Avatar – De feu et de cendres : Le premier extrait et les derniers posters !

30

Avatar : De feu et de cendres est désormais entré dans la phase des préventes… et sans surprise, la hype n’est pas au niveau d’Avatar : La Voie de l’Eau (3 ans d’attente vs. 13 ans d’attente). On peut donc anticiper un démarrage qui sera sans doute inférieur au deuxième opus (134.1 millions), même si cela ne veut pas dire grand chose, tant les films de James Cameron sont connus pour faire carrière sur la longueur. Sans transition, on parle souvent du manque d’impact culturel de la franchise, d’où une petite question : en mettant de côté Jake et Neytiri, êtes-vous capable de nommer un personnage issu de la famille XXL de nos deux héros ? Je dois avouer qu’en dehors de [Spider]…

Le légendaire réalisateur James Cameron transporte les spectateurs dans le monde époustouflant de Pandora avec Avatar : De feu et de cendres, une nouvelle aventure immersive mettant en scène Jake Sully, ancien Marine devenu chef Na’vi, la guerrière Na’vi Neytiri et la famille Sully.

﹡﹡﹡﹡﹡

﹡﹡﹡﹡﹡

Avatar : De feu et de cendres est réalisé par James Cameron et sort en France le 17 décembre 2025, avec Sam Worthington (Jake Sully), Zoe Saldana (Neytiri), Sigourney Weaver (Kiri), Britain Dalton (Lo’ak), Trinity Bliss (Tuktirey), Jack Champion (Miles ‘Spider’ Socorro), Cliff Curtis (Tonowari), Kate Winslet (Ronal), Oona Chaplin (Varang) et Stephen Lang (Colonel Miles Quaritch).

30 COMMENTAIRES

  1. Je me demandais si il fait moins de 2 milliards au box-office est-ce-qu’il sera considéré comme un « échec » vu ce qu’on fait les 2 premiers ? 🤔

    • Je pense….
      Si cela arrive cela sera l’occasion de centaines d’émissions sur les chaines you tube, comme écran large, Dirty Tommy, etc…. avec des vignettes bien putaclic…
      Maintenant si la baisse est relative cela pourrait remettre en question les épisodes 4 et 5 en terme de budget…je pense que Cameron doit attendre la réception du 3 pour mettre en chantier les 4 et 5 et surtout les réalisera-t-il personnellement ou se contentera-t-il de les produire ? Les chiffres seront scrutés bien évidemment.

      • Je vois déjà la vidéo de Dirty Tommy qui commence par l’énorme soupir de tonton beauf : « Pffff non mais stop là James, faut que t’arrêtes mon vieux, passe le relais, comment peut-on passer du gratin de Abyss, Terminator ou Titanic messieurs dames à cette vague parodie de films de SF noyé de pseudo-humanité et écologie ? Bonjour à tous, comme vous l’avez compris Avatar 3 bah… c’était de la merde ! »

          • le drame étant sans doute de considérer son Terminamor ou son Tutànik comme du gratin … ou alors du gratin de choux-fleurs. Celui qui permets de se bâffrer comme un sagouin pour faire de gros pêts bien gras !

            et là, Avatartiflette devrait scorer ….

  2. J’ai beaucoup aimé les deux premiers volets, mais moi aussi je suis incapable de me souvenir du nom des autres personnages. Même celui grisé, j’avais oublié son nom.

  3. J’avais lu cet article lors de sa mise en ligne (mai 2022), je ne l’ai pas lu de nouveau mais – de mémoire – il me semble que l’impact « pop culture » était davantage à trouver dans des autres œuvres plutôt que dans ce qu’on connaît habituellement (jeux vidéo, figurines, séries dérivées, adaptations diverses…) : https://furyosa.com/avatar-na-laisse-aucune-trace-dans-la-pop-culture/

  4. À part les Na’vi, y a pas grand chose de vraiment marquant pour l’imaginaire collectif : technologie futuriste déjà vue avec des exosquelettes, des vaisseaux spatiaux standards, des armes standards, de beaux environnements mais rien de mémorable.
    Et même les Na’vi ne sont au final que de grands Schtroumpfs, comme le veut la blague nulle ressortie par tout le monde. Donc si la franchise ne propose pas un vrai tournant avec une réinvention forte, c’est évident qu’elle va s’essouffler. Ce que les bandes annonces ne laissent pas vraiment penser…

