour le lien récréatif avec les Sens.
    Eva Green en épidémiologiste, pour l’étude de cette pandémie probable (évidemment, ça a plus d’impact dans les années 2020 que lors de la sortie du film 10 ans avant).
    Et même si l’anéantissement gagne du terrain continuellement, sans nous donner de réponse sur l’après film, ni même sur la mystérieuse narratrice qu’on entend (descendante d’une Humanité guérie, ou entité extérieure ?)… le film continue à hanter tout en en célébrant notre force d’adaptation, d’entraide et de résilience.
    C’est à la fois chaleureux et angoissant. Et mêler ces deux sentiments contradictoires, c’est un petit exploit.

    – « Les poings contre les murs »…
    Cette fois une histoire d’amour entre un père et son fils, mais qui émerge à contrario d’un récit en forme de film de prison, très dur, très méchant.
    Un peu dans la tendance social de l’éducation et la réhabilitation, avec Jack O’Connell jouant un certain Eric Love (!), débarqué d’un centre pour mineurs pour mieux intégrer une vraie geôle pour adultes.
    Pas vraiment un problème pour lui, après une petite phase d’inquiétude on voit très vite que c’est un dur de dur, malin, violent bref aussi institutionnalisé que tous les autres. Aucune chance de sortir ?
    Un maton un peu plus extérieur à l’établissement se charge de créer un espace de dialogue entre détenus volontaires, histoire de leur (ré)apprendre à discuter normalement. Et pas en se gueulant dessus comme des excités, où chacun peut être un ennemi potentiel, plus encore que les gardiens (les pires ennemis étant directeurs et caïds, tous ceux qui donnent des ordres et contiennent le chaos).
    Y compris le propre père du héros, légende du coin coincée à perpétuité jouée par un Ben Mendelsohn toujours fiévreux. Est-il possible de réussir alors à communiquer avec quelqu’un qui vous à abandonné en vous laissant exposé aux pires violences (quelques dialogues sont assez révélateurs du parcours de Eric) ? La délinquance, et la bêtise (le film est souvent très drôle quand les disputes virent aux diatribes super ordurères), est-ce que c’est quelque chose d’atavique ?
    Ou bien l’instinct de conservation est-il capable de s’appliquer à autrui, en particulier à la chaire de sa chaire ? C’est vers ça que se dirige le film, sans avoir suffisamment semé d’indices en ce sens.
    Peut-être prend-il plus de valeur en le renvoyant…
    _

    – Spécial premiers films :

    – « Slalom »…
    Dans la continuation de son court-métrage « Odol Gorri », qui montrait une adolescente (Noée Abita) faisant expérience de la perte de virginité, dans une ambiance rude où la morale et le consentement deviennent flous…
    Et donc la réalisatrice Charlène Favier reprend la même actrice en la plongeant dans l’univers du sport de compétition. À ski, en descente, dans un environnement montagnard où l’isolement peut faire perdre beaucoup de repères – comme si c’était pas déjà le cas avec la relation qu’elle va entretenir avec son coach.
    Et là aussi, ça n’est pas traité comme une emprise, comme il se devrait. Plutôt avec une part d’ambiguïté chez un dit agresseur (Jérémie Renier, champion du déni), qu’on voit déraper brusquement deux fois – de trop, épris de la championne qu’il est en train de façonner pour l’aider à réussir ce que lui a malheureusement loupé plus jeune.
    Ce qui devient troublant lorsque le modelage d’un corps de super sportif se confond avec celui d’une fille en pleine puberté… Surtout lorsque cet entraîneur en vient lui-même à disserter sur la beauté des règles et à comment les domestiquer.
    Là on sent bien qu’il y a un truc qui cloche, que ce n’est pas la bonne personne qui devrait parler de ça et établir les usages à suivres.
    Mais qui d’autre ? Y a personne aux environs, c’est une relation exclusive et quasi secrète, toute entièrement portée vers la réussite sportive et l’euphorie qui va avec.
    On pouvait très bien se passer de petits clins d’œil symboliques sur les loups (et un petit chaperon), sinon ça reste un énième bon film sur les mystères de l’adolescence, et le compliqué passage à l’âge adulte – donc à l’indépendance.
    Celle qui se formule par un « Non ! »

