Le bar de Galactus #304 : Mission : Impossible – The Final Reckoning ~ Lilo & Stitch

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

C’est le premier choc de l’été au box office… Mission : Impossible – The Final Reckoning vs. Lilo & Stitch ! D’un côté, nous avons donc l’ultime épisode de la saga Mission : Impossible avec un Tom Cruise de 62 ans qui continue de chevaucher des avions en plein ciel. Prochaine étape – après l’exploration des abysses en compagnie d’Ana de Armas : le film de Doug Liman tourné dans l’espace, qui pourrait être son parfait chant du cygne en tant qu’action star ? De l’autre, la vague Lilo & Stitch s’apprête à déferler dans les cinémas du monde entier… alors qu’initialement, le film devait sortir sur Disney+ ! C’est fou, encore des centaines de millions de dollars qui ont failli ne pas finir dans les poches de l’Empire Mickey (cf. Vaiana 2). Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu dernièrement ? Quel est votre classement des films Mission : Impossible ? Et au passage, qui a esquissé un sourire en découvrant l’élue du revival de Buffy contre les vampires ? (C’est Ryan Kiera Armstrong, alias Fern dans Star Wars : Skeleton Crew !) A vos claviers et très belle semaine à tous !

Nos vies sont la somme de nos choix. Tom Cruise est Ethan Hunt dans Mission : Impossible – The Final Reckoning.

115 COMMENTAIRES

  1. De Lalo Schifrin à Lilo et Stitch… 😁

    Classement « M:I » (hors séries télé) :

    Le premier en Premier, car même s’il fait voler en éclats la dynamique originelle de la série (ambiance parano, esprit d’équipe absent), il porte fièrement la marque de ses deux auteurs : de Palma (fan de Hitchcock, donc pile dans le sujet) et Cruise (maniaque du contrôle sous influence Kubrickienne alors).
    Tout en ayant des morceaux de cinéma aussi cultes que… ben, Impossibles (le TGV dans le tunnel sous la Manche et sans caténaires etc)…

    Ensuite le quatrième, qui fait tout péter aussi, mais pour mieux reconstruire dans la foulée, lui – et avec l’énergie cartoonesque de Brad Bird, carburant à la poisse jouissive, malgré un épilogue qui sent la mythomanie (en gros, c’est lui qui aurait exflitré sa femme de… la CIAthologie ?)…

    Puis Christopher McQuarrie qui se creuse la tête avec Cruise pour reformater chaque nouvel épisode – « allez le 5 ça sera un peu du polar, le 6 du Nolan avec bombe nucléaire à la montagne, et ça fera un diptyque avec le même antagoniste… et pourquoi pas ensuite un autre diptyque, qui fera revenir tout le monde ? »…
    Le 7 étant au dessus d’eux grâce à son argument : il ne faut plus juste être sûr (comme le disait jadis Kittridge)… il faut y croire, penser qu’on peut y arriver sans compromissions, sans trahisons. Transcender l’Impossible, et persuader les alliés potentiels – dont le public…

    Avant-dernier, le troisième film par JJ Abrams, qui était plus un épisode de série des années 2000. Encore un film qui déconstruit (le prologue montre un Cruise en échec total, pour une fois) pour amener à une retraite post-canapé de Oprah. Bouclant une trilogie à propos d’un Ethan Hunt en quête d’amour, là où les suivants le montreront plus en quête d’une famille…

    Et dernier, le John Woo, téléfilm d’action semblant sortir des années 90, un peu autoparodique pour le cinéaste. Contrepoint total au premier volet (chaud au lieu de froid etc), créant ainsi un diptyque autour d’un héros encore trop parfait. Et nanti d’un appendice bien marrant avec Ben Stiller (si si, ça compte).

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    Bonne chance à Ryan Kiera Armstrong, pour ce qui sera aussi un récit d’émancipation – de l’ombre de Joss Whedon, et tous ces créateurs qui (se) mettaient trop de pression.
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    Vu ou revu :

    – Suite de l’intégrale de « Smallville »…

    – Saison 7…
    Un Bizzaro et un Vandal Savage mi cuits…
    Une Kara fracassante (Laura Vandervoort et ses incroyables pommettes)…
    Mais des intrigues beaucoup trop alambiquées, la faute à la grève des scénaristes mais aussi à une gestion trop hasardeuse, entre « X-Files » et le Da Vinci Code.
    Michael Rosenbaum y fait un nouveau pas de côté, sur le chemin de son destin… Avec la disparition de plusieurs piliers, c’est la fin du deuxième âge de la série. Qui pourrait aussi bien être considérée comme une bonne conclusion, définitive.
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    – « Close »…
    Après « Girl », Lukas Dhont continue de traiter de la jeunesse (franco)belge, en remontant un peu plus loin. À l’enfance, où les questionnements (queer) peuvent débuter…
    Pour mieux esquiver le sujet et bifurquer très vite vers un drame en forme de culpabilité du survivant.

    Le problème étant que, faute de la présence visible de mécanismes d’oppression dans la région, et surtout dans la communauté scolaire – tout le monde est suffisamment doux et bienveillant, on ne voit quasiment pas de préados harceleurs ni d’influences toxiques des réseaux sociaux – le réalisateur laisse passer sa chance de transformer son histoire en une enquête policière. Où le jeune Léo, personnage à la fois gracile et fort (avant même de se tourner vers le hockey, il fait des travaux physiques pour aider sa famille) aurait pu entériner son passage à l’âge adulte. Celui où on quitte l’innocence, la sensualité sans les hormones.

    Et où Léo pouvait aussi découvrir des vérités bien plus dérangeantes, à mesure qu’il réexplore des lieux, observe les réactions des gens, tout ça avec un œil neuf.
    Surtout quand une scène précédente incluant un verrou, et une autre où il s’arme d’un bâton pour se protéger, pouvaient redéfinir le personnage de mère que joue joliment Émilie Dequenne (devenant alors troublante lorsqu’on la voit un bébé dans les bras).

    Fausses pistes finalement, il s’agissait juste d’une histoire d’addiction sentimentale qui a mal tournée et que personne n’a vu venir, choisissant la voie un peu trop facile du « mystère insondable de ceux en situation de mal être ».
    Dommage, il y avait matière à créer plus de troubles et d’ambiguïtés, donc plus de questionnements que de lasses constatations, enjoignant la vie à reprendre son cours comme si de rien était.

    – Début de la nouvelle saison de « 911 »…
    Les trois premiers épisodes faisant office de film catastrophe rocambolesque de deux heures, où Angela Bassett doit se demander si elle n’est pas trop vieille pour ces conneries. 😅
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    – Début de (la fin ?) de « HPI »…
    Parodier de façon rigolade « 24 Heures chrono » pourrait apparaître comme ringard depuis 15 ans… sauf si les twists sont marrants, et que la bombe sur le point d’exploser, c’est une douloureuse montée de lait. 🤭
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    Lu :

    – Daredevil et le pêcheur Fisk, bien brutal…

    – Ghost Rider en finit avec l’intérim Parker Robbins (Mephisto gagne toujours)…
    Le Hellverine revient juste pour ramener un personnage connu, et à Benjamin Percy de défaire ce dont il est responsable…

    – Moon Knight revient officiellement avec « papa », et une nouvelle mission pas cool…

    – Deadpool est un bon papa et un bon copain…
    Et avec Wolverine, il surfe sur la sortie du film…

    – Venom War commence sur le ring (et ailleurs)…
    Le tie-in avec Black Widow est un poil marqué MCU (Nick Fury jr n’a pas une telle importance), tandis que celui avec Wolverine réussit à ramener la galères à lui plutôt que l’inverse…

    – Le Ultimate Spider-Man se la joue rationnel (le clin d’œil aux voix intérieures et au symbiote)…
    Le Ultimate Black Panther prépare la guerre…

    – La fin de Star Wars Inquisitors ne bouscule nullement le canon officiel…

    • Pour le MI3 de JJA, ça sent vraiment le réal qui a voulu se faire un épisode d’Alias mais au cinéma.

      Dommage pour Jennifer Garner, remplacée par Tom Cruise.
      Au moins ça a permis au cousin de Tom Cruise d’avoir un contrat pendant une saison de Lost.

      • En même temps, « Alias » ne pouvait exister sans « Mission : Impossible », la boucle est donc bouclée.

        Y compris avec William Mapother, déjà second rôle dans « M : I 2 ».

    • Enfant, j’ai vu le sketch de Ben Stiller dans les bonus du DVD de MI2. Je connaissais pas l’acteur, je croyais que c’était vraiment son cascadeur…

  2. Rogue One : forcément après avoir vu Andor. Est-ce que ça change ? Oui. Bien que Jin reste le personnage principal, Andor n’est plus vu comme un simple personnage secondaire soutien. On comprend mieux son comportement, ses réactions, et son expérience. Son discours disant avoir fait des choses affreuses pour la Rébellion. Sa remarque sur la Force et sa réaction quand l’aveugle lui dit qu’il semble être emprisonné dans sa cause. Le déchirement lors de la mort de certains personnage (dont son camarade de cellule impériale). Ironiquement, lors de son ultime scène, nous voyons seulement Cassian (Jin étant caché par lui).

  3. Bon ben ce week end go Final Reckoning. On va se refaire le Dead reckoning juste avant pour la forme et parce qu’il est très bon et puis voilou !

    Continué Solo leveling, je trouve pas ça ouf mais je m’accroche encore.

    Acheté la totale manga Jujutsu Kaisen car je tiendrai pas cinq ans pour savoir la fin an animé même si il est trop bien réalisé.

