Le bar de Galactus #326 : Kaamelott – Deuxième volet ~ L’homme qui rétrécit

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Cela ne loupe jamais : quand un blockbuster français ambitieux est annoncé sur les écrans, il y a forcément… un autre blockbuster français ambitieux qui se positionne le même jour ! Mercredi, nous assisterons donc à un sacré duel entre Kaamelott : Deuxième volet – Partie 1 d’Alexandre Astier et L’homme qui rétrécit de Jean Dujardin. Pour ce dernier film réalisé par Jan Kounen (99 francs, Blueberry, l’expérience secrète), difficile de ne pas penser à Ant-Man, même s’il s’agit bien sûr d’une nouvelle adaptation du roman éponyme de Richard Matheson publié en 1956. Alors, que comptez-vous voir/lire/boire pendant les vacances de la Toussaint ? Et combien de temps s’écoulera-t-il avant que Netflix n’annonce un film sur le vol du Louvre ? A vos claviers et très belle semaine à tous !

Les Dieux sont en colère contre Arthur ! Après la destruction de Kaamelott, son refus obstiné de tuer Lancelot précipite le Royaume de Logres à sa perte. Il réunit ses Chevaliers, novices téméraires et vétérans désabusés, autour de la Nouvelle Table Ronde et les envoie prouver leur valeur aux quatre coins du Monde, des Marais Orcaniens aux terres glacées du Dragon Opalescent.

61 COMMENTAIRES

  1. Justement me suis préparé en revoyant une 3ème fois le livre 1. Franchement c’est pas mal, y a juste une sensation très rushée d’une scène à une autre (je sauve Guenièvre, je retire l’épée, je bois avec mes beaux-parents, etc). Il y a forcément des scènes qui ont été coupées, ça se ressent. Aussi des perso qui apparaissent et disparaissent aussitôt, en même temps il y en a beaucoup… mais on est dedans.

    Civil war ( tome 2 – New Avengers – Spiderman) : Bigre… énorme incohérence ! Le retour de veste de Spidey se passe différemment entre le run principal et celui de Spiderman. Pas possible que les deux runs s’imbriquent. Il y a trop de contradictions… C’est bizarre quand même… Dommage car le run n’était pas inintéressant.

  2. C’est « Kaamelott » qu’on élargit…
    La crainte de rester sur notre faim avec ces deux films.

    Vu :

    – Toujours le Arrowverse, fin catastrophique de la (toute autant) saison 3 de « Arrow », qui n’a fait qu’avancer avec le pied sur le frein. Rien d’étonnant que Oliver oublie d’y parler de Hong-Kong, et pas seulement à cause des quelques saletés qu’il a fait là-bas…
    Et fin (en catastrophe) saison 1 de « Flash », hyper comics, hyper SF…
    Puis début des saisons 4 et 2 respectives, avec quelques petits regains d’intérêts, l’idée d’avancer enfin (plus de capuche de Shado et de son père, de l’humour pour Oliver, plus de responsabilités… et déjà plus de fil rouge Henry Allen pour Barry).
    Tout ça en ayant les mêmes grosses ficelles.
    Analyse sur les pages consacrées…
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/arrow
    lestoilesheroiques.fr/films/dc/flash

    Au passage un coup d’œil aux réactions de l’époque, et c’est vraiment pas rassurant de voir toute cette colère « assassine » envers les personnages féminins, loin d’être de pures chieuses – juste parce qu’elles ont du tempérament et des opinions, sans ressembler à un fantasme idéal ?
    Et bon, les scénaristes ne sont pas tendres avec certaines – on dirait qu’ils se défoulent sur Katie Cassidy parce qu’elle n’arrive pas à être plus athlétique.
    Et oui y a beaucoup de reprises de l’univers de Batman dans « Arrow », mais il faut surement prendre la série comme une origin story mettant d’abord l’accent sur les points communs avec le Chevalier Noir, avant de lorgner un peu plus sur Robin des Bois.
    _

    – Fin de la série « La Brea »… sans la Zea (Natalie)…
    Même si la belle actrice fera son retour in extremis, et y vivra des aventures hors-champ.
    Économies extrêmes (6 épisodes finaux méga serrés) pour ce qui restera un sous « Lost », composé de bons américains bien propres et un peu culculs (les méchants militaires indépendants qui fabriquent des armes avec tout et n’importe quoi). Et champion des soaps indigents (hop, la sœur cachée !) et d’intrigues temporelles bâclées.
    Au moins c’est réglé, avec beaucoup d’optimisme.
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    – « Marche ou crève « …
    Analyse complète sur la page consacrée, au Bar #323…
    Une adaptation de Stephen King qui alterne entre le cru et le cliché, efficace mais ne développant pas son potentiel formel à fond – par exemple, même sans céder à l’indécence ou ludisme pervers à la « Squid Game », il y avait une bonne occasion pour faire de Mark Hamill l’incarnation de la mort… juste à cause de ses lunettes de soleil (portées même la nuit), lui faisant une tête de mort aux orbites vide.
    Pas grave…
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    – « Muraculous Lady Bug et Chat Noir »…
    L’épisode « Le Château Noir » est une bonne surprise, laissant de côté quelques problématiques sociales (on se contente d’affronter un « Philippe De Villiers »), pour nous donner un formidable combat contre un château fort humanoïde. Soit le kaiju le plus dingue qui soit, enfin, dans une histoire occidentale.
    Alors côté de ça, l’intrigue temporelle fait mine d’être sans risques en fin de compte, alors qu’on se doute que ça ne devrait pas être le cas – et oui, un indice a été laissé…
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    Lu :

    – Moon Knight se tape l’arc narratif typique « du héros (et son équipe) chassé par la police »… plus ou moins injustement.

    – Deadpool fait un duo d’enfer avant sa fifille, et on prend même des nouvelles de son ex…

    – Les Ultimate X-Men traînent encore…
    Les Ultimates lèchent leurs blessures…

    – Star Wars : Battle of Jakku, avec le retour barbu de Han Solo…

    • Arrow saison 3 c’était une belle chute après deux saisons qui faisaient rêver. Mais on ne m’enlèvera pas les sensations incroyables du 3×09… moment de tv de dingue pour un fan de SH, sans parler ensuite de la longue pause hivernale qui avait suivi.