    – « La Troisième Guerre »…
    Presque dans la continuation de son court-métrage « Au pas », où on voyait le drame de la précarité en Italie ainsi que quelques manifestations…
    Le réalisateur Giovanni Aloï passe en France pour faire un focus sur les jeunes militaires que vous pouvez voir patrouiller dans les rues de temps en temps, pendant les plans Vigipirate… Souvent pour rien, ou bien alors trop tard.
    On se retrouve donc dans ce sous-genre du film de guerre, celui qui repose sur l’attente d’un conflit qu’on ne verra peut-être pas, alors qu’on a été entraîné à ça.
    Surtout quand une chef (Leïla Bekhti, du cran à revendre) cache sa grossesse pour pouvoir gagner une promotion…
    Qu’un troufion (Karim Leklou, Bernard Blier 2.0) se fait passer pour une figure d’autorité, alors que lui et ses camarades glandeurs, peu disciplinés, au frais (le seul passage à l’hôpital qu’on y fait n’a rien à voir avec les combats) sont des habitués du mythonnage – dont Raphaël Quenard, déjà expert en improvisations absconses.
    Et déjà partenaire de Anthony Bajon (nounours intense), personnage principal au bord de l’explosion, recrue cherchant à échapper à cette fameuse précarité ainsi qu’à une famille chaotique… pour trouver un Ordre qu’on arrive pas à lui garantir.
    C’est comme si on avait un fusil chargé, mais qu’on le trimballait tout les temps dans des endroits où on ne peut pas s’en servir sans créer encore plus de dégâts.
    Il y a de quoi virer à la Travis Bickle là.
    Musique joliment immersive, divers environnements écrasants (immeubles, caserne, manifs), un peu trop ramassé mais cohérent jusqu’au bout.
    Une sorte de petit frère amer du film « Les Combattants ».
    _

    – « Ice Road »…
    Liam Neeson et la neige, a priori c’est bien – « Le Territoire des loups », « Sang froid »…
    Mais il s’agit ici du Liam Neeson aux films de quasi retraité, et du Jonathan Hensleigh réalisateur du « Punisher » de 2004. Soit des films qui sont diablement mous.
    Pourtant ça partait pas trop mal, en émulant assez bien « Le Salaire de la peur », malgré une explosion inaugurale très moche (on ne parlera jamais des victimes).
    On fait mine de décrire un duo dominant/dominé (qui ne permutera jamais), des professionnels durs à cuire et pas trop angéliques, une épopée ultra dangereuse où il faut être maître de sa machine, débrouillard et respectueux de son environnement. Ainsi qu’un contexte avec des mineurs qui sont pas trop mal, limite ils méritent un film juste pour eux – grâce aussi à la présence de Holt McCallany.
    Seulement voilà, on a oublié ici que chez Clouzot ou même Howard Hawks, le boulot risqué est un gage de suspense suffisant, lequel doit s’étirer et non s’alourdir. Pas la peine de rajouter une sous-intrigue de méchants saboteurs cupides, qui ne sont pas intéressants à suivre quand ils fomentent entre eux. Et encore moins quand leurs hommes de main doivent débarquer pour se battre sans tirer de coups de feu (éviter les preuves), et au ralenti parce-que… ben c’est dur en anorak, sur la glace etc.
    Ce qui nous donne des scènes d’action ridicules, et les instants où les personnages principaux essayent tant bien que mal de continuer à avancer sont eux-mêmes anti cinématographiques.
    Réalistes peut-être, étonnants sûrement (les camions sont couchés, donc le film est fini… ah bon, on peut les redresser !??)… mais passé la moitié du film, jamais mis en scène de façon à ce que l’ordinaire devienne visuellement extra.
    Même les arcs narratifs des héros sont sous-écrits et gâchés (les deux morts d’un personnage, la relation maître à élève entre Laurence Fishburne et Amber Midthunder)) malgré l’implication un peu plus active de Neeson.
    Même l’antagoniste est sous-utilisé (Benjamin Walker est le sosie jeune de Liam Neeson, et personne n’en fait rien ?).
    En fait, dès que l’on est proche de la fin de la fameuse route de glace, ça coince et voilà qu’arrivent les rhumatismes. Qu’à cela ne tienne, un deuxième épisode sera quand-même tourné… vive les avantages fiscaux et la création d’emplois !
    _

    Lu :

    – Intégrale Luke Cage Et Iron Fist (1977-80)…
    La création de l’improbable duo de choc, à qui faut pas chercher des poux dans la tête. Cool !