    Et enfin je conseille la série documentaire de National Geographic « David Blaine aux frontières de l’impossible ». Les trucs extêmes me fascinent.

  4. Je suis entrain de me refaire tout les missions impossible justement (jamais vu le 7 d’ailleurs). Hier soir c’était le 3.
    Le 1 et le 3 j’ai passé un très bon moment, le 2 j’ai passé un très mauvais moment xD

        • Après on peut pas comparer du De Palma et du Jon Woo c’est sûr c’est le grand écart.
          Mais de la même façon j’avais refait 4 5 6 juste avant le 7 puis le 1 ensuite. Ça faisait bizarre quand même.

          • Le 5 et le 6 j’en ai quasi aucun souvenir. ça va être comme si je les voyais pour la première fois ^^

    • tout pareil …. MI, une de mes trois plus grosses attentes cette année !

      et oui, le second a bien mal vieilli … et désolé pour les puristes de De Palma, mais en effet, beaucoup de fans considèrent que la saga a trouvé son ton à partir de MI:III

        • Le 3 j’entends souvent dire « c’est le moins bon des meilleurs », et je suis plutôt d’accords.
          HS mais j’ai pensé à ça en les revoyant également tous récemment, en réalité l’agence mission impossible est pratiquement constamment désavouée et trahit non ? A part dans MI 2, il me semble que c’est la seule fois ou l’équipe d’Ethan est constamment sous l’égide d’une agence officielle ? Le reste du temps ils sont hors la loi ^^

        • Ethan constamment désavoué. Et dans MI 2 où pour le coup il ne l’est pas, le méchant est son « remplaçant » qui a trahi l’agence ^^

    • Tout comme vous, je me refais les Mission : Impossible qui passent à la télé. Pour tout dire, ce n’est pas la franchise que je préfère, même si j’aime bien Tom Cruise, et que j’admire son courage et son engagement pour son boulot, surtout. Je n’ai jamais aimé le premier, le deux m’a au contraire bien plu, le trois, je ne m’en souviens plus et j’ai raté la redif, et Ghost Protocol, je l’adore bien sûr. Il y en a un dans lequel je me suis en revanche beaucoup ennuyé, celui dans lequel il y a une poursuite en moto je crois… Tom portait une chemise hawaïenne… A la fin, ils mettent le méchant dans une boite, je crois. C’est le seul truc dont je me souvienne.
      J’espère avoir le temps de tout visionner avant d’aller probablement voir le nouveau. Honnêtement, je suis surtout intéressé par les cascades, je trouve que les histoires racontent vraiment n’importe quoi LOL.

      • Ça doit être la fin du cinquième dont tu parles car « le méchant dans une boîte » dans mes souvenirs c’est l’enchaînement entre les épisodes 5 et 6 (mais c’est dans le sixième (Fallout) qu’il y a davantage de moto – à Paris !) ^^

          • @ Ayorsaint : Ah ! Donc le 5 doit être le dernier que j’ai dû voir. Comme je le disais, je ne suis pas très branché par la franchise. Celui-là, je vais aller le voir par obligation, on va dire, mais je peux pas en parler ici (dommage, parce que c’est drôle 😁). Peut-être plus tard…

        • J’ai adoré le 2 moi, vu à l’époque au cinéma et c’était une claque après le soporifique premier épisode. De toute façon, Tom Cruise, Hans Zimmer, John Woo, c’était le combo parfait pour moi en termes de film d’action. Mais c’était une autre époque.

          Mon préféré restera à jamais le 3 avec le magistral et regretté Phillip Seymour Hoffman.

          En trois je mettrais Fallout pour les voyages, Paris, Cavill et ça aurait pu être une belle fin pour moi.

          Ensuite Dead Reckoning que j’ai vraiment aimé et qui amène un peu de fraicheur avec Hayley Atwell qui joue le même rôle de voleuse que Thandie Newton dans le 2. Ce film m’a donné furieusement envie de voir Final Reckoning mais je ne pense pas pouvoir y aller ces prochains jours malheureusement.

          Les autres, je n’en ai que de vagues souvenirs. Une explosion du Kremlin, une escalade d’une tour à Dubaï épicétou ^^
          Ils ne m’ont pas donné envie de les revoir contrairement aux quatre autres ci-dessus.

  5. Mon classement controversé des MISSION : IMPOSSIBLE.

    1. MISSION : IMPOSSIBLE III
    2. MISSION : IMPOSSIBLE – FALLOUT
    3. MISSION : IMPOSSIBLE, le premier de Brian De Palma
    4. MISSION : IMPOSSIBLE – ROGUE NATION
    5. MISSION : IMPOSSIBLE – THE FINAL RECKONING
    6. MISSION : IMPOSSIBLE – DEAD RECKONING
    7. MISSION : IMPOSSIBLE – PROTOCOLE FANTÔME
    8. MISSION : IMPOSSIBLE II

    Et dans le multivers lointain de MISSION : IMPOSSIBLE; HBO Max a produite par le J.J. Abrams, Duster ! J’ai pas encore pu jeter un oeil, mais je me dis que ça peut en intéresser certains 🙂

      • Sans spoil, je trouve que c’est une chouette conclusion à DEAD RECKONING qui souffre des mêmes problèmes que ce dernier, mais qui arrive à connecter toute la saga M:I, sans que ça ne fasse cheveu sur la soupe. La réalisation est grandiose et le message est super.

        Dis moi quand tu l’as vu 🙂

  6. J’ai pas vu le dernier. Mais je vais probablement rattraper mon retard histoire de voir celui ci au cinéma.

    Faire un classement serait un peu trop ardu pour moi. Je sais que j’aime beaucoup le premier. Celui de JJ. Et fallout. Le reste c’est un peu oublié.

  7. Les MI sont assez divertissant je reconnais. Par contre je reproche depuis le 3 (et même le 1er le fait) que ce soit toujours le patron/gouvernement contre Ethan. L’organisation est remis en question à chaque film.

    – Protocole fantôme
    – Rogue Nation
    – MI 1 (pour son approche différente)
    – Fallout

    Pas vu les autres (le 3 n’était pas dispo sur Netflix, et j’ai raté le 2 à cause de son expiration)

    • C est l’un des thèmes de la saga, Hunt est un risque-tout, et pour ça certains l’adule et d’autre le trouve dangereux, dans son propre camp.
      Je trouve pas ça inintéressant.

  8. Mon classement de la saga « Mission : Impossible » :
    1 – « Mission : Impossible – Rogue Nation »
    2 – « Mission : Impossible – Protocole Fantôme »
    3 – « Mission : Impossible – Fallout »
    4 – « Mission : Impossible »
    5 – « Mission : Impossible III »
    6 – « Mission : Impossible – Dead Reckoning »
    7 – « Mission : Impossible – Finale Reckoning »
    8 – « Mission : Impossible 2 »

    Vraiment déçu du dernier. Il me manque ce qui faisait un peu le sel de la saga, ça reste encore une fois la même chose, et mis à part les séquences d’actions qui pour le coup sont exceptionnelles, bah c’est creux quoi. Ça reste tout de même un blockbuster de haute qualité, et rien que pour ça, ça vaut le coup de le visionner au cinéma.

  9. J’ai vu le MI Final Reckoning samedi soir en avant-première (je le revois après-demain en IMAX – allez le voir en IMAX !) et j’ai beaucoup aimé, bien plus que le précédent ^^

    Pourtant, le (très) long-métrage (2h50) a pas mal de soucis (de rythme, cohérence et autres) mais la générosité du spectacle, les deux séquences d’action spectaculaires, la charge émotionnelle et d’autres choses agréables en font un solide divertissement, et je préfère retenir ces côtés positifs (c’était l’inverse pour Dead Reckoning, les défauts m’avaient complètement sorti du truc et je restais sur une note amère).

    Je referai un post ici mercredi soir avec les éléments négatifs que j’ai relevés histoire de ne pas trop spoiler (malgré les balises) au cas où ^^

    Côté classement :

    1er ex-æquo : Mission Impossible (1) / Fallout (6)
    3ème : Ghost Protocol (4)
    4ème : Rogue Nation (5)
    5ème : Final Reckoning (8)
    6ème : Mission Impossible III (3)
    7ème : Dead Reckoning (7)
    8ème : Mission Impossible 2 (2)

  10. Sinon j’ai terminé Expedition 33 ce jour, je rejoins tous les louanges sur le jeu. Hâte de passer en phase d’exploration désormais et terminer quelques quêtes secondaires – je ne pense pas m’atteler à up à fond pour tuer des gros monstres, c’est moins mon truc ^^

    Vraiment, ça faisait longtemps qu’un jeu ne m’avait pas autant conquis, la singularité de l’univers, la beauté des graphismes, la musique exceptionnelle, le gameplay, les personnages attachants et l’histoire globale, je le classe dans mes jeux favoris de tous les temps (aussi haut que Last of Us 2, Red Dead Redemption 2 et Life is Strange) ! 🙂

    • Bon je vais commencer par la switch 2 mais faudra donc que je passe à la PS5 dans pas trop longtemps entre celui-ci et Astro Bot. De toute façon avec l’arrivée de GTA6 l’an prochain j’aurai plus le choix.
      Je suis plutôt de l’école du gameplay mais j’aime aussi beaucoup les jeux scénarisés comme TLOU ou RDR2 qui sont également dans mon panthéon perso

          • C’est fait pour. C’est un hommage aux J-RPG comme on les aimait avant et que les derniers Final Fantasy ont laissé tomber.
            Par contre, il a des mécaniques parfois exigeantes, tu devrais kiffer.

