Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
Mais… ce ne serait pas le début d’une super-semaine ? Comme on peut s’en douter, le programme s’annonce léger face à la sortie mondiale de Superman. Heureusement, nous pouvons toujours compter sur Apple TV+ pour délivrer de la science-fiction de qualité. Cette fois, il s’agit de la saison 3 de Foundation, l’adaptation de la saga culte d’Isaac Asimov, avec toujours Lee Pace en tête d’affiche. Et dans un registre nettement plus sanglant, les fans de Dexter auront le plaisir de retrouver Michael C. Hall dans Dexter : Resurrection, à partir du 11 juillet sur Paramount+. (Mine de rien, y a du beau monde : Peter Dinklage, Uma Thurman, Neil Patrick Harris, Krysten Ritter…) Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu dernièrement ? A vos claviers et belle super-semaine à tous (surtout à James Gunn, qui doit stresser à mort) !
L’action se déroule 152 ans après les événements de la saison 2. La Fondation s’est progressivement établie, bien au-delà de ses humbles débuts, tandis que l’Empire de la dynastie Cléon s’affaiblit. Alors que ces deux puissances galactiques forgent une alliance fragile, une menace pour la galaxie entière apparaît sous la forme d’un seigneur de guerre redoutable, ‘La Mule’, déterminé à dominer l’univers par la force physique et militaire, ainsi que par le contrôle mental. L’issue est incertaine : qui gagnera, qui perdra, qui vivra et qui mourra, alors que Hari Seldon, Gaal Dornick, les Cléon et Demerzel se livrent à une partie d’échecs intergalactique potentiellement mortelle.
Fondation, Résurrection, Supermation…
Vu et revu :
– Fin (!) de l’Univers cinématographique DC (le Snyder cut et « The Flash », ça sera à part, plus tard)…
Dans l’ordre chronologique narratif, et là le début devient intéressant : mettant de côté les plans contradictoires de Zack Snyder, on se retrouve involontairement avec trois diptyques de films, correspondant à ce qu’on peut attendre d’une classique histoire en trois volets… Ou plutôt, une grande Origin Story.
Aux deux premiers « Wonder Woman » (qu’on peut réunir d’emblée) de raconter les fondements, d’une manière plus optimiste, candide : Diana a beau avoir eu accès à des connaissances encore valides aujourd’hui, elle vient quand-même d’une culture où des concepts ou des phénomènes répétés peuvent être personnifiés par des dieux. D’où Ares (se nourrissant de ce qu’il symbolise) ou une espèce de boîte à vœux (idem, ça s’auto cannibalise).
Et où celle qui commence surtout comme une éternelle enfant (ce qu’elle a longtemps été sur Themiscyra) devient progressivement une femme (découvrant le vrai monde, passant par le no man’s land, tombant amoureuse, portant le deuil).
Puis ça sera au doublé « Man of Steel »/ »… L’aube de la Justice » d’être l’antithèse à la Empire contre-attaque, où l’histoire des personnages finit à chaque fois en victoire amère. Films farcis d’idées reprises d’anciens films (avec Reeve, ou BatNolan) et comics (trop), et même beaucoup de « Smallville » – un paquet d’acteurs qui y avaient fait un passage, des identités secrètes moins sacrées, la question de la responsabilité individuelle et de l’influence extérieure, la menace invisible de Apokolips…
Un peu trop de machos mal élevés, du sadisme et autres actions brutales gratuites, sans compter une écriture qui repose sur des facilités comme le complotisme, des irruptions Fantastique/SF – cauchemars faussement psychologiques.
L’action est bel et bien là, au dessus du lot de bien d’autres films super-héroïques. Mais Superman est constamment empêché de prendre son envol… le crispé Henry Cavill, avec son allure plus extraterrestre, ne suscitant pas de bonhommie, de sympathie et de décontraction – tout ce qui rend attachant le personnage.
Pas encore.
Enfin on finit la « Phase 1 » avec deux équipes (« Suicide Squad » et « Justice League »), nées plus ou moins de la perte de Superman…
Un groupe d’individus obligés de travailler ensemble face à une menace d’un autre monde, dont ils sont en partie responsable.
