Lucy : La première image de Scarlett Johansson en super-héroïne pour Luc Besson…

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Vous avez aimé Scarlett Johansson dans Captain America : Le Soldat de l’Hiver ? Alors vous l’aimerez sans doute dans Lucy de Luc Besson. Lucy, c’est l’histoire d’une jeune femme qui sert de mule à des trafiquants de drogue et dont la vie bascule le jour où ladite drogue pénètre dans son organisme (lire les conséquences dans le synopsis ci-dessous). Au programme : des super-pouvoirs, Black Widow et Morgan Freeman. A l’arrivée : un budget qui serait proche des 100 millions de dollars. Une première pour un film français. Rendez-vous mercredi pour la bande annonce !

A la suite de circonstances indépendantes de sa volonté, une jeune étudiante voit ses capacités intellectuelles se développer à l’infini. Elle « colonise » son cerveau, et acquiert des pouvoirs illimités.

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Lucy est réalisé par Luc Besson et sort en France le 6 août 2014, avec Scarlett Johansson (Lucy), Morgan Freeman, Choi Min-Sik (Kang) et Amr Waked.

40 COMMENTAIRES

  1. Besson, j’ai du mal. Je ne l’aime pas lui, et ce qu’il fait me laisse un goût bizarre après coup…
    Sauf Léon. Léon c’était bien à 90%

  2. Peut-on encore parler de film français quand il reste seulement le réalisateur de cette nationalité ? Incredible Hulk de Leterrier n’est pourtant pas un film français.

    • C’est pas vraiment pareil mais je suis d’accord pour le fond.
      Dire que les films de Luc Besson sont des films français c’est de la poudre aux yeux, il préfère rester en France pour avoir une certaine indépendance qu’il n’aurait jamais eu au US mais c’est clairement des films selon le modèle américain qu’il fait (et qu’il a toujours fait).
      Luc Besson décrit lui même le cinéma français comme « l’histoire de 2 mecs qui parlent de leurs problèmes de couple sur la terrasse d’un café » et le pire, c’est qu’il a parfaitement raison.
      Le cinéma français est en règle général très limité, il n’y a que Besson et les élèves de son école qui changent un peu les choses.
      Il me tarde de voir la BA de ce film, Besson est un grand réalisateur mais il faut dire que ça fait déjà quelques années qu’il n’a pas fait un vrai bon film, espérons que celui la soit génial.

        • Rajoute aussi Kassovitz (quand il est en forme), Jan Kounen, Chabat, Azanavicius… ce sont d’ailleurs ceux qui sont le plus rares, grrr !!! L’intransigence a un prix.

          • me concernant, non, je n’ajoute aucun de ceux là…
            de bons réalisateurs pour la plupart, mais il ne jouent clairement pas dans la même catégorie, pour moi.
            dslé

          • C’est juste qu’ils ont le talent pour faire des films bien rythmés et assez « universels ». Je rajoute aussi Florian Emilio Siri dans le lot.

          • La je suis d’accord avec CaraBoss, je ne rajouterais aucun de ceux la, perso.
            Florian Emilio Siri a la limite, oui mais pas les autres.

          • pour moi, c’est juste que Kasso, Kounen, Chabat ou Azanavicius n’ont jusque là pas tenté « d’épopée » ou de « grande saga » comme les trois autres. Ce qui n’enlève rien à leur talent, mais ce n’est pas … le même cinéma.

          • En effet et pour moi c’est surtout que Kassovitz, Kounen et Azanavicus bien qu’inspirés par le cinéma américain font toujours des films bien « français » dans leurs ambiances, ce n’est pas le cas des autres cités plus haut.
            Alain Chabat, je ne sais pas ce qu’il fait dans cette liste, son cinéma a toujours été de la comédie française.

          • Chabat fait des films très visuels et rythmés en gags et en action. 2 très bonnes adaptations de bd, pas ultra connotées française d’ailleurs (en Egypte et Palombie), ça joue.

          • Les 2 sont des BD franco-belge !
            Et c’est très loin d’avoir un style et un humour a l’américaine, plutôt anglais inspiré des Monty Python a la limite.