          • Je rejoins Garyus, il y a des mécaniques exigeantes. À la base je ne suis pas du tout fan de « gameplay poussé » et/ou de « die and retry » et là le jeu est merveilleusement bien équilibré pour soit aller en ligne droite pour l’histoire principale sans trop de difficultés (à part quelques boss), soit prendre son temps et monter de niveau, recommencer, etc.

            Une fois le jeu terminé (ou juste avant d’affronter l’ultime boss), il y a des beaux challenges pour ceux qui, justement, favorisent les défis et le gameplay de ce genre (cf. ma femme dont on parlait pour Elden Ring il y a peu ayor si ma mémoire est bonne – je lui avais montré ton message, elle avait ajouté « tu peux lui dire aussi que j’ai platiné le jeu » 😅).

          • Yes moi aussi platiné ainsi que son DLC encore meilleur.
            Quand je parle de gameplay je ne parle pas forcément de truc exigeant ou de die and retry.
            Pour moi un Zelda un mario ou un Metroid ce sont des gameplay super bien foutus sans être exigeants. on peut trouver ça ailleurs que chez nintendo mais selon moi ce sont les rois à ce niveau là.

          • Tout dépend du style de jeu. Je déteste les jeux Nintendo et j’ai joué à plein de jeux au gameplay aux petits oignons^^

  11. Mon top M:I, de mon côté, je me les suis aussi tous refais hormis le dernier et le 2!

    1/ Fallout: la mise en scène magistrale, la scène du saut en parachute, la relation Ethan / Isla, Cavill qui se transforme en brute arrogante, le combat dans les toilettes, l’émotion à la fin, une vraie masterclasse!

    2/ Rogue Nation: pas grand chose à reprocher à ce film mis à part les CGI à la fin de la poursuite en BMW! Très plaisant à regarder, beaucoup de rebondissements, l’arrivée de Rebecca Ferguson, Jeremy Renner (je ne peux ni confirmer ni infirmer le détail de ce genre d’opération sans l’approbation du ministre! 🤣), un vrai bon film d’espionnage!

    3/ Protocole fantome: le nouveau souffle de la saga, un film qui nous fait bien voyager, avec la scène spectaculaire à Dubaï notamment, Jeremy Renner qui joue un analyste benêt pas si benêt que ça, la touche d’humour avec Benji, un super film!

    4/M:I III, j’aime bien la narration avec la scène du début, un méchant impitoyable, de bonnes scènes d’action et beaucoup de suspense, le film fait le taff.

    5/Mission: Impossible, premier du non, une belle entré en matière avec un Ethan Hunt qui montre toute son intelligence, on adhère au perso!

    6/ Dead Reckoning, la déception avec une mise en scène pas du tout à la hauteur de ce qu’est capable de faire McQuarrie, trop de longueurs, le sort d’Isla pas du tout à la hauteur du personnage, je l’ai pas revu depuis la ciné mais pas tellement envie.

    7/ M:I II, un ton trop en décalage par rapport aux autres, malgré la super scène du début.

  12. Vu:
    – Paradise: Un peu déçu par l’épisode final et l’identité du tueur. Ca tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
    La série dans son ensemble, par contre m’a beaucoup plu, par sa thématique, la qualité de ses acteurs principaux (fantastique James Marsden mais aussi Sterling K. Brown et Julianne Nicholson bouleversante dans l’épisode centré sur elle), par sa bande-son aussi que j’ai trouvé parfaite.
    Certains choix et facilités scénaristiques font que la série ne sera pas culte dommage.
    La série aurait pu s’arrêter là mais j’aime ses personnages et son univers, je serais là pour une saison deux qui aura le mérite de ne pas se répeter.

    – Severance, saison 1, épisode 1: J’aime bien, c’est intéressant pour l’instant et bien filmé (qualité Apple TV). Vu tout le bien que j’en lis, ça sera celle que je continuerai ces prochains jours. Pareil pour Andor mais j’ai vraiment du mal.

    Deux films complètement barrés:
    – Super (2010): Bon d’entrée de jeu, je n’ai pas du tout accroché à la réalisation type « amateur » (même si c’était voulu). Ensuite, on voit vraiment que c’est du James Gunn: du rock indé à gogo, des acteurs qu’on a déjà vu dans tous ses films, les animaux, de l’humour trash (les petits garçons qui font pipi, c’est vraiment une obsession), le générique avec ses héros qui dansent.
    On se demande comment il va réussir à coller son style si particulier à Superman et son univers loin du trash et du gore.
    Et puis vient la dernière partie du film, où le film, comme le héros , livre tout ce qu’il a dans les tripes. Et c’est beau, triste, choquant, ça fait réfléchir sur la dépression, la solitude, les super-héros.
    J’en ressors ce soir avec un bon sentiment sur le film et je me dis que James Gunn à la possibilité de faire du grand James Gunn et de livrer aux fans de Superman, le film qu’ils attendent depuis si longtemps.

    – Boy Kills World (2024): Je ne sais pas encore trop ce que j’ai vu, tellement c’était WTF!
    C’est comme si Scott Pilgrim avait été projeté dans Mortal Kombat (le jeu): De l’action ultra-sanglante (production Sam Raimi), un côté méta pour les amateurs de jeux de baston , un Bill Skaarsard habité par son rôle, un humour qui détonne et surprend et des seconds rôles bien sympas: Famke Jansen (X-Men), Andrew Koji (Warrior) à contre emploi et le toujours excellent barbare Yayan Ruhian (The Raid).
    Je peux pas dire que j’ai adoré mais c’était un OVNI sympa à découvrir et divertissant.

    Joué:
    – Clair Obscur: Expédition 33. J’en suis à l’acte 2 et franchement pour moi, c’est l’oeuvre de l’année, tellement tout est au niveau du chef d’œuvre: l’histoire originale, le scenario surprenant et bouleversant, la direction artistique de toute beauté, les acteurs exceptionnels et la musique qui est au dessus de tout.
    Dire qu’Hollywood va en faire un film, ça m’écœure. Comme pour The Last of Us, ils ne peuvent que se rater et livrer un truc naze à 10M d’années lumière de ce monument.

    – Fatal Fury City of The Wolves: Ca défoule entre deux parties de Clair Obscur et ça fait du bien de retrouver Terry Bogard et ses potes 26 après dans la crème des jeux de combat 2D.

    • @ Garyus
      Exactement le même ressenti sur le dernier épisode de Paradise. Je ne pense pas que ce soit le cas mais on dirait qu’ils n’avaient pas prévu d’emblée une saison 2. Comme si tout à coup il fallait un autre meurtrier que celui choisi initialement. Et puis comme si il fallait garder des intrigues sous le coude et en lancer tout à coup des nouvelles. Ça fait un peu rushé.

      SPOIL SPOIL SPOIL
      Je déteste quand le meurtrier est un gars qui sort de nul part en plus… Et je trouve étrange que rien n’ai été dévoilé sur le père du président qui a clairement un truc à voir avec tout ça et qui a même possiblement toute sa tête.
      Bref…
      Je serai là aussi pour la saison 2 mais avec un peu d’appréhension je l’avoue.

      Le nouveau Garou me fait de l’oeil. Je suis un grand fan devant l’éternel des fatal fury. Terry est mon main à Smash Bros. Mais je crois que je vais rester sur Street 6 en attendant qu’il soit bien descendu de prix sur le marché de l’occase

      • @ayorsaint: oui, ça fait rushé et plein de questions restent en suspend pour le père de Cal, c’est dommage… ou pas. Espérons qu’ils reviennent dessus en saison 2.
        Terry est mon main depuis… Fatal Fury, premier du nom sorti en 1991, ça ne rajeunit pas ^^
        Tu peux attendre oui, sauf à jouer online, parce que le mode solo est quand même décevant, tout droit sorti des 90.
        Mais du coup tu as pris le DLC de Terry dans Street Fighter 6? 😁

        • @ garyus
          oui ils y viendront en saison 2 sur le vieux mais il me semble qu’une petite indication en saison 1 était nécessaire… C’est très subjectif comme ressenti mais ça m’a déçu.

          SPOILS

          Les trucs téléphonés aussi comme la garde du corps qui est pas celle qu’elle semble être c’était gros.
          La gamine qui ramasse la tablette… mais non…
          Bref la série m’a quand même donné beaucoup de plaisir et puis rien que pour le 7 ça valait le coup 1000 fois

          Je ne joue pas Online c’est pour ça aussi que j’hésite
          Même SF6 m’est un peu tombé des mains car mes potes c’est surtout Smash. J’ai même pas pris Terry du coup… Qui était aussi mon main dès le premier Fatal Fury.

          • Ah… le coup de la tablette. Ca a failli me faire décrocher tellement c’était con.
            Mais oui l’épisode 7 ^^

            Les jeux de baston sans le online (comme moi pour cause géographique), c’est souvent limité. Je peux y jouer une fois tous les deux trois mois quand je reçois la famille mais bon entre temps si t’as pas un solo solide (comme Tekken ou MK), c’est vite mis de côté.

    • Je te rejoins pour Paradise.

      Content que tu ais donné sa chance à Severance qui est une pure masterclass. Je n’ai aps eu ce sentiment dès le 1er épisode, mais quand tu seras au bout de la S1, je pense que sera concquis, et la S2 n’arrangera pas la chose :p

      « Super » est sur ma liste depuis un moment, tu l’as vu sur quoi ?

      • Je suis passé par Jack Sparrow. Les temps sont durs et les plate-formes trop nombreuses et toujours plus chères.
        Tiens, j’avais zappé Severance. Je vais me mater un épisode ce soir et je m’accrocherais, compris chef!