      • C’était justement le problème de ce 3×09 – ou plutôt de sa fin choc et classe : on se retrouve avec l’imagination en feu en attendant la suite (pause hivernale ou pas), croyant logiquement que Oliver passerait au puits de Lazare, puis serait comme un agent double au sein de l’équipe, laquelle devrait ensuite l’affronter et le guérir, à moins qu’il ne soit un agent triple puisqu’il aime bien les plans compliqués…

        Et zéro ! Un épée dans le buffet, et ce sont les « talents de guérisseuse de Tatsu » qui l’ont soigné ? Même pas il galère à rentrer chez lui ? Même pas Merlyn y gagne quelque chose ?
        Dans l’intervalle Ra’s Al Ghul perd tout charisme et ouverture d’esprit (c’est là qu’on se rend compte que Matthew Nable est plus un sportif qu’un acteur chevronné, même comparé à Vinnie Jones), on tourne en rond, Arrow perd sa réputation trop facilement…

        Et il faudra attendre les derniers épisodes pour traîter vite fait du puits et de son allégeance supposée à la Ligue – et si on regarde « Flash » dans la continuité plutôt que dans l’ordre de diffusion, on peut même se faire griller.
        Bref on aurait pû réduire tout ça à une quinzaine d’épisodes, économiser les apparitions de Ra’s et passer tout de suite à Damien Darhk – lui il est marrant au moins.

  3. Hâte de voir ce second volet de Kaamelott, non sans une certaine appréhension !

    Sinon poursuite des Soprano, début de la saison 5, et niveau gaming je continue mon marathon Assassin’s Creed !

    • Astier, en interview, a une posture très saine dans sa façon originale de créer … il ne se préoccupe qu’assez peu des réactions épidermiques des fans hardcore (comme pour « l’absence » de Perceval), il est là pour faire avancer les choses, poursuivre l’histoire avec sa vision, sans trop se soucier de coller à un fanservice qui voudrait qu’il ressasse ce qui a eu du succès. Et c’est tout à son honneur au travers d’un marché où il n’y a plus grand chose de neuf ….

      • Je suis d’accord, c’est quelqu’un que j’aime beaucoup écouter, il a une approche de la création artistique qui me parle beaucoup et que je trouve très authentique : faire l’histoire qu’on a envie de faire, ça plaît ou pas, mais c’est ton histoire personnelle.

        Perso j’ai été surpris comme tout le monde de l’absence de Perceval mais je suis pas en mode « y’a pas Perceval j’y vais pas », justement, je suis très curieux de voir comment il va articuler ça dans son histoire.
        Mon appréhension vient plus de comment l’histoire va évoluer, dans le premier on a Arthur qui revient en force et retire l’épée, là il a l’air encore au bout du rouleau et va remettre l’épée dans le rocher, ce sont plus des interrogations que des craintes à vrai dire, mais on jugera sur pièce, j’espère l’apprécier autant que le premier et la série et on peut se réjouir d’avoir un Alexandre Astier à notre époque !

        • on retrouve l’humour absurde des premières saisons. Arthur n’est pas au bout du rouleau, mais il est passé par des épreuves qui ‘l’ont changé et il a toujours conscience den ne pas être entouré que par des flèches ….

        • ah zut, 162 792 spectateurs en france mercredi et Pitiot s’est expliqué quant à son absence. C’est déjà un succès et ton troll passe pour juste méchant et stupide.

          • Le film bide cest un fait
            Il ne fera jamais 3 millions dentrées
            Tels les antivax et les platistes vont contester meme devant des faits….

          • On dirait surtout qu’on s’est passé le mot pour le niquer, sans avoir encore les faits complets – quels scores grâce aux vacances ?

          • @Nimrod : Un fait ?
            Dans quel multivers ?

            Dans le vrai monde, il est premier du BO chaque jour depuis sa sortie
            Les chiffres 1er jours sont très bons, 2eme démarrage de l’année
            On aura les chiffres week-end que demain

            Et qui a décrété qu’il devait faire 3 millions ?

            Le 1er a fait 2.7, le chiffre 1er jour est dans les clous pour une fin de carrière dans ces eaux

            Ta dernière phrase c’est toi qu’elle décrit

          • https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Quel-score-pour-Kaamelott-Deuxieme-volet-au-box-office-francais-

            C’est pas dégueu…

  4. Humm… Kaamelott sans Perceval, c’est sans moi (faux! J’irais mercredi mais quand même, ça sera pas pareil).

    Vu:

    – The White Lotus saison 1: Mama mia! Quelle série! C’est tellement beau, tellement vrai, tellement bien joué. Les deux poupées de la série démontrent un talent indéniable d’actrices et les autres ne sont pas en reste. J’ai beaucoup aimé aussi cette opposition entre Gen Z et Gen X, chacun ayant ses arguments, sans jamais que la série ne prenne le parti d’une génération par rapport à l’autre. Une masterclass.
    Pour ceux qui ont vu les autres saisons, c’est aussi bien?

    – Running Man: Le film a très mal vieilli sur bien des aspects: les effets spéciaux ridicules, l’action mollassonne et les dialogues en VF tellement kitchs que même moi ça me choque ^^
    « Espèce d’enfoiré de PD » 🤣🤣🤣 Dans quel monde, c’était acceptable ça?
    Par contre, la thématique de la manipulation des médias, avec les video fakes, est tellement actuelle que finalement ça reste un bon film, voire un classique. J’espère juste que la version 2025 ne laissera pas ça de côté, c’est le point clairement le plus intéressant du film.

    – One Punch Man saison 3 épisode 2: Je pense que je vais arrêter. Le manque d’action, les dialogues à rallonge sans intérêt, la série qui se concentre sur un autre perso que Saitama et surtout les images fixes, c’est juste insupportable.
    Pour la série qui apportait enfin du neuf dans l’univers des super-héros, c’est vraiment la descente aux enfers.
    Tellement déçu que j’ai commencé My Hero Academia et pourtant je déteste les héros gamins.