Après avoir devisé à propos de leurs erreurs, et tenté un plan très alambiqué, l’union fera la force et voilà.
Ça n’a rien de honteux, c’est juste le moment où l’on fait la synthèse de ce qui a précédé, pour apprendre à être moins médiocre
On passe ensuite aux opus autocontenus, et donc a l’équivalent de ce que sera la Phase IV du MCU : on a déjà eu une sorte d’apothéose (même si ici, elle est exagérément détestée, par principe), on a raccordé avec le canon des comics, on est un peu comme dans certaines séries animées DC, montrant cet univers foisonnant, kitsch et aux origin stories vite balancées… il n’y a plus grand chose à raconter, pas de « carotte » à la fin puisque la Ligue de Justice s’est chopée une mauvaise réputation…
Que du divertissement ? Hélas, majoritairement des parodies, pompant sans vergogne tout ce qui a déjà été fait au cinéma, manquant énormément de personnalité, se pensant plus forts que Marvel en étant encore plus comiques…
Au moins les deux « Aquaman » sont des films d’aventures trépidants, couplés à des buddy movies sacrément amusants (le héros n’étant pas un idiot de bout en bout, et un combattant puissant). Injectant une énergie Pulp que les sagas « Shazam ! »/Black Adam » (qui ne se croiseront jamais) et l’unitaire « Blue Beetle » effleureront à peine.
Tandis que James Gunn installe son rond de serviette, profitant du film R Rated de « Harley Quinn » pour nous raconter trois fois de suite la même histoire d’outsiders tarés et trash dans « The Suicide Squad », « Peacemaker » et « Creature Commandos » – sur trois formats différents.
Avant de faire transiter enfin Superman vers… vers quoi en fait ?
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– Spécial Boris Lojkine, ex journaliste documentaire
_ « Hope »…
Passant du journalisme à la fiction, Boris Lojkine nous raconte le parcours de migrants africains en se focalisant entièrement sur le voyage, escamotant points de départ et points d’arrivée.
Suivant un homme et une femme venus de deux pays différents (Cameroun et Nigeria), où lui devra peu à peu accepter celle dont il supporte la présence à contrecoeur, et même avec cruauté, ne tenant pas compte de son nom qui est aussi le titre du film…
On y verra un groupes d’exploiteurs amènant une forme de vie politique (fantoche) là où il n’y a pas de civilisation…
Et plus tard, au Maroc, inversement, un autre groupe d’exploiteurs qui recréent quelques rires folkloriques (ridicules) au sein de la civilisation.
À mi film, ils s’aiment dans un quasi jardin paradisiaque, avant d’en être expulsés et d’essayer de créer leur propre légende.
À la fin, il faudra être offensif si on veut enfin réinventer sa vie, non sans sacrifier son innocence, et avec un espoir bien fragile…
Mieux vaut voir ce film après celui qui a apporté récemment une grande reconnaissance à son réalisateur et ses acteurs… il explicite trop de détails.
– « L’Histoire de Souleymane »…
Évidemment le film se présente à travers son personnage principal de travailleur précaire comme une critique de l’ultra-libéralisme, qui pousse l’entraide vers ses limites, un enchaînement d’événements malheureux faisant que l’individualisme finit par toujours prendre l’ascendant. Surtout dans un Paris tentaculaire et un peu interlope, où il faut courir d’un véhicule à un autre, à la seconde près. Et tenir le rythme en attendant de voir aboutir un projet de longue date.si on veut
Ces dernières années, ça s’est beaucoup vu au cinéma que ce soit « À plein temps » de Éric Gravel, ou bien « La Nuit venue » de Frédéric Farrucci, qui comporte lui aussi des travailleurs étrangers au noir…
Sauf que Souleymane est un personnage moins habile, qui ment mais qui se révolte aussi.
Quelqu’un de bien – alors qu’il doit perdre du temps à monter des escaliers pour une livraison, il va en prendre encore pour échanger avec un homme âgé.
Si l’histoire est très classique (galères sur galères, il risque de tout perdre), le film va au delà de son postulat dramatique et dénonciateur pour devenir in fine une mise en abîme du métier de raconteur d’histoire (on en parlait aussi à un moment donné dans « Hope ») : pour être accepté en France, il faut savoir narrer une histoire sincère, qui ne ressemble pas à d’autres récits prémâchés, vendus clés en main.