  13. Pour les MISSION IMPOSSIBLE ( par ordre de sortie )
    1. De Palma fait un travail parfait pour installer la mythologie version cinéma.
    Le problème réside évidemment pour moi dans le cas Jim Phelps. Avec une meilleure explication sur son retournement, j’aurai peut être pu accepter cette évolution
    2. John Woo iconise au maximum Tom Cruise mais le film patine a cause de cette love story tiedasse.
    3. JJ Abrams réussi partiellement sa transition vers le cinéma. On sent encore les rouages des séries mais Philip Seymour Hoffman incarne l’un des meilleurs antagonistes de la saga
    4. Pour sa première réalisation live, Brad Bird offre des moments d’anthologie. J’adore surtout le retour d’une équipe autour d Ethan. LA vraie première adaptation « fidèle » à l’esprit de la série et non cette émulation de James Bond.
    5. McQuarrie 1ere. ROGUE NATION est un PROTOCOLE FANTOME 2.0 qui s’appuie sur son prédécesseur pour amener la nouvelle dynamique à son meilleur
    6. McQuarrie rempile pour le meilleur. Seul défaut : une forme de cahier des charges obligatoire trop visible mais rattrape par un antagoniste parfait nemesis de Hunt.
    7. Baisse de régime du à l’idée d’un vrai faux méchant en forme d IA vengeresse. Et puis la mort d’un certain personnage me laisse un goût amer.
    8. A voir. En espérant juste que le mot FINAL du titre soit vraiment celui de Ethan. Au pire, pourquoi pas un cameo dans une éventuelle suite reboot

    • Ha merci Darkkane
      Plutôt qu’un top froid, un résumé des qualités et défauts de chacun. Très intéressant.
      Je partage ton avis sur quasiment tout.
      Je rajouterai que le 1 a aussi un peu mal vieilli
      Le 2 effectivement je m’en souviens comme d’un shonen avec un Cruise ultra badass mais pas revu depuis des lustres
      Pour le 3 Seymour Hoffman est aussi mon méchant favori aux côtés de celui de Fallout
      Pour 4 5 6 que j’englobe j’ai le seul point de discordance avec ce que tu dis. En effet, selon moi, c’est pas vraiment une équipe. Ce sont clairement les faire valoir de Cruise. Mais ça fonctionne super bien et ils sont super attachant avec un humour pile poil dosé comme j’aime. Fallout étant le pinacle de cet édifice.
      Le 7 pour moi c’est le top de ce qui pouvait se faire en termes d’action. On est subjugués du début (Rome en fiat 500) à la fin (le train quelle claque!!!) au détriment d’un scénario fainéant.

      • @ayorsaint
        DEAD RECKONING semble avoir été fait en mode machine sans vrai réflexion autour.
        On sent que McQuarrie et Cruise sont parti sur une idée ( l’intelligence artificielle ) et on brodait autour en se disant qu’il fallait quand même un opposant humain…
        Et puis même si j’aime Hayley Atwell, son personnage fait plus faire valoir de Cruise que celui de Rebecca Fergusson. Et ça fait un peu remplacement sans raison…

        • Pourtant il y avait bien une idée directrice : opposer les fabricants de fictions, avec d’un côté les hommes-machines qui veulent contrôler les masses, et de l’autre les indépendants qui utilisent l’illusion pour protéger les innocents.
          Soit le combat entre les exécutifs de studios et les artistes magiciens.

  14. Vu Thunderbolt et j’ai trouvé ça vraiment sympa. Je ne saurais pas trop expliquer pourquoi, mais le personnage d’US Agent me plait bien.

    Je continue de suivre The Last of Us, et je dois dire que c’est vraiment dommage concernant le casting d’Ellie, j’ai vraiment du mal avec ses expressions faciales, c’est assez déstabilisant étant donné qu’elle occupe tout de même une bonne partie de l’histoire.

    Sinon, j’ai terminé Expedition 33 et c’est un jeu qui fait vraiment plaisir. On sent le projet qui a été fait avec passion. La direction artistique et la musique élèvent vraiment le jeu, le plaçant dans une catégorie à part. En revanche, pour les points où j’ai moins accroché, je dirais que les personnages m’ont un peu laissé de marbre. Ils sont tous un peu trop lisses à mon goût. Par contre, gros coup de cœur pour Esquie. <3 Esquie.
    Et même si la plastique du jeu est exceptionnelle, au final, ça reste dans mes souvenirs (que mon avis), un enchaînement de couloirs où j’ai souvent l’impression de jouer à Benny Hill avec les ennemis. Un peu frustrant, même si le reste compense. Je pinaille un peu, le jeux est très bon et me donne espoir avec récemment Baldurs Gate 3 qu'un jeux fait avec passion par un petit groupe de passionnés a largement de quoi faire trembler les plus gros triple A.

    C’est là qu’on voit que dans tous les domaines, l’amour et la passion du travail peuvent faire une énorme différence.

    • Ha mais niveau gameplay c’est quand même pas rare que des petits studios mettent à l’amende des géants. J’ai beau surkiffer Red Dead, il n’en reste pas moins que son gameplay est lourd à mourir. Pourvu que le prochain GTA corrige ça mais j’en doute.
      Quand tu vois des petites merveilles comme Hollow Knight créé par trois passionnés ça laisse songeur.

      • Oui, ce que je voulais dire c’est que lorsque je pense aux prochains jeux intéressants à venir, je pense à GTA VI, Witcher 4, Intergalactic, Fable 4.
        Tous les projecteurs sont sur les grosses productions.
        Et rien ne m’enthousiaste vraiment.
        Je ne peux qu’espérer qu’une petite gemme se cache dans la foulée.

        • Je n’ai plus aucune confiance dans les gros editeurs de jeux occidentaux. Comme Hollywood, ils ont vendu leur âme et leurs jeux sont devenus des copies de ce qu’ils faisaient avant, des suites à rallonge, le tout sans âme et bourré d’idéologie.
          Faisons confiance aux petits studios capables de nous sortir des pépites comme Black Myth Wukong, Stellar Blade ou encore Split Fiction et Clair Obscur Exp. 33.
          Le bonheur en 2025 viendra de l’Asie pour moi (comme souvent): Lost Soul Aside et surtout surtout Crimson Desert.

          • Je pense aussi que les jeux d’Asie sont effectivement la relève dans ce système occidental aux orientations que les gamers questionnent régulièrement.
            Dernièrement Wukong que tu as cité, mais aussi Khazan, des jeux qui se contentent de divertir simplement et qui le font bien.
            Cependant, je ne sais pas, je trouve qu’il manque un truc encore aux jeux asiatiques, ils me laissent tous une sensation d’être un jeux fait en Adobe Flash. Je ne saurai expliquer. Ils sont encore très loin selon moi des megaproductions americaines qualitatives RDRII, GOD 2018, Uncharted Trilogy, etc…
            Mais au vue des dernières sorties, il y a de l’espoir, ça fait du bien.

  15. J’aurais aimé me refaire tous les MI avant de voir le dernier en salle, mais c’est Mission impossible pour moi 😉

    _Mon classement, sachant que je pense qu’il évoluerait un peu en en revisionnant certains :

    1. MI III (ce duel avec le meilleur méchant de la saga, cette intro culte, ce ton bien plus sombre, ce Hunt poussé dans ses retranchements)
    2. MI : V
    3. MI : I
    4. MI : IV
    5. MI : II (pour lequel je garde une certaine affection comme film de mon enfance, et ce moment où le méchant se rend compte de son erreur avec cette sublime reprise du thème musical)
    6. MI : VII
    7. MI : VI (grave déçu par celui-ci -hormis la géniale baston des WC-, mais comme il est aimé par beaucoup je devrais ptete le revoir)

    Je n’ai pas vraiment aimé qu’ils lient autant les films entre eux à partir du 4. J’aimais que chaque film ait une saveur, une patte particulière, et existe presque indépendamment des autres.

    En tout cas la saga s’essouffle (c’était criant avec le 7) et si je vais voir le dernier c’est principalement parce qu’il est vendu comme le dernier, et qu’il boucle la boucle à priori

    • @Black Bolt/Panther

      Revois FALLOUT.
      J’ai bien mieux apprécié le film au second visionnage pour ma part.
      En salle, je l’avais trouvé trop long. L’avantage du second visionnage est sûrement que j’avais le temps réel en tête et mieux anticiper les moments up and down pour mieux profiter

  16. Eh bien pour ma part, on reste dans le jeu vidéo. En attendant de voir si je me fait Clair Obscur: expedition 33, je me refait pour la 3eme fois (et demi) Dark Souls 1, qui, même si sorti il y a 14 ans, est un chef d’oeuvre absolu, une oeuvre culte et une maitrise absolu du level design (toujours pas égalé encore aujourd’hui !). J’attends NightReign bien évidemment, j’espère que le mode solo sera top ! Je me tâte a faire Dark Souls 2, vu les retours négatifs que j’ai lu/entendu … et il me restera a regarder des walkthrough de Sekiro, vu que je n’accroche pas au style de jeu (j’ai fini Bloodborne qui est le jeu qui se rapproche le plus de lui niveau style de jeu, et j’étais régulièrement en panique tellement il faut avoir de très bons réflexes tout le temps … mais excellent jeu tout de même !!!!).

    Il faudrait que j’aille voir Thunderbolts que j’ai toujours pas vu, mais je suis tellement moins intéressé maintenant par l’univers du MCU, très déçu par les derniers films et prods … souvent a la ramasse ! Peut être me ferais-je le dernier Mission Impossible du coup.