  5. Pour répondre à la question:
    * Kiri / Grace Augustin (quand même, en plus facile avec son nom de jeune Na’vi, qui fait penser au fromage des enfants)
    * Lo’ak (le second fils)… Pour Neteyam (le premier fils), je l’ai en phonétique, mais je pèche toujours dans son orthographe. Et alors la plus jeune des filles, là c’est ???
    * Eytukan et Mo’at (les parents de Neytiri… sachant qu’on va visiblement revoir cette dernière un peu plus dans le 3ème film)
    * Tsu’tey (l’ex de Neytiri)
    * Eywa (la grande divinité de la planète un peu la mère de tous les Na’vi)

    Après, s’il faut élargir aux Metkayina (les Na’vi de la mer), à part Ronal (parce que Kate Winslet), je sèche.

    • Tuk la petite dernière 😉
      Aucun problème pour retenir les blases de ces persos mais j’ai vus ces films plusieurs fois.
      On devrait faire le test avec d’autres films en tenant compte du nombre de visionnages et surtout de la propension de ces blases à être prononcés partout dans les médias depuis des années. Les persos d’Avatar, à moins de fréquenter des cercles dédiés à cette licence, c’est très rare de les entendre prononcés.
      La difficulté pour beaucoup de gens de se rappeler ces noms tient probablement plus dans le faible impact culturel de la licence que dans la caractérisation de ces personnages.

  6. Sur le coup, je voudrais bien savoir le coup exact des films.
    AVATAR premier du nom a coûté cher du fait de sa technologie novatrice et sans suite direct.
    A l’opposé, en indiquant directement 4 films a la suite, Cameron a du réduire sacrément les coûts.

  7. Ah ben Kiri quand-même ! T’as vu l’héroïne en puissance qu’elle est ?
    Et puis Quaritch commence à être plus intéressant, et Varang elle semble impressionnante de ouf.

    Quant au manque d’impact culturel de la franchise, c’est parce qu’elle n’invente rien de nouveau, que le début est beaucoup trop « tout doux », les dangers issus de Pandora on ne les voit pas énormément – et ce genre de planète c’est même pas « Avatar » qui l’a créé, elle existe d’elle-même dans la Pop Culture sans avoir besoin de Cameron.
    Résultat, 0 petits émules de Avatar (à part « John Carter », mais il existait avant dans la littérature), très très peu de parodies drôles… comparé à Star Wars, Mad Max et Matrix (qui amalgament plein de genres avec une harmonie redoutable), c’est bel et bien léger comme rayonnement populaire car ça ne raconte rien de bien profond – jusqu’à maintenant, a priori.
    Mètre étalon juste pour le budget et le type de 3D, et encore…

  8. J’ai beaucoup aimé le 1, je n’ai pas aimé le 2 (vu en streaming HD) et je n’irai pas voir le 3.
    Difficile de se souvenir des personnages tellement ils sont vraiment oubliables, en plus de tous se ressembler (sauf le gamin humain avec des cheveux blonds).
    Mais vraiment très curieux de connaitre son box office, je pense qu’il fera un bon score (fin d’année, vacances, ça va aider)

  9. Le troisième volet s’annonce tout simplement époustouflant ! James Cameron repousse encore une fois les limites du cinéma, mêlant une technologie visuelle de pointe à une narration captivante. Après le succès monumental des deux premiers films, ce nouvel épisode promet d’embarquer le public dans un voyage encore plus immersif au cœur de Pandora, avec des personnages attachants et des décors à couper le souffle. Tout indique que ce film sera un énorme succès mondial, autant auprès des fans de la première heure que des nouvelles générations de spectateurs, et qu’il marquera durablement l’histoire du cinéma

  10. La grande ironie des films Avatar, c’est que Cameron se vante haut et fort d’aucune utilisation d’IA dans les films, ce qui ne se révèle finalement vrai que sur la durée du film dans les salles, puisque dès qu’il arrive en 4K, tonton James utilise les pires techniques de DNR et d’upscale IA dégueulasse en tout genre pour optimiser ses films. Aliens, Terminator 1 et 2, Avatar… tous y passent. Sans déconner, je ne crois pas qu’il existe un réalisateur aussi connu qui porte aussi peu de soin à la postérité de ses œuvres que James Cameron. Et ça permet aussi, j’imagine, de remettre en perspective l’idée même de suites d’Avatar : C’est Cameron qui joue à l’apprenti sorcier numérique, les films ne sont pas portés par un scénario à envelopper de CGI, c’est la CGI qui est à envelopper d’un scénario, une version plus prestigieuse que ce que fait déjà Marvel en soi, l’ironie étant que ces suites ont désormais aussi l’étiquette Disney.