    • J’ai vu aussi l’épisode 2. Je ne comprends pas comment on peut passer d’une saison 1 qui était magistrale a une saison 2 moyenne et cette saison 3 qui visuellement est complètement a la ramasse. Un vrai gâchis !
      My Hero Academia a des super combats, une très belle animation, et ce que j’aime bcp dans cet animé, c’est que même si certains épisodes/arcs/histoires ne sont pas haletants ou intéressants, ils sont utiles pour la suite.
      PS:il faudra juste passer outre 1 ou 2 personnages vraiment chiants et horripilants durant les 2 premières saisons 😛
      Sinon, je t’invite fortement a regarder Jujutsu Kaisen, si tu ne connais pas. Anime incroyable !

      • My Hero Academia a des moments « gamins » un peu chiants mais ne fait pas semblant quand il va dans la noirceur. Et cet anime à du cœur comme peu d’autres. Digne successeur de Naruto à mon sens.

        Jujutsu Kaisen c’est très stylé, j’aime beaucoup, mais c’est très creux. Plutôt un successeur de Bleach du coup (l’auteur dit lui-même s’en être fortement inspiré d’ailleurs).

        OPM : du gâchis oui, y a pas d’autre mots. Un jour il faudra qu’ils nous expliquent comment on a pu avoir un downgrade pareil alors que la saison 1 était si populaire et plutôt unanimement validée par le public.

        • Noté pour MHA.
          Jujutsu Kaisen, j’avais bien aimé mais alors la saison 2 et son animation cheloue m’a un peu dégouté.
          Pour OPM, on est tous d’accord je pense.

          • Pour Jujutsu Kaisen, il faut voir l’arc Tournoi (c’est un moment obligé apparemment dans « tous » les mangas) mais surtout l’arc Drame de Shibuya qui est génial ! (l’anime a mis la barre très haute avec cet arc) Episodes 30 a 47

    • Pour White Lotus, j’ai préféré la deuxième saison, de loin, et la troisième est assez unanimement déclarée comme « la moins bonne » des trois – cela ne veut pas dire que c’est nul.

      Je suis partagé sur cette série, j’ai toujours du mal avec le quotidien des « problèmes de riches », je préfère la vision des personnes plus humbles (donc le personnel des hôtels). Je trouve justement que les saisons deux puis trois viennent corriger ça en accordant/écrivant une sorte « d’humanité » qui sonne davantage « vraie/juste » à certains protagonistes.

      J’ai conscience d’être probablement un peu trop sévère (la hype m’échappe totalement, ma femme adore cette fiction, moi j’aime bien mais sans crier au génie quoi…) mais ça reste de la comédie noire bien jouée, bien réalisée et agréable à suivre, c’est déjà beaucoup et suffisant pour mériter d’être regardé ^^

      • Cool. Je regarderais la saison 2 alors mais sans me presser vu que c’est une série d’anthologie.
        J’ai aussi préféré la vision des personnes plus humbles comme celle du gérant de l’hôtel (quel acteur exceptionnel!) mais j’ai aimé ce côté où même eux étaient présentés aussi avec leurs défauts (le côté hyper intéressé de la masseuse par exemple).
        Et visuellement c’était vraiment magnifique. Enfin c’est peut être mon côté ilien qui parle 😅

        • Alors c’est une série d’anthologie mais tu as quelques connexions tout de même (donc à regarder dans l’ordre malgré tout) : une des protagonistes de la première saison revient dans la deuxième et une très secondaire de la première revient dans la troisième (ainsi qu’un autre très secondaire de je ne sais plus quelle saison) ^^

  5. J’ai eu l’occasion de voir l’avp presse de KV2 cette nuit, et bien passez votre chemin.

    Je crois qu’Astier est vraiment possédé par la folie des grandeurs. C’est à l’image de sa composition musicale : c’est influencé par tous les grands pour faire « beau » mais ça n’a jamais sa propre identité.

    En fait, il est là le souci, Astier cherche juste à faire plus grand, plus beau, et c’est tout. C’est un simple remake de toutes les saisons 1 à 5 mais avec de beaux costumes, une belle photographie (magnifique), de beaux décors… mais tout sonne faux et creux. On finit par très vite s’ennuyer, en particulier la seconde partie catastrophique en terme de rythme, de montage et de mise en scène. Je n’en dirais pas plus sur l’histoire mais si vous êtes assidu de Kaamelott, et bien à la fin de ce premier volet, sur son faux cliffhanger, vous vous direz « Ah, tout ça, pour ça ? Mais on s’y attendait en fait ? ».

    Il y a également des soucis de cohérence scénaristique à travers le « lore » de la série mais bon on va passer ce n’était pas vraiment le plus problématique. En effet, je tenais à faire une mention spéciale au casting, incroyablement inégal, et les « jeunes » sont toujours aussi mauvais, c’est gênant face à de nouveaux venus qui deviendront littéralement des memes, surtout le personnage d’Haroun.

    Je n’en dirais pas plus, mais à présent Kaamelott au cinéma c’est fini pour moi, j’ai voulu donner une seconde chance mais là c’est la goutte d’eau.

    Aussi, à la question « est-il meilleur que le premier film ? » et bien je ne sais même pas quoi répondre. J’ai envie de dire oui, car on se lance enfin dans un vrai objectif et une vraie direction, et il faut l’avouer au niveau technique c’est encore plus abouti (même les cgi) néanmoins je ne me rappelais pas m’être autant ennuyé devant le premier volet malgré ses faiblesses.

  6. Vu Here,de R. Zemekis (avec Tom Hanks)
    Pas trop accroché, malgré le concept original.
    Pourtant je suis le public idéal pour être emporté par une histoire basée sur le temps qui passe et sur la relation entre les persos. Mais ce film n’a étrangement pas fait mouche sur moi.
    2.5/5

  7. J’ai regardé Black Adam de nouveau et j’ai tilté lorsque la femme de Gunn arrive pour récupérer Le Black Adam emprisonné.
    Le film pouvait faire mieux c’est dommage.
    Le casque de Dr Fate me fait toujours autant mal au yeux.
    La JSA méritait son propre film. Surtout après Wonder Woman 1 et la période de Guerre Mondiale 🙁
    La Hawkman est vraiment cool. Avec Gunn c’est HawkGirl.
    Toujours pas de Alan Scott, pas de Catman, pas de Flash 🙁

    Je repense à la Série Abandonnée sur les Green Lantern et là aussi, ça fait mal.