    Je me suis « forcé » (un grand mot) a faire les saisons 3, 4 et 5 de Breaking Bad, j’avais trouvé la série vraiment bien mais pas autant que ce que beaucoup de gens en pensaient. Et même si je suis resté tout du long a vouloir absolument savoir comment se termine la série, avec des moments incroyables, je reste sur l’idée que Game of Thrones est « au dessus » haha 😀 (malgré le final série vraiment moyen). Vive GoT le Goat ! 😀

    • Espérons que ce soit à la hauteur. Ce casting est bon déjà, c’est même quasiment inespéré. Maintenant j’ai bien peur que si la série était aussi bonne, c’est grâce à Whedon.

      • Oui Buffy n’était aussi géniale en grande partie que par Whedon. Ça c’est d’ailleurs vu sur le spin-off Angel qui n’était au top que quand Whedon prenait le temps de s’en occuper.

        Maintenant je suis content que ça revienne. Au pire ils sortent une série mauvaise mais ça n’enlèvera rien à tout ce qui a été fait dans le buffyverse (les deux séries tv et aussi certaines suites en comics qui valaient le détour)

  17. Petit nouveau visionnage des GARDIENS DE LA GALAXIE 1. Ma compagne n’avait vu aucun… Donc avant de revoir le volume 3, ça va être volume 2 + Infinity war + Endgame avant

    En tout cas, ça reste toujours génial et elle était dans l’incompréhension lors du sacrifice de Groot et aurait été abattu si elle n’avait pas connaissance de Baby Groot.

  18. Décidément pas crédible TLOU saison 2

    SPOIL

    Comment Dina peut elle être à ce point plus dégourdi que Ellie. Ellie a traversé le pays dans la saison 1 !!!!
    Dans le jeu c’est l’inverse. Et c’est plus logique.

    • J’ai dis a un pote. En fait c’est dina le personnage principal. On s’attache a elle. Elle est dégourdi. C’est elle qui prend les meilleures décisions. Et pourtant. On a zéro flashback sur elle.

      Même sur les miniatures c’est souvent elle qui est au premier plan.

      C’est pas pour me déplaire. L’actrice est mignonne . Elle joue bien. Et du coup j’ai hâte de la voir dans Superman

  19. MISSION IMPOSSIBLE – THE FINAL RECKONING

    Fin déceptive pour la saga de Tom Cruise
    En terme d’actions, le film reste dans le haut du tableau du genre mais il manque des points essentiels à ce dernier opus
    Le principal point négatif tient en un mot : l’ennemi.
    Si les menaces sont multiples pour Ethan et son équipe, aucune n’est totalement à la hauteur. La plus grande déception étant évidemment Gabriel.
    L’idée de faire en sorte que Gabriel soit celui qui a poussé Ethan à intégré M.I. était une bonne idée en soi mais cela reste superficiel.
    Face aux anciens opposants, la comparaison est rude. Tellement que j’ai cru à une scène manquante dans le « combat » final entre les deux !
    Plus encore : la fin est étrange ! Ethan a sois disant créé une équipe/famille mais le dernier plan laisse penser juste à des collègues qui se séparent ! Dommageable surtout que l’on aurait pu penser à des embryons de plus (notamment entre Paris et Benji)

    THE FINAL RECKONING n’est pas un mauvais film en soi mais juste un épisode moyen de la saga. Une sorte de syndrome INDIANA JONES 4. En espérant d’ailleurs que la saga stoppe sur cette note douce amer ( il vaut mieux finir sur un 6-7 / 10 qu’un 2…) et ne pas avoir de CADRAN DE LA DESTINÉ…

    • Je te trouve vraiment indulgent avec le film quand on sait connait l’historique des deux gars.

      Spielberg avait dit à Tom Cruise en 2021 qu’il avait sauvé le cinéma, si c’est le cas, je pense qu’il vient aujourd’hui de l’enterré. C’est ça le mieux qu’Hollywood est capable de faire? En fait c’est pas Tom Cruise qui a sauvé le cinéma américain, c’est Joseph Kosinski. J’ai hâte de voir ce qu’il va nous proposer avec F1.

      • @Remy
        Pas indulgent mais modéré dans mes propos.
        Concernant THE FINAL RECKONING, il ne faut pas partir dans l’exagération.
        Le film est il une déception vis à vis de l’attente ? Oui. Est il totalement mauvais ? Non.

        • J’ai pas l’impression de partir dans l’exagération, je trouve que d’un point de vue technique, de la mise en scène et de l’écriture, le film est très pauvre. Personnellement je n’arrive pas à trouver de positif. Même si l’unique but était de divertir, la mission est un échec.

          • @Remy
            Chacun son point de vue mais j’aimerai savoir à quel film tu le compares.
            Car, hors JOHN WICK et BALLE PERDUE, je trouve que les films d’actions ne sont pas à la hauteur dans la majorité des cas.
            D’où le fait qu’un film comme THE FINAL RECKONING, même souffrant de nombreux maux, me semble, à minima, dans la moyenne + ( soit un 6.5 environ )

          • « je trouve que d’un point de vue technique, de la mise en scène et de l’écriture, le film est très pauvre »

            L’écriture OK mais pour les séquences du sous-marin et des avions, techniquement c’est irréprochable et la mise en scène impeccable. J’ai vu le film 2 fois (je l’apprécie malgré ses nombreux défauts), les 2 fois toute la salle était bouche bée et silencieuse durant ces deux séquences, tout le monde retenait son souffle ^^

          • @darkkane: Ah mais je le compare pas à autre chose si ce n’est à passer un bon moment. Si je dois trouver une comparaison dans le style, ce sera uniquement avec les derniers « Mission: Impossible », je parle du 5 et du 6 qui sont pour moi les meilleurs, et peut être Fast And Furious 5, qui s’en rapproche pas mal sur la dynamique des personnages. Et dans une moindre mesure, Braquage à l’italienne.

            @Thomas: quand je parle de technique je fais surtout référence à la photographie. C’est sur que je suis plus sensible a un film comme Skyfall, ou ce que fait Denis Villeneuve sur ses films. Là
            De mon côté, j’ai trouvé la scène dans le sous-marin beaucoup trop longue, même si on sentait la tension. On a l’impression que le seul but de Tom Cruise dans ce film, c’est de montrer que physiquement, il est capable de courir (quand il parcourt 10 bornes ou plus pour aller rejoindre Luther), de plonger, de piloter et de sauter en parachute.

    • Et encore, le quatrième « Indiana Jones » était plus léger en comparaison. Comparons plutôt avec le cinquième, extrêmement poussif – mais avec quand-même plus de scènes virtuoses avec Cruise que chez James Mangold.

    • Si tu le vois un jour, en vrai tu constateras par toi même qu’il est tout au contraire d’un rythme haletant, toujours sous tension, multipliant les fusillades, les bastons, les désamorçages, presque sans répit. Avec pour double avantage de constituer d’abord une nouvelle équipe de toutes les provenances tout en se construisant sur les volets précédents avec brio.
      Chaque membre survivant de l’IMF étant un rouage vers la solution. Pas besoin d’incarner une famille lorsque chacun est à sa place. Ça c’est pour Fast and Furious.

  20. J’ai vu Final Reckoning hier, mon Dieu, quelle catastrophe. Ils ont réussi à faire pire que celui d’avant. Qu’est ce qui s’est passé bordel? On ne reconnait pas le réalisateur. Lui qui avait le sens de la mise en scène efficace, qui a inventé certains plans. J’arrive pas à me dire que c’est ce gars là qui a fait Jack Reacher et les MI: 5 et 6 quand on voit le résultat final. On a perdu toute le dynamique d’équipe, les autres perso n’on absolument rien à se mettre sous la dent, ils n’ont tous rien à raconter, Pom Klementieff, la pauvre, avec ses 2 ou trois mots par ligne de dialogue. C’est long, c’est chiant et c’est moche. Il n’y a aucun équilibre dans le film, aucune alternance entre action et réflection. Le film se résume à SPOILER une petite scène d’action avant le générique de début qui nous rappelle l’évasion dans le 5 en beaucoup moins bien (les combats ne sont pas filmés WTF?). à celle du sous marin, qui arrive au bout d’1h50 et qui est interminable, puis à celle dans les airs à la fin, qui est très tiré par les cheveux dans sa logique. Le reste ce n’est que des discussions sur le sort du monde et des spécilations sur les intentions de l’entité et du méchant (j’ai même oublié son nom tellement il n’a aucun intérêt). FIN SPOILER.

    Tout est sombre, les plans sont tous resserrés sur les visages, y’a aucune perspectives. La bande son est immonde, le notes de musique ne font que continuer à rendre la mise en scène insipide.

    Quand on pense au deux antagonistes Lane et Davian, des épisodes d’avant, on les pleure toutes larmes de notre corps. Le méchant humain n’a aucun charisme. On a l’impression que Cruise a voulu faire un film à sa gloire plutôt que de vouloir faire un bon film.

    Vraiment c’était zéro plaisir, j’avais qu’une hâte, c’est que ça se termine. Le pire de la saga. Et en me remémornt le 2, je me demande si finalement il est pas mieux que le dernier dyptique.

    La chute est rude. Aucun intérêt.