          • Ce n’est pas le style d’humour qui compte ici, c’est aussi l’énergie de la mise en scène et son caractère visuellement attractif. Par exemple Situation amoureuse… ou les Gazelles ont beau être de très bonnes comédies française d’après la critique, ça n’empêche pas que ça restent des films « coincés » dans des apparts en ville, ce genre là.
            Au moins chez Chabat ou Hazanavicius, on bouge à l’étranger, là où c’est beau et exotique, dans le genre d’un Philippe De Broca.
            Par contre je ne vois pas trop d’épopées ou de grandes sagas dans la filmo de Jeunet ou Gans. Des films plus épiques et/ou trépidants, ce serait peut-être plus juste ?
            Pardon aussi pour la faute, c’est Florent Emilio Siri le nom juste.^^

          • Dans ce cas, je trouve sa mise en scène est très française, c’est son humour sa marque de fabrique, le reste est plutôt classique.
            Si on devait citer tout les réalisateurs qui partent tourner dans des pays exotiques, on en a pas fini.
            Ce dont je parlais, c’est surtout des réalisateurs français qui arrivent a faire des films américains aussi bien que des américains et ils sont rares.

            C’est Florent et pas Florian, en effet, je ne l’avais même pas remarqué^^

          • Perso, je me dis qu’un spectateur étranger (ou même américain) qui verrait en vf ou non Astérix: Mission Cléopatre, et surtout Sur la piste du Marsupilami, s’amuserait de la même manière qu’un français. Même en ne pigeant pas les deux tiers des jeux de mot français.
            Quasi idem pour les OSS 117, ce qui a peut-être amené Hazanavicius à The Artist.

          • Gans = le Pacte des Loups = épopée. Jeunet = l’Extravagant voyage et jeune et prodigieux TS Spievet = belle et grande saga.
            Mais je ne doute pas que tu dois déjà avoir pléthore de contre-arguments sous ton coude pour t’engager sur ce terrain.

            comme d’hab’ quoi.

          • non, une saga est un récit légendaire ou historique (que certains n’hésiteraient pas à qualifier … d’épique ^^) mais elle n’est pas nécessairement « à épisodes ». C’est dans le langage courant d’aujourd’hui qu’on l’utilise pour qualifier des histoires en plusieurs parties lorsqu’on est pas encore capable de savoir dire s’il s’agira de diptyque, de cycle, de trilogie, etc….

          • Donc dans le sens moderne de « cycle ». Et en même temps la densité du scénario du Pacte des Loups font que le film se conjugue lui même comme une saga « moderne » composée de plusieurs épisodes en un seul film.
            La Belle et la Bête, plus équilibré à mon sens, peut-être pas. La structure « carrée » du conte y étant très bien respectée même en s’y ajoutant d’autres couches de réalités (je crois que tu aimerais, si tu ne l’as pas encore vu).
            Je n’ai pas encore vu le dernier Jeunet, mais son superbe Un long dimanche de fiançailles peut aussi prétendre à ce titre alors, on y passe quasi là aussi, avec l’enquête de Mathilde, d’une épreuve à une autre.

  3. … pressentiment qu’on va avoir le droit à une Nikita cheatée… plongée dans l’univers de Limitless… pas très novateur si tel est le cas.

  4. Le problème c’est que Besson ne va plus au bout de ses concepts depuis 15 ans. Trop paresseux, trop énervant pour nous. Si son « truc » génial c’est seulement d’inviter (en prod ou en réal) des américains à faire les kakous en France, c’est pas la peine.
    Désolé à ceux qui aiment, mais à son niveau d’expérience ça fait « mal au luc » de le voir trop jouer les petit bras.

    • Ça fait quelques années qu’il n’a pas fait de grands films, en effet !
      Certains disent qu’il est blasé du cinéma et qu’il a perdu sa magie, espérons que ce ne soit pas le cas car ce serait fort dommage.
      Rien que pour « Léon » et « Le 5ème Élément », je le met au même niveau qu’un Steven Spielberg ou un Ridley Scott.

          • Et encore, quoi qu’on dise sur la qualité de ces films, c’est quand même les seuls et uniques films de ce genre en France.
            C’est historique pour le cinéma français.

          • Je ne conteste absolument pas la qualité des
            3 films d’animations (si l’on peut dire, mais tant pis je le dis) que d ailleurs j’ai trouvé très bien. Je disais juste ça car ces films sont bien différents des autres films de Besson, tirés des livres du même nom.

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