    En parlant de Green Lantern abandonné je regarde Dexter saison 3 et John Diggle joue dedans. (Dans la saison 4 aussi).

    Periode films/séries horreur :

    Slasher saison 4 est vraiment cool. Je pensais que cette anthologie était terminée avec la saison 3. C’est un délice.

    J’ai tenté les intrus (2008) qui est pas mal. Idem pour celui de 2018, plus gore, mais une actrice est malheureusement absente.
    Et là je découvre une nouvelle trilogie sortie récemment (la partie 3 devrait pas tarder). Le réalisateur dit que ce n’est pas une suite ni un reboot. Pourtant la partie 1 a des similitudes avec celui de 2008.
    A terminer.

    Le Parrain 1 et 2. Une tuerie. Toujours aussi bon. Ils devraient faire une adaptation série dessus avec + de Vito.
    C’est mon seul regret. Papa Vito n’a pas assez de scène. Marlon Brando est envoûtant. J’en voulais +.

    Lu : Superman Legion de Darkseid avec le retour de Superman Prime. Le kiff. Il y a enfin des réponses depuis Dc All in Spécial et le terrain se prépare pour l’event Dc KO qui me donne envie. (La partie tournoi me fait peur, surtout depuis l’annonce d’un spécial avec Homelander de The Boys et plein d’autres perso appartenant à d’autres boites!!).
    Justice League Unlimited fait la même.

    Ça faisait longtemps que DC ne m’avait pas autant fait kiffer.

    J’attends Devil’s Hour la saison finale (la 3). Cette série est envoûtante. Le côté fantastique est bien géré. A ne pas manquer 😉

  8. Ah Perceval ne revient pas pour le 2ème film Kaamelott, j’étais pas au courant.🤔

    C’est dommage mais les autres personnages sont toujours là donc tout va bien.

    Par contre, si on pouvait éviter les nouveaux personnages et Arthur affalé tout le temps sur sa chaise, ce serait bien.😅

    • Yes, son interprète Franck Pitiot a confirmé ce matin son absence et les raisons évoquées (en gros il n’aimait pas la direction prise par le personnage et aurait aimé lire le scénario avant de jouer) – ainsi que l’absence d’animosité entre lui et Alexandre Astier (grande élégance) : https://youtu.be/k6T2NPcr2gs?si=QJtVnOFghRlID-Ey

      • En espérant, comme lui, un retour dans le troisième volet (et peut-être une scène post générique dans la deuxième partie du deuxième)…
        Il aurait raison de sauter la partie qui ne le satisfait pas.

  9. Vu KV2 hier soir, eh bien satisfait! Après l’accident du premier volet, on retrouve l’esprit du très bon livre V, qui est pour moi le summum de la série. Le rythme est bien travaillé, j’ai ressenti un bon équilibre entre les différentes histoires. Des scènes intimistes qui mettent en avant le talent de comédie des acteurs, des dialogues et des répliques qui fonctionnent bien mieux que dans le précedent film. La musique plus marquante. Les décors sont soignés et les paysages sont mis en valeur par une belle photographie.Le film est très clairement au dessus du premier qui il faut l’avouer n’était pas à la hauteur de l’oeuvre. C’est rassurant pour la suite. Merci AA! Et pour ceux qui ont suivi les réseaux hier, il y a de l’espoir pour quelqu’un dans le futur. On croise les doigts.

    • Pour ma part je serai tenté de dire oui automatiquement mais impossible de savoir a quelle échelle.
      Après ca dépend des chiffres du DCU. Si chaque film apporte ses millions aisement on le laissera tranquille. Dans le cas contraire… Il suffit de voir aussi chez la concurrence et les problèmes du MCU du aux différents changement a la tête de Disney (notamment l’épisode Tout pour Disney+ et Wokisme)

  10. Vu  »Le chant du loup » (avec notamment François civil)
    Très bon film, haletant, bien interprété (super casting) et mis en scène, bien écrit, et avec une bande son très appréciable.
    Un film français qui se démarque.
    Content de l’avoir rattrapé.
    4/5 pour moi

    • J’en garde un bon souvenir au cinéma, faudrait que je le revois. Mais en salle il y avait un travail sur le son absolument dingue (couplé au côté anxiogène de l’ensemble sous-marin/salle de ciné), à domicile il faudrait que j’investisse dans le 4K limite pour en profiter avec autant « d’intensité sonore », j’ai peur de passer à côté en seconde vision sans avoir ça, mais je me trompe peut-être ^^

  11. Dies irae praeteriit…

    On pourrait penser que Alexandre Astier a entendu les retours des quelques spectateurs déçus (et ce dès les affiches) du premier volet cinématographique de « Kaamelott », sorte de reboot des premières saisons, donc balançant aux orties l’évolution d’une partie des personnages… en un peu moins drôle, et n’arrivant pas à atteindre l’ampleur que cette histoire peut se permettre sur grand écran.
    Seulement voilà, il s’en fout, il écoute pas, il est toujours focalisé sur la conception de son œuvre et ne se laisse perturber par presque personne (jadis il a toutefois flouté l’homosexualité de Bohort, tellement évidente pour les fans, plus autant maintenant).
    Multitâches, en autarcie (autistique ?) dans son univers, avec sa famille, sa troupe et ses potes invités dont la liste s’allonge régulièrement.
    Fidèle au code de « Kaamelott », que pas beaucoup de monde a craqué, et qu’on peut éventuellement définir ainsi :

    Le mythe dans la vie de tous les jours. Le projet plus grand que nature dans la routine la plus banale. La noblesse chez les bourrins grandes gueules. La tentation du progressisme mais la peur de perdre son identité régionale. La découverte aventureuse chez les gus les plus sédentaires et réacs du monde (en gros, métro boulot dodo, et ne surtout pas oublier le gras).
    Que de contradictions, qui n’apparaissaient pas au début, où c’est la comédie sous forme de pastilles qui prédominait. Ensuite le drama s’est autorisé à surgir brusquement, puis à évoluer en fil rouge puis en arc principal dans les dernières saisons… et enfin, devenir un détail presque anecdotique dans le film, lequel manquait d’une structure plus claire (on était à la limite d’un récit picaresque) et d’action épique.
    Parce que l’héroïsme dans « Kaamelott », ça n’existe qu’en théorie, faute d’avoir des ennemis vraiment menaçants – à part l’ultra conservateur Lancelot, il n’y a plus de romains, les envahisseurs sont en toc, les clans coincent la bulle, les monstres se tiennent tranquilles si on ne vient pas les emmerder.
    Alors que dans un film de chevaliers, on s’attend à ce que ça soit plus concret, que ça se passe au moment des grands conflits – ou alors on en fait la critique désabusée, comme le Ridley Scott des dernières années.