On peut faire le lien avec des films Grand Public qui se ressemblent tous, au point où certains finissent par être artificiels…
Face à l’histoire réelle du protagoniste, fébrile, impudique, empathique, digne (en partie vraie pour l’acteur Abou Sangaré)… mais peut-être trop modeste pour être éligible à la régularisation.
Parce qu’un réfugié politique, ça fait classe, ça vous rend symboliquement « indispensable »…
Alors qu’un jeune homme qui en a bavé juste pour aider sa mère, c’est touchant, triste, mais ça ne rapporte aucun prestige à l’état français.
D’où cette dernière séquence avec Nina Meurisse (elle-même récompensée aux César de façon symbolique ?), où on ne sait pas si l’ouverture à la sincérité représente un piège (trop bon trop con), malgré le fait que personne n’est dupe de tous ces récits factices…
Ou bien le contraire, la récompense pour avoir été franc, pour une fois.
La conclusion nous laisse en plan, sans avoir la moindre réponse… tout dépend de votre humeur ou de votre point de vue, optimiste ou pessimiste.
Le succès du film, aussi bien commercial et critique, est par contre bien réel.
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– « Hypnotic »…
Hypocrite ?
On se demande ce que tous sont venus faire là dedans.
Robert Rodriguez s’éloigne quelques instants de ses films foutraques (mais qui portent sa patte, sa personnalité) pour cet opus cruellement impersonnel, mélangeant du Nolan avec les X-Men…
Ou Ben Affleck, qui perd toute sa crédibilité quand le film mute de Polar déchirant (où il était plutôt à son aise) en course-poursuite sans queue ni tête. Laquelle fait du Méta SF, essayant de livrer une réflexion sur le cinéma tout en se prenant les pieds dans le tapis.
À l’instar de « The Game » de Fincher, trop de rebondissements donnent l’impression qu’alors, rien n’a d’importance.
Au moins on peut s’amuser un peu avant William Fichtner dans un rôle à la « Droopy qui fait peek-a-boo ! »
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– « Anatomie d’une chute »…
Par rapport aux précédents opus de Justine Triet, portraits de femmes un peu bordéliques mais tout de même fascinants, « Anatomie d’une chute » a l’air d’un film aussi bien dans la référence aux classiques (de Otto Preminger à André Cayatte) que fait pour être complètement dans « l’ère du temps « . D’un point de vue cinématographique surtout, quand divers films de procès (« La fille au bracelet », « St Omer », « Le Dernier Duel ») ont récemment émergé, et que quasiment tous se présentaient comme une critique de ceux qui jugent les femmes en fonction de leurs comportements, générateurs de jalousies, d’agressivité.
Une réactualisation de la chasse aux sorcières, qui a la chance de se présenter à Cannes en sélection officielle au bon moment.
Toutefois on reste dans le portrait de femme Trienin habituel, en étant peut-être plus un ton en dessous, plus mesuré, moins iconoclaste puisque il en va de la liberté de celle qu’incarne Sandra Hüller.
L’actrice aux paupières lourdes représentant « la femme à abattre » pour cause de trop grande indépendance, trop étrangère (la « poigne allemande » ?), par rapport à un mari fragile, petit français traumatisé, frustré et qui se victimise trop – fait-on aussi le procès des incels ? surtout quand l’actualité a rattrapé l’acteur Samuel Theis ?
En tout cas le plus paranoïaque n’est pas toujours celui que l’on croit, quand chaque expert (homme) semble fait son idée à l’avance, toujours à charge contre l’accusée – l’avocat général mis à part, parce que au moins lui il fait son boulot (et Antoine Reinartz s’en donne à cœur joie).
Tandis que pour le défenseur que joue Swann Arlaud, on ne fait que sentir des rapports de séduction, chaleureux certes, bien aidé par la douceur féminine de l’acteur.
Bref Tout est évident dans la mise en scène dans ce film, y compris le fait que rien ne sera évident pour les personnages principaux, ni pour nous spectateurs.