    • @Remy
      Si c’est en comparaison des autres opus, oui, FINAL RECKONING est dans le bas du classement.
      En comparaison des prod’ Netflix type RED NOTICE, on est quand même bien au dessus. Lol. Au moins dans le cas présent, le scénario n’est pas à la hauteur des espérances mais il tiens la route de façon logique

      • @je ne me hasarderai pas à le comparer aux films d’action Netflix 😅. J’en ai pas vu beaucoup mais grossomodo, le seul film Netflix que j’ai vraiment aimé, c’est I Care A Lot avec Rosamund Pike, et dans une moindre mesure Adam à travers le temps que j’ai trouvé sympathique mais sans plus.

        Il n’empêche que des bons films americains, c’est de plus en plus rare. L’année dernière dans les divertissements j’ai aimé Dune 2, The Fall Guy, le dernier « la Planete des singes », et Gladiator II (même si je crois être le seul).
        Dans les films un peu moins mainstream, The Bikeriders et Horizon.
        Et dans les dessins animés, Transformers One et le Robot Sauvage. Finalement y’en a quand même quelques uns 😆

  21. Mignon, rien possible.

    La Fin du Monde. Une idée qui était déjà devenu de moins en moins plausible à l’époque de la série télé « Mission : Impossible », post Crise des missiles de Cuba… où la destruction mutuelle assurée via le nucléaire ne sera finalement plus du tout envisagé par aucun pays au monde. Et en même temps, faire se passer la série dans des pays étrangers fictifs permettait de ne pas parler trop ouvertement de la Guerre Froide… pour, évidemment, être surtout un show Méta sur le pouvoir de la Fiction, l’équipe IMF n’étant rien d’autre qu’une équipe de cinéma, artistes créant une réalité alternative pour mieux manipuler leur cible – donc nous, public.
    Les adaptations avec Tom Cruise, quand elles sont à leur meilleur, suivent cette voie… et alors, ça devient formidable, même si le Grand Public s’en rend un peu moins compte que les cinéphiles (du casse muet à la CIA à un film catastrophe ferroviaire, de jeux de masques à des valses entre traîtres)…

    Las, ce « Mission : Impossible – The Final Reckoning » semble avoir abandonné le « film dans le film », qui est si amusant, au profit du côté « sauveur de l’humanité », avec toute une dimension militaire qui était périphérique à la série jusque là.
    Ici elle est énormément présente, et instaure une ambiance pesante, peinant à exister à contrario de la légèreté de prédilection des saltimbanques de l’IMF.
    Finie la métaphore des artistes/artisans contre les froids exécutifs de studios. L’heure est grave, l’horloge de l’Apocalypse se rapproche de son terme… et histoire que vous le compreniez, on va vous le rappeler plein de fois.
    Que voilà un film bien culpabilisateur par rapport à notre monde (elle est là, la dimension Méta), où ce sont des êtres volatiles qui refaçonnent les sociétés actuelles pour leur faire faire des tas de débilités nihilistes. Si vous niez avoir eu connaissance de ces agissements, un message vidéo vous en fera un résumé… Et des scènes des précédents films, intercalées au milieu des dialogues, illustreront toutes les explications.

    Sauf que ça n’est pas qu’à nous que ça s’adresse précisément, mais à Ethan Hunt et aussi tous les personnages. Alors qu’ils sont censés être un tantinet au courant du contexte de l’histoire. Ça sera la première des nombreuses maladresses de ce film, qui semble conçu autour de ses deux gros moments de bravoure, mais sur 2 h 50… sans être méchants, vous pouvez vous balader quelques minutes entre, vous ne louperez pas toujours grand chose (on y reviendra plus tard).
    Et si vous ratez la scène où Hunt parle à l’Entité, devenue maintenant un banal Skynet/Ultron, ce sera d’autant mieux… parce que c’est là qu’on aurait pu avoir le vrai climax du film, en confrontant leurs philosophies respectives. Et non seulement ça arrive trop tôt, mais en plus tout le plan d’action de Hunt nous y est vite résumé… dans ce cas, qu’est-ce qui reste à faire alors ?
    Le parti-pris de Cruise et du réalisateur Christopher McQuarrie sera donc de composer la narration de scènes d’exposition, de retours en arrière et en avant, et de préparatifs à une unique mission, dans lesquels les personnages vont aller de galère en galère pour accomplir une série d’actions méthodiques et liées entre elles, sans se priver de donner leur sentiment sur la situation – oui, c’est bien comme l’incompris « Avengers : Endgame », mais en plus lourd, plus lent, moins dense (pas énormément de guests stars des autres films) et moins ludique.

    Film conçu aussi sur ce que « … Dead Reckoning » avait établi… tout en étant suffisamment contenu pour que n’importe quel spectateur puisse y aller sans avoir vu les autres (ben voyons !), ou bien en les ayant lointainement en tête. D’où la multiplication des références au Passé, moins pour un effet de nostalgie que pour les transformer de façon poussive en éléments pouvant servir au scénario (le 1 et le 3 surtout). Principalement pour interroger la propre responsabilité de Hunt, dont les actes d’antan auront des conséquences néfastes… ou bien positives (quoiqu’un peu naïves) pour équilibrer le tout, pour ne pas faire une autocritique qui serait hors de propos.
    Car, fondamentalement, « Mission : Impossible » ça n’est pas si noir que ça, même pour des espions. Il y a très peu de remises en question des héros, à part lors du film introductif de 1996. Tout au plus l’équipe est progressivement vue avec suspicion par toutes les grandes instances, lesquelles finissent ensuite par reconnaître qu’on a quand-même bien besoin de francs tireurs pour sauver la situation (donc d’artistes un peu fous, théâtraux, hors normes, alias Tom Cruise et une poignée de cinéastes)…
    Et rebelote à chaque film, pour un résultat invariable : l’équipe de Hunt sait ce qu’elle fait, trébuche mais ne renonce jamais, et se distingue des autres (blockbusters) par leur plus grande imprévisibilité, même si celle-ci est finalement artificielle.
    Tout est une question de diversion. Encore faut-il en avoir la motivation.

    « … Dead Reckoning » avait joué avec les effets de mode des gros films modernes (histoire délayée, casting étendu, durée exagérée, esprit de sérieux mais avec des ruptures de ton…), et arrivait vite à le transcender, à décoller vers des sommets de fun, voire même d’audaces. Ce n’est pas le cas de « …Final Reckoning », jumeau bizarre à la même durée, pas assez drôle (une blague sur Hunt qui massacre des sbires hors-champ ?), trop premier degré et qui se prend donc les pied dans le tapis en tentant de plaire au public qui l’avait jadis snobé au profit de « Barbenheimer »… soit des films didactiques, où il fallait apprendre à vivre ensemble (les femmes sont géniales), et à avoir peur de la bombe atomique (mais pas du pouvoir du Cinéma).
    Tiens, on a d’ailleurs tout un segment du film qui nous fait un remake de « Dr Folamour/Point limite »… en version optimiste (la fausse piste avec un Nick Offerman post « Civil War »), ce qui n’est bien sûr pas aussi renversant. Avec comme invités spéciaux un casting composé des acteurs de 50-60 ans les plus cools du moment, mais qui bouffe du temps d’écran chez tous les personnages principaux, lesquels ne seront donc pas développés plus – une règle non écrite pour les films « MI » veut que dans chacun d’entre eux, on ait un ou deux nouveaux acteurs qui volent la vedette aux anciens, avant de perdre de la consistance dans les suites… exception faite de Benji, aka le cœur émotionnel de la saga (après Luther).

    De plus « …Dead Reckoning » nous avait alléché en introduisant une dimension personnelle plus séminale chez Hunt, avec la création rétroactive d’un antagoniste intime, total opposé idéologique.
    Ça aurait pû être creusé un peu plus, et même être central à l’intrigue… et finalement non, Cruise garde ses distances, refuse toute psychologie pour Ethan Hunt (cette origin story était peut-être une mauvaise idée, surtout si on avait eu des flashbacks avec rajeunissements numériques). Il reste toujours le même professionnel ultra dévoué, qui tente d’apaiser et de convaincre tout le monde, et qui n’a pas de vie privée, une espèce de « veuf noir » à la Bond – pas de rebondissements pour Ilsa Faust au programme, dommage !
    Tandis que Gabriel est juste un sous-Thanos, passant de (arch)ange au service d’un être abstrait, à mégalo conquérant, ricanant même comme un idiot – d’un autre côté, on n’avait plus eu ça dans la saga depuis Dougray Scott dans le deuxième volet (incroyable, on a enfin des citations du film de John Woo !).

    Quant aux autres personnages, ils restent confinés aux mêmes archétypes faute d’avoir une meilleure évolution… et les actes manqués vont alors s’enchaîner : par exemple quand on découvre d’un coup un élément important du personnage que joue Shea Whigham, ça surgit de nulle part et c’est trop peu traité. Alors que ça pouvait être une intrigue secondaire plus intéressante que les nombreuses autres (surtout quand on nous fait croire à un moment donné qu’on est dans « Le Professionnel » de Lautner)… en plus d’être un commentaire Méta sur les choix d’adaptation de la série.
    Ces extrémistes qui adhèrent à l’Apocalypse ? Eux-aussi ils déboulent plusieurs fois par surprise, dans un film étrangement dépeuplé, où on ne voit toujours pas assez le populo qu’on est censé sauver (représenté ici par une autochtone inuit ?!)…
    Grace ? Hayley Atwell est toujours malicieuse mais son personnage reste une page blanche…
    Degas ? Il se demandera ouvertement pour quoi il est utile…
    Et Paris qui doit devenir une sauveteuse au lieu d’une tueuse sans pitié, on l’a déjà vu avant.