    Faut-il que l’Heroic Fantasy reste hors-champ ad vitam æternam dans cette franchise, en dehors des appendices en bandes-dessinées ? Ou bien la création du désir et du fantasme est-elle plus forte que son aboutissement, selon l’expression consacrée ?
    Si Astier était un grand formaliste, cette question ne se poserait même pas… mais s’il n’avait pas co-réalisé deux « Astérix » animés bourrés d’action, souvent dantesque, on oublierait qu’il possède bien ce potentiel. Et que ces œuvres pourraient ne pas se résumer à n’être qu’esthétiquement et musicalement jolies… enfin, s’il avait de bons équipiers et moins de limites.
    Limites que possèdent de toute façon ses personnages, attachants car bas du front, un peu cartoonesques, mais régulièrement volontaires même sans rien réussir.
    Ils ne l’étaient plus autant dans le premier volet, vociférant un peu trop automatiquement, se faisant voler la vedette par des stars super cools…
    Grande nouvelle, quasi tout le monde est formidable maintenant, et heureusement puisque les meilleures joutes de « Kaamelott » seront toujours verbales – il restera quand-même l’éternelle déception de ne pas voir Lionnel Astier mettre des torgnoles comme Bud Spencer.

    Mais pour réussir ça, il fallait se rapprocher encore plus de la série, en découpant son scénario en saynètes montées en parallèle, dans cette première (!) partie, elle-même structurée en deux parties distinctes :
    L’une est un méta-commentaire sur la série, se plaignant d’un Arthur/stier faisant chier tout le monde, traînant au pieu, mettant une plombe à faire évoluer son royaume, ses beaux-parents remettant sur le couvert la question de l’héritier (pas très cohérent, puisque Guenièvre et lui semblaient avoir enfin consommé dans l’autre film)….
    Kadoc fait toujours rire avec trois fois rien, Maclou apostrophe Arthur avec une grande pertinence, Daniel « Sulfurix » Mesguich apporte un premier degré salutaire en mage mystérieux, et tout le monde est à deux doigts de se foutre sur la gueule (même à un doigt pour certains enfants d’Astier, à qui il a filé des arcs narratifs tordants)… D’ailleurs l’idée, amorcée précédemment, d’une jeunesse enthousiaste qui représente un nouvel espoir, n’empêche pas ceux-ci de dire et faire de grosses conneries. Jeunes hommes et femmes au même régime de stupidité que les vieux, pas de privilégiés, comme l’étaient Yvain et Gauvain (mais en un petit peu moins couillons).

    Comme ce sont majoritairement des théâtreux (lyonnais), leur jeu est très volubile. Comme leurs styles comiques respectifs ne sont pas les mêmes (certains font du Audiard, d’autres déclament, d’autres ont un phrasé plus châtié, les acteurs ciné font leur propre sauce), tout ça paraît inégal dans un casting qui contient autant d’acteurs. Mais une fois qu’on s’y est habitué, ça devient de plus en plus marrant, jamais là où s’y attend – et encore, c’est selon l’appréciation du spectateur, ce qui donne une foule de possibilités…
    Puis Arthur, pas très rassuré par la tournure des événements post Lancelot, sort quand-même de sa réserve et lance un superbe discours, posé, très inspirant, un peu politique, où il nous ramène aux principes de la Table Ronde et relance l’un des meilleurs gag récurrent de la série : les quêtes. Où plus concrètement, le besoin de mettre un terme à l’encrassement et aux inégalités, de donner leur chance à ceux qui ont ou pas le sang noble, à réactiver l’esprit chevaleresque peu importe si c’est pour le Graal, un seigneur perdu ou une bête fabuleuse. Peu importe aussi si ça loupe, tant qu’on essaye.
    Et c’est sur ça que reposera la deuxième moitié du film, joliment dépaysante (tournée aussi en Islande et à Malte).

    Précisons au passage que si Guenièvre, punie par les dieux, reste confinée à un rôle de candide et adorable bouc émissaire (un plan sur son oreille qui saigne amène un soupçon de gravité)… le cas Frank Pitiot, lui, est résolu de façon surprenante : rare à avoir pu connaître le scénario, l’acteur se mit en retrait faute d’avoir ici un Perceval plus évolué, ce qui se traduit par des agacements de la part des personnages de Astier et de son lieutenant Jean-Christophe Hembert… même si dans l’univers de « Kaamelott », ça n’est pas bien méchant, ça boude tout le temps.
    Mais dans le même temps, les nouvelles épistolaires qu’il donne de son improbable quête du Graal sont du Perceval pur jus, auquel il manque juste le phrasé caractéristique du comédien… lettres (grasses) qui lui permettent de devenir lui-même une légende, un aventurier qui n’existe que hors-champ, et dont les péripéties (que l’on doit retranscrire à sa place) représentent bien plus « le pouvoir de la gentillesse » que le dernier film de Superman. Mine de rien, son absence (qu’on espère momentanée) sert parfaitement le film, lui enlevant de la lourdeur.
    Exploit supplémentaire : puisqu’il n’y a plus leur duo comique, dans lequel il ne cessait de tirer Perceval vers le bas, Karadoc commence enfin à évoluer en voyant le Surnaturel rentrer dans sa vie. L’occasion de créer sa propre équipée, carrément accompagné par la Dame du Lac (ben oui, Audrey Fleurot repasse de Karadec à Karadoc) 😁