On sera dans de la vision théorique, dans laquelle n’importe quel détail chopé au vol ouvre diverses pistes, pour finalement mieux servir à confiner les faits dans un flou total. Vision justement, puisque si l’image est bien servie par de beaux mouvements de caméra explorant les lieux du (des ?) crime(s), tout ça reste quand-même de l’interprétation, du hors-champ qui se met à prendre vie via le son – et écrasé par deux thèmes musicaux répétitifs et opposés.
Et il y aura finalement au centre de l’enquête (notamment dans le dernier tiers du film), un enfant qui n’est pas complètement aveugle, donc pour qui il est également impossible de trancher à cause de sa position « entre-deux » (ni contre maman ni contre papa, ni voyant ni non voyant)…
Pour lui, il sera aussi question d’interprétation au moment le plus crucial. C’est à dire, peut-être moins de clairvoyance que de choix.
Ce qui fait de ce film aussi bien un manifeste féministe qu’un portrait de la médiocrité ordinaire (pour tous), ainsi qu’un film de passage à l’âge adulte.
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– Fin de la saison 6 de « The Rookie »…
Saison express de 10 épisodes à cause de la grève, et absolument pas subtile, cédant constamment à la facilité (hop, des taupes et une déontologie piétinée)..
Et Bridget Regan est de plus en Plus le sosie Audrey Fleurot, ou c’est l’inverse.
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– « Elio »… Analyse complète sur la page consacrée, au Bar #308.
Tellement émouvant quand deux adultes et deux enfants, si proches et pourtant si loin l’un de l’autre, vont peu à peu se parler à cœur ouvert et établir enfin les liens qui leur manquaient tant.
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Lu :
– Daredevil a encore un autre péché sur la conscience…
– Ghost Rider voit le retour de Vengeance…
– Moon Knight et les autres poings de Khonshu…
– Fin du crossover Venom War, dans de la baston zombiesque et une nouvelle séparation…
– Le Ultimate Black Panther parle au métal…
Le Ultimate Spider-Man a un entourage qui ne va peut-être pas lui faciliter la vie…
– Star Wars : La bataille de Jakku (la fripouille ?)…
L’après Endor s’avère encore pénible (et encore trop frais pour une Leia maintenant Skywalker).
Mais rien qu’une bonne équipe spéciale puisse déjouer – tout de même, Therisa Alern se prend un coup de sabre laser et elle se remet vite ?
Jurassic World Rebirth : tiens d’ailleurs pourquoi ce titre ? Y a rien de Rebirth dedans…
Plaisant à regarder mais il manque un peu d’ambition. Sans parler d’un scénario digne d’un jeu RPG façon Pokémon. Et il serait temps de couper le cordon avec le 1er film et aller de l’avant plutôt que de faire des refs.
Rick et Morty nouvel episode centré sur Gunn (saison 8). La date de sortie n’est pas une coincidence. Je ne sais pas si c’est von ou mauvais signe. Ou si on ne vend pas la peau de l’ours un peu trop tôt.
Il n’y a que Superman qui importe pour moi cette semaine, et ça sera demain soir en avant-première.
Pareil. Je suis à la fois impatient et inquiet.
@LTH : Quel est ton pronostic final sur le box office mondial de Superman ?
Que penses-tu du box office mondial de Mission Impossible : très décevant ou non ?
Et celui de Jurassic Park : prometteur ? Le milliard est atteignable ?
@Chanelet
Je parle pour moi évidemment et non au nom du boss.
SUPERMAN. Les présentes sont optimistes et la campagne promotionnelle semble marché. A voir en salles par contre si le film s’avère un bon résultat ou un banger absolu rafflant tout sur son passage. En clair, si le premier weekend donnera une idée, on en saura surtout au moment de la perte de vitesse du film. Si SUPERMAN est en deca des -60% de fréquentation, ce sera une réussite.
– MISSION IMPOSSIBLE : THE FINAL RECKONING
Meme s’il s’est affranchi du terme de suite direct, cet opus est quand meme la seconde partie de DEAD RECKONING, fraîchement reçu
Le bouche a oreille a été moyen et le budget a explosé.
On sent surtout une nette baisse de régime de la saga et une formule qui a pris un coup apres des Master class.