    – Marvel-verse : Spider-Man & Madame Web…
    Un volume assez pauvre – les premières apparitions de Cassandra mais pas de grand récit des origines, et deux petites apparitions de Julia avec ses pouvoirs.
    Toutefois on a le combat anthologique de Spidey contre le Fléau, et le méli-mélo temporel illustré par Humberto Ramos. Soit de bons moments à passer.

    – Série complète Strange, en VO puisque Panini comics a loupé le coche…
    Cléa en majesté, avec un petit air de la période Mighy Thor de Jane Foster – mais en plus furieuse, belliqueuse. Sauf que, même très bien écrit (il est bon Jed MacKay), tout est expédié en une dizaine d’épisodes.
    Dès fois, la lecture mensuelle ça a du bon.

    – Fin du crossover Captain America : Cold War…
    Expédiées là aussi, les intrigues des deux séries (en attendant l’épilogue). Une série de bourre-pifs, de fausses trahisons, et c’est bon… Mais prenez un peu votre temps, bon sang !

    – Fin du Hulk de Donnie Cates et Ryan Ottley…
    Expédié à gros coups de badaboums, très excitants celà dit.
    Tandis que She-Hulk se conjugue toujours en mode sobre et cosy.

    – Spider-Man redevient enfin intéressant, avec Octopus qui demande des comptes, et de son côté Dan Slott qui joue avec les intrigues des films.

    – Début de la série régulière du Dr Strange, toujours par Jed MacKay, VO toujours etc…
    La jolie comédie de (re) mariage continue à battre son plein, et Wong ne chôme pas non plus de son côté.

    – Les Vengeurs en action d’un côté (All out), en réaction de l’autre… Pour l’instant, « ne parlons pas de Marcus » devant Kang et Carol.

  2. Shogun : trop bien. C’est beau, l’histoire est intéressante, les acteurs sont bons. Seul problème pour moi, c’est la fausse VF, si j’veux entendre les acteurs parler Japonais, j’regarde en VO

    • Parce que l’aspect de la traduction, élément important dans l’histoire, ne pas être retranscrit avec des dialogues 100% français.

  3. Essaierai de voir MEGAMIND 2.

    DRIVE TO SURVIVE S6 (Netflix)
    En se concentrant plus sur les off que sur la course, la série de Netflix prend une autre direction bien plus intéressante.
    Surtout le show s’amuse avec le public et ses connaissances. Le père noël qui demande a Christian Horner s’il a été sage ou les dires des hommes de Mercedes sur Hamilton en rouge…
    Une saison donc qui a redynamiser le concept même les bases sont inchangées.

  4. FF7Rebirth pour ma part ! Je sais ce n’est pas un film ou serie ou de la lecture, mais je me suis dit qu’un peu de HS ne ferait pas de mal.
    Je ne l’ai pas encore fini mais jusque là, je le trouve excellent !!! Visuellement magnifique (se balladee dans cet univers incroyable, quel pied !!), reprenant bien la trame du jeu original, avec des ajouts, rajouts et des surprises. Niveau gameplay, c’est également au top !!
    Je le préfère largement a FF7Remake (la partie 1)
    Reste tout de même qq grosses incohérences (qui n’avaient pas été faites dans la version original ! Incroyable en 2024 !), qq textures grossières par ci par là tout le long du jeu. Et il vaut (VRAIMENT) mieux eviter de le faire en francais car les voix ne conviennent pas et les « mmh! » « ooh » « ahhh » « heiiin » a foison sur des expressions japonaises, ca ne le fait pas du tout et c’est agaçant a la longue. Et en français, j’ai l’impression qu’ils ont rendus Aerith et Tifa débiles !!
    Si vous avez aimé le 1, foncez faire celui ci !

  5. Spaceman a l’air sympathique. Bien que sa femme lui fasse la gueule m’irrite un peu. Elle devait bien s’attendre à ce que son travail soit prioritaire. Surtout que c’est laborieux de devenir cosmonaute…

    Il pouvait certes refuser la mission. Mais ça serait priver de son rêve et renoncer à tout ce qu’il a dû faire pour y arriver.