    Ainsi Astier (qui laisse toute la place à ses acteurs) arrive à répartir sa multitude de personnages avec suffisamment d’équilibre, chacun avec sa propre besogne, d’intérêt varié. Et cette fois ça ne sera pas juste raconté n’importe comment à la Table Ronde, puisqu’on verra tout :
    Des jeunes se perdent dans le grand Nord, et découvrent peut-être mieux que ce qu’ils cherchaient…
    Lancelot et Méléagant font leur pastiche de Dark Vador et Palpatine, segment intense et contenant même des créatures titanesques…
    Une mission de renseignement, suite à un message d’avertissement, se transformera en mini film d’horreur dans un château remplie de stars françaises (mais est-ce que ça ne participe pas à l’avènement d’un destin funeste ?)…
    Un épopée dans le Sud, sur la foi de visions, s’avérera cruciale (ou pas ?)…
    Des druides crapahutent dans les très dangereux sous-sols d’une Kaamelott détruite – petit problème de temporalité là, puisque ce n’est pas complétement aligné avec les autres histoires.
    Problème aussi en ce qui concerne l’affection que Astier porte à ses personnages, puisque ceux-ci n’y risquent pas énormément en fin de compte… la comédie (encore une fois, très réussie) prédomine par rapport à la violence, au suspense et au drama, qui seront peut-être plus centraux dans l’ultime volet.

    Et un cliffhanger final sera comme une claque dans la figure, non pas à cause de ce qui se passe à l’écran – « Kaamelott » oblige, ça n’est pas non plus extraordinaire – mais parce que ça tombe d’un coup, comme un couperet au bout de 2 h 30 qu’on n’a pas vu passer… alors que tout ce qu’on vient de voir n’est rien d’autre qu’une grosse entame.
    Normal pour une franchise qui a toujours été une longue Origin Story… ce sont souvent ces histoires là qui sont les plus intéressantes, on a d’ailleurs pu le constater maintes fois au cinéma ces dernières années (plus fort que l’aboutissement, qu’on vous dit !!).

    Enfin, heureusement que la deuxième partie sort en Novemb… Quoi ? 2026 !?
    Bordel, un an à attendre la suite ? Interminable.
    Et encore plusieurs années pour la fin ? Insupportable.
    ⚔️🛡️

    • Je vois pas bien ce qui indiquerait que Bohort est gay, sauf à penser que si un homme est délicat, sensible, réfractaire à la violence et doué en cuisine alors il est forcément homo.
      En attendant, dans toute l’œuvre y a jamais eu le moindre signe d’attirance de Bohort envers un personnage masculin. Et quand des personnages envisagent qu’il soit homosexuel leur argument est qu’ils n’ont jamais vu sa femme, mais on l’a vue, nous.

      • Réponse de Astier dans Technikart hors-série 5 (2011) :
        « Quand tout le monde a admis que Bohort était gay, je lui ai mis une femme. Dans ma tête, il était gay. Mais que les autres le disent avant moi, ça m’a gonflé (…) j’aime bien que les auteurs soient les boss, ce sont pas les fans qui écrivent. Ce serait terrible. Comme des mecs qui vont dans un restaurant et qui vont faire la bouffe eux-mêmes. Quand est-ce qu’ils sont surpris ? »

        Ce qu’il fallait savoir… ce qu’il n’est pas utile de seulement retenir.

          • Merci ! – on peut voir que quand il décide de dévier de ce qu’il a établi au préalable (pour Bohort comme pour Perceval), son écriture gagne en complexité.

            Et en répondant précédemment au com de ‘Univers Sale Studio’ (!), il y a de quoi se poser des questions sur le fonctionnement actuel des spectateurs :
            N’acceptent-ils plus une proposition artistique particulière ? Préférant prendre le contrôle de la narration, comme avec des jeux physiques…
            Et préférer les codes et dogmes les plus simples et classiques ?
            Ou bien c’est justement la rareté (la disparition ?) de ces codes classiques qui suscitent le rejet… sachant que certains tropes scénaristiques peuvent être liés intimement à une époque moins évoluée – celle où des gens étaient plus invisibilisés, ou alors quand il n’y avait pas de téléphones portables « nous condamnant à être toujours joignables ».

  12. https://www.premiere.fr/Series/News-Series/Malcolm-retrouve-ses-frangins-sur-cette-nouvelle-photo-dans-les-coulisses-de-la-nouvelle-serie

    Ouah ! « Time is unfair » ? Pas complétement…

    • wow Reese a grave changé !
      Vraiment pas rassuré par cette suite. Je vois mal comment ils pourront proposer quelque chose de digne de la série, et éviter le ridicule :s
      par contre le cast pour dewey et jamie est plutôt convaincant visuellement

        • Je parle d’être à la hauteur, d’être digne de la série (pas de la dignité en soi).
          Et justement la série a tjr su (à mes yeux) doser l’humour en proposant quelque chose de loufoque sans en faire trop.
          Et là, le simple fait de vouloir revenir après tant d’années, ça sent le fait de trop tirer sur la corde et qu’ils soient trop vieux pour ces conn….. Et donc qu’ils soient ridicules à leur insu.

    • C’est ni l’un, ni l’autre. (Qui a osé inventer une date de sortie pour un film qui n’existe pas à l’heure actuelle ? 😀 ) Il s’agit juste d’un dépôt classique de marque intellectuelle – au même titre que The Mighty Crabjoys en juillet dernier – pour pouvoir faire des :