    Ce sentiment de redite est présent dans toutes les scènes, que ce soit une séquence de désamorçage/sacrifice, vue à deux reprises… le destin de Donloe, équivalent à celui de Julia dans le 6… cette scène incroyable en immersion sans dialogue (sauf une phrase, encore une fois facultative), mélange entre le casse de Langley et de celui en apnée à Casablanca… ou la dernière course-poursuite, mix entre le combat à motos du 2 (mais avec des avions) et le final du 6.
    Bon, c’est sur ces derniers points qu’on peut trouver la meilleure justification pour aller voir ce film sur grand écran et nulle part ailleurs : ces deux grandes séquences sont des petits sommets de mise en scène et de montée en tension (notamment quand Hunt doit d’abord gagner la confiance de sous-mariniers), jouant sur la claustrophobie et le vertige, remplies d’idées…
    Et dont l’efficacité impressionnante remonte à un cinéma qui n’existe plus.
    Mais quand arrivera la conclusion, on aura tout de même la sensation que Cruise et son équipe nous laissent sur notre faim… alors qu’on nous avait promis un bon buffet garni, remerciant Cruise pour presque 30 ans d’épisodes (autosatisfaction gênante ?) ainsi que la fidélité du public.

    Et si, depuis deux heures, on n’avait pas quitté la réalité de l’Entité ?
    Et si ses carences scénaristes n’étaient pas qu’un contrecoup des grèves hollywoodiennes de 2023, et que Cruise nous refaisait juste « Vanilla Sky » ?
    Et si, en fait, ça n’était bel et bien qu’un mensonge ? Que le concept de la série était poussé au delà de ses limites et que maintenant plus rien n’était réel ?
    Bref, tout pour ne pas conclure la Saga sur ce film là…

    Pas encore l’heure de la Reconnaissance Finale.

  22. RIP Eric Legrand, le meilleur doubleur de tous les temps.
    Ca me bouleverse que la voix de mon personnage de fiction préféré ne soit plus de ce monde.
    Mais il n’aura pas été que Vegeta, il aura été avant Seiya(r) avec son iconique « Par les Météores de Pégase!!! » mais aussi André (Lady Oscar), Charles (Charles s’en charge), Ray Gilette (Archr) Owen Wilson et tant d’autres…
    Un immense acteur nous a quitté. 😭😭😭

    • @ Garyus : Je me permets de corriger ton erreur d’inattention, je pense, c’est Eric Legrand, et non Adrien (Antoine ?).
      N’étant pas un fana des Boules du Dragon, je ne le suivais pas particulièrement, comparé à Alain Dorval, Philippe Ogouz, Daniel Beretta, Richard Darbois, et quelques autres, mais j’adorais sa voix sur Seiyar et Owen Wilson. J’avais complètement oublié que c’était lui qui doublait aussi Scott Baio (Charles).

      Nos enfance et adolescence foutent de plus en plus le camp… C’est bien de rendre hommage aux doubleurs. 🙂

      Au fait, pendant qu’on y est…

      https://www.change.org/p/pour-un-doublage-créé-par-des-humains-pour-des-humains-touchepasmavf-beab56eb-a759-4117-b77c-7d03bcaa35f8

      Rendre hommage, c’est bien, soutenir la profession, c’est encore plus bien. 🙂

      • Oui, c’était Eric! Mes doigts ont fourché (j’avais un collègue qui s’appelait Adrien Legrand^^) Erreur corrigée!
        Pour Vegeta, un des personnages de mangas les plus populaires au monde (au même niveau que les meilleurs des comics), voilà un extrait de son travail. Même les japs s’inclinent.
        https://youtu.be/UTWUskYCTRM?si=AvvplCBZO3BH6gWr

        PS: J’ai signé cette pétition, il y a longtemps. Je suis très attaché au doublage FR

        • @Garyus
          Quand les japonais pour leurs animes ou les américains pour leurs productions arrivent à dire que la VF est la meilleure version au monde même devant la leur, ça prouve que le travail des doubleurs en France doit être sauvegarder à tout prix.

          Pour ma part, oui, j’aime la VO mais quid du cinéma en salle ou des chaînes imposant la VF ? Il faut se battre pour garder ce fleuron

          • Après Legrand était quand même une exception. J’entends par là qu’en termes d’intensité je saurais pas en nommer un seul autre qui rivalise avec les doubleurs japonais. Mais lui c’était un tueur effectivement. RIP !

            Quant aux japonais et américains qui jugeraient la VF supérieure à la leur, c’est amusant de se dire que probablement aucun d’entre eux ne comprend notre langue. Du coup je vois pas trop comment ils seraient à même d’en juger réellement. A part avoir une impression vis à vis de ce que dégage une voix… Et n’oubliez jamais que les japonais sont extrêmement humbles (au moins en apparence en tout cas). Minimiser leurs qualités pour mettre en avant celles des autres fait partie de leur culture. Bon pour les américains effectivement c’est pas le sujet 😅

          • @ Garyus Archer Darkkane The Ghost
            Eric Legrand est LA voix qui a bercé notre enfance. Peu importe le débat VF/VO, ce gars fait partie de moi. J’ai effectivement imité son ton de voix des centaines de fois pour crier « Par les météores de Pégase » à sa façon si singulière. Il m’a également fait frissoner en transformant sa voix pour Albérich de Mégrez ou bien entendu Végéta. végéta le perso le plus intéressant de Dragon Ball dans son évolution, j’ai fait plusieurs papiers sur ce point.

          • Je me permets de repréciser que la pétition que j’ai publiée ici est sans rapport avec le débat VO-VF tel que l’on en a discuté ici plusieurs fois. Elle concerne seulement le fait que les comédiens de doublage qui l’ont lancée refusent de se voir remplacés par des intelligences artificielles.

          • @ The Ghost
            Pas de soucis avec ça 😉
            Je voulais faire un témoignage rendant hommage à Eric Legrand

  23. J’ai vu le dernier MI, j’ai fait la même tête que Tom Cruise sur l’affiche du film… en me disant « Mais wtf qu’est-ce que je viens de voir là ? C’était vraiment ça la fin de MI ? Ah bah autant que ça s’arrête en effet ! »

  24. Mission Impossible 8

    Je suis partagé entre le fait d’avoir vécu un film à grand spectacle très divertissant (la scène du sous marin et celle de l’avion sont vraiment impressionnantes/bluffantes, bien pensées et très captivantes), et le fait que le film peine à proposer quelque chose de qualitatif, en dehors de ça.

    Tout le début du film est vraiment de mauvaise facture (la baston avec beaucoup de mouvement accélérés.. ça m’a sorti du film, la scène « tragique » est vraiment mal amené/gérée et pas du tout culte alors qu’elle avait tout pour l’être sur le papier, le montage et l’enchainement des scènes est vraiment raté sur toute l’intro).
    J’ai trouvé ça relou qu’ils tiennent autant le spectateur par la main vis-à-vis des anciens films et qu’il y ait un aussi gros forçage sur le fait de boucler une boucle avec le 1 (abusé les retour d’untel ou que l’autre se remémore « ah oui vous êtes … » ………).
    Et le méchant est vraiment l’un des pires de la saga (d’ailleurs sa fin est ironiquement celle qu’il mérite).
    Et puis, l’argument « dernier épisode » est pour moi raté/mensonger, ce qui est frustrant car c’était le principal argument qui me motivait à aller le voir.
    La fin est d’un moche avec ce fond vert.. (mais pk ne pas avoir mis de vrais figurants ??), et c’est tellement idyllique que ma femme l’a interprété comme une fin à la Interstellar (vis-à-vis de théories la concernant), je ne sais pas ce que vous en pensez.

    Je pense que les 2 incroyables scènes cachent le niveau global du film, et que mon ressenti est biaisé.
    Entre 3 et 3.5/5

    ps : j’ai apprécié la BO (pas le souvenir d’avoir retenu une BO dans la saga, depuis l’ép 2)

    • Clair qu’il y aurait dû y avoir plus que deux séquences, et qu’il aurait fallu faire sauter toutes les scènes avec la présidente…

      Par contre les bo des 3, 4 et 5 ont de bons morceaux, peut-être plus mémorables en comparaison…

      • Je ne pense pas que le souci réside dans le nombre de séquence mais plus dans la qualité de ce qui est proposé à côté.
        Ça m’a pas gêné ce qui touche à la présidente (ça donne un peu de poids aux événements, et j’aime beaucoup cette actrice).
        Pour la BO, faut que je revois toute la saga, je ferai davantage attention à ça.

        • Mais elle n’est pas dans l’équipe, la Présidente… On n’a pas besoin de voir le Defcon et cie – ça aurait été plus intéressant d’avoir une partie de l’histoire où l’équipe sabote les commandes nucléaires américaines, pour gagner du temps.
          Ce sont des indépendants après tout… ils sont seuls contre un monde complètement fou (même si eux aussi ont un petit grain).

    • Oh et j’oubliais le truc navrant (et tellement contemporain) de démystifier l’un des trucs les plus cultes de l’ép 3…

    • Entièrement d’accord avec toi DarkKane : ces deux scènes sont effectivement incroyables et le reste est affligeant à tous les niveaux. Pour moi il mérite 2 sur 5 : un point pour chacune de ces deux scènes et l’investissement énorme de Tom Cruise dans celles-ci.
      Au final Death Reckoning a des défauts mais il propose bien plus de scènes marquantes et qualitatives que le dernier.
      Et puisque tu parles de BO, celle de Death Reckoning est de loin ma préférée de toute la saga. Je l’écoute régulièrement d’ailleurs !

      Bref, dépité de voir cette énorme saga « finir » sur ça. Elle méritait bien mieux.