– JURASSIC WORLD RENAISSANCE
Les attentes étaient importantes avec son casting devant et derrière la caméra mais les retours sont a peine supérieur au MONDE D APRES. Surtout la saga ne prend plus le temps de la patience : les dinosaures peuvent plaire de nouveau mais il faudrait peut etre calmer le jeu durant 10 ans avant de revenir.
Personnellement je pense aussi que la saga a évolué comme FAST AND FURIOUS dans le toujours plus et que, a un moment, ils ont perdu la suspension d incredulité du spectateur…
=> 600m$
=> Oui et non, il est acté que la franchise a connu son acmé avec Fallout, donc difficile d’aller contre la tendance baissière avec un huitième épisode.
=> Nan, comme Minecraft (démarrage à 313.7m$), il sera très probablement en dessous (démarrage à 322.6m$). La concurrence conjuguée de Sup/FF sera trop forte. Après Lilo & Stitch, faudra attendre Zootopie 2 pour avoir un milliardaire hollywoodien.
Merci LTH et Darkkane pour vos retours.
@Boss
Tu ne vois aucun film etre milliardaire cette année avant ZOOTOPIE 2 ?
J’aime le premier mais ce n’est pas sur sa suite que je parierai pour le haut du panier
Bah… What else ?
J’entame terminator 3
Je comprends les commentaires mtn sur le troisième film
Pour ma part superman demain a la séance du soir de UGC Créteil
Et quelles sont tes retours sur ce 3ème film ?
Le retour de la meilleure série de la décennie avec Dexter Resurrection quel bonheur ❤️
❤❤❤
BONNE CONDUITE (TMC)
Une comédie dark dans la lignée d’un BARBAQUE
L’humour de Jonathan Barré et du Palmashow marché pleinement même s’il laissera sur le côté une partie du public.
Surtout Laure Callamy est parfaite dans le role titre. A la fois pleinement dans sa folie de vengeance et toujours a la limite de la c**nerie de trop qui la ferait se planter.
Comme on s’y attendait depuis que Gunn a été pistonné à Warner, Superman est mauvais voire très mauvais :
https://www.reddit.com/r/SnyderCut/comments/1lr6p0n/terrible_new_superman_is_final_nail_in_superhero/
Perso j’irai pas dépenser 20 balles pour cette bouse odorante. Mais chacun fait ce qu’il veut, hein…
🤣🤣🤣
Se fier à l’avis de quelqu’un qui ne l’a pas vu pour se conforter dans son idée qu’on n’est pas le seul dans son douillet concon de préjugés.
Une chose est certaine sur SUPERMAN : Le film ne plaira pas a tout le monde. Comment en effet réconcilier de base des visions qui s’opposent ?
La meilleure chose serait de se faire son propre avis sans arrière pensée mais on sait tous que certains vont crier au génie pour défendre le film tandis que d’autres vont le conspuer et dire que cest une bouse intergalactique.
La Vérité ? Sûrement au milieu ! Hormis une surprise totale, je ne pense pas que le film sera l’apothéose du genre superheroique ou la poubelle. (Échelle personnelle : CATWOMAN a THE DARK KNIGHT quand même…)
Oui voilà ce sera entre ces deux références forcément mais à l’heure actuelle soit c’est le meilleur soit le pire et va débattre après…
C’est dommage : Superman est fait pour être fédérateur, pas aussi drastiquement diviseur.
@Flo
Tout est diviseur.
Tu as une guerre : on demande a celui qui prône la paix de choisir son camp…
Il suffit de voir certains ici quand il parle de DC et Marvel : A croire qu’on n’a pas le droit d’apprécier les deux !
Pour Superman, j’ai un affect pour la version de Reeves (et presque plus pour Rough) mais jai apprécié aussi a sa juste valeur celle de Cavill. Et me rappelle aussi avec sourire de Dean Cain ou encore Tom Welling (pas vu SUPERMAN ET LOIS)
Si Thunderbolt a engendré 400M pour un film centré sur des personnages seconds couteaux et qui n’intéressait pas grand monde à son annonce, Superman ne devrait pas avoir de problème. Surtout aux USA qui est une icône.