      « 9 Films cinématographiques de comédie, de drame, d’action, d’aventure et/ou d’animation, et films cinématographiques destinés à la diffusion télévisée de comédie, de drame, d’action, d’aventure et/ou d’animation ; disques audio vidéo et disques numériques polyvalents de musique, de comédie, de drame, d’action, d’aventure et/ou d’animation ; casques stéréo ; piles ; téléphones sans fil ; lecteurs de CD ; disques de jeux informatiques sur CD-ROM ; téléavertisseurs téléphoniques et/ou radio ; lecteurs de disques compacts ; radios ; tapis de souris ; lunettes, lunettes de soleil et leurs étuis ; logiciels téléchargeables pour jouer à des jeux informatiques en ligne, logiciels de jeux informatiques téléchargeables ; logiciels de jeux informatiques pour téléphones mobiles et cellulaires ; programmes de jeux vidéo et informatiques ; cartouches de jeux vidéo ; jeux informatiques et vidéo conçus pour des plateformes matérielles, à savoir des consoles de jeux et des ordinateurs personnels ; logiciels de jeux informatiques pour machines de jeux, y compris les machines à sous ; logiciels ou micrologiciels pour jeux de hasard sur toute plateforme informatisée, y compris les consoles de jeux dédiées, les machines à sous vidéo, les machines à sous à rouleaux et les terminaux de loterie vidéo ; CD-ROM et disques de jeux informatiques numériques polyvalents et programmes informatiques, à savoir, logiciels reliant des supports vidéo et audio numérisés à un réseau informatique mondial; contenu multimédia audiovisuel téléchargeable dans le domaine du divertissement comprenant des films d’animation, des séries télévisées, des comédies et des drames; logiciels informatiques, à savoir, logiciels pour la diffusion en continu de contenu multimédia audiovisuel via Internet, logiciels pour la diffusion en continu et le stockage de contenu multimédia audiovisuel, lecteurs audio et vidéo téléchargeables pour contenu multimédia avec fonctions multimédias et interactives; programmes informatiques pour accéder, parcourir et rechercher des bases de données en ligne; logiciels qui permettent aux utilisateurs de lire et de programmer du contenu audio, vidéo, texte et multimédia lié au divertissement; logiciels d’application informatique pour la diffusion en continu et le stockage de contenu multimédia audiovisuel; logiciels d’application informatique pour la diffusion en continu de contenu multimédia audiovisuel via Internet; logiciels informatiques téléchargeables pour la diffusion en continu de contenu multimédia audiovisuel via Internet; logiciels informatiques téléchargeables pour la diffusion en continu et le stockage de contenu multimédia audiovisuel; Publications téléchargeables sous forme de livres mettant en scène des personnages de films d’animation, d’action-aventure, de comédie et/ou de drame, bandes dessinées, livres pour enfants, guides de stratégie, magazines mettant en scène des personnages de films d’animation, d’action-aventure, de comédie et/ou de drame, livres de coloriage, livres d’activités pour enfants et magazines dans le domaine du divertissement ; accessoires pour téléphones portables, à savoir accessoires mains libres, coques et façades de téléphones portables ; cartes magnétiques codées, à savoir cartes téléphoniques, cartes de crédit, cartes-cadeaux, cartes de paiement, cartes de débit et cartes-clés magnétiques ; aimants décoratifs

      14 Articles en métaux précieux ou plaqués de métaux précieux, à savoir montres, montres-réveils, montres de sport, bijoux, bracelets, bracelets de cheville, broches, chaînes, breloques, boutons de manchette, bagues, boucles d’oreilles, colliers, épingles de revers, épingles à cravate, pinces à cravate, broches décoratives, pendentifs, amulettes, porte-clés et chaînes porte-clés ; horloges ; réveils ; horloges de bureau ; montres ; montres-réveils ; montres de sport ; bijoux ; perles pour la fabrication de bijoux ; bijoux fantaisie ; bracelets ; bracelets de cheville ; broches ; chaînes ; breloques ; boutons de manchette; bagues; boucles d’oreilles; colliers; épingles de revers; épingles à cravate; pinces à cravate; épingles décoratives; pendentifs; amulettes; porte-clés et chaînes porte-clés; chaînes porte-clés non métalliques; chaînes porte-clés en tant que bijoux [bibelots ou breloques]; chaînes porte-clés [bibelots ou breloques]; chaînes porte-clés [bibelots ou breloques] en métaux précieux; porte-clés [bibelots ou breloques]; chaînes porte-clés en cuir; chaînes porte-clés en similicuir; chaînes porte-clés non métalliques; chaînes porte-clés en cuir; chaînes porte-clés en similicuir; chaînes porte-clés en cuir; chaînes porte-clés en similicuir; figurines (décoratives) en métaux précieux; figurines recouvertes de métaux précieux; figurines de pierres précieuses ou semi-précieuses; décorations murales adhésives en métaux précieux; badges en métaux précieux; étuis pour horloges; coffrets à bijoux et boîtes à bijoux en métaux précieux; coffrets à bijoux; boîtes à bijoux musicales; boîtes à bijoux en cuir; pièces de monnaie; Porte-clés non métalliques

      16 Imprimés et articles en papier, à savoir livres présentant des personnages de films d’animation, d’action-aventure, de comédie et/ou de drame, bandes dessinées, livres pour enfants, magazines présentant des personnages de films d’animation, d’action-aventure, de comédie et/ou de drame, livres de coloriage, livres d’activités pour enfants ; papeterie ; papier à lettres ; enveloppes ; carnets ; blocs-notes ; agendas ; cartes de correspondance ; cartes de vœux ; cartes à collectionner ; cartes postales ; presse-papiers ; agendas muraux ; protège-passeports ; pinces à billets non métalliques ; stylos, crayons et leurs étuis ; gommes ; porte-mines ; crayons de couleur ; marqueurs ; stylos de coloriage ; crayons de couleur ; ensembles de stylos ; plumes d’oie ; nécessaires de peinture ; craies et tableaux noirs ; cire à cacheter ; tampons à cacheter ; autocollants ; décalcomanies ; transferts thermiques ; affiches ; fanions en papier ; film plastique adhésif avec adhésif amovible »

  13. – « L’Homme qui rétrécit »…

    OSS Centimètres

    Ne jamais sous-estimer Jean Dujardin quand il s’agit d’être une force motrice de (re)création artistique, n’en déplaise à ceux qui se pensent pourfendeurs de chauvinismes.
    Il n’y avait que lui pour porter un grand film de genre et sortir Jan Kounen de sa retraite, même si en se reposant sur des évidences pour (The) deux artistes :
    L’un jouant l’introspection la plus morbide ces dernières années, de plus en plus, loin des duos qui ont fait sa gloire…
    L’autre dont le cinéma et les obsessions personnelles tendent vers le vertige métaphysique et cosmique.
    Bien sûr il y a le risque industriel, surtout en ne se contentant pas de faire un blockbuster uniquement ludique, mais en étant fidèle au propos du roman originel de Richard Matheson, et le film de Jack Arnold qui en a résulté, fonçant dans une même direction sans retour en arrière.
    Soit une histoire très angoissante de disparition, malgré son côté rocambolesque, ses jeux sur les échelles qui transforment l’inoffensif en monstrueux.
    Mises en perspective qui concernent aussi la nature humaine, notre regard et celui des autres, « on est peu de choses etc ».
    Histoire sur la mort à venir surtout, telle « La Mouche » de Cronenberg, où l’Humain se fait dépasser par les forces naturelles qu’il croyait domestiquer. Mais paradoxalement, l’un des meilleurs Survival SF jamais fait.