    • le monsieur n’a jamais eu beaucoup de remords à « emprunter » dans la littérature et la BD SF, sans même ne serait-ce que demander aux véritables créatifs s’ils étaient d’accord pour intégrer de très loin, ou de près, son grand gloubiboulga [je ne parle même pas de les rémunér… dédommager, donc, bon …]
      Certains vont dire avoir des scrupules dans l’usage des IA – qui pour le moment ne sont réellement QUE des outils- vis à vis des plusieurs professions que cela va faire disparaître, exception faites d’une poignée qui parviendra à se démarquer, alors qu’on sait qu’en off, ils ne se privent pas d’économiser ainsi, mais de la part d’un (sale) type, qui a déjà depuis des décennies le mépris de ses pairs, parce que soutenu par des générations entières de gobeurs de popcorns engraissés à l’épat’ technologique, je vois mal comment il pourrait soudainement ne plus mépriser autant une grande part de la profession, que son public de followers moot-moots toujours prompt à mettre la main à leur modeste portefeuille ….
      Et le comble, c’est que son jusqu’auboutisme le pousse à faire des déclarations concernant les chaines de streaming aux Oscars, et que ça fonctionne !

  11. Pour une saga qui a tout pompé à la BD Aquablue et dont le créateur est mort le cœur meurtri par la maladie et le plagiat en 2023 je suis encore choqué de voir que quand il s’agit de James Cameron on laisse passer sous prétexte de qui il est. Honteux. Vivement que cette masquarade qu’est Avatar se termine et qu’il s’étouffe avec ses milliards plutôtque d’en profiter. Thierry Cailleteau n’en aura jamais l’occasion lui.

    • le principe G.Lucas (envers les emprunts à Christin et Mézières) sans la moindre reconnaissance qui va avec …
      La disparition de Thierry Cailleteau n’étant que l’un des multiples sordides aboutissements du pompage à grande échelle …
      car lorsqu’il échafaude son premier film, il sait pertinemment qu’il vole aussi le travail issu de la collaboration entre Michael Turner et Geoff Johns sur Ekos … mais il sait également combien Turner est occupé à se battre contre la maladie et se contrefout d’un Aspen qui n’aura pas le temps ni la force de lui intenter un procès, et contrevient à la moindre accusation en certifiant qu’Avatartiflette est une idée qu’il a eu dans les années 90. Un alibi qu’on aurait bien aimé lui accorder s’il n’avait pas pillé le taff de Robert Anson Heinlein pour son Aliens, plagiat allant de paire avec la manipulation de Lou Pitt pour inciter Weaver à signer alors qu’elle n’appréciait guère le saccage du boulot de Scott
      bref, la manière de procéder habituelle du coco …

      • Certes, mais beaucoup l’ignorent. Et donne leur argent à ce co#*€@… cet homme.

        En ce qui concerne Aquablue en plus il n’y a pas besoin de tout lire poir se rendre compte du vol… les premiers tomes suffiront. Mention spéciale avec certaines planches de la BD qui sont littéralement les mêmes sur écran dans son « film ».

        Bref, c’est dégueulasse et rien que d’y penser ça me file la gerbe.

        • … pas non plus comme si c’était de la SF très spécifique – des indigènes, de l’écologie, on finit par être limité pour ce qui est de représenter ce monde.
          Surtout quand on commence avec des conflits plus manichéens, alors que c’est plus intéressant quand ça devient plus « gris », qu’on n’est plus complètement sûr de qui sont les pires parmi les personnages.

          • Il y a une grosse différence entre limitation et plagiat en ce qui me concerne. Si ce n’est pas fait je t’invite à lire les deux premiers cycles et on verra ensuite où se situent les limites.

Répondre à Anthony Annuler la réponse

Please enter your comment!
Please enter your name here