      • @Archer
        Merci pour ta rep, mais je ne te remercie pas de m’avoir fait douter de ma propre identité (cf : comment tu m’as appelé ^^)
        D’ailleurs ça me fait penser qu’il n’y a pas l’utilisation des fameux masques dans ce film => c’est la première fois dans la saga non ?

        Tu m’intrigues pour la BO du 7, j’y jetterai une oreille 😉

        Oui, franchement si c’est ça la fin de la saga.. Vraiment pas le sentiment qu’ils aient cherché à conclure la saga (en dehors de leur tentative totalement forcée et inutile de boucler des boucles mal venues)
        Doit-on comprendre que ce n’est pas la fin? (perso j’espère que si)
        Même ce tout dernier plan semble bâclé

  25. Du coup. J’ai enfin commencé clair obscur. J’ai chialé au bout de 20 min. C’est puissant. Beau. La musique est folle. Fin bref. Tout a déjà été dit sur le jeux.

    Je viens de regarder Fountain of youth. C’est plutôt académique. Mais ya des trucs sympathique dedans quand même.

  26. Spéciale Dean Fleischer-Camp. Réalisateur roudoudou, en gros :

    – « Marcel le coquillage (avec ses chaussures) »…
    3 petits courts-métrages puis un film, qui cristallisent les obsessions de l’auteur, comme on peut le trouver aussi dans ses autres courts comme « Smile » (le feel good), le clip « We Do Not Belong » et « Catherine » (raconter deux formes différentes d’aliénation), « Hospital Head Doctor » (d’inventifs jeux d’enfants).
    Presque toujours avec l’actrice Jenny Slate dans le coin, laquelle prête maintenant sa voix (ici aigrelette) à un enfant coquillage aux gosses baskets et aux bras invisibles, racontant son quotidien tout en lâchant quelques réflexions philosophiques sur la vie. Prenant la forme de vidéos documentaires pour YouTube, comme si c’était à un être réel qu’on avait à faire.
    Forcément, qui prendrait du temps pour animer en stop-motion une drôle de créature, juste pour lui faire parler de petits riens pendant 3-4 minutes ?.. En fait le studio Aardman l’avait déjà fait avec « Creature Comforts ». Mais c’était du tout animé. Marcel lui est filmé dans un vrai décor, dont on jurerait qu’il s’agit plutôt d’une création hyperréaliste.

    Le film, sorti 7 ans après le dernier court de Marcel, continue sur cette voie avec le risque de vite agacer, Dean Fleischer-Camp étirant son concept sans sortir de son dispositif de faux documentaire (on a des plans de coupe, mais ça peut aussi être mis en scène comme dans un doc).
    Toujours comme si on était dans un spin-off de « Toy Story » (mais, est-ce que ce sont vraiment des animaux, ou bien des jouets qui ont pris vie ?)… le mini personnage, maintenant accompagné de sa grand-mère adorée (la voix de Isabella Rossellini, carrément) et d’une famille exilée quelque part, continue à profiter de sa grande maison avec une inventivité de mignon lilliputien (un verre d’eau = une goutte). Mais comme nous ne sommes pas dans un grand récit d’aventures (on y fait un voyage en voiture quelques instants, pas plus), ce qui ressort en particulier c’est le côté laborieux de Marcel pour accomplir la moindre tâche, avec une patience et application qui suffisent à faire de lui un formidable héros du quotidien, à la résilience sans faille.

    Tout ça en 1h30, qu’on ne voit paradoxalement pas passer, sûrement à cause de la manière dont Marcel est très souvent filmé : un cadre, lui en tout petit dans un coin (il faut alors se concentrer pour bien le voir), et comme décor une maison générique aux tons ouatés. Normal, c’est un Airbnb, l’occasion de faire une critique indirecte des nouveaux modes de consommation et de communication via les réseaux sociaux.
    Et avec le réalisateur en interlocuteur hors champ, refusant de se montrer le plus possible jusqu’à ce qu’il évolue au contact de Marcel, on y parle d’autant plus de la solitude, de la fragilité voire même du handicap – très énervant aussi de voir Marcel, borgne et jamais porté par qui que ce soit pour atteindre plus facilement des étages immenses pour lui… comme si ce petit coquillage n’était en fait que la projection d’un enfant déraciné et trop tôt autonome ? On ne sait pas, tout est ouvert à interprétations.

    Mais il y a au moins une mise en abîme concrète dans ce film, celle de la popularité réelle des vidéos YouTube originelles, réutilisées dans la narration pour appuyer encore plus sur ce qui lie puis sépare les gens, sur l’hystérisation de la célébrité etc… Ainsi, une cruauté semble affleurer sous toute cette douceur, sans jamais surgir explicitement.
    Un travail de deuil y sera également traité de façon évidente, moins comme un drame injuste que comme une issue naturelle, bien que compensé par un dernier rebondissement aussi optimiste que rigolo.
    Et Fleischer-Camp en profite aussi pour faire l’étrange exorcisme d’une séparation, en faisant reprendre le rôle de Marcel par son ex, qui a complètement refait sa vie depuis.
    Le Micro, dans le Micro, lui-même inséré dans le Macro… En voilà un beau petit film, aussi poétique que vertigineux.

    – « Lilo et Stitch »…
    Virage à 180 degré pour Dean Fleischer-Camp avec le remix du film d’animation azimuté de 2002, pour lequel il n’a pas besoin de faire grand chose : l’histoire fonctionne très bien tel qu’il y a 23 ans, le design du personnage aussi, le concept du film qui nous ramène à tous les (télé)films dans lesquels un enfant tombe sur une créature mignonne qui l’aidera à passer un cap dans sa vie… Les productions Amblin ont porté ce genres d’histoires à des sommets divers, Stitch étant un mix de personnages aux antipodes les uns des autres – E.T. et les Gremlins quoi…
    Ce qui, pour un film d’animation, était à l’époque une curiosité, comme si on y injectait une part de cinéma du réel dans un dessin animé… chose qui est toujours bien vu pour la critique et les cinéphiles.

    Assez pour en faire une œuvre culte ? Faut pas exagérer, d’autant que le film a eu le temps de se faire essorer par des suites et une série télé… donc cette adaptation en action réelle est, comme toujours, un dérivé supplémentaire fait surtout pour un (jeune) public qui désire voir des films plus contemporains.
    Sans aller jusqu’à reformater le récit comme on pû le faire les meilleures (ré) adaptations Disney par Jon Favreau, David Lowery ou Craig Gillespie… du coup, là où le film de 2002 créait quelques ruptures avec le tout venant des films d’animation, celui de 2025 fait plus « ton sur ton ». Surtout quand le cartoonesque d’un Stitch ne dépareille pas avec les blockbusters modernes, qui ont installé les créations numériques durablement dans notre imaginaire (le look de Hawaï par contre est plus réaliste, pas du tout « carte postale bien colorée »).

    Toutefois il a l’avantage d’avoir des acteurs supers : Maia Kealoha et Sydney Agudong reprenant les rôles de Lilo et sa sœur Nani en étant très expressives et énergiques, Billy Magnussen étant d’une grande évidence en Pikly tandis que Zach Galifianakis est méconnaissable dans… la version humaine de Jumba Jookiba, lequel garde toujours son look particulier, comme tous les autres aliens. Sauf que avec son nez en forme de « gland », il est bien plus dérangeant – comme pour Marcel le coquillage, vous pouvez y voir ce que vous voulez comme métaphore cachée quand il se mettra à pourchasser Lilo.

    Quant à Stitch, il ne bouge pas d’un pouce, Chris Sanders et Emmanuel Garijo en VF font toujours sa voix façon Gollum, et lui et Lilo sont toujours représentés comme de petits anarchistes à la mode Disney – c’est à dire au niveau d’un cartoon insolent des années 30, grand max.
    Et si Jason Scott Lee revient pour un petit rôle, les retours de Tia Carrere et Amy Hill permettent de crédibiliser le contexte entourant les deux sœurs, de mieux y insérer Cobra Bubbles (seul son nom reste incompréhensible).
    La suppression de Gantu aide aussi à recentrer l’intrigue, à ce qu’elle ne se disperse pas…

    Bref au jeu des 10 différences, le film va dans la même direction, ne trahit pas l’esprit originel, ne met pas sous tapis le travail de deuil, et celui de l’acceptation de la séparation – cette dernière étant de toute façon relative grâce aux technologies qui transcendent les distances.
    Les thématiques de prédilection de Dean Fleischer-Camp sont donc suffisamment présentes dans ce job de commande…
    Et en plus, c’est très divertissant, humble et rigolo, ce qui est le but premier d’une comédie pour petits et grands.

  27. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Hayley-Atwell-etait-enceinte-de-8-mois-quand-elle-a-tourne-Mission-Impossible-8

    Ah c’est pour ça qu’elle était habillée si ample et cadrée en hauteur dans la scène à l’opéra sûrement (là les reshoots)…
    Où l’action est bâclée et transformée en blague.

    https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Tom-Cruise-veut-toujours-faire-un-film-sur-Les-Grossman-Cest-tres-serieux-

    Problème : ça sera du post Weinstein. Avec un gus qu’il faudrait traiter comme OSS 117 ou bien comme un personnage de Will Ferrell… c’est à dire qu’il commence à piger qu’il dit de grosses conneries, mais il n’arrive pas à appliquer les conseils qu’on lui donne.
    Et puis après un « …Final Reckoning » trop moralisateur, il ne faut pas attendre à ce que Cruise s’autorise à jouer un monstre qui pète tous le temps les plombs… Ou alors avec un petit budget, pour limiter les risques.

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