    • La solitude des astronautes, leur sentiment de dépression, et l’étiolement des rapports familiaux avec ceux restés sur Terre, est un vrai problème qui fait l’objet de recherches importantes à la Nasa. En vue de préparer au départ vers Mars. Le pendant de ce premier problème étant la promiscuité. Vivre en équipe durant plusieurs mois, voire années (pour aller sur Mars), et sur un espace très réduit et confiné n’est pas du tout naturel pour nous.

  6. (Y a pas possibilité de devoir cliquer sur « afficher plus » quand un commentaire dépasse un nombre de signes (et de limiter ainsi la partie visible à 4/5 lignes par exemple) ? C’est toujours un peu pénible de scroller les pavés de Flo du lundi 😅 sans animosité de ma part envers lui, juste une suggestion pour un confort de lecture ^^)

        • 3
          Parfois je m’amuse à compter, le nombre de tours que fait ma molette de souris pour scroller ses pavés. 😅
          Après, il n’est pas le seul, j’en fais aussi. Mea Culpa

          • Après y a une diff entre un pavé de 10/15 lignes et un d’une centaine voire davantage ^^

            Pour le fun j’ai dézoomé au maximum la page, le com de Flo fait pile 2 longueurs verticales vs. l’ensemble de tous les autres coms qui tiennent à peine sur une seule…

          • Moi, j’avoue, je le prends à la rigolade, un peu comme si je regardais un sportif essayer de battre à chaque fois son propre record. Je le lis de temps en temps, quand il fait court, sinon, je m’en fous, ça me fait plus marrer qu’autre chose. 😀
            De toute façon, on ne peut pas lire tout et tout le monde non plus, la journée n’a que 24 heures. Il y a plusieurs personnes que je ne lis pas, et je sais que peu me lisent aussi quand je me montre trop bavard, c’est normal.

    • +1 !
      J’avoues que je suis aussi partante pour cette fonctionnalité si elle est facile à mettre en place. En général je me hâte de lire le bar de Galactus dès qu’il est publié dans l’espoir d’arriver avant Flo et son pavé hebdomadaire. Mais c’est souvent peine perdue ; on dirait qu’il n’attend que ça : le CTRL + C prêt à dégainer !

  7. Vu:
    – Dune partie 2: Un film super bien réalisé, plutôt beau et avec des effets spéciaux hyper bien faits. Mais bordel, que c’est long! Etait-on obligé de se taper plus d’une heure de documentaire sur le désert alors que certains éléments auraient mérités d’être plus développés? Trop d’élipses dans un film qui passe sa première partie à se regarder le nombril.
    Après, il y a des scènes jouissives avec Timothée. Le côté politique, super intéressant mais très vite abandonné. Un méchant charismatique mais vite expédié.
    Et par pitié qu’on dise à Drax de fermer sa bouche! Le mec passe pour un mongol du début à la fin du film.
    Ah! Et les scènes de combat, pour la plupart trop vite expédiées. Les coups de couteaux hors champ, quelle plaie!
    Mais sinon, certains personnages, les femmes en particulier, sont très bien traités. Zendaya fait montre d’un charisme unique, bien loin de sa MJ fadasse, les Bene Gesserit sont toutes géniales de manipulation et de machiavélisme et j’ai adoré la « prêtresse de la pisse de ver ». Les femmes volent le show clairement. Comme quoi quand c’est bien écrit…
    Bref, pas un chef d’oeuvre ni un mauvais film et plutôt un bon moment.
    Un bon 7/10 pour moi.

    – Shogun épisode 3: Quel kif! Ca fait bien longtemps que je n’ai pas autant apprécié une série. C’est perso mais à chaque fois que Hiroyuki Sanada ouvre la bouche, je pète les plombs. Le mot charisme a été inventé pour ce mec! Un grand sourire niais devant la dernière scène ^^

    Joué: Marvel Ultimate Alliance 3, sur émulateur. Quel plaisir de retrouver nos héros favoris avec une version mille fois plus proche des comics que celle du MCU. On retrouve l’essence de chaque personnage, un pur kif.

  8. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Akira-Toriyama-le-createur-de-Dragon-Ball-est-decede-a-lage-de-68-ans

    Quelle tragédie ! Même pas vieux !
    Arigato Gozaimasu Toriyama Sama.
    😔

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