    Cette nouvelle adaptation/remake aurait pu se contenter d’utiliser des moyens modernes (motion control, images de synthèses) pour « corriger » le film de 1957, série B dont l’efficacité et l’écriture palliaient largement les limites des effets spéciaux – d’ailleurs toujours très bons.
    Kounen va aller jusqu’à recopier entièrement des scènes, mais surtout escamoter certains éléments, et en enrichir d’autres pour un résultat qui sera aussi universel que son modèle, tout en prenant d’intéressants chemins de traverse :
    À la place de la peur du nucléaire (qui revient pourtant en force en ce moment) et ses mutations horribles qu’on fantasmait pendant la Guerre Froide, on a un phénomène atmosphérique sans explication (à moins que la présence de bouteilles en plastique flottantes soient un indice), plus ou moins occulté par le héros. Et il n’est pas interdit de penser que les nombreux cadrages en plongée du film représentent le point de vue d’un quelconque dieu facétieux, décidé à tourmenter notre personnage principal… qui n’a pourtant rien fait de mal. Il a de petites difficultés dans son travail, mais rien qui ne puisse être compensé par le fait qu’il possède une jolie famille, aimante, heureuse. Un homme ordinaire, dans sa maison itou.
    Trop beau pour que ça dure, et après quelques signes avant coureur (Dujardin isolé au milieu de grands espaces droits, circulaires, ou même au sein de son entourage) c’est tel l’annonce d’une maladie incurable que ce bonheur va cruellement se fracturer. Kounen choisissant de montrer et même dater le délitement progressif de Paul, puis ne pas trop s’attarder sur les tentatives de résolution de son problème (on a quelques séances chez les médecins, le reste n’est qu’images figuratives des divers examens), enfin faire fi de toute médiatisation hystérique et honte sociale : ce film sera entièrement intimiste, intemporel et en huis clos ou ne sera pas.

    Il suffira d’un bon plan-séquence en accéléré pour arriver très tôt au derniers moments en famille de Paul, plus du tout le tranquille homme viril qu’il était. Entre une ultime réconciliation avec sa femme Élise (Marie-Josée Croze), instant charnel suggéré par une scène précédente. Et entre Paul et sa fille Mia (Daphné Richard), création du roman, dernier ancrage du héros parmi les vivants.
    Et une fois que Jean Dujardin a fini de nous convaincre qu’on n’était plus dans « Un homme à la hauteur » (film qui avait déjà une jolie sensibilité), c’est le moment où la grande aventure s’apprête à commencer, et où le Temps deviendra tout relatif, sur une envoûtante musique de Alexandre Desplat.
    Similaire donc (la maison de poupée, le chat, la chute dans le panier)… Puis plus dense alors que la cave de la maison, d’où on n’entend que des sons extérieurs et où on n’entrevoit la lumière du jour que par une lucarne, est comme une sorte de chambre d’hôpital, un mouroir auquel on s’adapte peu à peu… mais dont il faudra s’échapper d’une manière ou d’une autre.
    Jan Kounen a le luxe de démultiplier les péripéties du personnage, oublié malencontreusement par ses proches alors qu’il se bat toujours pour sa vie, utilisant tous les objets à sa portée pour les réinventer, en jouant sur la physicalité proverbiale de Jean Dujardin (on a tendance à oublier qu’il est bon dans cet exercice). Tout en étant émaillé de ses réflexions en voix-off (on sait par contre qu’il est très bon vocalement), qui jalonnent le film du début à la fin. Pas pour surligner le propos de l’histoire, mais comme le journal interne (ou la voix d’outre tombe ?) d’un homme qui a besoin de s’accrocher à son humanité, alors que tout le pousse à régresser aussi bien mentalement que physiquement. – comme celui de 1957, elles se substituent aux flashbacks du roman et évite d’avoir un film trop radical compte tenu de son sujet et de ses moyens alloués (le Blu-ray devrait avoir la version « muette »)…

    Le rapport avec l’animalité sera l’un des plus beaux atouts de Kounen, entre un poisson rouge qui sera un compagnon de circonstance, mais aussi avec le développement de l’araignée, la fameuse :
    Fil rouge du film dès sa première apparition, ironique pour la suite, mais représentant l’ordre naturel des choses. Adversaire régulier avec qui un lien se créera, même lorsqu’il deviendra une Grande Faucheuse symbolique – faut-il suivre ses envies vengeresses ou remplir le rôle que le monde vous a attribué ? Le double final entre les deux sera aussi impressionnant que dans l’ancien film, encore une fois avec une perspective différente, où semblent s’exprimer de multiples sentiments (écolo, respect mutuel ou dédain)…
    Également une idée intelligente : plus le monde de Paul grandit, plus l’Humanité lui est physiquement insupportable (sons, alcool), et plus il est en danger… mais plus il a également accès à des possibilités, impraticables s’il avait une taille plus grande (le grain du bois, les ouvertures d’une grille), même si pour ça il doit y mettre toutes ses forces, jusqu’à l’épuisement.
    Et par rapport à Scott Carey en 1957, qui représentait un battant américain typique, blond aux yeux bleus (mais pas exempt de trouille), finalement prêt à aller coloniser et conquérir l’infiniment petit… Paul lui lâche prise, accepte que son temps ici bas sera éphémère (le papillon de nuit), et sans autre arrière pensée que d’entrer en communion avec sa fille à distance, via l’Infinité – conclusion un peu trop abrupte, et on peut regretter alors que Jan Kounen ne nous donne pas des visions psychédéliques et pleines de fractales comme à la fin de son « Blueberry » (le cinéma grand public en manque)… mais les derniers instants cosmiques pendant le générique sont suffisamment parlants.

    Le Survival est donc plus que réussi, et la poésie et la mélancolie totales.
    Un film à la hauteur.
    🧍‍♂️🕷️

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