Quant à la qualité du film, nous le saurons ce soir. J’ai certes un apriori, j’espère que ça ne va pas gâcher mon plaisir. Au contraire je veux être surpris, je veux l’aimer.
Choisis de ne pas faire la guerre alors, et cherches plutôt s’il y a la possibilité d’un équilibre.
Et si on ne le trouve pas, on passe à autre chose.
Ce n’est pas parce que l’on écrit sur un support qui utilise des 1 et des 0 (ou dans une culture qui sépare tout entre « blanc et noir ») qu’on est obligé de faire pareil.
Surtout avec un Superman qui porte toutes les couleurs primaires, ainsi que de multiples identités apparemment incompatibles entre elles.
A tous ceux qui attendent le Superman de Gunn avec impatience : je vous déconseille fortement de lire l’article posté par Vieux Con. Il spoil allègrement certains éléments du film. Vous voilà prévenus. ^^
Trop hâte de voir le film Superman !
Vu Jurassic
La salle était climatisée
Y a Natasha dedans
C’est rigolo tellement c’est gros
C’est pas pire que les Jurassic Pratt
Y a Natasha dedans
J’ai payé que 5 euros pour la fête du cinéma
Dans le bateau c’est pas trop mal
La descente en rafting c’est tellement éclaté au sol que c’est MDR
J’ai dit qu’il y a Natasha dedans ?
@ Ayorsaint : J’ai regardé les deux Jurrasic Pratt à la télé. Effectivement, c’est marrant. Y’a Natasha dans le dernier ?
Au cas où, j’ai lu ta critique sur The Batman, et t’ai répondu sous l’article de LTH où tu m’avais mis le lien. 🙂
Houla je sais plus quel article c’était sur LTH
Ouais y a ma Scarlett
Mais le film est une bouse tu l’auras compris
@ Ayorsaint : Ben, sans surprise, c’est sur le dernier article consacré à The Batman… mdr…
http://lestoilesheroiques.fr/2025/06/the-batman-part-ii-matt-reeves-et-mattson-tomlin-ont-termine-decrire-le-scenario.html
Ouais, les dinos, c’est pas mon truc. 🙂
Unpopular opinion, je déteste Johanson est c’est un argument pour moi pour ne pas aller voir le film XD
tout pareil
Arrête de mentir y’a pas black widow dedans
Vu « Jurassic World – Renaissance ». Le pire de la franchise, et pourtant je pensais avoir touché le fond avec « Jurassic World – Le Monde d’Après »… Au-delà de l’histoire téléphonée, des perso’s clichés et mal joués… bah y a rien. Même plus de dinosaures, juste des aliens. C’est ultra’ creux, j’ai failli quitter la salle et ça ne m’arrive jamais.
Ce soir je dois voir « Superman » mais je commence à en avoir ras-le-bol du cinéma de divertissement. Autant me refaire de bonnes licences sorties y a trente ans.
Je comprend la lassitude mais en meme temps les nouveautés se ramassent au box office !
Je me rappelle dernièrement pour ARGYLE. Pas le meilleur film au monde mais clairement avec des idées et divertissant. Idem pour THE FALL GUY. Etc.
On se plains des multiples suites / remake / reboot mais le public ne fait rien pour y remédier. Bien au contraire…
C’est vrai. J’ai adoré « The Fall Guy », j’ai passé un bon moment devant « Argyle ».
Là j’attends impatiemment d’aller voir « F1 – Le Film » qui, je l’espère, sera mon film de l’année.
Après j’ai vu une rumeur assez persistante comme quoi « Indiana Jones » sera rebooté totalement et annoncé à la S.D.C.C. de fin de mois. Si c’est le cas, vous étonnez pas si je passe au journal de 20h00. Y aura des morts.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Le-comedien-et-humoriste-Bun-Hay-Mean-est-mort
C’est pas à ce genre de mauvaise blague et de mauvaise chute qu’on se serait attendu de lui…
🙏
S’il vous plaît, y-a-t-il une page précise où se trouverait les comics Preacher (hors collection Nomad) et From Hell ?
Ce n’est pas de l’univers DC Comics en tant que tel ou un univers qui nécessiterait une page dédiée, donc non. Peut-être le jour où il y aura des pages par auteur.
Merci.